Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
Bienvenue sur le catalogue du centre de documentation du campus de Montignies.
Mention de date : Avril 2016
Paru le : 01/04/2016
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[article]
Titre : |
Carence profonde en acide ascorbique et troubles cognitifs aigus, dans un contexte de chirurgie gastrique |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Alice Raffetin |
Année de publication : |
2016 |
Article en page(s) : |
p.221-224 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Carence en acide ascorbique Acide ascorbique Troubles cognitifs Scorbut Gastrectomie |
Résumé : |
Introduction : La carence sévère en acide ascorbique (AA) est exceptionnelle sauf dans certains groupes à risque.
Le diagnostic s?évoque habituellement devant un mauvais état bucco-dentaire, une hyperkératose, un purpura périfolliculaire, et des oedèmes généralisés.
Observations : Nous rapportons le cas d?un patient gastrectomisé présentant des troubles cognitifs et comportementaux
aigus révélateurs d?une carence profonde en AA. Ces symptômes ont disparu après supplémentation en AA.
Conclusion : Penser au scorbut, sous-estimé, devant les patients à risque, voire le prévenir par supplémentation
systématique paraît important. Il peut être évoqué devant des troubles cognitifs inexpliqués associés à des signes
cliniques évocateurs (hyperkératose folliculaire, purpura périfolliculaire, anomalie des phanères, état bucco-dentaire précaire, gingivorragies, oedèmes diffus, polyalgies. Le lien entre chirurgie gastrique et carence en AA ne semble pas établi.
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Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=44247 |
in La revue de gériatrie > Tome 41 - N°4 (Avril 2016) . - p.221-224
[article] Carence profonde en acide ascorbique et troubles cognitifs aigus, dans un contexte de chirurgie gastrique [texte imprimé] / Alice Raffetin . - 2016 . - p.221-224. Langues : Français ( fre) in La revue de gériatrie > Tome 41 - N°4 (Avril 2016) . - p.221-224
Mots-clés : |
Carence en acide ascorbique Acide ascorbique Troubles cognitifs Scorbut Gastrectomie |
Résumé : |
Introduction : La carence sévère en acide ascorbique (AA) est exceptionnelle sauf dans certains groupes à risque.
Le diagnostic s?évoque habituellement devant un mauvais état bucco-dentaire, une hyperkératose, un purpura périfolliculaire, et des oedèmes généralisés.
Observations : Nous rapportons le cas d?un patient gastrectomisé présentant des troubles cognitifs et comportementaux
aigus révélateurs d?une carence profonde en AA. Ces symptômes ont disparu après supplémentation en AA.
Conclusion : Penser au scorbut, sous-estimé, devant les patients à risque, voire le prévenir par supplémentation
systématique paraît important. Il peut être évoqué devant des troubles cognitifs inexpliqués associés à des signes
cliniques évocateurs (hyperkératose folliculaire, purpura périfolliculaire, anomalie des phanères, état bucco-dentaire précaire, gingivorragies, oedèmes diffus, polyalgies. Le lien entre chirurgie gastrique et carence en AA ne semble pas établi.
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./index.php?lvl=notice_display&id=44247 |
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[article]
Titre : |
L'anémie de la personne âgée hospitalisée est-elle suffisamment explorée et traitée? |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Géraldine Carassou |
Année de publication : |
2016 |
Article en page(s) : |
p.205-211 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Anémie / Sujet âgé Sujet âgé Anémie / diagnostic Hospitalisation Qualité de vie Anémie par carence en fer |
Résumé : |
Contexte : L?anémie est une maladie fréquente chez la personne âgée. Elle augmente le risque de mortalité et détériore la qualité de vie.
Objectifs : L?objectif de l?étude était d?évaluer la prescription du bilan biologique de première intention et le
traitement de l?anémie.
Méthode : Étude rétrospective menée auprès de 271 patients anémiés de 75 ans et plus, hospitalisés en court séjour gériatrique en 2009.
Résultats : La prévalence de l?anémie était de 17,4 %. Cette population était en moyenne âgée de 86 ans, à prédominance
féminine, avec de nombreuses comorbidités (Charlson moyen : 7). L?hémoglobinémie (Hb) moyenne était à 9,2 g/dl. L?anémie était à prédominance légère (39 % des cas avec un taux d?Hb entre 10 et 13 g/dl chez les hommes et entre 10 et 12 g/dl chez la femme) ou modérée (38 % des cas avec un taux d?Hb entre et 8 et 10 g/dl), normocytaire (65 %), et arégénérative (94 %).
