Centre de Documentation Campus Montignies
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Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur A. Frey |
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Analyse vidéo et traumatismes en compétition de judo de haut niveau : étude pilote / R. Rousseau in Journal de traumatologie du sport, Vol. 34, n°3 (Septembre 2017)
[article]
Titre : Analyse vidéo et traumatismes en compétition de judo de haut niveau : étude pilote Type de document : texte imprimé Auteurs : R. Rousseau ; A. Frey ; L. Chiquet Année de publication : 2017 Article en page(s) : pp. 161-167 Langues : Français (fre) Mots-clés : Judo Épidémiologie Traumatismes sportifs Vidéo Résumé : Le judo est un sport de combat présentant des risques inhérents de blessures. Bien que ce sport soit pratiqué à l’échelle mondiale, peu d’études permettent de recenser précisément les blessures en compétition de haut niveau. Le but de cette étude était de recenser et d’analyser par vidéo les traumatismes survenus lors des compétitions élite nationales sur 2 saisons. Il s’agissait d’une étude prospective observationnelle. Un bilan diagnostique précis était réalisé et chacune des blessures étaient analysées par un groupe de travail regroupant médecins traumatologues, chirurgiens orthopédistes, responsables techniques nationaux et techniciens vidéo. Les données démographiques usuelles étaient recueillies ainsi que la catégorie de poids, le stade de la compétition, la nécessité ou non d’évacuation ainsi que le diagnostic lésionnel précis par examen systématique de l’athlète à 6 semaines. La durée d’arrêt d’activité était évaluée. L’analyse vidéo déterminait le temps de combat écoulé, la position du judoka en attaque ou en défense, le type de technique réalisé, le mécanisme lésionnel et, s’il existait, une faute technique ou une mauvaise appréciation d’arbitrage ayant conduit à la blessure. Trois mille trente quatre combats ont été analysés impliquant 2458 combattants (1189 femmes et 1269 hommes) ; 66 traumatismes ont été identifiés (2,2 % des combats). Il n’existait pas de différence statistiquement significative en termes d’âge, de sexe, de catégories de poids, de nombre de combats et du temps écoulé avant la survenue d’un traumatisme. Une évacuation a été nécessaire dans 10,6 % des cas. Les principaux traumatismes retrouvés ont été les ruptures du ligament croisé antérieur (19,7 %), les contusions articulaires (13,6 %) et les disjonctions acromioclaviculaires (10,6 %). L’arrêt d’activité a été de plus de 6 semaines dans 40,9 % des cas. Dans 83,3 % des cas, la blessure est survenue sur un combattant en défense. Une erreur technique était à l’origine du traumatisme dans 18,2 % des cas et s’est toujours produite en 2e partie de combat. La rupture du ligament croisé antérieur a toujours eu lieu chez un combattant en situation de défense. Dans 85 % des cas, il n’existait pas de fautes techniques. Le mécanisme lésionnel le plus fréquent était en valgus-flexion-rotation latérale (77 %) sur des techniques de projection sur l’arrière, pied bloqué au sol. L’arrêt d’activité a toujours dépassé les 6 semaines. La disjonction acromioclaviculaire est, elle aussi, survenue majoritairement chez un combattant en défense. Le mécanisme lésionnel était une chute sur le moignon de l’épaule ou sur le coude lors d’une projection vers l’avant. Dans tous les cas, il existait une erreur technique lors de la chute. L’arrêt d’activité a été de 3 et 6 semaines dans 57 % des cas et de plus de 6 semaines dans 43 % des cas. L’analyse de la vidéo a permis d’obtenir des données précises sur le mécanisme et les situations à risque de traumatisme. La rupture du ligament croisé antérieur semble être la pathologie la plus problématique en termes de fréquence, de durée d’arrêt d’activité et de gravité. Ces résultats préliminaires nécessitent d’être développés à plus grande échelle en ciblant les pathologies recensées pour proposer des mesures de prévention efficaces permettant de diminuer les situations à risque. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=50146
in Journal de traumatologie du sport > Vol. 34, n°3 (Septembre 2017) . - pp. 161-167[article] Analyse vidéo et traumatismes en compétition de judo de haut niveau : étude pilote [texte imprimé] / R. Rousseau ; A. Frey ; L. Chiquet . - 2017 . - pp. 161-167.
Langues : Français (fre)
in Journal de traumatologie du sport > Vol. 34, n°3 (Septembre 2017) . - pp. 161-167
Mots-clés : Judo Épidémiologie Traumatismes sportifs Vidéo Résumé : Le judo est un sport de combat présentant des risques inhérents de blessures. Bien que ce sport soit pratiqué à l’échelle mondiale, peu d’études permettent de recenser précisément les blessures en compétition de haut niveau. Le but de cette étude était de recenser et d’analyser par vidéo les traumatismes survenus lors des compétitions élite nationales sur 2 saisons. Il s’agissait d’une étude prospective observationnelle. Un bilan diagnostique précis était réalisé et chacune des blessures étaient analysées par un groupe de travail regroupant médecins traumatologues, chirurgiens orthopédistes, responsables techniques nationaux et techniciens vidéo. Les données démographiques usuelles étaient recueillies ainsi que la catégorie de poids, le stade de la compétition, la nécessité ou non d’évacuation ainsi que le diagnostic lésionnel précis par examen systématique de l’athlète à 6 semaines. La durée d’arrêt d’activité était évaluée. L’analyse vidéo déterminait le temps de combat écoulé, la position du judoka en attaque ou en défense, le type de technique réalisé, le mécanisme lésionnel et, s’il existait, une faute technique ou une mauvaise appréciation d’arbitrage ayant conduit à la blessure. Trois mille trente quatre combats ont été analysés impliquant 2458 combattants (1189 femmes et 1269 hommes) ; 66 traumatismes ont été identifiés (2,2 % des combats). Il n’existait pas de différence statistiquement significative en termes d’âge, de sexe, de catégories de poids, de nombre de combats et du temps écoulé avant la survenue d’un traumatisme. Une évacuation a été nécessaire dans 10,6 % des cas. Les principaux traumatismes retrouvés ont été les ruptures du ligament croisé antérieur (19,7 %), les contusions articulaires (13,6 %) et les disjonctions acromioclaviculaires (10,6 %). L’arrêt d’activité a été de plus de 6 semaines dans 40,9 % des cas. Dans 83,3 % des cas, la blessure est survenue sur un combattant en défense. Une erreur technique était à l’origine du traumatisme dans 18,2 % des cas et s’est toujours produite en 2e partie de combat. La rupture du ligament croisé antérieur a toujours eu lieu chez un combattant en situation de défense. Dans 85 % des cas, il n’existait pas de fautes techniques. Le mécanisme lésionnel le plus fréquent était en valgus-flexion-rotation latérale (77 %) sur des techniques de projection sur l’arrière, pied bloqué au sol. L’arrêt d’activité a toujours dépassé les 6 semaines. La disjonction acromioclaviculaire est, elle aussi, survenue majoritairement chez un combattant en défense. Le mécanisme lésionnel était une chute sur le moignon de l’épaule ou sur le coude lors d’une projection vers l’avant. Dans tous les cas, il existait une erreur technique lors de la chute. L’arrêt d’activité a été de 3 et 6 semaines dans 57 % des cas et de plus de 6 semaines dans 43 % des cas. L’analyse de la vidéo a permis d’obtenir des données précises sur le mécanisme et les situations à risque de traumatisme. La rupture du ligament croisé antérieur semble être la pathologie la plus problématique en termes de fréquence, de durée d’arrêt d’activité et de gravité. Ces résultats préliminaires nécessitent d’être développés à plus grande échelle en ciblant les pathologies recensées pour proposer des mesures de prévention efficaces permettant de diminuer les situations à risque. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=50146 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtLes atteintes de la syndesmose tibio-fibulaire distale, une pathologie fréquente chez les sportifs de haut niveau / A. Frey in Journal de traumatologie du sport, Vol. 35, n°1 (Mars 2018)
[article]
Titre : Les atteintes de la syndesmose tibio-fibulaire distale, une pathologie fréquente chez les sportifs de haut niveau Type de document : texte imprimé Auteurs : A. Frey ; P. Papon ; S. Le Garrec Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 61-62 Langues : Français (fre) Résumé : Objectif
La lésion de la syndesmose tibio-fibulaire distale est souvent méconnue lors d'un traumatisme de cheville. Nous avons suivi une population de sportifs de haut niveau ayant présenté un traumatisme de la cheville, noté la prévalence de cette pathologie, validé les signes radiocliniques de cette atteinte et proposé un protocole de prise en charge.
Methodologie
De février 2015 à février 2017, nous avons inclus en prospectif tout traumatisme de cheville dans notre population de haut niveau. Ils ont tous bénéficié d'un examen clinique initial complet incluant les signes spécifiques d'atteinte de la syndesmose tibio-fibulaire distale, du protocole de demande de radiographies en urgence selon les règles d'Ottawa. Une échographie de la cheville a été réalisée dans les trois jours suivant le traumatisme. En cas d'atteinte échographique du ligament tibio-fibulaire distal antérieur (LTFAI), une IRM était réalisée systématiquement. Un protocole de traitement était alors appliqué en fonction de l'atteinte de cette syndesmose : si le LTFAI n'était que distendu, un traitement fonctionnel était proposé ; si le LTFAI était rompu sans autre atteinte, un traitement par botte de marche était proposé ; si le LTFAI était rompu avec atteinte de la membrane interosseuse mais sans diastasis, un traitement par botte plâtrée en résine était proposé et s'il existait un diastasis, un traitement chirurgical était proposé. Tous les sportifs ont été revus à j8, j30 puis à 3 et 6 mois en indiquant le retour à la pratique du sport de haut niveau. Des tests de sensibilité et de spécificité ont été appliqués pour les mécanismes et les tests cliniques.
Résultats
Au total, 206 traumatismes de cheville ont été colligés dont 47 atteintes de la syndesmose (soit 22,8 %). On retrouve 34 hommes et 13 femmes avec un âge moyen de 22 ans [15?33]. Les principaux sports pourvoyeurs de cette lésion sont dans l'ordre, la lutte, le judo, le football, la gymnastique, le pentathlon moderne. Les mécanismes principaux retrouvés sont la rotation latérale et la dorsiflexion avec une spécificité de 97 %. À j0 comme à j8, les tests cliniques les plus sensibles sont la palpation du LTFAI et les plus spécifiques sont la rotation latérale en dorsiflexion et le squeeze test . La douleur remontant dans la jambe n'est présente que dans 34 % des cas. Les résultats échographiques retrouvent 11 épaississements du LTFAI, 10 ruptures partielles et 26 ruptures complètes. La concordance entre l'échographie et l'IRM est de 100 % lorsque le LTFAI est rompu alors que l'échographie a identifié moins de lésions en cas d'épaississement ou de lésions partielles. Aucun sportif n'a présenté de diastasis. Seuls les traitements fonctionnels (20) ou orthopédiques (27) ont été appliqués. Le retour au sport au même niveau s'effectue entre 2 et 10 semaines en fonction du type d'atteinte du LTFAI. Aucune récidive n'est à déplorer dans notre série mais quelques douleurs résiduelles en cas de reprise trop précoce.
Conclusion
Cette pathologie est très fréquente et nécessite une prise en charge adaptée pour éviter des séquelles douloureuses lors de la reprise du sport.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=56899
in Journal de traumatologie du sport > Vol. 35, n°1 (Mars 2018) . - p. 61-62[article] Les atteintes de la syndesmose tibio-fibulaire distale, une pathologie fréquente chez les sportifs de haut niveau [texte imprimé] / A. Frey ; P. Papon ; S. Le Garrec . - 2018 . - p. 61-62.
Langues : Français (fre)
in Journal de traumatologie du sport > Vol. 35, n°1 (Mars 2018) . - p. 61-62
Résumé : Objectif
La lésion de la syndesmose tibio-fibulaire distale est souvent méconnue lors d'un traumatisme de cheville. Nous avons suivi une population de sportifs de haut niveau ayant présenté un traumatisme de la cheville, noté la prévalence de cette pathologie, validé les signes radiocliniques de cette atteinte et proposé un protocole de prise en charge.
Methodologie
De février 2015 à février 2017, nous avons inclus en prospectif tout traumatisme de cheville dans notre population de haut niveau. Ils ont tous bénéficié d'un examen clinique initial complet incluant les signes spécifiques d'atteinte de la syndesmose tibio-fibulaire distale, du protocole de demande de radiographies en urgence selon les règles d'Ottawa. Une échographie de la cheville a été réalisée dans les trois jours suivant le traumatisme. En cas d'atteinte échographique du ligament tibio-fibulaire distal antérieur (LTFAI), une IRM était réalisée systématiquement. Un protocole de traitement était alors appliqué en fonction de l'atteinte de cette syndesmose : si le LTFAI n'était que distendu, un traitement fonctionnel était proposé ; si le LTFAI était rompu sans autre atteinte, un traitement par botte de marche était proposé ; si le LTFAI était rompu avec atteinte de la membrane interosseuse mais sans diastasis, un traitement par botte plâtrée en résine était proposé et s'il existait un diastasis, un traitement chirurgical était proposé. Tous les sportifs ont été revus à j8, j30 puis à 3 et 6 mois en indiquant le retour à la pratique du sport de haut niveau. Des tests de sensibilité et de spécificité ont été appliqués pour les mécanismes et les tests cliniques.
Résultats
Au total, 206 traumatismes de cheville ont été colligés dont 47 atteintes de la syndesmose (soit 22,8 %). On retrouve 34 hommes et 13 femmes avec un âge moyen de 22 ans [15?33]. Les principaux sports pourvoyeurs de cette lésion sont dans l'ordre, la lutte, le judo, le football, la gymnastique, le pentathlon moderne. Les mécanismes principaux retrouvés sont la rotation latérale et la dorsiflexion avec une spécificité de 97 %. À j0 comme à j8, les tests cliniques les plus sensibles sont la palpation du LTFAI et les plus spécifiques sont la rotation latérale en dorsiflexion et le squeeze test . La douleur remontant dans la jambe n'est présente que dans 34 % des cas. Les résultats échographiques retrouvent 11 épaississements du LTFAI, 10 ruptures partielles et 26 ruptures complètes. La concordance entre l'échographie et l'IRM est de 100 % lorsque le LTFAI est rompu alors que l'échographie a identifié moins de lésions en cas d'épaississement ou de lésions partielles. Aucun sportif n'a présenté de diastasis. Seuls les traitements fonctionnels (20) ou orthopédiques (27) ont été appliqués. Le retour au sport au même niveau s'effectue entre 2 et 10 semaines en fonction du type d'atteinte du LTFAI. Aucune récidive n'est à déplorer dans notre série mais quelques douleurs résiduelles en cas de reprise trop précoce.
Conclusion
Cette pathologie est très fréquente et nécessite une prise en charge adaptée pour éviter des séquelles douloureuses lors de la reprise du sport.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=56899 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtCommotion cérébrale et étranglement dans le judo de haut niveau : 75 judokas / A. Radafy in Journal de traumatologie du sport, Volume 33 numéro 1 (Mars 2016)
[article]
Titre : Commotion cérébrale et étranglement dans le judo de haut niveau : 75 judokas Titre original : Concussion and strangulation in the high-level judo: 75 judokas Type de document : texte imprimé Auteurs : A. Radafy ; B. Vesselle ; A. Frey Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.4-13 Langues : Français (fre) Mots-clés : commotion cérébrale étranglement judo perte de connaissance Résumé : Introduction
La commotion cérébrale est une altération transitoire des fonctions neurologiques faisant suite à un traumatisme crânio-cérébral. L’étranglement est une compression autour du cou. Ces phénomènes peuvent entraîner une perte de connaissance. L’objectif de cette étude était de définir la prévalence sur une population de judokas de haut niveau et d’étudier le délai de reprise. Nous voulions également comparer les symptômes post-critiques dans leur type, leur intensité et leur durée.
Méthodes
Un questionnaire portant sur le fait d’avoir été victime ou non de commotion cérébrale et/ou d’étranglement avec perte de connaissance, sur la présence ou non de symptômes post-critiques, leur durée et sur le délai de reprise sportive, était remis aux judokas.
Résultats
Soixante-quinze judokas ont répondu. Au cours de leurs années de pratique, 27 % déclaraient avoir été victimes de commotion cérébrale ; 71 % d’entre eux se souvenaient de symptômes post-commotionnels d’une durée moyenne de 1,9jours, avec un délai moyen de reprise de 5,4jours. Au total, 45 % déclaraient avoir été victimes d’étranglement avec perte de connaissance et une impossibilité de reprise immédiate dans 18 % des cas ; 25 % se souvenaient de symptômes post-étranglement d’une durée de 1 h 41 avec un délai de reprise de 9heures.
Conclusion
La commotion cérébrale a entraîné une incapacité à poursuivre la pratique sportive avec un délai de reprise variable selon le syndrome post-commotionnel. Une prise en charge standardisée puis adaptée dans un second temps présenterait un intérêt. Les conséquences de l’étranglement apparaissaient plus bénignes. Un phénomène vagal expliquait probablement la plupart des cas de perte de connaissance.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=42892
in Journal de traumatologie du sport > Volume 33 numéro 1 (Mars 2016) . - p.4-13[article] Commotion cérébrale et étranglement dans le judo de haut niveau : 75 judokas = Concussion and strangulation in the high-level judo: 75 judokas [texte imprimé] / A. Radafy ; B. Vesselle ; A. Frey . - 2016 . - p.4-13.
Langues : Français (fre)
in Journal de traumatologie du sport > Volume 33 numéro 1 (Mars 2016) . - p.4-13
Mots-clés : commotion cérébrale étranglement judo perte de connaissance Résumé : Introduction
La commotion cérébrale est une altération transitoire des fonctions neurologiques faisant suite à un traumatisme crânio-cérébral. L’étranglement est une compression autour du cou. Ces phénomènes peuvent entraîner une perte de connaissance. L’objectif de cette étude était de définir la prévalence sur une population de judokas de haut niveau et d’étudier le délai de reprise. Nous voulions également comparer les symptômes post-critiques dans leur type, leur intensité et leur durée.
Méthodes
Un questionnaire portant sur le fait d’avoir été victime ou non de commotion cérébrale et/ou d’étranglement avec perte de connaissance, sur la présence ou non de symptômes post-critiques, leur durée et sur le délai de reprise sportive, était remis aux judokas.
Résultats
Soixante-quinze judokas ont répondu. Au cours de leurs années de pratique, 27 % déclaraient avoir été victimes de commotion cérébrale ; 71 % d’entre eux se souvenaient de symptômes post-commotionnels d’une durée moyenne de 1,9jours, avec un délai moyen de reprise de 5,4jours. Au total, 45 % déclaraient avoir été victimes d’étranglement avec perte de connaissance et une impossibilité de reprise immédiate dans 18 % des cas ; 25 % se souvenaient de symptômes post-étranglement d’une durée de 1 h 41 avec un délai de reprise de 9heures.
Conclusion
La commotion cérébrale a entraîné une incapacité à poursuivre la pratique sportive avec un délai de reprise variable selon le syndrome post-commotionnel. Une prise en charge standardisée puis adaptée dans un second temps présenterait un intérêt. Les conséquences de l’étranglement apparaissaient plus bénignes. Un phénomène vagal expliquait probablement la plupart des cas de perte de connaissance.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=42892 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtÉvaluation à long terme du traitement chirurgical du syndrome de loge chronique de jambe / L. Vilcoq in Journal de traumatologie du sport, vol. 40, N°1 (Mars 2023)
[article]
Titre : Évaluation à long terme du traitement chirurgical du syndrome de loge chronique de jambe Type de document : texte imprimé Auteurs : L. Vilcoq ; A. Frey Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 3-7 Langues : Français (fre) Mots-clés : Syndrome des loges Sports Chirurgie Résumé : Introduction
Le syndrome de loge chronique (SLC) n’est pas une pathologie rare. Elle se caractérise par la survenue d’une douleur à l’effort en regard de la loge sollicitée, régressant à l’arrêt de celui-ci. L’origine en est une élévation pathologique à l’effort de la pression intra-tissulaire d’un compartiment musculaire. La jambe est la localisation majoritaire, notamment lors de la pratique de la course à pied. La prise en charge recommandée est principalement chirurgicale. Cependant, l’évaluation à long terme de la satisfaction postopératoire est variable selon les études. Dans ce contexte, l’objectif de cette étude était d’évaluer les résultats fonctionnels de la chirurgie du SLC à long terme.
Méthodes
Nous avons réalisé une étude rétrospective sur une population de patients ayant bénéficié d’une prise en charge chirurgicale du SLC, issue de la consultation de médecine du sport de l’Institut national du sport, de l’expertise et de la performance (INSEP, Paris) et de l’hôpital de Saint-Germain-en-Laye entre décembre 2009 et mars 2019. Les patients ont été recontactés à distance pour évaluer leur niveau de satisfaction et le retour au sport.
Résultats
Parmi les 57 patients éligibles à l’inclusion, 31 ont été inclus, représentant 59 loges analysées sur 58 membres inférieurs. L’efficacité du traitement chirurgical a été jugée excellente dans 71 % des cas, bonne dans 10 %, moyenne dans 9 % et mauvaise dans 10 % des cas. Le retour au sport à long terme a été rapporté comme meilleur dans 87 % des cas et moins bon dans 13 % des cas.
Conclusion
Une étude prospective multicentrique est nécessaire afin d’avoir une large population de patients. Un questionnaire avec recueil systématique du sport pratiqué, le niveau de pratique, les antécédents, la durée d’évolution des symptômes et les examens complémentaires réalisés devrait être mis en place. Les patients devraient être réévalués fréquemment sur plusieurs années afin de détecter une évolution défavorable et en déterminer les facteurs prédictifs.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=110429
in Journal de traumatologie du sport > vol. 40, N°1 (Mars 2023) . - p. 3-7[article] Évaluation à long terme du traitement chirurgical du syndrome de loge chronique de jambe [texte imprimé] / L. Vilcoq ; A. Frey . - 2023 . - p. 3-7.
Langues : Français (fre)
in Journal de traumatologie du sport > vol. 40, N°1 (Mars 2023) . - p. 3-7
Mots-clés : Syndrome des loges Sports Chirurgie Résumé : Introduction
Le syndrome de loge chronique (SLC) n’est pas une pathologie rare. Elle se caractérise par la survenue d’une douleur à l’effort en regard de la loge sollicitée, régressant à l’arrêt de celui-ci. L’origine en est une élévation pathologique à l’effort de la pression intra-tissulaire d’un compartiment musculaire. La jambe est la localisation majoritaire, notamment lors de la pratique de la course à pied. La prise en charge recommandée est principalement chirurgicale. Cependant, l’évaluation à long terme de la satisfaction postopératoire est variable selon les études. Dans ce contexte, l’objectif de cette étude était d’évaluer les résultats fonctionnels de la chirurgie du SLC à long terme.
Méthodes
Nous avons réalisé une étude rétrospective sur une population de patients ayant bénéficié d’une prise en charge chirurgicale du SLC, issue de la consultation de médecine du sport de l’Institut national du sport, de l’expertise et de la performance (INSEP, Paris) et de l’hôpital de Saint-Germain-en-Laye entre décembre 2009 et mars 2019. Les patients ont été recontactés à distance pour évaluer leur niveau de satisfaction et le retour au sport.
Résultats
Parmi les 57 patients éligibles à l’inclusion, 31 ont été inclus, représentant 59 loges analysées sur 58 membres inférieurs. L’efficacité du traitement chirurgical a été jugée excellente dans 71 % des cas, bonne dans 10 %, moyenne dans 9 % et mauvaise dans 10 % des cas. Le retour au sport à long terme a été rapporté comme meilleur dans 87 % des cas et moins bon dans 13 % des cas.
Conclusion
Une étude prospective multicentrique est nécessaire afin d’avoir une large population de patients. Un questionnaire avec recueil systématique du sport pratiqué, le niveau de pratique, les antécédents, la durée d’évolution des symptômes et les examens complémentaires réalisés devrait être mis en place. Les patients devraient être réévalués fréquemment sur plusieurs années afin de détecter une évolution défavorable et en déterminer les facteurs prédictifs.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=110429 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtFracture ostéochondrale du condyle fémoral externe lors de la luxation de la rotule. A propos de 3 cas / COUDERT X. in Journal de traumatologie du sport, vol. 10/4 (1993)
[article]
Titre : Fracture ostéochondrale du condyle fémoral externe lors de la luxation de la rotule. A propos de 3 cas Type de document : texte imprimé Auteurs : COUDERT X. ; DUFOUR O. ; A. Frey ; DEGHRAR A. Année de publication : 1993 Article en page(s) : p. 241 - 245 Résumé : Les auteurs rapportent 3 observations de lésions du condyle fémoral externe diagnostiquées en urgence au décours de luxation de rotule. Ces lésions peu fréquentes posent surtout le problème de leur diagnostic en urgence. Devant des signes cliniques aspécifiques et des signes radiographiques frustes, le scanner voire l'arthroscanner est indiscutablement l'examen le plus performant. Il permet de confirmer le diagnostic et de mettre en évidence la taille réelle des lésions toujours sous-estimée par les radiographies. Lorsque le diagnostic est fait en urgence devant des lésions de taille importante, (2 cm), les auteurs suggèrent une réparation en utilisant de la colle biologique, plutôt qu'une ostéosynthèse par vis
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14384
in Journal de traumatologie du sport > vol. 10/4 (1993) . - p. 241 - 245[article] Fracture ostéochondrale du condyle fémoral externe lors de la luxation de la rotule. A propos de 3 cas [texte imprimé] / COUDERT X. ; DUFOUR O. ; A. Frey ; DEGHRAR A. . - 1993 . - p. 241 - 245.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 10/4 (1993) . - p. 241 - 245
Résumé : Les auteurs rapportent 3 observations de lésions du condyle fémoral externe diagnostiquées en urgence au décours de luxation de rotule. Ces lésions peu fréquentes posent surtout le problème de leur diagnostic en urgence. Devant des signes cliniques aspécifiques et des signes radiographiques frustes, le scanner voire l'arthroscanner est indiscutablement l'examen le plus performant. Il permet de confirmer le diagnostic et de mettre en évidence la taille réelle des lésions toujours sous-estimée par les radiographies. Lorsque le diagnostic est fait en urgence devant des lésions de taille importante, (2 cm), les auteurs suggèrent une réparation en utilisant de la colle biologique, plutôt qu'une ostéosynthèse par vis
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14384 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtHémangiome intramusculaire des membres : à propos de deux cas / COUDERT X. in Journal de traumatologie du sport, vol. 18/1 (2001)
PermalinkNeuf saisons de surveillance médicale de compétitions de judo : une analyse nationale de la traumatologie du judo en compétition / A. Frey in Journal de traumatologie du sport, vol. 21/2 (2004)
PermalinkPathologie traumatique du muscle strié squelettique / A. Frey in EMC : Appareil locomoteur, vol. 13, n°1 (Janvier 2018)
PermalinkLa prise en charge de la commotion cérébrale au Judo/Jujitsu/Ne Waza : recommandations de la commission médicale de la Fédération Française de Judo / S. Menard in Journal de traumatologie du sport, vol. 41, N°3 (Septembre 2024)
PermalinkÀ propos d'une gonalgie chez un sportif : le chondroblastome / A. Frey in Journal de traumatologie du sport, vol. 17/3 (2000)
PermalinkSyndrome des loges chroniques à l'effort / A. Frey in EMC : Appareil locomoteur, Vol.38 N°3 (Juillet 2024)
PermalinkTraitement médical de l'entorse de la cheville au sien d'un Département Accueil-Urgence / A. Frey in Journal de traumatologie du sport, vol. 11/2 (1994)
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