Centre de Documentation Campus Montignies
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Mercredi 9h-16h30
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Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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EMC : Appareil locomoteur . Volume 11 numéro 4Paru le : 01/10/2016 |
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aucun exemplaire |
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Ajouter le résultat dans votre panierLésions traumatiques des tendons fléchisseurs / P. Bellemère in EMC : Appareil locomoteur, Volume 11 numéro 4 (Octobre 2016)
[article]
Titre : Lésions traumatiques des tendons fléchisseurs Type de document : texte imprimé Auteurs : P. Bellemère ; L. Ardouin ; Claude Le Lardic Année de publication : 2016 Article en page(s) : 14-056-A-10 [Tome 3] Langues : Français (fre) Mots-clés : Tendon fléchisseur Réparation tendineuse Rééducation Rupture tendineuse Ténolyse Résumé : La réparation primitive des tendons fléchisseurs, en particulier au niveau digital, représente toujours un défi thérapeutique, même dans les mains les plus expérimentées. Il s'agit d'obtenir par une chirurgie la plus atraumatique possible une suture de tendon suffisamment solide autorisant un glissement tendineux optimal durant les 12 semaines de cicatrisation tendineuse, en évitant le risque de rupture de la réparation et la survenue d'adhérences péritendineuses limitant la course tendineuse. Dans le canal digital, du fait des rapports anatomiques très étroits et complexes ainsi que de la pauvreté vasculaire tendineuse, ce compromis est plus difficile à mettre en œuvre et la réparation tendineuse y est d'autant plus ardue. Cela justifie la règle maintenant communément admise que la prise en charge d'une lésion tendineuse des fléchisseurs doit être effectuée dans un centre spécialisé de chirurgie de la main. Bien que les méthodes de réparation tendineuse et de rééducation postopératoire se soient nettement améliorées ces 20 dernières années, elles ne sont pas pour autant univoques. Néanmoins, toutes les équipes spécialisées ont adopté le principe d'une suture tendineuse multibrins (au moins quatre), ainsi qu'une rééducation postopératoire par une mobilisation active précoce (voire immédiate) protégée et contrôlée. L'analyse des résultats de la littérature montre que les taux de rupture de réparation ou les raideurs postopératoires par adhérences, bien qu'améliorés, sont cependant encore bien présents. Les recherches futures dans les domaines mécanique et biologique des réparations tendineuses de fléchisseurs, en particulier dans le canal digital, devront relever ce défi. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=47199
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 11 numéro 4 (Octobre 2016) . - 14-056-A-10 [Tome 3][article] Lésions traumatiques des tendons fléchisseurs [texte imprimé] / P. Bellemère ; L. Ardouin ; Claude Le Lardic . - 2016 . - 14-056-A-10 [Tome 3].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 11 numéro 4 (Octobre 2016) . - 14-056-A-10 [Tome 3]
Mots-clés : Tendon fléchisseur Réparation tendineuse Rééducation Rupture tendineuse Ténolyse Résumé : La réparation primitive des tendons fléchisseurs, en particulier au niveau digital, représente toujours un défi thérapeutique, même dans les mains les plus expérimentées. Il s'agit d'obtenir par une chirurgie la plus atraumatique possible une suture de tendon suffisamment solide autorisant un glissement tendineux optimal durant les 12 semaines de cicatrisation tendineuse, en évitant le risque de rupture de la réparation et la survenue d'adhérences péritendineuses limitant la course tendineuse. Dans le canal digital, du fait des rapports anatomiques très étroits et complexes ainsi que de la pauvreté vasculaire tendineuse, ce compromis est plus difficile à mettre en œuvre et la réparation tendineuse y est d'autant plus ardue. Cela justifie la règle maintenant communément admise que la prise en charge d'une lésion tendineuse des fléchisseurs doit être effectuée dans un centre spécialisé de chirurgie de la main. Bien que les méthodes de réparation tendineuse et de rééducation postopératoire se soient nettement améliorées ces 20 dernières années, elles ne sont pas pour autant univoques. Néanmoins, toutes les équipes spécialisées ont adopté le principe d'une suture tendineuse multibrins (au moins quatre), ainsi qu'une rééducation postopératoire par une mobilisation active précoce (voire immédiate) protégée et contrôlée. L'analyse des résultats de la littérature montre que les taux de rupture de réparation ou les raideurs postopératoires par adhérences, bien qu'améliorés, sont cependant encore bien présents. Les recherches futures dans les domaines mécanique et biologique des réparations tendineuses de fléchisseurs, en particulier dans le canal digital, devront relever ce défi. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=47199 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Syndrome du carrefour postérieur de la cheville / J.-C. Moati in EMC : Appareil locomoteur, Volume 11 numéro 4 (Octobre 2016)
[article]
Titre : Syndrome du carrefour postérieur de la cheville Type de document : texte imprimé Auteurs : J.-C. Moati Année de publication : 2016 Article en page(s) : 14-129-A-10 [Tome 4] Langues : Français (fre) Mots-clés : Carrefour postérieur de la cheville Os trigone Queue de l'astragale Long fléchisseur de l'hallux Danse classique Test d'impaction postérieure Imagerie par résonnance magnétique Arthroscopie de la cheville Résumé : Le syndrome du carrefour postérieur de la cheville est la traduction d'un conflit mécanique, aigu ou plus souvent chronique, entre les parois osseuses du carrefour et les éléments osseux et tissulaires que l'on y trouve. Ce conflit se manifeste de façon caractéristique lors d'un mouvement de flexion plantaire forcé. La compression peut intéresser la partie postérieure du talus et un éventuel os trigone, mais aussi les culs de sacs synoviaux et le complexe ligamentaire postérieur ainsi que le tendon du long fléchisseur de l'hallux (FHL). L'examen clinique est essentiel pour affirmer le diagnostic, avec le test d'impaction mettant en compression les structures postérieures. Les différentes techniques d'imagerie vont confirmer le diagnostic. Les radiographies standard sont indispensables ; la tomodensitométrie va compléter l'étude osseuse, mais l'imagerie par résonnance magnétique est l'examen de référence pour préciser les structures anatomiques en cause (os et parties molles). Le traitement du syndrome du carrefour postérieur est avant tout conservateur, associant de façon variable, repos, immobilisation, infiltrations, rééducation et modifications du geste sportif. En cas de persistance de la symptomatologie, un traitement chirurgical sera nécessaire. Son but est de traiter toutes les lésions en cause, souvent multiples : résection d'un os trigone ou d'un processus postéroexterne du talus, libération du FHL, synovectomie. Jusqu'à une période récente, ces gestes étaient effectués à ciel ouvert. Actuellement, le développement de l'arthroscopie de cheville permet d'effectuer les mêmes gestes, mais avec une morbidité moindre et une récupération plus rapide. Cette technique nécessite cependant un apprentissage rigoureux. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=47200
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 11 numéro 4 (Octobre 2016) . - 14-129-A-10 [Tome 4][article] Syndrome du carrefour postérieur de la cheville [texte imprimé] / J.-C. Moati . - 2016 . - 14-129-A-10 [Tome 4].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 11 numéro 4 (Octobre 2016) . - 14-129-A-10 [Tome 4]
Mots-clés : Carrefour postérieur de la cheville Os trigone Queue de l'astragale Long fléchisseur de l'hallux Danse classique Test d'impaction postérieure Imagerie par résonnance magnétique Arthroscopie de la cheville Résumé : Le syndrome du carrefour postérieur de la cheville est la traduction d'un conflit mécanique, aigu ou plus souvent chronique, entre les parois osseuses du carrefour et les éléments osseux et tissulaires que l'on y trouve. Ce conflit se manifeste de façon caractéristique lors d'un mouvement de flexion plantaire forcé. La compression peut intéresser la partie postérieure du talus et un éventuel os trigone, mais aussi les culs de sacs synoviaux et le complexe ligamentaire postérieur ainsi que le tendon du long fléchisseur de l'hallux (FHL). L'examen clinique est essentiel pour affirmer le diagnostic, avec le test d'impaction mettant en compression les structures postérieures. Les différentes techniques d'imagerie vont confirmer le diagnostic. Les radiographies standard sont indispensables ; la tomodensitométrie va compléter l'étude osseuse, mais l'imagerie par résonnance magnétique est l'examen de référence pour préciser les structures anatomiques en cause (os et parties molles). Le traitement du syndrome du carrefour postérieur est avant tout conservateur, associant de façon variable, repos, immobilisation, infiltrations, rééducation et modifications du geste sportif. En cas de persistance de la symptomatologie, un traitement chirurgical sera nécessaire. Son but est de traiter toutes les lésions en cause, souvent multiples : résection d'un os trigone ou d'un processus postéroexterne du talus, libération du FHL, synovectomie. Jusqu'à une période récente, ces gestes étaient effectués à ciel ouvert. Actuellement, le développement de l'arthroscopie de cheville permet d'effectuer les mêmes gestes, mais avec une morbidité moindre et une récupération plus rapide. Cette technique nécessite cependant un apprentissage rigoureux. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=47200 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Diagnostic d'une douleur du pied chez l'adulte / J. Damiano in EMC : Appareil locomoteur, Volume 11 numéro 4 (Octobre 2016)
[article]
Titre : Diagnostic d'une douleur du pied chez l'adulte Type de document : texte imprimé Auteurs : J. Damiano Année de publication : 2016 Article en page(s) : 14-134-A-10 [Tome 4] Langues : Français (fre) Mots-clés : Douleur Pied Pied douloureux Avant-pied Arrière-pied Démarche diagnostique Résumé : Face à un patient se plaignant d'une douleur du pied, une première étape clinique est toujours très importante. Vouloir s'en affranchir serait le meilleur moyen d'aboutir à des erreurs de prise en charge toujours préjudiciables au patient. Le plus important est l'interrogatoire, temps fort initial incontournable et fondamental. Il précise les antécédents, le contexte de survenue et le siège de la douleur. L'examen clinique, ainsi orienté, cherche à confirmer les hypothèses diagnostiques déjà envisagées. La fonction et la structure du pied sont évaluées par l'inspection, la palpation et la manipulation des différentes articulations du pied et de la cheville, sans négliger l'analyse des articulations plus haut situées ainsi que celle des membres inférieurs. Les pieds et les chaussures du patient doivent être étudiés en décharge et en charge avec observation de la marche. Ce n'est qu'ensuite que les demandes d'examens complémentaires, lorsqu'ils sont nécessaires, peuvent alors être faites. La démarche diagnostique est différente selon le siège de la plainte : douleur de l'avant-pied (médiale avec la pathologie du premier rayon ou latérale), du médio-pied ou de l'arrière-pied (inférieure, postérieure, latérale, médiale, antérieure). L'évaluation clinique première, avec des radiographies simples, parfois couplées à une échographie, sont le plus souvent capables d'identifier la cause de la douleur. D'autres examens complémentaires sont plus rarement nécessaires et doivent toujours être orientés par la connaissance des pathologies du pied et l'évaluation clinique première. Parmi les étiologies possibles, une affection musculosquelettique inflammatoire, septique avant tout, ou une pathologie générale qui pourraient affecter le pied et la cheville sont à savoir évoquer rapidement en raison de leur risque évolutif destructeur. Les douleurs sont cependant beaucoup plus fréquemment d'origine mécanique, avec atteinte possible des parties molles plantaires, des articulations comme des structures tendineuses, ligamentaires ou de l'aponévrose plantaire. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=47201
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 11 numéro 4 (Octobre 2016) . - 14-134-A-10 [Tome 4][article] Diagnostic d'une douleur du pied chez l'adulte [texte imprimé] / J. Damiano . - 2016 . - 14-134-A-10 [Tome 4].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 11 numéro 4 (Octobre 2016) . - 14-134-A-10 [Tome 4]
Mots-clés : Douleur Pied Pied douloureux Avant-pied Arrière-pied Démarche diagnostique Résumé : Face à un patient se plaignant d'une douleur du pied, une première étape clinique est toujours très importante. Vouloir s'en affranchir serait le meilleur moyen d'aboutir à des erreurs de prise en charge toujours préjudiciables au patient. Le plus important est l'interrogatoire, temps fort initial incontournable et fondamental. Il précise les antécédents, le contexte de survenue et le siège de la douleur. L'examen clinique, ainsi orienté, cherche à confirmer les hypothèses diagnostiques déjà envisagées. La fonction et la structure du pied sont évaluées par l'inspection, la palpation et la manipulation des différentes articulations du pied et de la cheville, sans négliger l'analyse des articulations plus haut situées ainsi que celle des membres inférieurs. Les pieds et les chaussures du patient doivent être étudiés en décharge et en charge avec observation de la marche. Ce n'est qu'ensuite que les demandes d'examens complémentaires, lorsqu'ils sont nécessaires, peuvent alors être faites. La démarche diagnostique est différente selon le siège de la plainte : douleur de l'avant-pied (médiale avec la pathologie du premier rayon ou latérale), du médio-pied ou de l'arrière-pied (inférieure, postérieure, latérale, médiale, antérieure). L'évaluation clinique première, avec des radiographies simples, parfois couplées à une échographie, sont le plus souvent capables d'identifier la cause de la douleur. D'autres examens complémentaires sont plus rarement nécessaires et doivent toujours être orientés par la connaissance des pathologies du pied et l'évaluation clinique première. Parmi les étiologies possibles, une affection musculosquelettique inflammatoire, septique avant tout, ou une pathologie générale qui pourraient affecter le pied et la cheville sont à savoir évoquer rapidement en raison de leur risque évolutif destructeur. Les douleurs sont cependant beaucoup plus fréquemment d'origine mécanique, avec atteinte possible des parties molles plantaires, des articulations comme des structures tendineuses, ligamentaires ou de l'aponévrose plantaire. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=47201 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Lésions du labrum acétabulaire / N. Bonin in EMC : Appareil locomoteur, Volume 11 numéro 4 (Octobre 2016)
[article]
Titre : Lésions du labrum acétabulaire Type de document : texte imprimé Auteurs : N. Bonin ; T. Gicquel ; J.-E. Gedouin Année de publication : 2016 Article en page(s) : 14-320-F-10 [Tome 5] Langues : Français (fre) Mots-clés : Hanche Labrum Acétabulum Arthroscopie Résumé : Le rôle du labrum acétabulaire dans le fonctionnement de la hanche normale est désormais bien établi. Il a une fonction de joint d'étanchéité et favorise la distribution des contraintes au niveau de l'acétabulum. Fibrocartilage richement innervé, ses lésions sont responsables d'une symptomatologie mécanique de topographie inguinale prédominante. Deux types de lésion prédominent : les désinsertions de la base du labrum et les lésions du corps du labrum. Ces lésions sont le plus souvent secondaires à des défauts architecturaux de l'acétabulum et/ou du fémur qu'il faut savoir rechercher. Parmi ces défauts architecturaux, le conflit fémoro-acétabulaire est responsable de la majorité des lésions labrales. Le diagnostic clinique de lésion du labrum repose principalement sur l'« anterior impingement sign », test sensible mais malheureusement peu spécifique. Un bilan radiographique comprenant bassin de face, faux profil de Lequesne et profil axial (Dunn ou Ducroquet) doit être réalisé pour analyser le morphotype osseux de l'acétabulum et de la tête fémorale en vue du diagnostic étiologique. Si la lésion labrale peut être suspectée, seule l'imagerie en coupe, couplée à une arthrographie (arthroscanner ou arthro-IRM), permet un bilan lésionnel précis du labrum. Le traitement doit être avant tout conservateur, reposant principalement sur la rééducation. En cas d'échec, le traitement est chirurgical. Si la lésion labrale est secondaire à une dysplasie, la correction osseuse prime le plus souvent sur le traitement du labrum. Sur des hanches bien couvertes et conjointement à la correction d'un éventuel conflit osseux, deux modalités de traitement peuvent être discutées : la résection partielle (débridement) ou la réparation (réinsertion-suture) du labrum. L'arthroscopie représente désormais la technique chirurgicale de choix dont les indications se précisent. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=47202
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 11 numéro 4 (Octobre 2016) . - 14-320-F-10 [Tome 5][article] Lésions du labrum acétabulaire [texte imprimé] / N. Bonin ; T. Gicquel ; J.-E. Gedouin . - 2016 . - 14-320-F-10 [Tome 5].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 11 numéro 4 (Octobre 2016) . - 14-320-F-10 [Tome 5]
Mots-clés : Hanche Labrum Acétabulum Arthroscopie Résumé : Le rôle du labrum acétabulaire dans le fonctionnement de la hanche normale est désormais bien établi. Il a une fonction de joint d'étanchéité et favorise la distribution des contraintes au niveau de l'acétabulum. Fibrocartilage richement innervé, ses lésions sont responsables d'une symptomatologie mécanique de topographie inguinale prédominante. Deux types de lésion prédominent : les désinsertions de la base du labrum et les lésions du corps du labrum. Ces lésions sont le plus souvent secondaires à des défauts architecturaux de l'acétabulum et/ou du fémur qu'il faut savoir rechercher. Parmi ces défauts architecturaux, le conflit fémoro-acétabulaire est responsable de la majorité des lésions labrales. Le diagnostic clinique de lésion du labrum repose principalement sur l'« anterior impingement sign », test sensible mais malheureusement peu spécifique. Un bilan radiographique comprenant bassin de face, faux profil de Lequesne et profil axial (Dunn ou Ducroquet) doit être réalisé pour analyser le morphotype osseux de l'acétabulum et de la tête fémorale en vue du diagnostic étiologique. Si la lésion labrale peut être suspectée, seule l'imagerie en coupe, couplée à une arthrographie (arthroscanner ou arthro-IRM), permet un bilan lésionnel précis du labrum. Le traitement doit être avant tout conservateur, reposant principalement sur la rééducation. En cas d'échec, le traitement est chirurgical. Si la lésion labrale est secondaire à une dysplasie, la correction osseuse prime le plus souvent sur le traitement du labrum. Sur des hanches bien couvertes et conjointement à la correction d'un éventuel conflit osseux, deux modalités de traitement peuvent être discutées : la résection partielle (débridement) ou la réparation (réinsertion-suture) du labrum. L'arthroscopie représente désormais la technique chirurgicale de choix dont les indications se précisent. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=47202 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Utilisation de substances susceptibles d'améliorer la performance et pathologie ostéoarticulaire : physiopathologie, bénéfices et risque / G. Gremion in EMC : Appareil locomoteur, Volume 11 numéro 4 (Octobre 2016)
[article]
Titre : Utilisation de substances susceptibles d'améliorer la performance et pathologie ostéoarticulaire : physiopathologie, bénéfices et risque Type de document : texte imprimé Auteurs : G. Gremion Année de publication : 2016 Article en page(s) : 15-920-A-20 [Tome 7] Langues : Français (fre) Mots-clés : Dopage Appareil locomoteur Stéroïdes anabolisants Hormone de croissance Amélioration de la performance Résumé : L'utilisation de substances susceptibles d'améliorer la performance est un phénomène largement répandu. Sa prévalence est estimée à environ 2 % chez les adolescents et se situe à plus de 60 % dans certains sports comme le « power lifting ». Cette pratique omniprésente a malheureusement terni l'esprit de compétition, de sorte qu'une réaction concertée des instances sportives et politiques s'est révélée nécessaire. Plus important encore, certaines de ces substances posent une grave menace pour la santé et le bien-être des athlètes. Les substances susceptibles d'améliorer la performance incluent des stéroïdes anabolisants, l'hormone de croissance humaine, la créatine, l'érythropoïétine, le dopage sanguin, les amphétamines et les stimulants et les bêta-hydroxy-bêta-méthylbutyrate. Avec les récents progrès de la technologie, le dopage génétique est également de plus en plus envisageable. Les sportifs et les médecins ont souvent des connaissances insuffisantes sur les effets de ces substances et ne vont pas aborder systématiquement la question de leur utilisation avec leurs patients sportifs. Toutefois, dans le but d'aider la communauté sportive à modifier son comportement de manière positive, il est important que tout médecin acquiert des compétences sur l'utilisation de ces produits potentiellement dangereux. Cet article propose un rappel des effets des substances les plus utilisées. Les bénéfices attendus pour la performance y sont décrits, tout comme les effets indésirables possibles sur l'organisme en général et sur l'appareil locomoteur en particulier. Les confessions des athlètes condamnés pour usage illicite de substances ergogènes nous apprennent qu'il est possible de minimiser leurs effets indésirables par une utilisation de plusieurs médicaments différents à des doses plus faibles. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=47203
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 11 numéro 4 (Octobre 2016) . - 15-920-A-20 [Tome 7][article] Utilisation de substances susceptibles d'améliorer la performance et pathologie ostéoarticulaire : physiopathologie, bénéfices et risque [texte imprimé] / G. Gremion . - 2016 . - 15-920-A-20 [Tome 7].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 11 numéro 4 (Octobre 2016) . - 15-920-A-20 [Tome 7]
Mots-clés : Dopage Appareil locomoteur Stéroïdes anabolisants Hormone de croissance Amélioration de la performance Résumé : L'utilisation de substances susceptibles d'améliorer la performance est un phénomène largement répandu. Sa prévalence est estimée à environ 2 % chez les adolescents et se situe à plus de 60 % dans certains sports comme le « power lifting ». Cette pratique omniprésente a malheureusement terni l'esprit de compétition, de sorte qu'une réaction concertée des instances sportives et politiques s'est révélée nécessaire. Plus important encore, certaines de ces substances posent une grave menace pour la santé et le bien-être des athlètes. Les substances susceptibles d'améliorer la performance incluent des stéroïdes anabolisants, l'hormone de croissance humaine, la créatine, l'érythropoïétine, le dopage sanguin, les amphétamines et les stimulants et les bêta-hydroxy-bêta-méthylbutyrate. Avec les récents progrès de la technologie, le dopage génétique est également de plus en plus envisageable. Les sportifs et les médecins ont souvent des connaissances insuffisantes sur les effets de ces substances et ne vont pas aborder systématiquement la question de leur utilisation avec leurs patients sportifs. Toutefois, dans le but d'aider la communauté sportive à modifier son comportement de manière positive, il est important que tout médecin acquiert des compétences sur l'utilisation de ces produits potentiellement dangereux. Cet article propose un rappel des effets des substances les plus utilisées. Les bénéfices attendus pour la performance y sont décrits, tout comme les effets indésirables possibles sur l'organisme en général et sur l'appareil locomoteur en particulier. Les confessions des athlètes condamnés pour usage illicite de substances ergogènes nous apprennent qu'il est possible de minimiser leurs effets indésirables par une utilisation de plusieurs médicaments différents à des doses plus faibles. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=47203 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire