Dépouillements

Argumentation en faveur de la rééducation de l'orientation spatiale à l'aide d’un chien / Philippe Bonnet in Kinésithérapie scientifique, 584 (Février 2017)

Public ISBD [article]  inKinésithérapie scientifique > 584 (Février 2017) . - p. 27-32 Titre : Argumentation en faveur de la rééducation de l'orientation spatiale à l'aide d’un chien Type de document : texte imprimé Auteurs : Philippe Bonnet Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 27-32 Langues : Français (fre) Mots-clés : Thérapie assistée par l'animal Résumé : Il n'y aurait donc pas de forme élevée de processus de décision si nous ne pouvions pas « sortir de notre corps » et entrer en dialogue avec nous-mêmes. »[Berthoz A. La décision. Éditions Odile Jacob, 2003] C'est pour favoriser la conception de l'espace par le patient hospitalisé pour un accident vasculaire cérébral, que j'utilise le chien. Il apparaît que le repérage spatial est très souvent altéré, surtout dans les lésions de l'hémisphère droit, et que la perception de l'environnement est pratiquement toujours difficile, en particulier en début de rééducation. Dès lors ces symptômes doivent être travaillés très tôt.Du fait de l'élan affectif que produit le chien chez le patient, l'attention de ce dernier sera d'emblée attirée par l'animal placé dans son champ visuel, en particulier dans un milieu inamical comme peut l'être l'hôpital. Ainsi, nous profiterons de cette saillance pour ouvrir le champ perceptif du patient à son environnement. Le chien sera de la sorte une étape transitoire pour accéder à l'espace. Voici résumée rapidement la trame de la rééducation exposée précédemment.Tout mouvement, toute action ne peut trouver sa mise en oeuvre que dans la perception par le corps de l'espace dans lequel il sera réalisé. Pour exercer sa capacité d'anticipation qui lui permettra de définir la commande d'un processus neuromusculaire, le cerveau doit recevoir des informations cohérentes de l'espace dans lequel se déroulera la gestuelle, informations qu?il doit être en mesure d?analyser et de synthétiser. Aussi, il est nécessaire, indispensable, de disposer à la fois d?une perception proprioceptive la plus correcte et d?une perception extéroceptive la plus correcte, pour être en mesure d?agir.Il doit y avoir cohésion entre l?action et la perception des éléments extracorporels. La complémentarité entre ces deux éléments est indispensable à la fiabilité, à la vitalité de l?un comme de l?autre. Elle favorisera une récupération plus rapide de la fonctionnalité globale. D?ailleurs, ce principe ne se limite pas aux seules pathologies AVC. Un travail analytique, cloisonné seulement dans la prise en compte du corps qui l?effectue ne peut être considéré comme adapté et efficient, valorisant peut-être pour le thérapeute dans la salle de rééducation, mais pas pour le malade dans sa vie quotidienne. L?élargissement de la perception de l?espace sera l?un des objectifs, obligatoire, du kinésithérapeute. La connexion et l?homogénéité entre action et perception du contexte alentour seront même le fil rouge de la rééducation et les acquis en découlant la référence de la progression du patient.Pour justifier cette démarche de travail et valider l?intérêt de la présence d?un chien dans les séances où il en valorisera le déroulement, il est utile de définir les notions contenues dans cette présentation. Ainsi, nous allons aborder de manière concise la perception de l?espace selon le mode visuel(1), mais aussi l?attention, l'anticipation, la décision qui découlent de cette perception. Nous terminerons et conclurons autour d'un système fédérateur autopoïétique : l'énaction. De la sorte nous aurons pu constater le rôle positif du chien dans cette perception essentielle qu'est la perception spatiale, lors de la rééducation du patient neurologique. (1) Primauté de la vision dans la pondération perceptive : si l'on fait marcher des sujets dans une pièce dont les murs se déplacent en même temps qu'eux, ils perçoivent le sol comme reculant, alors que les signaux somato-sensoriels et moteurs indiquent une marche vers l'avant sur un sol fixe [2]. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=47570 [article] Argumentation en faveur de la rééducation de l'orientation spatiale à l'aide d’un chien [texte imprimé] / Philippe Bonnet . - 2017 . - p. 27-32. Langues : Français (fre) in Kinésithérapie scientifique > 584 (Février 2017) . - p. 27-32 Mots-clés : Thérapie assistée par l'animal Résumé : Il n'y aurait donc pas de forme élevée de processus de décision si nous ne pouvions pas « sortir de notre corps » et entrer en dialogue avec nous-mêmes. »[Berthoz A. La décision. Éditions Odile Jacob, 2003] C'est pour favoriser la conception de l'espace par le patient hospitalisé pour un accident vasculaire cérébral, que j'utilise le chien. Il apparaît que le repérage spatial est très souvent altéré, surtout dans les lésions de l'hémisphère droit, et que la perception de l'environnement est pratiquement toujours difficile, en particulier en début de rééducation. Dès lors ces symptômes doivent être travaillés très tôt.Du fait de l'élan affectif que produit le chien chez le patient, l'attention de ce dernier sera d'emblée attirée par l'animal placé dans son champ visuel, en particulier dans un milieu inamical comme peut l'être l'hôpital. Ainsi, nous profiterons de cette saillance pour ouvrir le champ perceptif du patient à son environnement. Le chien sera de la sorte une étape transitoire pour accéder à l'espace. Voici résumée rapidement la trame de la rééducation exposée précédemment.Tout mouvement, toute action ne peut trouver sa mise en oeuvre que dans la perception par le corps de l'espace dans lequel il sera réalisé. Pour exercer sa capacité d'anticipation qui lui permettra de définir la commande d'un processus neuromusculaire, le cerveau doit recevoir des informations cohérentes de l'espace dans lequel se déroulera la gestuelle, informations qu?il doit être en mesure d?analyser et de synthétiser. Aussi, il est nécessaire, indispensable, de disposer à la fois d?une perception proprioceptive la plus correcte et d?une perception extéroceptive la plus correcte, pour être en mesure d?agir.Il doit y avoir cohésion entre l?action et la perception des éléments extracorporels. La complémentarité entre ces deux éléments est indispensable à la fiabilité, à la vitalité de l?un comme de l?autre. Elle favorisera une récupération plus rapide de la fonctionnalité globale. D?ailleurs, ce principe ne se limite pas aux seules pathologies AVC. Un travail analytique, cloisonné seulement dans la prise en compte du corps qui l?effectue ne peut être considéré comme adapté et efficient, valorisant peut-être pour le thérapeute dans la salle de rééducation, mais pas pour le malade dans sa vie quotidienne. L?élargissement de la perception de l?espace sera l?un des objectifs, obligatoire, du kinésithérapeute. La connexion et l?homogénéité entre action et perception du contexte alentour seront même le fil rouge de la rééducation et les acquis en découlant la référence de la progression du patient.Pour justifier cette démarche de travail et valider l?intérêt de la présence d?un chien dans les séances où il en valorisera le déroulement, il est utile de définir les notions contenues dans cette présentation. Ainsi, nous allons aborder de manière concise la perception de l?espace selon le mode visuel(1), mais aussi l?attention, l'anticipation, la décision qui découlent de cette perception. Nous terminerons et conclurons autour d'un système fédérateur autopoïétique : l'énaction. De la sorte nous aurons pu constater le rôle positif du chien dans cette perception essentielle qu'est la perception spatiale, lors de la rééducation du patient neurologique. (1) Primauté de la vision dans la pondération perceptive : si l'on fait marcher des sujets dans une pièce dont les murs se déplacent en même temps qu'eux, ils perçoivent le sol comme reculant, alors que les signaux somato-sensoriels et moteurs indiquent une marche vers l'avant sur un sol fixe [2]. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=47570

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Bases sur l'utilisation de la stimulation magnétique transcranienne répétitive à visée antalgique / Xavier Moisset in Kinésithérapie scientifique, 584 (Février 2017)

Public ISBD [article]  inKinésithérapie scientifique > 584 (Février 2017) . - p. 33-38 Titre : Bases sur l'utilisation de la stimulation magnétique transcranienne répétitive à visée antalgique Type de document : texte imprimé Auteurs : Xavier Moisset ; Didier Bouhassira Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 33-38 Langues : Français (fre) Mots-clés : Douleur chronique  Stimulation magnétique transcrânienne Résumé : La stimulation magnétique transcrânienne répétitive (ou rTMS pour repetitive Transcranial Magnetic Stimulation), permet le développement de nouvelles thérapeutiques.Les recommandations européennes actuelles retiennent une efficacité prouvée (grade A) pour la rTMS à visée antalgique ou à visée antidépressive. Un grade B (efficacité probable) existe pour la prise en charge des symptômes négatifs de la schizophrénie ainsi que pour la prise en charge du déficit moteur en post-accident vasculaire cérébral.Cet article a pour objectif de présenter quelques données concernant le développement actuel de la rTMS pour prendre en charge les douleurs neuropathiques Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=47571 [article] Bases sur l'utilisation de la stimulation magnétique transcranienne répétitive à visée antalgique [texte imprimé] / Xavier Moisset ; Didier Bouhassira . - 2017 . - p. 33-38. Langues : Français (fre) in Kinésithérapie scientifique > 584 (Février 2017) . - p. 33-38 Mots-clés : Douleur chronique  Stimulation magnétique transcrânienne Résumé : La stimulation magnétique transcrânienne répétitive (ou rTMS pour repetitive Transcranial Magnetic Stimulation), permet le développement de nouvelles thérapeutiques.Les recommandations européennes actuelles retiennent une efficacité prouvée (grade A) pour la rTMS à visée antalgique ou à visée antidépressive. Un grade B (efficacité probable) existe pour la prise en charge des symptômes négatifs de la schizophrénie ainsi que pour la prise en charge du déficit moteur en post-accident vasculaire cérébral.Cet article a pour objectif de présenter quelques données concernant le développement actuel de la rTMS pour prendre en charge les douleurs neuropathiques Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=47571

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Gonalgies et analyse du mouvement en pratique libérale : place des nouvelles technologies / Romain Dolin in Kinésithérapie scientifique, 584 (Février 2017)

Public ISBD [article]  inKinésithérapie scientifique > 584 (Février 2017) . - p. 5-11 Titre : Gonalgies et analyse du mouvement en pratique libérale : place des nouvelles technologies Type de document : texte imprimé Auteurs : Romain Dolin ; Valentin Massé ; Johanna Balducci Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 5-11 Langues : Français (fre) Mots-clés : Ligament croisé antérieur  Syndrome de la bandelette iliotibiale  Syndrome fémoro­patellaire  Valgus dynamique Résumé : Dans certains sports comme le triathlon, la course à pied ou chez les militaires [1-3], les lésions du genou font partie des premières causes de blessures. Chez la jeune fille pratiquant des sports pivot-contacts (basket-ball, rugby, handball, football, etc.) les douleurs fémoro-patellaires [4, 5] et les lésions fémoro-tibiales [6, 7] ont également une très forte incidence. Le terme de syndrome fémoro-patellaire (Patellofemoral pain syndrome - PFPS) est caractérisé par une douleur péripatellaire (Anterior knee pain) exacerbée par l?activité physique, en particulier la montée/descente d?escaliers, les squatts, les sauts, la course à pied, et parfois même par le maintien prolongé de la position assise [8-10]. Les étiologies des PFPS et des lésions ligamentaires du genou sont multifactorielles. Certains facteurs de risque (hormonaux, anatomiques, etc.) ne sont pas modifiables contrairement aux facteurs neuromusculaires qui peuvent être corrigés.Myer et al. [11] ont fait un résumé des différents facteurs de risques retrouvés dans la littérature à la fois pour les lésions du ligament croisé antérieur (LCA) et pour les PFPS. Dans les études publiées très récemment, ils retrouvent un facteur neuro-musculaire commun pour ces deux pathologies : le moment d?abduction dans le genou (Knee abduction moment ? KAM) à la réception de saut. Il établit même chez la basketteuse adolescente des valeurs seuil : ? chez la jeune fille d?environ 13 ans avec un KAM supérieur à 15 N.m, il existe un fort potentiel de développer un SPFPS ; ? chez l?adolescente d?environ 16 ans avec un KAM supérieur à 25 N.m, il existe un fort potentiel de développer un SPFPS et un risque de rupture du LCA important.Plusieurs études prospectives [12] et rétrospectives [13] montrent qu?il existe aussi un lien entre le contrôle neuromusculaire de la hanche et du tronc, dans la survenue de blessures aux membres inférieurs [14-16]. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=47577 [article] Gonalgies et analyse du mouvement en pratique libérale : place des nouvelles technologies [texte imprimé] / Romain Dolin ; Valentin Massé ; Johanna Balducci . - 2017 . - p. 5-11. Langues : Français (fre) in Kinésithérapie scientifique > 584 (Février 2017) . - p. 5-11 Mots-clés : Ligament croisé antérieur  Syndrome de la bandelette iliotibiale  Syndrome fémoro­patellaire  Valgus dynamique Résumé : Dans certains sports comme le triathlon, la course à pied ou chez les militaires [1-3], les lésions du genou font partie des premières causes de blessures. Chez la jeune fille pratiquant des sports pivot-contacts (basket-ball, rugby, handball, football, etc.) les douleurs fémoro-patellaires [4, 5] et les lésions fémoro-tibiales [6, 7] ont également une très forte incidence. Le terme de syndrome fémoro-patellaire (Patellofemoral pain syndrome - PFPS) est caractérisé par une douleur péripatellaire (Anterior knee pain) exacerbée par l?activité physique, en particulier la montée/descente d?escaliers, les squatts, les sauts, la course à pied, et parfois même par le maintien prolongé de la position assise [8-10]. Les étiologies des PFPS et des lésions ligamentaires du genou sont multifactorielles. Certains facteurs de risque (hormonaux, anatomiques, etc.) ne sont pas modifiables contrairement aux facteurs neuromusculaires qui peuvent être corrigés.Myer et al. [11] ont fait un résumé des différents facteurs de risques retrouvés dans la littérature à la fois pour les lésions du ligament croisé antérieur (LCA) et pour les PFPS. Dans les études publiées très récemment, ils retrouvent un facteur neuro-musculaire commun pour ces deux pathologies : le moment d?abduction dans le genou (Knee abduction moment ? KAM) à la réception de saut. Il établit même chez la basketteuse adolescente des valeurs seuil : ? chez la jeune fille d?environ 13 ans avec un KAM supérieur à 15 N.m, il existe un fort potentiel de développer un SPFPS ; ? chez l?adolescente d?environ 16 ans avec un KAM supérieur à 25 N.m, il existe un fort potentiel de développer un SPFPS et un risque de rupture du LCA important.Plusieurs études prospectives [12] et rétrospectives [13] montrent qu?il existe aussi un lien entre le contrôle neuromusculaire de la hanche et du tronc, dans la survenue de blessures aux membres inférieurs [14-16]. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=47577

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Kinésithérapie avant transplantation pulmonaire chez des patients souffrant de fibrose pulmonaire idiopathique : incidences sur la durée du séjour hospitalier et l'état clinique postopératoire / Philippe Le Masson in Kinésithérapie scientifique, 584 (Février 2017)

Public ISBD [article]  inKinésithérapie scientifique > 584 (Février 2017) . - p. 53-58 Titre : Kinésithérapie avant transplantation pulmonaire chez des patients souffrant de fibrose pulmonaire idiopathique : incidences sur la durée du séjour hospitalier et l'état clinique postopératoire Type de document : texte imprimé Auteurs : Philippe Le Masson Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 53-58 Langues : Français (fre) Mots-clés : Fibrose pulmonaire  Transplantation pulmonaire  Transplantation pulmonaire / rééducation et réadaptation Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=47579 [article] Kinésithérapie avant transplantation pulmonaire chez des patients souffrant de fibrose pulmonaire idiopathique : incidences sur la durée du séjour hospitalier et l'état clinique postopératoire [texte imprimé] / Philippe Le Masson . - 2017 . - p. 53-58. Langues : Français (fre) in Kinésithérapie scientifique > 584 (Février 2017) . - p. 53-58 Mots-clés : Fibrose pulmonaire  Transplantation pulmonaire  Transplantation pulmonaire / rééducation et réadaptation Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=47579

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L'effet placebo en physiothérapie / Jean-Philippe Bassin in Kinésithérapie scientifique, 584 (Février 2017)

Public ISBD [article]  inKinésithérapie scientifique > 584 (Février 2017) . - p. 13-20 Titre : L'effet placebo en physiothérapie Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Philippe Bassin Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 13-20 Langues : Français (fre) Mots-clés : Effet placebo Résumé : Le sujet de l'effet placebo est sensible chez les soignants, entre sentiment de « tromper » le patient et perplexité à l'idée que nos techniques thérapeutiques n'agissent pas toujours selon le « principe actif » avéré ou supposé comme tel. Cet article se base sur la littérature actuelle et vise à apporter un éclairage sur les mécanismes de l'effet placebo dont la compréhension permettra aux physiothérapeutes la mise en place de stratégies thérapeutiques adaptées.Pour bon nombre de physiothérapeutes et autres cliniciens, l'évocation du terme placebo suscite fréquemment un sentiment d'inconfort, entre culpabilité de bénéficier d'une aide involontaire dans leurs traitements, et impression de ne pas maîtriser ces phénomènes. La compréhension des mécanismes d'une réponse placebo permet de définir les stratégies thérapeutiques appropriées à disposition des physiothérapeutes.La connaissance des mécanismes qui régissent un effet placebo permet de les intégrer dans la prise en charge physiothérapeutique ; c'est l'opportunité de renforcer l'efficacité du traitement en soignant le contexte et la relation thérapeutiques afin d'optimiser le résultat.En parallèle de l'effet placebo, il est indispensable de mentionner l'effet nocebo, dont les effets sont l'exact contraire du placebo. Les mécanismes sont identiques dans les deux cas, agissant par modulation de la douleur et des composantes annexes que sont l'anxiété, les comportements d'évitement, ou encore la kinésiophobie ; favorablement lorsqu'il s'agit du placebo et négativement pour ce qui est du nocebo.Ce dernier est souvent induit involontairement par les thérapeutes, principalement par des paroles, des attitudes ou des expressions non verbales inappropriées ayant un effet anxiogène et déstabilisant pour le patient [1].Cet article a pour objectif d'apporter aux thérapeutes une compréhension des mécanismes qui régissent l'effet placebo ainsi que des pistes concrètes leur permettant d'intégrer au mieux ces composantes dans leurs traitements. Au final, la maîtrise de ces phénomènes renforce l'efficacité de la démarche thérapeutique avec une dimension de complexité dans l'approche individualisée du patient, prenant en compte ses émotions, ses croyances et ses craintes. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=47581 [article] L'effet placebo en physiothérapie [texte imprimé] / Jean-Philippe Bassin . - 2017 . - p. 13-20. Langues : Français (fre) in Kinésithérapie scientifique > 584 (Février 2017) . - p. 13-20 Mots-clés : Effet placebo Résumé : Le sujet de l'effet placebo est sensible chez les soignants, entre sentiment de « tromper » le patient et perplexité à l'idée que nos techniques thérapeutiques n'agissent pas toujours selon le « principe actif » avéré ou supposé comme tel. Cet article se base sur la littérature actuelle et vise à apporter un éclairage sur les mécanismes de l'effet placebo dont la compréhension permettra aux physiothérapeutes la mise en place de stratégies thérapeutiques adaptées.Pour bon nombre de physiothérapeutes et autres cliniciens, l'évocation du terme placebo suscite fréquemment un sentiment d'inconfort, entre culpabilité de bénéficier d'une aide involontaire dans leurs traitements, et impression de ne pas maîtriser ces phénomènes. La compréhension des mécanismes d'une réponse placebo permet de définir les stratégies thérapeutiques appropriées à disposition des physiothérapeutes.La connaissance des mécanismes qui régissent un effet placebo permet de les intégrer dans la prise en charge physiothérapeutique ; c'est l'opportunité de renforcer l'efficacité du traitement en soignant le contexte et la relation thérapeutiques afin d'optimiser le résultat.En parallèle de l'effet placebo, il est indispensable de mentionner l'effet nocebo, dont les effets sont l'exact contraire du placebo. Les mécanismes sont identiques dans les deux cas, agissant par modulation de la douleur et des composantes annexes que sont l'anxiété, les comportements d'évitement, ou encore la kinésiophobie ; favorablement lorsqu'il s'agit du placebo et négativement pour ce qui est du nocebo.Ce dernier est souvent induit involontairement par les thérapeutes, principalement par des paroles, des attitudes ou des expressions non verbales inappropriées ayant un effet anxiogène et déstabilisant pour le patient [1].Cet article a pour objectif d'apporter aux thérapeutes une compréhension des mécanismes qui régissent l'effet placebo ainsi que des pistes concrètes leur permettant d'intégrer au mieux ces composantes dans leurs traitements. Au final, la maîtrise de ces phénomènes renforce l'efficacité de la démarche thérapeutique avec une dimension de complexité dans l'approche individualisée du patient, prenant en compte ses émotions, ses croyances et ses craintes. 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Le massage en réhabilitation respiratoire / Bertrand Selleron in Kinésithérapie scientifique, 584 (Février 2017)

Public ISBD [article]  inKinésithérapie scientifique > 584 (Février 2017) . - p. 51-52 Titre : Le massage en réhabilitation respiratoire Type de document : texte imprimé Auteurs : Bertrand Selleron Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 51-52 Langues : Français (fre) Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=47584 [article] Le massage en réhabilitation respiratoire [texte imprimé] / Bertrand Selleron . - 2017 . - p. 51-52. Langues : Français (fre) in Kinésithérapie scientifique > 584 (Février 2017) . - p. 51-52 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=47584

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Mesure de l'acceptabilité d'une application mobile par les patients / Marin Guy in Kinésithérapie scientifique, 584 (Février 2017)

Public ISBD [article]  inKinésithérapie scientifique > 584 (Février 2017) . - p. 21-26 Titre : Mesure de l'acceptabilité d'une application mobile par les patients Type de document : texte imprimé Auteurs : Marin Guy Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 21-26 Langues : Français (fre) Mots-clés : Télémédecine  Téléréadaptation  E-Santé Résumé : CONTEXTE: E-santé et kinésithérapie Selon la définition retenue par la Commission Européenne, la e-santé est « l?application des technologies de l?information et de la communication (TIC) à l?ensemble des activités en rapport avec la santé. ». Économiquement, le marché de la e-santé représentait 2,4 milliards d?euros en France en 2012 [1] (fig. 1) ; il devrait progresser de 4 à 7 % par an jusqu?en 2017. Cette croissance du secteur numérique s?accompagne de la création d?emplois ; ainsi, une étude estime à 4 % la part de la population active employée directement ou indirectement par une entreprise de la filière numérique [3]. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=47587 [article] Mesure de l'acceptabilité d'une application mobile par les patients [texte imprimé] / Marin Guy . - 2017 . - p. 21-26. Langues : Français (fre) in Kinésithérapie scientifique > 584 (Février 2017) . - p. 21-26 Mots-clés : Télémédecine  Téléréadaptation  E-Santé Résumé : CONTEXTE: E-santé et kinésithérapie Selon la définition retenue par la Commission Européenne, la e-santé est « l?application des technologies de l?information et de la communication (TIC) à l?ensemble des activités en rapport avec la santé. ». Économiquement, le marché de la e-santé représentait 2,4 milliards d?euros en France en 2012 [1] (fig. 1) ; il devrait progresser de 4 à 7 % par an jusqu?en 2017. Cette croissance du secteur numérique s?accompagne de la création d?emplois ; ainsi, une étude estime à 4 % la part de la population active employée directement ou indirectement par une entreprise de la filière numérique [3]. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=47587

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Ostéochondrome pédiculé isolé / Pierre Le Hir in Kinésithérapie scientifique, 584 (Février 2017)

Public ISBD [article]  inKinésithérapie scientifique > 584 (Février 2017) . - p. 61-62 Titre : Ostéochondrome pédiculé isolé Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre Le Hir Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 61-62 Langues : Français (fre) Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=47590 [article] Ostéochondrome pédiculé isolé [texte imprimé] / Pierre Le Hir . - 2017 . - p. 61-62. Langues : Français (fre) in Kinésithérapie scientifique > 584 (Février 2017) . - p. 61-62 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=47590

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Pourquoi l'échographie pulmonaire est un atout majeur pour le kinésithérapeute libéral ? / Aymeric Le Neindre in Kinésithérapie scientifique, 584 (Février 2017)

Public ISBD [article]  inKinésithérapie scientifique > 584 (Février 2017) . - p. 41-46 Titre : Pourquoi l'échographie pulmonaire est un atout majeur pour le kinésithérapeute libéral ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Aymeric Le Neindre ; Marius Lebret Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 41-46 Langues : Français (fre) Mots-clés : Échographie  Diagnostic différentiel Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=47591 [article] Pourquoi l'échographie pulmonaire est un atout majeur pour le kinésithérapeute libéral ? [texte imprimé] / Aymeric Le Neindre ; Marius Lebret . - 2017 . - p. 41-46. Langues : Français (fre) in Kinésithérapie scientifique > 584 (Février 2017) . - p. 41-46 Mots-clés : Échographie  Diagnostic différentiel Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=47591

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Résorption des hernies lombaires et mobilisation (2e partie) / Pascal Pommerol in Kinésithérapie scientifique, 584 (Février 2017)

Public ISBD [article]  inKinésithérapie scientifique > 584 (Février 2017) . - p. 47-50 Titre : Résorption des hernies lombaires et mobilisation (2e partie) Type de document : texte imprimé Auteurs : Pascal Pommerol Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 47-50 Langues : Français (fre) Mots-clés : Manipulations de l'appareil locomoteur  Déplacement de disque intervertébral Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=47593 [article] Résorption des hernies lombaires et mobilisation (2e partie) [texte imprimé] / Pascal Pommerol . - 2017 . - p. 47-50. Langues : Français (fre) in Kinésithérapie scientifique > 584 (Février 2017) . - p. 47-50 Mots-clés : Manipulations de l'appareil locomoteur  Déplacement de disque intervertébral Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=47593

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