Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-18h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h-18h30
Vendredi : 8h-16h30
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-18h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h-18h30
Vendredi : 8h-16h30
Bienvenue sur le catalogue du centre de documentation du campus de Montignies.
Résultat de la recherche
2 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Labrum'
Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche Générer le flux rss de la recherche
Partager le résultat de cette recherche Faire une suggestion
Lésions du labrum acétabulaire / N. Bonin in EMC : Appareil locomoteur, Volume 11 numéro 4 (Octobre 2016)
[article]
Titre : Lésions du labrum acétabulaire Type de document : texte imprimé Auteurs : N. Bonin ; T. Gicquel ; J.-E. Gedouin Année de publication : 2016 Article en page(s) : 14-320-F-10 [Tome 5] Langues : Français (fre) Mots-clés : Hanche Labrum Acétabulum Arthroscopie Résumé : Le rôle du labrum acétabulaire dans le fonctionnement de la hanche normale est désormais bien établi. Il a une fonction de joint d'étanchéité et favorise la distribution des contraintes au niveau de l'acétabulum. Fibrocartilage richement innervé, ses lésions sont responsables d'une symptomatologie mécanique de topographie inguinale prédominante. Deux types de lésion prédominent : les désinsertions de la base du labrum et les lésions du corps du labrum. Ces lésions sont le plus souvent secondaires à des défauts architecturaux de l'acétabulum et/ou du fémur qu'il faut savoir rechercher. Parmi ces défauts architecturaux, le conflit fémoro-acétabulaire est responsable de la majorité des lésions labrales. Le diagnostic clinique de lésion du labrum repose principalement sur l'« anterior impingement sign », test sensible mais malheureusement peu spécifique. Un bilan radiographique comprenant bassin de face, faux profil de Lequesne et profil axial (Dunn ou Ducroquet) doit être réalisé pour analyser le morphotype osseux de l'acétabulum et de la tête fémorale en vue du diagnostic étiologique. Si la lésion labrale peut être suspectée, seule l'imagerie en coupe, couplée à une arthrographie (arthroscanner ou arthro-IRM), permet un bilan lésionnel précis du labrum. Le traitement doit être avant tout conservateur, reposant principalement sur la rééducation. En cas d'échec, le traitement est chirurgical. Si la lésion labrale est secondaire à une dysplasie, la correction osseuse prime le plus souvent sur le traitement du labrum. Sur des hanches bien couvertes et conjointement à la correction d'un éventuel conflit osseux, deux modalités de traitement peuvent être discutées : la résection partielle (débridement) ou la réparation (réinsertion-suture) du labrum. L'arthroscopie représente désormais la technique chirurgicale de choix dont les indications se précisent. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=47202
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 11 numéro 4 (Octobre 2016) . - 14-320-F-10 [Tome 5][article] Lésions du labrum acétabulaire [texte imprimé] / N. Bonin ; T. Gicquel ; J.-E. Gedouin . - 2016 . - 14-320-F-10 [Tome 5].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 11 numéro 4 (Octobre 2016) . - 14-320-F-10 [Tome 5]
Mots-clés : Hanche Labrum Acétabulum Arthroscopie Résumé : Le rôle du labrum acétabulaire dans le fonctionnement de la hanche normale est désormais bien établi. Il a une fonction de joint d'étanchéité et favorise la distribution des contraintes au niveau de l'acétabulum. Fibrocartilage richement innervé, ses lésions sont responsables d'une symptomatologie mécanique de topographie inguinale prédominante. Deux types de lésion prédominent : les désinsertions de la base du labrum et les lésions du corps du labrum. Ces lésions sont le plus souvent secondaires à des défauts architecturaux de l'acétabulum et/ou du fémur qu'il faut savoir rechercher. Parmi ces défauts architecturaux, le conflit fémoro-acétabulaire est responsable de la majorité des lésions labrales. Le diagnostic clinique de lésion du labrum repose principalement sur l'« anterior impingement sign », test sensible mais malheureusement peu spécifique. Un bilan radiographique comprenant bassin de face, faux profil de Lequesne et profil axial (Dunn ou Ducroquet) doit être réalisé pour analyser le morphotype osseux de l'acétabulum et de la tête fémorale en vue du diagnostic étiologique. Si la lésion labrale peut être suspectée, seule l'imagerie en coupe, couplée à une arthrographie (arthroscanner ou arthro-IRM), permet un bilan lésionnel précis du labrum. Le traitement doit être avant tout conservateur, reposant principalement sur la rééducation. En cas d'échec, le traitement est chirurgical. Si la lésion labrale est secondaire à une dysplasie, la correction osseuse prime le plus souvent sur le traitement du labrum. Sur des hanches bien couvertes et conjointement à la correction d'un éventuel conflit osseux, deux modalités de traitement peuvent être discutées : la résection partielle (débridement) ou la réparation (réinsertion-suture) du labrum. L'arthroscopie représente désormais la technique chirurgicale de choix dont les indications se précisent. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=47202 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Lésions du labrum glénoïdal dans les épaules stables / Jean-François Kempf in EMC : Appareil locomoteur, (Juin 2010)
[article]
Titre : Lésions du labrum glénoïdal dans les épaules stables Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-François Kempf, Auteur Année de publication : 2010 Article en page(s) : 14-354-A-10 [Tome 5] Langues : Français (fre) Mots-clés : Épaule Bourrelet glénoïdien Labrum SLAP lesions Résumé : Les lésions du labrum glénoïdal de l'épaule stable sont une entité pathologique réelle, mais longtemps surévaluée. Le contexte sportif et les circonstances de survenue sont des éléments précieux pour suspecter ce diagnostic, qui doit néanmoins être confirmé par une imagerie en constant progrès : un examen contrasté est indispensable, qu'il s'agisse d'un scanner ou d'une imagerie par résonance magnétique. La certitude repose toujours sur l'arthroscopie, qui permet ensuite de traiter la lésion, dont les deux principales sont le conflit postérosupérieur de Walch et les superior labral anterior posterior lesions (SLAP) de type II. La frontière de cette pathologie avec les pathologies liées à une instabilité reste incertaine, car dans l'étiopathogénie de ces lésions labrales, certains auteurs continuent à incriminer une certaine hyperlaxité, souvent subtile. C'est particulièrement vrai dans les lésions du labrum postérieur. Le traitement de ces lésions est maintenant plus clairement codifié : dans les lésions SLAP et le conflit postérosupérieur, deux solutions thérapeutiques supplémentaires ont été récemment validées : la ténodèse du chef long du biceps et la glénoïdoplastie ont permis de progresser dans la qualité des résultats obtenus. Note de contenu : Introduction
Aspect arthroscopique du labrum normal et ses variantes anatomiques
Région supérieure
Région antérosupérieure
Biomécanique du labrum glénoïdal
Propriétés biomécaniques propres
Propriétés biomécaniques du labrum de l'hémicirconférence inférieure
Propriétés biomécaniques du labrum de l'hémicirconférence supérieure
Diagnostics positif et différentiel
Données de l'interrogatoire
Examen clinique
Imagerie
Description arthroscopique des lésions et traitement
Lésions SLAP de type II
SLAP II et kyste spinoglénoïdien
Traitement des SLAP II
Autres lésions SLAP
Lésions n'appartenant pas aux SLAP
Conflit postérosupérieur de Walch
Autres lésions associées
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44034
in EMC : Appareil locomoteur > (Juin 2010) . - 14-354-A-10 [Tome 5][article] Lésions du labrum glénoïdal dans les épaules stables [texte imprimé] / Jean-François Kempf, Auteur . - 2010 . - 14-354-A-10 [Tome 5].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Juin 2010) . - 14-354-A-10 [Tome 5]
Mots-clés : Épaule Bourrelet glénoïdien Labrum SLAP lesions Résumé : Les lésions du labrum glénoïdal de l'épaule stable sont une entité pathologique réelle, mais longtemps surévaluée. Le contexte sportif et les circonstances de survenue sont des éléments précieux pour suspecter ce diagnostic, qui doit néanmoins être confirmé par une imagerie en constant progrès : un examen contrasté est indispensable, qu'il s'agisse d'un scanner ou d'une imagerie par résonance magnétique. La certitude repose toujours sur l'arthroscopie, qui permet ensuite de traiter la lésion, dont les deux principales sont le conflit postérosupérieur de Walch et les superior labral anterior posterior lesions (SLAP) de type II. La frontière de cette pathologie avec les pathologies liées à une instabilité reste incertaine, car dans l'étiopathogénie de ces lésions labrales, certains auteurs continuent à incriminer une certaine hyperlaxité, souvent subtile. C'est particulièrement vrai dans les lésions du labrum postérieur. Le traitement de ces lésions est maintenant plus clairement codifié : dans les lésions SLAP et le conflit postérosupérieur, deux solutions thérapeutiques supplémentaires ont été récemment validées : la ténodèse du chef long du biceps et la glénoïdoplastie ont permis de progresser dans la qualité des résultats obtenus. Note de contenu : Introduction
Aspect arthroscopique du labrum normal et ses variantes anatomiques
Région supérieure
Région antérosupérieure
Biomécanique du labrum glénoïdal
Propriétés biomécaniques propres
Propriétés biomécaniques du labrum de l'hémicirconférence inférieure
Propriétés biomécaniques du labrum de l'hémicirconférence supérieure
Diagnostics positif et différentiel
Données de l'interrogatoire
Examen clinique
Imagerie
Description arthroscopique des lésions et traitement
Lésions SLAP de type II
SLAP II et kyste spinoglénoïdien
Traitement des SLAP II
Autres lésions SLAP
Lésions n'appartenant pas aux SLAP
Conflit postérosupérieur de Walch
Autres lésions associées
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44034 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire