Centre de Documentation Campus Montignies
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3 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Anémie par carence en fer'
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L'anémie du sujet âgé : démarche diagnostique et bilan étiologique / François Weill in La revue de gériatrie, Tome 41 - N°3 (Mars 2016)
[article]
Titre : L'anémie du sujet âgé : démarche diagnostique et bilan étiologique Type de document : texte imprimé Auteurs : François Weill Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.147-155 Langues : Français (fre) Mots-clés : Anémie Sujet âgé Hémolyse Anémie par carence en fer Inflammation Résumé : L’anémie est typiquement le diagnostic « rentable » en Gériatrie : pathologie fréquente, potentiellement grave, intriquée dans la polypathologie et la polymédication du sujet âgé et pouvant aboutir à un traitement symptomatique ou curatif. La démarche diagnostique devant la découverte d’une anémie chez la personne âgée doit rester structurée et comprendre une première étape clinique minutieuse (incluant l’évaluation des prises médicamenteuses).
La valeur du volume globulaire moyen (VGM) et le nombre de réticulocytes vont permettre de définir le profil de l’anémie. Une anémie microcytaire doit faire rechercher une carence martiale par le dosage de la ferritine en première intention. Le dosage isolé du fer sérique est inutile. Les anémies normocytaires ou macrocytaires arégénératives doivent faire rechercher des causes spécifiques : insuffisance rénale chronique, envahissement médullaire, dysthyroïdie, carences vitaminiques et intoxication alcoolique, pour l’essentiel. Ces causes peuvent être intriquées (anémie normocytaire arégénérative de la carence martiale associée à un syndrome inflammatoire, tout particulièrement), pouvant amener à compléter le bilan biologique initial avec le dosage, certes controversé, du récepteur soluble de la transferrine.
Les anémies régénératives doivent faire rechercher une hémolyse (intra ou extracorpusculaire).Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43271
in La revue de gériatrie > Tome 41 - N°3 (Mars 2016) . - p.147-155[article] L'anémie du sujet âgé : démarche diagnostique et bilan étiologique [texte imprimé] / François Weill . - 2016 . - p.147-155.
Langues : Français (fre)
in La revue de gériatrie > Tome 41 - N°3 (Mars 2016) . - p.147-155
Mots-clés : Anémie Sujet âgé Hémolyse Anémie par carence en fer Inflammation Résumé : L’anémie est typiquement le diagnostic « rentable » en Gériatrie : pathologie fréquente, potentiellement grave, intriquée dans la polypathologie et la polymédication du sujet âgé et pouvant aboutir à un traitement symptomatique ou curatif. La démarche diagnostique devant la découverte d’une anémie chez la personne âgée doit rester structurée et comprendre une première étape clinique minutieuse (incluant l’évaluation des prises médicamenteuses).
La valeur du volume globulaire moyen (VGM) et le nombre de réticulocytes vont permettre de définir le profil de l’anémie. Une anémie microcytaire doit faire rechercher une carence martiale par le dosage de la ferritine en première intention. Le dosage isolé du fer sérique est inutile. Les anémies normocytaires ou macrocytaires arégénératives doivent faire rechercher des causes spécifiques : insuffisance rénale chronique, envahissement médullaire, dysthyroïdie, carences vitaminiques et intoxication alcoolique, pour l’essentiel. Ces causes peuvent être intriquées (anémie normocytaire arégénérative de la carence martiale associée à un syndrome inflammatoire, tout particulièrement), pouvant amener à compléter le bilan biologique initial avec le dosage, certes controversé, du récepteur soluble de la transferrine.
Les anémies régénératives doivent faire rechercher une hémolyse (intra ou extracorpusculaire).Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43271 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtL'anémie de la personne âgée hospitalisée est-elle suffisamment explorée et traitée? / Géraldine Carassou in La revue de gériatrie, Tome 41 - N°4 (Avril 2016)
[article]
Titre : L'anémie de la personne âgée hospitalisée est-elle suffisamment explorée et traitée? Type de document : texte imprimé Auteurs : Géraldine Carassou Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.205-211 Langues : Français (fre) Mots-clés : Anémie / Sujet âgé Sujet âgé Anémie / diagnostic Hospitalisation Qualité de vie Anémie par carence en fer Résumé : Contexte : L?anémie est une maladie fréquente chez la personne âgée. Elle augmente le risque de mortalité et détériore la qualité de vie.
Objectifs : L?objectif de l?étude était d?évaluer la prescription du bilan biologique de première intention et le
traitement de l?anémie.
Méthode : Étude rétrospective menée auprès de 271 patients anémiés de 75 ans et plus, hospitalisés en court séjour gériatrique en 2009.
Résultats : La prévalence de l?anémie était de 17,4 %. Cette population était en moyenne âgée de 86 ans, à prédominance
féminine, avec de nombreuses comorbidités (Charlson moyen : 7). L?hémoglobinémie (Hb) moyenne était à 9,2 g/dl. L?anémie était à prédominance légère (39 % des cas avec un taux d?Hb entre 10 et 13 g/dl chez les hommes et entre 10 et 12 g/dl chez la femme) ou modérée (38 % des cas avec un taux d?Hb entre et 8 et 10 g/dl), normocytaire (65 %), et arégénérative (94 %).
Elle était présente chez les patients avec une maladie chronique (31 %), une carence martiale (29 %) ou une hémorragie (17 %). Un bilan biologique initial était complet dans 58 % des cas et prescrit en priorité chez le patient porteur d?anémie modérée ou sévère (p < 0,001).
Conclusion : L?anémie de la personne âgée ne bénéficie pas toujours d?un bilan biologique de première intention,
surtout si elle est lègère. La prise en charge diagnostique et thérapeutique de l?anémie de la personne âgée peut être améliorée.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44253
in La revue de gériatrie > Tome 41 - N°4 (Avril 2016) . - p.205-211[article] L'anémie de la personne âgée hospitalisée est-elle suffisamment explorée et traitée? [texte imprimé] / Géraldine Carassou . - 2016 . - p.205-211.
Langues : Français (fre)
in La revue de gériatrie > Tome 41 - N°4 (Avril 2016) . - p.205-211
Mots-clés : Anémie / Sujet âgé Sujet âgé Anémie / diagnostic Hospitalisation Qualité de vie Anémie par carence en fer Résumé : Contexte : L?anémie est une maladie fréquente chez la personne âgée. Elle augmente le risque de mortalité et détériore la qualité de vie.
Objectifs : L?objectif de l?étude était d?évaluer la prescription du bilan biologique de première intention et le
traitement de l?anémie.
Méthode : Étude rétrospective menée auprès de 271 patients anémiés de 75 ans et plus, hospitalisés en court séjour gériatrique en 2009.
Résultats : La prévalence de l?anémie était de 17,4 %. Cette population était en moyenne âgée de 86 ans, à prédominance
féminine, avec de nombreuses comorbidités (Charlson moyen : 7). L?hémoglobinémie (Hb) moyenne était à 9,2 g/dl. L?anémie était à prédominance légère (39 % des cas avec un taux d?Hb entre 10 et 13 g/dl chez les hommes et entre 10 et 12 g/dl chez la femme) ou modérée (38 % des cas avec un taux d?Hb entre et 8 et 10 g/dl), normocytaire (65 %), et arégénérative (94 %).
Elle était présente chez les patients avec une maladie chronique (31 %), une carence martiale (29 %) ou une hémorragie (17 %). Un bilan biologique initial était complet dans 58 % des cas et prescrit en priorité chez le patient porteur d?anémie modérée ou sévère (p < 0,001).
Conclusion : L?anémie de la personne âgée ne bénéficie pas toujours d?un bilan biologique de première intention,
surtout si elle est lègère. La prise en charge diagnostique et thérapeutique de l?anémie de la personne âgée peut être améliorée.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44253 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtRéalité des indications ou non et rentabilité de l’endoscopie digestive chez les patients âgés présentant une anémie ferriprive, hospitalisés en service de court séjour gériatrique au sein des Hospices Civils de Lyon en 2016 / Constance Dumay in La revue de gériatrie, Vol.46 N°3 (Mars 2021)
[article]
Titre : Réalité des indications ou non et rentabilité de l’endoscopie digestive chez les patients âgés présentant une anémie ferriprive, hospitalisés en service de court séjour gériatrique au sein des Hospices Civils de Lyon en 2016 Type de document : texte imprimé Auteurs : Constance Dumay ; Fabien Subtil ; Sylvain Gaujard ; Nathalie Michel Laaengh ; Marc Bonnefoy Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 145-152 Langues : Français (fre) Mots-clés : Endoscopie digestive Anémie par carence en fer Techniques d'aide à la décision Résumé : Contexte : Une endoscopie digestive devrait être envisagée chez les patients âgés présentant une anémie ferriprive vu sa fréquence et sa morbi-mortalité. Objectif : Mesurer la réalisation ou non d’explorations endoscopiques et leur type, en cas d’anémie ferriprive chez une population âgée hospitalisée. Évaluer la rentabilité, les facteurs influençant la décision. Méthodes : Étude rétrospective multicentrique incluant des patients hospitalisés dans quatre services de gériatrie du Centre hospitalier universitaire (CHU) de Lyon en 2016, présentant une anémie ferriprive. Résultats : 171 patients ont été inclus (âge moyen : 87,3 ans). 58,5 % ont bénéficié d’une endoscopie, bien tolérée. Un âge moyen bas, des scores ADL et MMSE élevés et une albuminémie haute étaient significativement associés à la réalisation de l’examen. Les motifs d’abstention étaient le refus, les troubles cognitifs, la dépendance. Une étiologie était retrouvée dans 70 % des cas, par ordre décroissant : cancer, inflammation, polypes, ulcères, angiodysplasies. L’endoscopie bidirectionnelle était plus rentable. 64 % des patients ayant réalisé une endoscopie ont bénéficié d’une prise en charge étiologique (traitement IPP, endoscopique ou chirurgical). Le scanner chez les patients sans endoscopie était rentable dans 30,4 % des cas. Discussion : Le taux de réalisation de l’endoscopie paraît insuffisant au regard de la tolérance et des rentabilités diagnostique et thérapeutique élevées dans notre population, qui sont comparables à la littérature. L’indication du scanner pourrait être élargie quand l’endoscopie n’est pas réalisable. Conclusion : L’exploration des anémies ferriprives du sujet âgé doit être améliorée, l’argumentaire pour ne pas pratiquer d’endoscopie ne repose pas sur des critères scientifiques solides. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=92772
in La revue de gériatrie > Vol.46 N°3 (Mars 2021) . - p. 145-152[article] Réalité des indications ou non et rentabilité de l’endoscopie digestive chez les patients âgés présentant une anémie ferriprive, hospitalisés en service de court séjour gériatrique au sein des Hospices Civils de Lyon en 2016 [texte imprimé] / Constance Dumay ; Fabien Subtil ; Sylvain Gaujard ; Nathalie Michel Laaengh ; Marc Bonnefoy . - 2021 . - p. 145-152.
Langues : Français (fre)
in La revue de gériatrie > Vol.46 N°3 (Mars 2021) . - p. 145-152
Mots-clés : Endoscopie digestive Anémie par carence en fer Techniques d'aide à la décision Résumé : Contexte : Une endoscopie digestive devrait être envisagée chez les patients âgés présentant une anémie ferriprive vu sa fréquence et sa morbi-mortalité. Objectif : Mesurer la réalisation ou non d’explorations endoscopiques et leur type, en cas d’anémie ferriprive chez une population âgée hospitalisée. Évaluer la rentabilité, les facteurs influençant la décision. Méthodes : Étude rétrospective multicentrique incluant des patients hospitalisés dans quatre services de gériatrie du Centre hospitalier universitaire (CHU) de Lyon en 2016, présentant une anémie ferriprive. Résultats : 171 patients ont été inclus (âge moyen : 87,3 ans). 58,5 % ont bénéficié d’une endoscopie, bien tolérée. Un âge moyen bas, des scores ADL et MMSE élevés et une albuminémie haute étaient significativement associés à la réalisation de l’examen. Les motifs d’abstention étaient le refus, les troubles cognitifs, la dépendance. Une étiologie était retrouvée dans 70 % des cas, par ordre décroissant : cancer, inflammation, polypes, ulcères, angiodysplasies. L’endoscopie bidirectionnelle était plus rentable. 64 % des patients ayant réalisé une endoscopie ont bénéficié d’une prise en charge étiologique (traitement IPP, endoscopique ou chirurgical). Le scanner chez les patients sans endoscopie était rentable dans 30,4 % des cas. Discussion : Le taux de réalisation de l’endoscopie paraît insuffisant au regard de la tolérance et des rentabilités diagnostique et thérapeutique élevées dans notre population, qui sont comparables à la littérature. L’indication du scanner pourrait être élargie quand l’endoscopie n’est pas réalisable. Conclusion : L’exploration des anémies ferriprives du sujet âgé doit être améliorée, l’argumentaire pour ne pas pratiquer d’endoscopie ne repose pas sur des critères scientifiques solides. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=92772 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
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