Elle était présente chez les patients avec une maladie chronique (31 %), une carence martiale (29 %) ou une hémorragie (17 %). Un bilan biologique initial était complet dans 58 % des cas et prescrit en priorité chez le patient porteur d?anémie modérée ou sévère (p < 0,001).
Conclusion : L?anémie de la personne âgée ne bénéficie pas toujours d?un bilan biologique de première intention,
surtout si elle est lègère. La prise en charge diagnostique et thérapeutique de l?anémie de la personne âgée peut être améliorée. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=44253 |
in La revue de gériatrie > Tome 41 - N°4 (Avril 2016) . - p.205-211
[article] L'anémie de la personne âgée hospitalisée est-elle suffisamment explorée et traitée? [texte imprimé] / Géraldine Carassou . - 2016 . - p.205-211. Langues : Français ( fre) in La revue de gériatrie > Tome 41 - N°4 (Avril 2016) . - p.205-211
Mots-clés : |
Anémie / Sujet âgé Sujet âgé Anémie / diagnostic Hospitalisation Qualité de vie Anémie par carence en fer |
Résumé : |
Contexte : L?anémie est une maladie fréquente chez la personne âgée. Elle augmente le risque de mortalité et détériore la qualité de vie.
Objectifs : L?objectif de l?étude était d?évaluer la prescription du bilan biologique de première intention et le
traitement de l?anémie.
Méthode : Étude rétrospective menée auprès de 271 patients anémiés de 75 ans et plus, hospitalisés en court séjour gériatrique en 2009.
Résultats : La prévalence de l?anémie était de 17,4 %. Cette population était en moyenne âgée de 86 ans, à prédominance
féminine, avec de nombreuses comorbidités (Charlson moyen : 7). L?hémoglobinémie (Hb) moyenne était à 9,2 g/dl. L?anémie était à prédominance légère (39 % des cas avec un taux d?Hb entre 10 et 13 g/dl chez les hommes et entre 10 et 12 g/dl chez la femme) ou modérée (38 % des cas avec un taux d?Hb entre et 8 et 10 g/dl), normocytaire (65 %), et arégénérative (94 %).
Elle était présente chez les patients avec une maladie chronique (31 %), une carence martiale (29 %) ou une hémorragie (17 %). Un bilan biologique initial était complet dans 58 % des cas et prescrit en priorité chez le patient porteur d?anémie modérée ou sévère (p < 0,001).
Conclusion : L?anémie de la personne âgée ne bénéficie pas toujours d?un bilan biologique de première intention,
surtout si elle est lègère. La prise en charge diagnostique et thérapeutique de l?anémie de la personne âgée peut être améliorée. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=44253 |
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[article]
Titre : |
Le décor des chambres en EHPAD : pour une approche des détails du quotidien et des objets du passé depuis les résidents et au travers d'une démarche projet architectural |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Delphine Le Bras |
Année de publication : |
2016 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Résidences pour personnes âgées Chambre de patient Appropriation de l'espace Famille Identification sociale Sujet âgé INTIMITE maisons de retraite médicalisées Vie privée Conception et construction de locaux Caractéristiques de l'habitat Maisons de repos réminiscence souvenirs |
Résumé : |
La chambre en Établissement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) concentre des fonctions très différentes : espace dédié au sommeil, aux soins, aux repas, à la réception ; théâtre de l?activité et de l?inactivité ; espace de respiration, bulle individuelle mais aussi dernière maison. Elle est la surface le plus habitée par les résidents accueillis en EHPAD. Sa structure et son organisation en deviennent des enjeux du projet architectural institutionnel.
La recherche effectuée dans le cadre d?un mémoire de master-2 de management de la santé et du social spécialisé en gérontologie combine l?étude du regard intime de résidents porté sur la composition de leur décor, à une approche de l?impact de la famille et de l?institution sur cet environnement fragile.
Ce travail permet d?objectiver que le décor et l?aménagement intérieur sont des éléments stratégiques à investir dans un projet d?établissement et qu?ils permettent de questionner le projet personnalisé à travers l?approche réminiscence. La diversité des approches, la transversalité des projets permettent de mettre en évidence des éléments clefs dans l?accompagnement des personnes âgées. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=44258 |
in La revue de gériatrie > Tome 41 - N°4 (Avril 2016)
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Exemplaires (1)
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Armoires à volets | Document exclu du prêt - à consulter sur place Exclu du prêt |
[article]
Titre : |
Le médecin face à la maltraitance des personnes âgées ou handicapées vulnérables : aspects pratiques |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Robert Moulias |
Année de publication : |
2016 |
Article en page(s) : |
p. 225-230 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Maltraitance des personnes âgées Confidentialité Maltraitance des personne âgées / diagnostic Médecins généralistes Personnes handicapées Déclaration obligatoire |
Résumé : |
La faiblesse (frailty) de certaines personnes âgées les fait dépendre d?autrui pour leurs soins, leurs activités de la
vie quotidienne. Si ces soins et aides sont inadéquats et ces personnes sont ainsi « traitées mal », le médecin est en première ligne pour déceler cette situation. Il a la capacité d?agir dans tout ce qui est de son domaine et la responsabilité de faire cesser ce « traiter mal » dans le domaine de la prise en soin (care) qui est le sien.
Cet état de faiblesse peut rendre aussi son patient victime d?abus liés à l?emprise acquise sur sa personne par des proches ou par des prédateurs extérieurs. Ces abus de pouvoir ne sont pas seulement financiers ou plus rarement sexuels, mais portent atteintes à sa liberté, à sa dignité ou à ses droits et ils ne sont pas tous malveillants (ex : vouloir imposer ses utopies). Le médecin est un témoin privilégié de ces situations sur lesquelles il n?a pas de possibilité d?action directe, mais pour lesquelles il a le devoir éthique de protéger son patient.
Peu ou non formé à ces problèmes, le médecin est dans une situation difficile. Ses deux obligations de secret professionnel
et de protection de son patient ne sont pas contradictoires, car elles ont le même objectif de protection du patient. Signaler qu?il y a une suspicion que son patient soit maltraité implique une description des faits, sans jamais préciser l?auteur « présumé » de ces faits. Cependant, signaler directement peut exposer le médecin à des représailles et surtout le patient victime à perdre
le dernier filet de protection qu?est la visite de son médecin. Le médecin en difficulté devant une telle situation a intérêt à ne pas rester seul. Son Ordre départemental des Médecins ou un centre d?écoute associatif indépendant officiel gratuit (3977) lui procureront les conseils adaptés. Le centre d?écoute local pourra éventuellement transmettre la « situation préoccupante » aux
intervenants concernés.
Une meilleure formation initiale et continue des médecins pour déceler et faire face à ces situations est une urgente nécessité. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=44260 |
in La revue de gériatrie > Tome 41 - N°4 (Avril 2016) . - p. 225-230
[article] Le médecin face à la maltraitance des personnes âgées ou handicapées vulnérables : aspects pratiques [texte imprimé] / Robert Moulias . - 2016 . - p. 225-230. Langues : Français ( fre) in La revue de gériatrie > Tome 41 - N°4 (Avril 2016) . - p. 225-230
Mots-clés : |
Maltraitance des personnes âgées Confidentialité Maltraitance des personne âgées / diagnostic Médecins généralistes Personnes handicapées Déclaration obligatoire |
Résumé : |
La faiblesse (frailty) de certaines personnes âgées les fait dépendre d?autrui pour leurs soins, leurs activités de la
vie quotidienne. Si ces soins et aides sont inadéquats et ces personnes sont ainsi « traitées mal », le médecin est en première ligne pour déceler cette situation. Il a la capacité d?agir dans tout ce qui est de son domaine et la responsabilité de faire cesser ce « traiter mal » dans le domaine de la prise en soin (care) qui est le sien.
Cet état de faiblesse peut rendre aussi son patient victime d?abus liés à l?emprise acquise sur sa personne par des proches ou par des prédateurs extérieurs. Ces abus de pouvoir ne sont pas seulement financiers ou plus rarement sexuels, mais portent atteintes à sa liberté, à sa dignité ou à ses droits et ils ne sont pas tous malveillants (ex : vouloir imposer ses utopies). Le médecin est un témoin privilégié de ces situations sur lesquelles il n?a pas de possibilité d?action directe, mais pour lesquelles il a le devoir éthique de protéger son patient.
Peu ou non formé à ces problèmes, le médecin est dans une situation difficile. Ses deux obligations de secret professionnel
et de protection de son patient ne sont pas contradictoires, car elles ont le même objectif de protection du patient. Signaler qu?il y a une suspicion que son patient soit maltraité implique une description des faits, sans jamais préciser l?auteur « présumé » de ces faits. Cependant, signaler directement peut exposer le médecin à des représailles et surtout le patient victime à perdre
le dernier filet de protection qu?est la visite de son médecin. Le médecin en difficulté devant une telle situation a intérêt à ne pas rester seul. Son Ordre départemental des Médecins ou un centre d?écoute associatif indépendant officiel gratuit (3977) lui procureront les conseils adaptés. Le centre d?écoute local pourra éventuellement transmettre la « situation préoccupante » aux
intervenants concernés.
Une meilleure formation initiale et continue des médecins pour déceler et faire face à ces situations est une urgente nécessité. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=44260 |
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Exemplaires (1)
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Armoires à volets | Document exclu du prêt - à consulter sur place Exclu du prêt |
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[article]
Titre : |
Suivi à 6 mois de sujets âgés ayant présenté une hémorragie intracrânienne sous antiagrégant |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Aurélie DAUMAS |
Année de publication : |
2016 |
Article en page(s) : |
p.213-219 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Sujet âgé Hémorragies intracrâniennes Antiagrégants plaquettaires / effets indésirables Fibrinolytiques |
Résumé : |
Contexte : Le traitement antiagrégant et le grand âge augmentent le risque d?hémorragie intracrânienne.
Objectif : Description du devenir des patients âgés après une hémorragie intracrânienne sous antiagrégant.
Matériel et méthode : Nous avons inclus consécutivement des patients hospitalisés pour hémorragie intracrânienne sous antiagrégant âgés de 65 ans ou plus entre 2010 et 2014. Les événements thrombotiques, hémorragiques et la reprise d?un antithrombotique survenant au cours des 6 mois suivant l?hospitalisation ont été recherchés par enquête téléphonique.
Résultats : Parmi les 49 patients hospitalisés pour hémorragie intracrânienne sous antiagrégants, 12 avaient repris l?antiagrégation et 13 avaient un anticoagulant à dose préventive ou curative au bout des 6 mois après la sortie hospitalière. Six patients sont décédés sans reprise d?antiagrégant des suites de leur affection au bout des six mois suivant la sortie hospitalière. Deux patients ont présenté une hémorragie extracrânienne sous anticoagulant préventif après la phase hospitalière. Après la sortie
de l?hôpital, il a été observé deux accidents thrombotiques : un épisode d?accident ischémique transitoire sous l?association anticoagulant à dose préventive et antiagrégant, et une thrombose veineuse des membres inférieurs sous antiagrégant. Les taux d?événements thrombotiques et hémorragiques recensés 6 mois après la sortie hospitalière sont respectivement de 6,1 % et de 4,1 %.
Conclusion : Les événements thrombotiques ou hémorragiques symptomatiques sont peu nombreux pendant un suivi de 6 mois après une hémorragie intracrânienne dans une population de sujets âgés où un traitement antithrombotique |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=44273 |
in La revue de gériatrie > Tome 41 - N°4 (Avril 2016) . - p.213-219
[article] Suivi à 6 mois de sujets âgés ayant présenté une hémorragie intracrânienne sous antiagrégant [texte imprimé] / Aurélie DAUMAS . - 2016 . - p.213-219. Langues : Français ( fre) in La revue de gériatrie > Tome 41 - N°4 (Avril 2016) . - p.213-219
Mots-clés : |
Sujet âgé Hémorragies intracrâniennes Antiagrégants plaquettaires / effets indésirables Fibrinolytiques |
Résumé : |
Contexte : Le traitement antiagrégant et le grand âge augmentent le risque d?hémorragie intracrânienne.
Objectif : Description du devenir des patients âgés après une hémorragie intracrânienne sous antiagrégant.
Matériel et méthode : Nous avons inclus consécutivement des patients hospitalisés pour hémorragie intracrânienne sous antiagrégant âgés de 65 ans ou plus entre 2010 et 2014. Les événements thrombotiques, hémorragiques et la reprise d?un antithrombotique survenant au cours des 6 mois suivant l?hospitalisation ont été recherchés par enquête téléphonique.
Résultats : Parmi les 49 patients hospitalisés pour hémorragie intracrânienne sous antiagrégants, 12 avaient repris l?antiagrégation et 13 avaient un anticoagulant à dose préventive ou curative au bout des 6 mois après la sortie hospitalière. Six patients sont décédés sans reprise d?antiagrégant des suites de leur affection au bout des six mois suivant la sortie hospitalière. Deux patients ont présenté une hémorragie extracrânienne sous anticoagulant préventif après la phase hospitalière. Après la sortie
de l?hôpital, il a été observé deux accidents thrombotiques : un épisode d?accident ischémique transitoire sous l?association anticoagulant à dose préventive et antiagrégant, et une thrombose veineuse des membres inférieurs sous antiagrégant. Les taux d?événements thrombotiques et hémorragiques recensés 6 mois après la sortie hospitalière sont respectivement de 6,1 % et de 4,1 %.
Conclusion : Les événements thrombotiques ou hémorragiques symptomatiques sont peu nombreux pendant un suivi de 6 mois après une hémorragie intracrânienne dans une population de sujets âgés où un traitement antithrombotique |
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