Centre de Documentation Campus Montignies
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Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Mention de date : Décembre 2010
Paru le : 07/12/2010 |
Exemplaires
Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|
aucun exemplaire |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierCartographie génétique des maladies osseuses constitutionnelles / V. Cormier-Daire in EMC : Appareil locomoteur, (Décembre 2010)
[article]
Titre : Cartographie génétique des maladies osseuses constitutionnelles Type de document : texte imprimé Auteurs : V. Cormier-Daire Année de publication : 2010 Article en page(s) : 14-011-B-10 [Tome 1] Langues : Français (fre) Mots-clés : Maladie osseuse constitutionnelle Hétérogénéité génétique Variabilité phénotypique Ossification Résumé : La dernière classification internationale des maladies osseuses constitutionnelles (MOC) de 2005 reconnaît 372 entités distinctes réparties en 37 groupes distincts sur des critères moléculaires, radiologiques ou cliniques. En 2005, 140 gènes étaient associés à 215 MOC distinctes, soulignant la variabilité phénotypique observée dans un même cadre moléculaire. En outre, l'identification de ces gènes a contribué à la mise en évidence d'une très grande diversité de protéines impliquées dans les phénomènes d'ossification comprenant des protéines de structure, mais aussi des récepteurs et leurs ligands, des hormones, des cytokines ou des facteurs de transcription. Cette diversité protéique illustre la difficulté d'une approche de type gène candidat et plus de 100 MOC n'ont pas encore de base moléculaire connue. Si le diagnostic de la plupart des MOC est le plus souvent clinique et radiologique, l'identification moléculaire de ces affections permet de proposer, dans les formes sévères, un diagnostic prénatal. En plus, ces avancées moléculaires sont essentielles dans la compréhension des processus d'ossification et sont les premières étapes permettant d'envisager de nouvelles perspectives thérapeutiques. Note de contenu : Introduction
Protéines de la matrice osseuse et cartilagineuse
Collagène de type I et ostéogenèse imparfaite
Chondrodysplasies liées au collagène de type II
Chondrodysplasies liées aux autres collagènes
« Cartilage Oligomeric Matrix Protein » et pseudoachondroplasie
Erreurs innées du métabolisme du cartilage
Anomalie des protéoglycanes : transporteur de sulfate et dysplasie diastrophique
Chondrodysplasies ponctuées, plusieurs maladies métaboliques
Récepteurs de facteurs de croissance fibroblastiques
Facteurs de transcription
SHOX, le gène de la dyschondrostéose
Autres facteurs de transcription, autres chondrodysplasies
Anomalie des cils et groupe côtes courtes-polydactylie
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43666
in EMC : Appareil locomoteur > (Décembre 2010) . - 14-011-B-10 [Tome 1][article] Cartographie génétique des maladies osseuses constitutionnelles [texte imprimé] / V. Cormier-Daire . - 2010 . - 14-011-B-10 [Tome 1].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Décembre 2010) . - 14-011-B-10 [Tome 1]
Mots-clés : Maladie osseuse constitutionnelle Hétérogénéité génétique Variabilité phénotypique Ossification Résumé : La dernière classification internationale des maladies osseuses constitutionnelles (MOC) de 2005 reconnaît 372 entités distinctes réparties en 37 groupes distincts sur des critères moléculaires, radiologiques ou cliniques. En 2005, 140 gènes étaient associés à 215 MOC distinctes, soulignant la variabilité phénotypique observée dans un même cadre moléculaire. En outre, l'identification de ces gènes a contribué à la mise en évidence d'une très grande diversité de protéines impliquées dans les phénomènes d'ossification comprenant des protéines de structure, mais aussi des récepteurs et leurs ligands, des hormones, des cytokines ou des facteurs de transcription. Cette diversité protéique illustre la difficulté d'une approche de type gène candidat et plus de 100 MOC n'ont pas encore de base moléculaire connue. Si le diagnostic de la plupart des MOC est le plus souvent clinique et radiologique, l'identification moléculaire de ces affections permet de proposer, dans les formes sévères, un diagnostic prénatal. En plus, ces avancées moléculaires sont essentielles dans la compréhension des processus d'ossification et sont les premières étapes permettant d'envisager de nouvelles perspectives thérapeutiques. Note de contenu : Introduction
Protéines de la matrice osseuse et cartilagineuse
Collagène de type I et ostéogenèse imparfaite
Chondrodysplasies liées au collagène de type II
Chondrodysplasies liées aux autres collagènes
« Cartilage Oligomeric Matrix Protein » et pseudoachondroplasie
Erreurs innées du métabolisme du cartilage
Anomalie des protéoglycanes : transporteur de sulfate et dysplasie diastrophique
Chondrodysplasies ponctuées, plusieurs maladies métaboliques
Récepteurs de facteurs de croissance fibroblastiques
Facteurs de transcription
SHOX, le gène de la dyschondrostéose
Autres facteurs de transcription, autres chondrodysplasies
Anomalie des cils et groupe côtes courtes-polydactylie
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43666 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Syndrome du canal carpien / T. Dreano in EMC : Appareil locomoteur, (Décembre 2010)
[article]
Titre : Syndrome du canal carpien Type de document : texte imprimé Auteurs : T. Dreano ; J.-D. Albert ; F. Marin Année de publication : 2010 Article en page(s) : 14-069-A-10 [Tome 3] Langues : Français (fre) Mots-clés : Canal carpien Nerf médian Électrophysiologie Infiltration Résumé : Le syndrome du canal carpien est très fréquent. Il correspond à la compression du nerf médian dans le tunnel carpien. Il est le plus souvent idiopathique. Le diagnostic est essentiellement clinique ; d'abord grâce à l'interrogatoire, puis par la recherche de troubles sensitifs superficiels et la positivité des manoeuvres de provocation, la présence de troubles trophiques et moteurs constituant un élément de sévérité. En première intention et en l'absence de signe de gravité neurologique, cette suspicion clinique suffit à proposer un traitement médical sans recourir à des examens paracliniques. En revanche, la reconnaissance comme maladie professionnelle en France nécessite une confirmation par un examen électrophysiologique. L'examen électrophysiologique reste l'examen de référence confirmant la compression, permettant d'évaluer sa sévérité. L'imagerie complémentaire, notamment l'échographie, trouve sa place surtout dans le bilan étiologique dans les formes non typiques. Le traitement médical repose sur la mise en place d'une orthèse de repos et/ou la réalisation d'une infiltration. Il est licite de proposer un traitement chirurgical dans les formes de canal carpien qui résistent au traitement médical ou d'emblée dans les formes jugées sévères lorsqu'il existe des signes de gravité clinique (déficit sensitif et/ou moteur) et électromyographique. Note de contenu : Épidémiologie
Anatomie et physiopathologie
Contenant : le canal carpien
Contenu : les éléments passant par le canal carpien
Causes de compression du nerf médian
Étiologie
Diagnostic clinique d'un syndrome du canal carpien
Forme clinique du syndrome du canal carpien
Apport de l'imagerie dans le syndrome du canal carpien
Échographie dans le syndrome du canal carpien
Apport de l'imagerie au diagnostic étiologique de syndrome du canal carpien
Examens électrophysiologiques
Place de l'électromyogramme dans la prise en charge du patient
Principes techniques de l'électrophysiologie
Traitement médical du syndrome du canal carpien
Traitement chirurgical du syndrome du canal carpien
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43928
in EMC : Appareil locomoteur > (Décembre 2010) . - 14-069-A-10 [Tome 3][article] Syndrome du canal carpien [texte imprimé] / T. Dreano ; J.-D. Albert ; F. Marin . - 2010 . - 14-069-A-10 [Tome 3].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Décembre 2010) . - 14-069-A-10 [Tome 3]
Mots-clés : Canal carpien Nerf médian Électrophysiologie Infiltration Résumé : Le syndrome du canal carpien est très fréquent. Il correspond à la compression du nerf médian dans le tunnel carpien. Il est le plus souvent idiopathique. Le diagnostic est essentiellement clinique ; d'abord grâce à l'interrogatoire, puis par la recherche de troubles sensitifs superficiels et la positivité des manoeuvres de provocation, la présence de troubles trophiques et moteurs constituant un élément de sévérité. En première intention et en l'absence de signe de gravité neurologique, cette suspicion clinique suffit à proposer un traitement médical sans recourir à des examens paracliniques. En revanche, la reconnaissance comme maladie professionnelle en France nécessite une confirmation par un examen électrophysiologique. L'examen électrophysiologique reste l'examen de référence confirmant la compression, permettant d'évaluer sa sévérité. L'imagerie complémentaire, notamment l'échographie, trouve sa place surtout dans le bilan étiologique dans les formes non typiques. Le traitement médical repose sur la mise en place d'une orthèse de repos et/ou la réalisation d'une infiltration. Il est licite de proposer un traitement chirurgical dans les formes de canal carpien qui résistent au traitement médical ou d'emblée dans les formes jugées sévères lorsqu'il existe des signes de gravité clinique (déficit sensitif et/ou moteur) et électromyographique. Note de contenu : Épidémiologie
Anatomie et physiopathologie
Contenant : le canal carpien
Contenu : les éléments passant par le canal carpien
Causes de compression du nerf médian
Étiologie
Diagnostic clinique d'un syndrome du canal carpien
Forme clinique du syndrome du canal carpien
Apport de l'imagerie dans le syndrome du canal carpien
Échographie dans le syndrome du canal carpien
Apport de l'imagerie au diagnostic étiologique de syndrome du canal carpien
Examens électrophysiologiques
Place de l'électromyogramme dans la prise en charge du patient
Principes techniques de l'électrophysiologie
Traitement médical du syndrome du canal carpien
Traitement chirurgical du syndrome du canal carpien
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43928 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Membre inférieur paralytique / P. Lebarbier in EMC : Appareil locomoteur, (Décembre 2010)
[article]
Titre : Membre inférieur paralytique Type de document : texte imprimé Auteurs : P. Lebarbier, Auteur ; M. Ursei, Auteur Année de publication : 2010 Article en page(s) : 14-301-A-10 [Tome 5] Langues : Français (fre) Mots-clés : Membre inférieur Paralysie cérébrale Spasticité Toxine botulique Chirurgie multisites Résumé : L'atteinte paralytique des membres inférieurs a des conséquences sur l'équilibre musculaire et la croissance ostéoarticulaire au point de compromettre parfois les possibilités de verticalisation et de déambulation. L'examen neuro-orthopédique permet de faire le bilan des troubles segmentaires qui doivent être intégrés dans l'analyse globale des membres inférieurs et du sujet à examiner. Le traitement ne peut être que réparateur en essayant d'améliorer la fonction ou au minimum, de conserver les acquis. Note de contenu : Membre inférieur paralytique en général
Membre inférieur du paralysé cérébral
Généralités
Examen neuro-orthopédique des membres inférieurs du paralysé cérébral
Paralysés cérébraux non marchants
Paralysés cérébraux marchants ou à potentiel de marche
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44016
in EMC : Appareil locomoteur > (Décembre 2010) . - 14-301-A-10 [Tome 5][article] Membre inférieur paralytique [texte imprimé] / P. Lebarbier, Auteur ; M. Ursei, Auteur . - 2010 . - 14-301-A-10 [Tome 5].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Décembre 2010) . - 14-301-A-10 [Tome 5]
Mots-clés : Membre inférieur Paralysie cérébrale Spasticité Toxine botulique Chirurgie multisites Résumé : L'atteinte paralytique des membres inférieurs a des conséquences sur l'équilibre musculaire et la croissance ostéoarticulaire au point de compromettre parfois les possibilités de verticalisation et de déambulation. L'examen neuro-orthopédique permet de faire le bilan des troubles segmentaires qui doivent être intégrés dans l'analyse globale des membres inférieurs et du sujet à examiner. Le traitement ne peut être que réparateur en essayant d'améliorer la fonction ou au minimum, de conserver les acquis. Note de contenu : Membre inférieur paralytique en général
Membre inférieur du paralysé cérébral
Généralités
Examen neuro-orthopédique des membres inférieurs du paralysé cérébral
Paralysés cérébraux non marchants
Paralysés cérébraux marchants ou à potentiel de marche
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44016 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Kyste osseux essentiel / Pierre-Louis Docquier in EMC : Appareil locomoteur, (Décembre 2010)
[article]
Titre : Kyste osseux essentiel Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre-Louis Docquier, Auteur ; Christian Delloye, Auteur Année de publication : 2010 Article en page(s) : 14-767 [Tome 6] Langues : Français (fre) Mots-clés : Kyste osseux essentiel Fracture pathologique Tumeur bénigne Traitement mini-invasif Ostéosynthèse Résumé : Le kyste osseux essentiel est une lésion bénigne qui occupe une position centrale métaphysaire et qui augmente de volume en fragilisant l'os par amincissement de la paroi corticale. La lésion devient ensuite latente et se retrouve progressivement en position diaphysaire. Elle finit par régresser et enfin par guérir. Au cours de son évolution, elle peut générer une ou plusieurs fractures qui sont souvent la circonstance de la découverte. La radiographie standard suffit le plus souvent à porter le diagnostic. La lésion ne donne aucun symptôme en dehors des complications (fissuration, fracture) et peut guérir spontanément. Aussi le traitement ne doit en aucun cas être trop invasif. La localisation préférentielle est l'humérus proximal, puis le fémur proximal. À l'humérus, les fractures sont traitées orthopédiquement. Si le kyste n'a pas tendance à guérir après la fracture, un traitement mini-invasif par injection est recommandé (corticoïdes, moelle osseuse, matrice osseuse déminéralisée). Au fémur chez un patient âgé de plus de 6 ans, une fracture ou un risque trop important de fracture fait l'objet d'une ostéosynthèse. Note de contenu : Introduction
Définition
Épidémiologie
Localisation
Formes conventionnelles
Formes particulières
Étiologie et pathogénie
Clinique
Examens complémentaires
Radiographie standard
Autres examens complémentaires
Diagnostic différentiel
Kyste osseux anévrismal
Granulome éosinophile
Fibrome non ossifiant
Dysplasie fibreuse
Anatomie pathologique
Ponction
Aspect macroscopique
Aspect microscopique
Histoire naturelle
Guérison spontanée
Risque fracturaire
Traitement
Curetage chirurgical
Injection de corticoïdes
Décompression
Méthodes biologiques
Stabilisation mécanique primaire
Autres traitements
Traitement des fractures
Complications du kyste osseux essentiel
Fracture
Épiphysiodèse
Transformation maligne
Facteurs de récidive après traitement
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44052
in EMC : Appareil locomoteur > (Décembre 2010) . - 14-767 [Tome 6][article] Kyste osseux essentiel [texte imprimé] / Pierre-Louis Docquier, Auteur ; Christian Delloye, Auteur . - 2010 . - 14-767 [Tome 6].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Décembre 2010) . - 14-767 [Tome 6]
Mots-clés : Kyste osseux essentiel Fracture pathologique Tumeur bénigne Traitement mini-invasif Ostéosynthèse Résumé : Le kyste osseux essentiel est une lésion bénigne qui occupe une position centrale métaphysaire et qui augmente de volume en fragilisant l'os par amincissement de la paroi corticale. La lésion devient ensuite latente et se retrouve progressivement en position diaphysaire. Elle finit par régresser et enfin par guérir. Au cours de son évolution, elle peut générer une ou plusieurs fractures qui sont souvent la circonstance de la découverte. La radiographie standard suffit le plus souvent à porter le diagnostic. La lésion ne donne aucun symptôme en dehors des complications (fissuration, fracture) et peut guérir spontanément. Aussi le traitement ne doit en aucun cas être trop invasif. La localisation préférentielle est l'humérus proximal, puis le fémur proximal. À l'humérus, les fractures sont traitées orthopédiquement. Si le kyste n'a pas tendance à guérir après la fracture, un traitement mini-invasif par injection est recommandé (corticoïdes, moelle osseuse, matrice osseuse déminéralisée). Au fémur chez un patient âgé de plus de 6 ans, une fracture ou un risque trop important de fracture fait l'objet d'une ostéosynthèse. Note de contenu : Introduction
Définition
Épidémiologie
Localisation
Formes conventionnelles
Formes particulières
Étiologie et pathogénie
Clinique
Examens complémentaires
Radiographie standard
Autres examens complémentaires
Diagnostic différentiel
Kyste osseux anévrismal
Granulome éosinophile
Fibrome non ossifiant
Dysplasie fibreuse
Anatomie pathologique
Ponction
Aspect macroscopique
Aspect microscopique
Histoire naturelle
Guérison spontanée
Risque fracturaire
Traitement
Curetage chirurgical
Injection de corticoïdes
Décompression
Méthodes biologiques
Stabilisation mécanique primaire
Autres traitements
Traitement des fractures
Complications du kyste osseux essentiel
Fracture
Épiphysiodèse
Transformation maligne
Facteurs de récidive après traitement
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44052 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Kyste osseux anévrismal / Pierre-Louis Docquier in EMC : Appareil locomoteur, (Décembre 2010)
[article]
Titre : Kyste osseux anévrismal Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre-Louis Docquier, Auteur ; C. Glorion, Auteur ; Christian Delloye, Auteur Année de publication : 2010 Article en page(s) : 14-771 [Tome 6] Langues : Français (fre) Mots-clés : Kyste osseux anévrismal Lésion primaire et lésion secondaire Tumeur bénigne Traitement mini-invasif Résumé : Le kyste osseux anévrismal est une lésion bénigne qui naît souvent en position excentrée de la métaphyse des os longs et qui en grandissant, peut souffler l'os. Cette pseudotumeur peut également concerner le bassin et la colonne vertébrale. La lésion peut occasionner des douleurs d'intensité variable et provoquer une tuméfaction qui devient apparente si la tumeur est soufflante. Aux os longs, la fracture pathologique est rare sauf pour les kystes de localisation centrale, mais au niveau vertébral les tassements ne sont pas rares. Bien que la radiographie standard puisse parfois suffire à porter le diagnostic, l'imagerie par résonance magnétique (IRM) est plus performante pour le diagnostic différentiel. Une biopsie s'impose car le kyste anévrismal est parfois secondaire à une lésion maligne telle que l'ostéosarcome télangiectasique. La théorie étiopathogénique la plus répandue est celle d'un processus réactionnel à une malformation veineuse mais la théorie néoplasique est actuellement évoquée depuis la découverte de la translocation t(16;17)(q22;p13) qui est récurrente dans les kystes anévrismaux primaires. Des cas de guérison spontanée ou de guérison après biopsie ont été rapportés mais sont rares. Le plus souvent, un traitement est nécessaire. Étant donné que le kyste anévrismal est une tumeur bénigne, le traitement ne doit en aucun cas être trop invasif. De nombreuses techniques mini-invasives sont maintenant disponibles et ont montré leur efficacité. Note de contenu : Introduction
Définition
Épidémiologie
Localisation
Os longs
Colonne vertébrale
Pelvis
Sacrum
Étiopathogénie
Clinique
Examens complémentaires
Radiographie standard
Angiographie
Tomodensitométrie
Imagerie par résonance magnétique
Scintigraphie osseuse au technétium
Diagnostic différentiel
Kyste osseux simple
Granulome éosinophile
Fibrome non ossifiant
Dysplasie fibreuse
Fibrome chondromyxoïde
Tumeur à cellules géantes
Ostéosarcome télangiectasique
Anatomie pathologique
Aspects macroscopiques
Aspects microscopiques
Immunomarquage
Histoire naturelle
Guérison spontanée
Risque fracturaire
Transformation maligne
Trouble de croissance
Traitement
Radiothérapie
Embolisation sélective
Injection d'Ethibloc
Cryothérapie
Curetage chirurgical
Injections percutanées
Facteurs de récidive après traitement
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44053
in EMC : Appareil locomoteur > (Décembre 2010) . - 14-771 [Tome 6][article] Kyste osseux anévrismal [texte imprimé] / Pierre-Louis Docquier, Auteur ; C. Glorion, Auteur ; Christian Delloye, Auteur . - 2010 . - 14-771 [Tome 6].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Décembre 2010) . - 14-771 [Tome 6]
Mots-clés : Kyste osseux anévrismal Lésion primaire et lésion secondaire Tumeur bénigne Traitement mini-invasif Résumé : Le kyste osseux anévrismal est une lésion bénigne qui naît souvent en position excentrée de la métaphyse des os longs et qui en grandissant, peut souffler l'os. Cette pseudotumeur peut également concerner le bassin et la colonne vertébrale. La lésion peut occasionner des douleurs d'intensité variable et provoquer une tuméfaction qui devient apparente si la tumeur est soufflante. Aux os longs, la fracture pathologique est rare sauf pour les kystes de localisation centrale, mais au niveau vertébral les tassements ne sont pas rares. Bien que la radiographie standard puisse parfois suffire à porter le diagnostic, l'imagerie par résonance magnétique (IRM) est plus performante pour le diagnostic différentiel. Une biopsie s'impose car le kyste anévrismal est parfois secondaire à une lésion maligne telle que l'ostéosarcome télangiectasique. La théorie étiopathogénique la plus répandue est celle d'un processus réactionnel à une malformation veineuse mais la théorie néoplasique est actuellement évoquée depuis la découverte de la translocation t(16;17)(q22;p13) qui est récurrente dans les kystes anévrismaux primaires. Des cas de guérison spontanée ou de guérison après biopsie ont été rapportés mais sont rares. Le plus souvent, un traitement est nécessaire. Étant donné que le kyste anévrismal est une tumeur bénigne, le traitement ne doit en aucun cas être trop invasif. De nombreuses techniques mini-invasives sont maintenant disponibles et ont montré leur efficacité. Note de contenu : Introduction
Définition
Épidémiologie
Localisation
Os longs
Colonne vertébrale
Pelvis
Sacrum
Étiopathogénie
Clinique
Examens complémentaires
Radiographie standard
Angiographie
Tomodensitométrie
Imagerie par résonance magnétique
Scintigraphie osseuse au technétium
Diagnostic différentiel
Kyste osseux simple
Granulome éosinophile
Fibrome non ossifiant
Dysplasie fibreuse
Fibrome chondromyxoïde
Tumeur à cellules géantes
Ostéosarcome télangiectasique
Anatomie pathologique
Aspects macroscopiques
Aspects microscopiques
Immunomarquage
Histoire naturelle
Guérison spontanée
Risque fracturaire
Transformation maligne
Trouble de croissance
Traitement
Radiothérapie
Embolisation sélective
Injection d'Ethibloc
Cryothérapie
Curetage chirurgical
Injections percutanées
Facteurs de récidive après traitement
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44053 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Approche psychosomatique des affections rhumatologiques / P. Adam in EMC : Appareil locomoteur, (Décembre 2010)
[article]
Titre : Approche psychosomatique des affections rhumatologiques Type de document : texte imprimé Auteurs : P. Adam ; A. Le Tyrant ; Michel Lejoyeux Année de publication : 2010 Article en page(s) : 15-914-A-10 [Tome 7] Langues : Français (fre) Mots-clés : Maladies ostéoarticulaires Polyarthrite rhumatoïde Lupus érythémateux disséminé Fibromyalgie Lombalgies Douleurs Médecine psychosomatique Résumé : Les relations entre maladies ostéoarticulaires et manifestations psychologiques ou psychiatriques sont complexes et font intervenir des phénomènes de différentes natures. Des événements de vie stressants et des caractéristiques psychologiques peuvent favoriser l'apparition et le maintien de certaines affections. Les maladies chroniques s'accompagnent habituellement de réactions psychologiques, mais peuvent se compliquer de véritables pathologies psychiatriques. Enfin, certains troubles rhumatologiques posent des questions diagnostiques et thérapeutiques. La polyarthrite rhumatoïde notamment est un modèle « classique » de maladie psychosomatique dont la survenue et l'évolution peuvent être influencées par des facteurs psychologiques ou des événements de vie. La douleur constitue le motif majeur de consultation en rhumatologie et, par son caractère subjectif, constitue un bon exemple d'intrication somatopsychique. Enfin, la spécificité clinique de la fibromyalgie et son lien avec les troubles psychiatriques font encore l'objet de discussion. Ces différents troubles illustrent les difficultés auxquelles le praticien peut être confronté et permettent de souligner l'importance d'une prise en charge globale du patient. Ces troubles et leurs relations avec les manifestations psychologiques sont abordés du point de vue de la comorbidité, de la compréhension psychosomatique et de l'attitude thérapeutique recommandée. Note de contenu : Introduction
Principes de l'approche psychosomatique
Signification du symptôme
Facteurs psychologiques généraux ou spécifiques
Notion de « coping » ou « stratégies d'ajustement »
Maladies ostéoarticulaires et troubles psychiatriques
Polyarthrite rhumatoïde
Douleurs rhumatologiques chroniques
Fibromyalgie
Évaluation psychiatrique et prise en charge psychothérapeutique des affections rhumatologiques
Évaluation psychiatrique des troubles rhumatologiques
Prise en charge psychothérapeutique des pathologies rhumatologiques
Prise en charge psychothérapeutique des douleurs chroniques
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44120
in EMC : Appareil locomoteur > (Décembre 2010) . - 15-914-A-10 [Tome 7][article] Approche psychosomatique des affections rhumatologiques [texte imprimé] / P. Adam ; A. Le Tyrant ; Michel Lejoyeux . - 2010 . - 15-914-A-10 [Tome 7].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Décembre 2010) . - 15-914-A-10 [Tome 7]
Mots-clés : Maladies ostéoarticulaires Polyarthrite rhumatoïde Lupus érythémateux disséminé Fibromyalgie Lombalgies Douleurs Médecine psychosomatique Résumé : Les relations entre maladies ostéoarticulaires et manifestations psychologiques ou psychiatriques sont complexes et font intervenir des phénomènes de différentes natures. Des événements de vie stressants et des caractéristiques psychologiques peuvent favoriser l'apparition et le maintien de certaines affections. Les maladies chroniques s'accompagnent habituellement de réactions psychologiques, mais peuvent se compliquer de véritables pathologies psychiatriques. Enfin, certains troubles rhumatologiques posent des questions diagnostiques et thérapeutiques. La polyarthrite rhumatoïde notamment est un modèle « classique » de maladie psychosomatique dont la survenue et l'évolution peuvent être influencées par des facteurs psychologiques ou des événements de vie. La douleur constitue le motif majeur de consultation en rhumatologie et, par son caractère subjectif, constitue un bon exemple d'intrication somatopsychique. Enfin, la spécificité clinique de la fibromyalgie et son lien avec les troubles psychiatriques font encore l'objet de discussion. Ces différents troubles illustrent les difficultés auxquelles le praticien peut être confronté et permettent de souligner l'importance d'une prise en charge globale du patient. Ces troubles et leurs relations avec les manifestations psychologiques sont abordés du point de vue de la comorbidité, de la compréhension psychosomatique et de l'attitude thérapeutique recommandée. Note de contenu : Introduction
Principes de l'approche psychosomatique
Signification du symptôme
Facteurs psychologiques généraux ou spécifiques
Notion de « coping » ou « stratégies d'ajustement »
Maladies ostéoarticulaires et troubles psychiatriques
Polyarthrite rhumatoïde
Douleurs rhumatologiques chroniques
Fibromyalgie
Évaluation psychiatrique et prise en charge psychothérapeutique des affections rhumatologiques
Évaluation psychiatrique des troubles rhumatologiques
Prise en charge psychothérapeutique des pathologies rhumatologiques
Prise en charge psychothérapeutique des douleurs chroniques
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44120 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire