Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Mention de date : Juillet 2008
Paru le : 31/07/2008 |
Exemplaires
Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|
aucun exemplaire |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierOstéodystrophie rénale / M.H. Lafage-Proust in EMC : Appareil locomoteur, (Juillet 2008)
[article]
Titre : Ostéodystrophie rénale Type de document : texte imprimé Auteurs : M.H. Lafage-Proust, Auteur Année de publication : 2008 Article en page(s) : 14-275-A-10 [Tome 5] Langues : Français (fre) Mots-clés : Ostéodystrophie rénale Remodelage osseux Hyperparathyroïdie secondaire Fractures Insuffisance rénale chronique Résumé : L'ostéodystrophie rénale (ODR) est une ostéopathie métabolique diffuse en rapport avec l'insuffisance rénale chronique, qui inclut diverses lésions histologiques. Elle comprend des troubles du remodelage (haut niveau de remodelage, lié à l'hyperparathyroïdie secondaire [HPT II], et bas niveau de remodelage avec l'ostéomalacie [OM] et l'ostéopathie adynamique, l'ostéopathie mixe combinant une OM et des lésions d'HPT II) et une perte osseuse. L'ODR se développe du fait des troubles métaboliques qui compliquent l'urémie chronique et impliquent l'hypocalcémie, la rétention de phosphate, la diminution de la synthèse rénale de calcitriol, l'acidose, l'inflammation chronique et les troubles de la nutrition auxquels s'ajoutent des complications iatrogènes. Les manifestations cliniques et biologiques telles que les douleurs osseuses et les fractures dont l'incidence est accrue dans l'insuffisance rénale chronique (IRC), ou l'hypercalcémie sont peu spécifiques d'un type histologique. Le diagnostic repose sur l'histologie avec étude histomorphométrique d'une biopsie osseuse de crête iliaque et, en l'absence de biopsie, sur les concentrations sériques de parathormone. L'utilisation des marqueurs biologiques du remodelage osseux tels que les phosphatases alcalines osseuses est proposée. Le traitement repose sur la chélation du phosphate alimentaire, la vitamine D (naturelle ou dérivés 1--hydroxylés), et les agonistes des récepteurs sensibles au calcium des glandes parathyroïdes, la parathyroïdectomie n'étant réservée qu'aux HPT II réfractaires. Note de contenu : Introduction
Rappels sur le remodelage osseux
Lésions osseuses au cours de l'insuffisance rénale chronique
Troubles du remodelage et de la minéralisation
Réduction de la masse osseuse ou « ostéoporose »
Signes cliniques
Fractures
Autres signes
Moyens d'explorations du statut osseux
Radiographies
Indications de la biopsie osseuse
Dosages biologiques
Densitométrie osseuse
Traitement
Traitement de l'hyperparathyroïdie secondaire
Traitement de l'ostéomalacie
Traitement de l'ostéopathie adynamique
Traitement de la perte osseuse et des fractures
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44004
in EMC : Appareil locomoteur > (Juillet 2008) . - 14-275-A-10 [Tome 5][article] Ostéodystrophie rénale [texte imprimé] / M.H. Lafage-Proust, Auteur . - 2008 . - 14-275-A-10 [Tome 5].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Juillet 2008) . - 14-275-A-10 [Tome 5]
Mots-clés : Ostéodystrophie rénale Remodelage osseux Hyperparathyroïdie secondaire Fractures Insuffisance rénale chronique Résumé : L'ostéodystrophie rénale (ODR) est une ostéopathie métabolique diffuse en rapport avec l'insuffisance rénale chronique, qui inclut diverses lésions histologiques. Elle comprend des troubles du remodelage (haut niveau de remodelage, lié à l'hyperparathyroïdie secondaire [HPT II], et bas niveau de remodelage avec l'ostéomalacie [OM] et l'ostéopathie adynamique, l'ostéopathie mixe combinant une OM et des lésions d'HPT II) et une perte osseuse. L'ODR se développe du fait des troubles métaboliques qui compliquent l'urémie chronique et impliquent l'hypocalcémie, la rétention de phosphate, la diminution de la synthèse rénale de calcitriol, l'acidose, l'inflammation chronique et les troubles de la nutrition auxquels s'ajoutent des complications iatrogènes. Les manifestations cliniques et biologiques telles que les douleurs osseuses et les fractures dont l'incidence est accrue dans l'insuffisance rénale chronique (IRC), ou l'hypercalcémie sont peu spécifiques d'un type histologique. Le diagnostic repose sur l'histologie avec étude histomorphométrique d'une biopsie osseuse de crête iliaque et, en l'absence de biopsie, sur les concentrations sériques de parathormone. L'utilisation des marqueurs biologiques du remodelage osseux tels que les phosphatases alcalines osseuses est proposée. Le traitement repose sur la chélation du phosphate alimentaire, la vitamine D (naturelle ou dérivés 1--hydroxylés), et les agonistes des récepteurs sensibles au calcium des glandes parathyroïdes, la parathyroïdectomie n'étant réservée qu'aux HPT II réfractaires. Note de contenu : Introduction
Rappels sur le remodelage osseux
Lésions osseuses au cours de l'insuffisance rénale chronique
Troubles du remodelage et de la minéralisation
Réduction de la masse osseuse ou « ostéoporose »
Signes cliniques
Fractures
Autres signes
Moyens d'explorations du statut osseux
Radiographies
Indications de la biopsie osseuse
Dosages biologiques
Densitométrie osseuse
Traitement
Traitement de l'hyperparathyroïdie secondaire
Traitement de l'ostéomalacie
Traitement de l'ostéopathie adynamique
Traitement de la perte osseuse et des fractures
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44004 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Raideurs de l'épaule / H. Coudane in EMC : Appareil locomoteur, (Juillet 2008)
[article]
Titre : Raideurs de l'épaule Type de document : texte imprimé Auteurs : H. Coudane, Auteur ; P. Gleyze, Auteur ; Guillaume Thierry, Auteur Année de publication : 2008 Article en page(s) : 14-352-A-10 [Tome 5] Langues : Français (fre) Mots-clés : Syndrome douloureux régional complexe de l'épaule Raideur de l'épaule Arthroscopie de l'épaule Scintigraphie Tc 99m Rééducation de l'épaule Résumé : La raideur de l'épaule, caractérisée sur le plan clinique par la diminution de la mobilité passive, essentiellement en rotation latérale E1 et en flexion, garde une partie de son mystère physiopathologique. Elle rentre le plus fréquemment dans le cadre nosologique du syndrome douloureux complexe régional de type I (SDRC I), dénomination qui doit remplacer les termes de capsulite adhésive ou rétraction capsulaire ou syndrome algodystrophique. Les rares études anatomopathologiques et immunologiques réalisées mettent en évidence une prolifération de cellules fibroblastiques accompagnée parfois, mais pas toujours, de signes d'inflammation de la synoviale. Le traitement est avant tout conservateur : rééducation, prise en charge de la douleur, distensions arthrographiques qui permettent, dans la plupart des cas, au prix d'une évolution s'étalant sur plusieurs mois, la récupération fonctionnelle. Les libérations arthroscopiques, moins délétères que les arthrolyses à ciel ouvert, peuvent être envisagées en cas d'échec des traitements conservateurs. La prévention des raideurs postchirurgicales de l'épaule relève d'un consensus professionnel : rééducation précoce, contrôle de l'antalgie postopératoire. Le patient doit être informé, dans le cadre de la réalisation de toute chirurgie de l'épaule, quelle que soit la technique utilisée, de la possibilité de survenue d'un SDRC de type I. Note de contenu : Introduction
Généralités
Historique
Définition actuelle
Données épidémiologiques
Physiopathologie
Capsulite
Données de l'examen clinique
Enraidissement
Mesure des amplitudes passives de l'articulation glénohumérale
Autres données de l'examen clinique
Principaux tableaux cliniques
Capsulopathie enraidissante
Quatre stades de Neviaser
Autres tableaux de raideurs de l'épaule
Examens complémentaires
Examens biologiques
Imagerie standard
Arthrographie, arthroscanner, arthro-imagerie par résonance magnétique
Densitométrie
Scintigraphie isotopique au technétium 99m
Traitement
Traitements médicamenteux
Rééducation
Manipulations sous anesthésie
Distension saline
Arthrolyses chirurgicales
Cas particuliers
Raideurs de l'épaule chez l'enfant ou l'adolescent
Prévention de la raideur de l'épaule
Raideur de l'épaule et problèmes médicolégaux
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44033
in EMC : Appareil locomoteur > (Juillet 2008) . - 14-352-A-10 [Tome 5][article] Raideurs de l'épaule [texte imprimé] / H. Coudane, Auteur ; P. Gleyze, Auteur ; Guillaume Thierry, Auteur . - 2008 . - 14-352-A-10 [Tome 5].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Juillet 2008) . - 14-352-A-10 [Tome 5]
Mots-clés : Syndrome douloureux régional complexe de l'épaule Raideur de l'épaule Arthroscopie de l'épaule Scintigraphie Tc 99m Rééducation de l'épaule Résumé : La raideur de l'épaule, caractérisée sur le plan clinique par la diminution de la mobilité passive, essentiellement en rotation latérale E1 et en flexion, garde une partie de son mystère physiopathologique. Elle rentre le plus fréquemment dans le cadre nosologique du syndrome douloureux complexe régional de type I (SDRC I), dénomination qui doit remplacer les termes de capsulite adhésive ou rétraction capsulaire ou syndrome algodystrophique. Les rares études anatomopathologiques et immunologiques réalisées mettent en évidence une prolifération de cellules fibroblastiques accompagnée parfois, mais pas toujours, de signes d'inflammation de la synoviale. Le traitement est avant tout conservateur : rééducation, prise en charge de la douleur, distensions arthrographiques qui permettent, dans la plupart des cas, au prix d'une évolution s'étalant sur plusieurs mois, la récupération fonctionnelle. Les libérations arthroscopiques, moins délétères que les arthrolyses à ciel ouvert, peuvent être envisagées en cas d'échec des traitements conservateurs. La prévention des raideurs postchirurgicales de l'épaule relève d'un consensus professionnel : rééducation précoce, contrôle de l'antalgie postopératoire. Le patient doit être informé, dans le cadre de la réalisation de toute chirurgie de l'épaule, quelle que soit la technique utilisée, de la possibilité de survenue d'un SDRC de type I. Note de contenu : Introduction
Généralités
Historique
Définition actuelle
Données épidémiologiques
Physiopathologie
Capsulite
Données de l'examen clinique
Enraidissement
Mesure des amplitudes passives de l'articulation glénohumérale
Autres données de l'examen clinique
Principaux tableaux cliniques
Capsulopathie enraidissante
Quatre stades de Neviaser
Autres tableaux de raideurs de l'épaule
Examens complémentaires
Examens biologiques
Imagerie standard
Arthrographie, arthroscanner, arthro-imagerie par résonance magnétique
Densitométrie
Scintigraphie isotopique au technétium 99m
Traitement
Traitements médicamenteux
Rééducation
Manipulations sous anesthésie
Distension saline
Arthrolyses chirurgicales
Cas particuliers
Raideurs de l'épaule chez l'enfant ou l'adolescent
Prévention de la raideur de l'épaule
Raideur de l'épaule et problèmes médicolégaux
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44033 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Malformations congénitales du membre supérieur / F. Fitoussi in EMC : Appareil locomoteur, (Juillet 2008)
[article]
Titre : Malformations congénitales du membre supérieur Type de document : texte imprimé Auteurs : F. Fitoussi ; Pascal Jehanno ; J.-M. Frajman Année de publication : 2008 Article en page(s) : 15-218-A-10 [Tome 6] Langues : Français (fre) Mots-clés : Dépistage anténatal Hypertrophie Hypotrophie Résumé : L'incidence des malformations congénitales au membre supérieur est de 6,5/10 000 naissances. L'échographie anténatale permet actuellement un dépistage de plus en plus précoce. Lorsqu'une malformation sévère est découverte en anténatal, la prise en charge se fait dans un centre spécialisé afin de faire un bilan morphologique précis et de rechercher des anomalies associées pouvant entrer dans un cadre syndromique. Les parents sont alors vus au cours d'une consultation anténatale.
Lorsque le clinicien examine pour la première fois un enfant porteur d'une malformation congénitale au membre supérieur, il doit, par un examen clinique rigoureux et par quelques examens complémentaires, vérifier si cette anomalie est isolée ou si elle entre dans le cadre plus général d'un syndrome polymalformatif. L'aide d'un généticien est alors nécessaire.
Plusieurs classifications ont été proposées, rendant compte de la variabilité des anomalies rencontrées. La prise en charge diffère selon le type d'anomalie rencontré : les défauts de développement transversaux ou amputations congénitales sont le plus souvent du domaine de l'appareillage. Les défauts de développement longitudinaux de type main bote ou fente centrale sont plus du domaine chirurgical, visant à améliorer la fonction et l'esthétique du membre. Si les duplications sont le plus souvent chirurgicales, les indications opératoires dans les hypotrophies ou les défauts de segmentation, en dehors des syndactylies, sont plus limitées. Dans les hypertrophies localisées, le traitement tente de freiner la croissance des régions impliquées et de réduire les volumes tissulaires. Les hypertrophies généralisées doivent faire surveiller la survenue de tumeurs.Note de contenu : Introduction
Dépistage anténatal
Consultation anténatale
Classification et description
Défauts de formation
Défauts de différenciation
Duplications
Hypertrophies
Hypotrophies
Autres anomaliesPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44080
in EMC : Appareil locomoteur > (Juillet 2008) . - 15-218-A-10 [Tome 6][article] Malformations congénitales du membre supérieur [texte imprimé] / F. Fitoussi ; Pascal Jehanno ; J.-M. Frajman . - 2008 . - 15-218-A-10 [Tome 6].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Juillet 2008) . - 15-218-A-10 [Tome 6]
Mots-clés : Dépistage anténatal Hypertrophie Hypotrophie Résumé : L'incidence des malformations congénitales au membre supérieur est de 6,5/10 000 naissances. L'échographie anténatale permet actuellement un dépistage de plus en plus précoce. Lorsqu'une malformation sévère est découverte en anténatal, la prise en charge se fait dans un centre spécialisé afin de faire un bilan morphologique précis et de rechercher des anomalies associées pouvant entrer dans un cadre syndromique. Les parents sont alors vus au cours d'une consultation anténatale.
Lorsque le clinicien examine pour la première fois un enfant porteur d'une malformation congénitale au membre supérieur, il doit, par un examen clinique rigoureux et par quelques examens complémentaires, vérifier si cette anomalie est isolée ou si elle entre dans le cadre plus général d'un syndrome polymalformatif. L'aide d'un généticien est alors nécessaire.
Plusieurs classifications ont été proposées, rendant compte de la variabilité des anomalies rencontrées. La prise en charge diffère selon le type d'anomalie rencontré : les défauts de développement transversaux ou amputations congénitales sont le plus souvent du domaine de l'appareillage. Les défauts de développement longitudinaux de type main bote ou fente centrale sont plus du domaine chirurgical, visant à améliorer la fonction et l'esthétique du membre. Si les duplications sont le plus souvent chirurgicales, les indications opératoires dans les hypotrophies ou les défauts de segmentation, en dehors des syndactylies, sont plus limitées. Dans les hypertrophies localisées, le traitement tente de freiner la croissance des régions impliquées et de réduire les volumes tissulaires. Les hypertrophies généralisées doivent faire surveiller la survenue de tumeurs.Note de contenu : Introduction
Dépistage anténatal
Consultation anténatale
Classification et description
Défauts de formation
Défauts de différenciation
Duplications
Hypertrophies
Hypotrophies
Autres anomaliesPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44080 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire