Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Mention de date : Février 2009
Paru le : 04/02/2009 |
Exemplaires
Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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aucun exemplaire |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierMéthodes d'exploration du métabolisme phosphocalcique et du remodelage osseux / E. Lespessailles in EMC : Appareil locomoteur, (Février 2009)
[article]
Titre : Méthodes d'exploration du métabolisme phosphocalcique et du remodelage osseux Type de document : texte imprimé Auteurs : E. Lespessailles Année de publication : 2009 Article en page(s) : 14-002-C-10 [Tome 1] Langues : Français (fre) Mots-clés : Phosphates Calcium Explorations PTH Vitamine D Marqueurs du remodelage osseux Résumé : L'homéostasie calcique et de l'ion phosphate est dépendante de l'interaction coordonnée de l'intestin, du rein et de l'os, qui interviennent dans l'absorption, l'excrétion et le stockage de ces ions. Pour adapter et maintenir l'équilibre de cette homéostasie, des médiations par la 1,25-dihydroxyvitamine D3 (1,25 (OH)2 D3), la parathormone (PTH) et le FGF-23 s'exercent à travers leurs rôles respectifs sur les transports ioniques intestinaux et rénaux. Le lecteur trouvera ci-dessous les principales méthodes d'exploration de l'homéostasie du calcium et du phosphate, ainsi que les méthodes d'exploration biochimique du remodelage osseux nécessaires à l'évaluation diagnostique et à une meilleure prise en charge des ostéopathies métaboliques. Note de contenu : Métabolisme du calcium
Mesure de la calcémie
Absorption intestinale du calcium
Mesure de la calciurie des 24 heures
Test de charge calcique
Mesure de la production d'AMPc néphrogénique : test de stimulation à la parathormone
Flux osseux du calcium
Test de Nordin
Flux rénaux : clairance rénale et excrétion urinaire du calcium
Métabolisme du phosphate
Absorption intestinale du phosphate
Flux rénaux du phosphate
Dosages hormonaux
Parathormone
Vitamine D
Remodelage osseux
Généralités
Marqueurs de la résorption osseuse
Marqueurs de la formation osseuse
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43653
in EMC : Appareil locomoteur > (Février 2009) . - 14-002-C-10 [Tome 1][article] Méthodes d'exploration du métabolisme phosphocalcique et du remodelage osseux [texte imprimé] / E. Lespessailles . - 2009 . - 14-002-C-10 [Tome 1].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Février 2009) . - 14-002-C-10 [Tome 1]
Mots-clés : Phosphates Calcium Explorations PTH Vitamine D Marqueurs du remodelage osseux Résumé : L'homéostasie calcique et de l'ion phosphate est dépendante de l'interaction coordonnée de l'intestin, du rein et de l'os, qui interviennent dans l'absorption, l'excrétion et le stockage de ces ions. Pour adapter et maintenir l'équilibre de cette homéostasie, des médiations par la 1,25-dihydroxyvitamine D3 (1,25 (OH)2 D3), la parathormone (PTH) et le FGF-23 s'exercent à travers leurs rôles respectifs sur les transports ioniques intestinaux et rénaux. Le lecteur trouvera ci-dessous les principales méthodes d'exploration de l'homéostasie du calcium et du phosphate, ainsi que les méthodes d'exploration biochimique du remodelage osseux nécessaires à l'évaluation diagnostique et à une meilleure prise en charge des ostéopathies métaboliques. Note de contenu : Métabolisme du calcium
Mesure de la calcémie
Absorption intestinale du calcium
Mesure de la calciurie des 24 heures
Test de charge calcique
Mesure de la production d'AMPc néphrogénique : test de stimulation à la parathormone
Flux osseux du calcium
Test de Nordin
Flux rénaux : clairance rénale et excrétion urinaire du calcium
Métabolisme du phosphate
Absorption intestinale du phosphate
Flux rénaux du phosphate
Dosages hormonaux
Parathormone
Vitamine D
Remodelage osseux
Généralités
Marqueurs de la résorption osseuse
Marqueurs de la formation osseuse
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43653 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Cartilage de croissance et croissance en orthopédie / J.-L. Jouve in EMC : Appareil locomoteur, (Février 2009)
[article]
Titre : Cartilage de croissance et croissance en orthopédie Type de document : texte imprimé Auteurs : J.-L. Jouve ; G. Bollini ; F. Launay Année de publication : 2009 Article en page(s) : 14-009-A-10 [Tome 1] Langues : Français (fre) Mots-clés : Cartilage de croissance Croissance Épiphysiodèse Résumé : Le cartilage de croissance assure la croissance en longueur au niveau des os longs. Il est indissociable d'une entité plus globale que constitue la chondroépiphyse. Celle-ci comprend l'ensemble des structures cartilagineuses qui assurent le développement des épiphyses des os longs. La chondroépiphyse constitue une unité à la fois histologique, fonctionnelle et vasculaire. Toute lésion de cette région peut avoir un retentissement sévère sur la croissance. Les mécanismes de régulation de la croissance sont complexes, génétiques, socioéconomiques, endocriniens et mécaniques. Il est difficile de les dissocier. L'observation clinique répétée reste indispensable pour porter un diagnostic et surtout pour effectuer une prévision fiable du statut en fin de croissance. Les courbes de croissance, abaques, corrélées aux mesures d'âge osseux permettent d'effectuer de telles prévisions avec une précision intéressante. Ces évaluations tiennent compte du caractère non linéaire de la croissance, ainsi que du comportement propre à chaque cartilage de croissance. Les perturbations de la croissance peuvent être distinguées en perturbations locales, régionales ou générales. Le chirurgien orthopédiste est directement concerné par les perturbations locales, lors de la constitution d'une épiphysiodèse. Parmi les examens d'imagerie, l'imagerie par résonance magnétique (IRM) s'est affirmée comme l'examen de choix pour s'orienter vers un traitement palliatif ou une désépiphysiodèse. Les perturbations régionales vont concerner l'ensemble d'un membre. Les courbes prévisionnelles vont alors guider l'indication thérapeutique entre un allongement ou une épiphysiodèse chirurgicale. Enfin, une anomalie générale avec un écart de plus de deux déviations standards va justifier d'une orientation vers une équipe spécialisée afin de rechercher une anomalie organique et discuter un traitement adapté. Note de contenu : Introduction
Acteurs de la croissance
Chondroépiphyse, unité fonctionnelle indissociable du cartilage de croissance
Virole périchondrale
Périoste
Équilibre des zones de croissance
Cinétique de la croissance
Croissance anténatale
Croissance de 0 à 5 ans : croissance rapide, mais déclinante
Croissance de 5 à 10 ans : croissance linéaire douce
Croissance après 10 ans, le pic pubertaire
Variabilité en fonction de segments considérés
Régulation de la croissance
Facteurs génétiques
Facteurs environnementaux
Facteurs endocriniens
Facteurs mécaniques
Exploration de la croissance
Exploration clinique
Exploration radiographique
Âge osseux et courbes de croissance
Imagerie du cartilage de croissance
Perturbations locales de la croissance
Traumatismes à distance du cartilage de croissance
Traumatismes par séparation en bloc de la chondroépiphyse
Traumatismes directs du cartilage de croissance
Perturbation régionale de la croissance
Perturbation générale de la croissance
Enfants de petite taille
Enfants de grande taillePermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43663
in EMC : Appareil locomoteur > (Février 2009) . - 14-009-A-10 [Tome 1][article] Cartilage de croissance et croissance en orthopédie [texte imprimé] / J.-L. Jouve ; G. Bollini ; F. Launay . - 2009 . - 14-009-A-10 [Tome 1].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Février 2009) . - 14-009-A-10 [Tome 1]
Mots-clés : Cartilage de croissance Croissance Épiphysiodèse Résumé : Le cartilage de croissance assure la croissance en longueur au niveau des os longs. Il est indissociable d'une entité plus globale que constitue la chondroépiphyse. Celle-ci comprend l'ensemble des structures cartilagineuses qui assurent le développement des épiphyses des os longs. La chondroépiphyse constitue une unité à la fois histologique, fonctionnelle et vasculaire. Toute lésion de cette région peut avoir un retentissement sévère sur la croissance. Les mécanismes de régulation de la croissance sont complexes, génétiques, socioéconomiques, endocriniens et mécaniques. Il est difficile de les dissocier. L'observation clinique répétée reste indispensable pour porter un diagnostic et surtout pour effectuer une prévision fiable du statut en fin de croissance. Les courbes de croissance, abaques, corrélées aux mesures d'âge osseux permettent d'effectuer de telles prévisions avec une précision intéressante. Ces évaluations tiennent compte du caractère non linéaire de la croissance, ainsi que du comportement propre à chaque cartilage de croissance. Les perturbations de la croissance peuvent être distinguées en perturbations locales, régionales ou générales. Le chirurgien orthopédiste est directement concerné par les perturbations locales, lors de la constitution d'une épiphysiodèse. Parmi les examens d'imagerie, l'imagerie par résonance magnétique (IRM) s'est affirmée comme l'examen de choix pour s'orienter vers un traitement palliatif ou une désépiphysiodèse. Les perturbations régionales vont concerner l'ensemble d'un membre. Les courbes prévisionnelles vont alors guider l'indication thérapeutique entre un allongement ou une épiphysiodèse chirurgicale. Enfin, une anomalie générale avec un écart de plus de deux déviations standards va justifier d'une orientation vers une équipe spécialisée afin de rechercher une anomalie organique et discuter un traitement adapté. Note de contenu : Introduction
Acteurs de la croissance
Chondroépiphyse, unité fonctionnelle indissociable du cartilage de croissance
Virole périchondrale
Périoste
Équilibre des zones de croissance
Cinétique de la croissance
Croissance anténatale
Croissance de 0 à 5 ans : croissance rapide, mais déclinante
Croissance de 5 à 10 ans : croissance linéaire douce
Croissance après 10 ans, le pic pubertaire
Variabilité en fonction de segments considérés
Régulation de la croissance
Facteurs génétiques
Facteurs environnementaux
Facteurs endocriniens
Facteurs mécaniques
Exploration de la croissance
Exploration clinique
Exploration radiographique
Âge osseux et courbes de croissance
Imagerie du cartilage de croissance
Perturbations locales de la croissance
Traumatismes à distance du cartilage de croissance
Traumatismes par séparation en bloc de la chondroépiphyse
Traumatismes directs du cartilage de croissance
Perturbation régionale de la croissance
Perturbation générale de la croissance
Enfants de petite taille
Enfants de grande taillePermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43663 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Infections ostéoarticulaires de l'enfant / P. Violas in EMC : Appareil locomoteur, (Février 2009)
[article]
Titre : Infections ostéoarticulaires de l'enfant Type de document : texte imprimé Auteurs : P. Violas ; V. Rabier ; S. Marleix Année de publication : 2009 Article en page(s) : 14-178-A-10 [Tome 4] Langues : Français (fre) Mots-clés : Ostéomyélite Arthrite septique Ostéoarthrite Résumé : Depuis quelques années, les tableaux classiques des infections ostéoarticulaires de l'enfant tendent à disparaître au profit de tableaux plus insidieux. Si les germes « classiques » comme le staphylocoque doré sont les agents pathogènes les plus fréquemment retrouvés, l'écologie bactérienne s'est modifiée, de nouveaux germes comme Kingella kingae nécessitent d'être recherchés avec des précautions et des techniques particulières. Cela peut s'expliquer par la modification du calendrier vaccinal de la population pédiatrique française (introduction d'un vaccin anti-Haemophilus B et du vaccin conjugué heptavalent antipneumococcique). Sur un plan thérapeutique, l'amélioration du diagnostic bactériologique, ainsi que la meilleure connaissance de la pharmacocinétique des molécules anti-infectieuses ont permis d'envisager autrement le traitement médical de ces infections. La conférence de consensus de 1991 avait recommandé l'administration d'un traitement intraveineux durant trois semaines. Aujourd'hui, de nombreuses équipes ont choisi de réduire la durée de ce temps de traitement et de mieux cibler les antibiotiques employés. Malgré des évolutions le plus souvent favorables, il n'en reste pas moins vrai que cette pathologie fréquente nécessite un traitement en urgence et que les séquelles fonctionnelles existent encore. Les cas où le pronostic vital est en jeu sont devenus heureusement exceptionnels. Note de contenu : Épidémiologie
Physiopathologie
Analyse anatomique
Analyse expérimentale
Déroulement chronologique de l'infection osseuse et articulaire
Tableaux cliniques
Tableaux « classiques »
Tableaux moins fréquents, plus « pièges »
Diagnostic différentiel
Synovite aiguë transitoire
Tumeurs osseuses
Hémopathies malignes
Arthrites rhumatismales
Syndrome SAPHO
Hyperostose sternoclaviculaire
Drépanocytose
Examens complémentaires
Imagerie
Biologie
Bactériologie
Microbiologie des infections ostéoarticulaires de l'enfant
Virulence bactérienne
Rendement bactériologique
Répartition globale des germes
Répartition des étiologies par âge
Répartition des bactéries par type d'infection
Traitement
Antibiotiques et os
Durée de traitement
Immobilisation
Complications des infections ostéoarticulaires de l'enfant
Générales
Orthopédiques
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43961
in EMC : Appareil locomoteur > (Février 2009) . - 14-178-A-10 [Tome 4][article] Infections ostéoarticulaires de l'enfant [texte imprimé] / P. Violas ; V. Rabier ; S. Marleix . - 2009 . - 14-178-A-10 [Tome 4].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Février 2009) . - 14-178-A-10 [Tome 4]
Mots-clés : Ostéomyélite Arthrite septique Ostéoarthrite Résumé : Depuis quelques années, les tableaux classiques des infections ostéoarticulaires de l'enfant tendent à disparaître au profit de tableaux plus insidieux. Si les germes « classiques » comme le staphylocoque doré sont les agents pathogènes les plus fréquemment retrouvés, l'écologie bactérienne s'est modifiée, de nouveaux germes comme Kingella kingae nécessitent d'être recherchés avec des précautions et des techniques particulières. Cela peut s'expliquer par la modification du calendrier vaccinal de la population pédiatrique française (introduction d'un vaccin anti-Haemophilus B et du vaccin conjugué heptavalent antipneumococcique). Sur un plan thérapeutique, l'amélioration du diagnostic bactériologique, ainsi que la meilleure connaissance de la pharmacocinétique des molécules anti-infectieuses ont permis d'envisager autrement le traitement médical de ces infections. La conférence de consensus de 1991 avait recommandé l'administration d'un traitement intraveineux durant trois semaines. Aujourd'hui, de nombreuses équipes ont choisi de réduire la durée de ce temps de traitement et de mieux cibler les antibiotiques employés. Malgré des évolutions le plus souvent favorables, il n'en reste pas moins vrai que cette pathologie fréquente nécessite un traitement en urgence et que les séquelles fonctionnelles existent encore. Les cas où le pronostic vital est en jeu sont devenus heureusement exceptionnels. Note de contenu : Épidémiologie
Physiopathologie
Analyse anatomique
Analyse expérimentale
Déroulement chronologique de l'infection osseuse et articulaire
Tableaux cliniques
Tableaux « classiques »
Tableaux moins fréquents, plus « pièges »
Diagnostic différentiel
Synovite aiguë transitoire
Tumeurs osseuses
Hémopathies malignes
Arthrites rhumatismales
Syndrome SAPHO
Hyperostose sternoclaviculaire
Drépanocytose
Examens complémentaires
Imagerie
Biologie
Bactériologie
Microbiologie des infections ostéoarticulaires de l'enfant
Virulence bactérienne
Rendement bactériologique
Répartition globale des germes
Répartition des étiologies par âge
Répartition des bactéries par type d'infection
Traitement
Antibiotiques et os
Durée de traitement
Immobilisation
Complications des infections ostéoarticulaires de l'enfant
Générales
Orthopédiques
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43961 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Synovites à piquants / E. Palazzo in EMC : Appareil locomoteur, (Février 2009)
[article]
Titre : Synovites à piquants Type de document : texte imprimé Auteurs : E. Palazzo Année de publication : 2009 Article en page(s) : 14-208-A-10 [Tome 4] Note générale : Archivé en décembre 2017. Langues : Français (fre) Mots-clés : Ténosynovite Monoarthrite Oursin Piquant végétal Corps étranger Synovite granulomateuse Résumé : Les synovites à piquants, que ceux-ci soient d'origine végétale ou animale, sont une cause rare de ténosynovite ou de monoarthrite. Le diagnostic doit être évoqué en cas d'atteinte isolée des extrémités (mains, pieds) et des membres inférieurs en premier lieu du genou et de la cheville, notamment chez l'enfant ou en cas d'activité professionnelle ou de loisirs exposée (jardinier, plongeur sous-marin en eau de mer). Le diagnostic peut être difficile ou retardé principalement si la piqûre est passée inaperçue ou a été oubliée. Le diagnostic de certitude repose sur l'anatomopathologie qui met en évidence une synovite granulomateuse et la présence des piquants. La radiographie standard peut montrer le piquant essentiellement quand il est d'origine animale en raison de sa composition calcique ; l'échographie est utile car elle peut révéler la présence d'un corps étranger sous la forme d'une image linéaire hyperéchogène et orienter le diagnostic. L'imagerie par résonance magnétique (IRM) peut non seulement montrer le corps étranger, mais également évaluer l'étendue de la synovite et guider la thérapeutique. Le traitement repose sur l'ablation du corps étranger et une synovectomie, parfois localisée, mais le plus souvent complète, pour éviter la récidive. L'existence d'une surinfection bactérienne est très rare. Note de contenu : Introduction
Agents responsables
Contexte de survenue et manifestations cliniques
Étude du liquide articulaire
Imagerie
Anatomopathologie
Traitement
Pathologies associées
Infections
Rhumatismes inflammatoires chroniquesPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43969
in EMC : Appareil locomoteur > (Février 2009) . - 14-208-A-10 [Tome 4][article] Synovites à piquants [texte imprimé] / E. Palazzo . - 2009 . - 14-208-A-10 [Tome 4].
Archivé en décembre 2017.
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Février 2009) . - 14-208-A-10 [Tome 4]
Mots-clés : Ténosynovite Monoarthrite Oursin Piquant végétal Corps étranger Synovite granulomateuse Résumé : Les synovites à piquants, que ceux-ci soient d'origine végétale ou animale, sont une cause rare de ténosynovite ou de monoarthrite. Le diagnostic doit être évoqué en cas d'atteinte isolée des extrémités (mains, pieds) et des membres inférieurs en premier lieu du genou et de la cheville, notamment chez l'enfant ou en cas d'activité professionnelle ou de loisirs exposée (jardinier, plongeur sous-marin en eau de mer). Le diagnostic peut être difficile ou retardé principalement si la piqûre est passée inaperçue ou a été oubliée. Le diagnostic de certitude repose sur l'anatomopathologie qui met en évidence une synovite granulomateuse et la présence des piquants. La radiographie standard peut montrer le piquant essentiellement quand il est d'origine animale en raison de sa composition calcique ; l'échographie est utile car elle peut révéler la présence d'un corps étranger sous la forme d'une image linéaire hyperéchogène et orienter le diagnostic. L'imagerie par résonance magnétique (IRM) peut non seulement montrer le corps étranger, mais également évaluer l'étendue de la synovite et guider la thérapeutique. Le traitement repose sur l'ablation du corps étranger et une synovectomie, parfois localisée, mais le plus souvent complète, pour éviter la récidive. L'existence d'une surinfection bactérienne est très rare. Note de contenu : Introduction
Agents responsables
Contexte de survenue et manifestations cliniques
Étude du liquide articulaire
Imagerie
Anatomopathologie
Traitement
Pathologies associées
Infections
Rhumatismes inflammatoires chroniquesPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43969 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Troubles de torsion du squelette du membre inférieur de l'adulte / F. Duparc in EMC : Appareil locomoteur, (Février 2009)
[article]
Titre : Troubles de torsion du squelette du membre inférieur de l'adulte Type de document : texte imprimé Auteurs : F. Duparc Année de publication : 2009 Article en page(s) : 15-322-A-10 [Tome 6] Langues : Français (fre) Mots-clés : Torsion osseuse Fémur Tibia Biomécanique Résumé : Les troubles de torsion des membres inférieurs ont été le plus souvent étudiés de manière segmentaire, au niveau du fémur ou du tibia. La prise en compte du morphotype global du membre inférieur conduit à intégrer, dans la biomécanique de la marche, les conséquences des torsions fémorales et tibiales sur les contraintes appliquées lors de la phase portante du pas. Les conséquences des torsions osseuses diaphysaires, pour un angle du pas donné, vont concerner les niveaux articulaires dans lesquels des rotations vont pouvoir s'effectuer, et principalement la hanche et le genou. Au-delà de l'évaluation clinique, les mesures les plus fiables et les plus reproductibles sont apportées en imagerie par l'examen tomodensitométrique. Ce chapitre envisage les contraintes transmises à l'implant fémoral d'une prothèse totale de la hanche, les effets sur l'articulation fémoropatellaire, la participation des torsions osseuses dans la pathogénie de la gonarthrose et dans l'évolution des prothèses de genou, les développements actuels des prothèses de cheville du fait des contraintes rotatoires, les torsions induites iatrogènes post-traumatiques et leur prise en charge, et enfin les conséquences des troubles torsionnels du membre inférieur sur la pratique sportive. Note de contenu : Introduction
Éléments d'ostéologie et de biomécanique osseuse
Définitions des torsions
Applications aux os du membre inférieur et détermination du sens des torsions
Morphotype torsionnel global du membre inférieur
Mesures des torsions osseuses fémorale et tibiale et de la rotation fémorotibiale
Conséquences biomécaniques des torsions squelettiques du membre inférieur au cours de la phase portante de la marche
Torsions et hanches
Torsions et arthroplasties par prothèses totales de hanche
Torsions et genou
Torsions et pathologie fémoropatellaire
Torsions et gonarthrose
Torsions et arthroplastie prothétique de la cheville
Troubles de torsions acquis : postostéotomies, post-traumatiques, postostéosynthèse
Troubles de torsions après ostéotomies
Troubles de torsions acquis post-traumatiques
Torsions et sport
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44086
in EMC : Appareil locomoteur > (Février 2009) . - 15-322-A-10 [Tome 6][article] Troubles de torsion du squelette du membre inférieur de l'adulte [texte imprimé] / F. Duparc . - 2009 . - 15-322-A-10 [Tome 6].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Février 2009) . - 15-322-A-10 [Tome 6]
Mots-clés : Torsion osseuse Fémur Tibia Biomécanique Résumé : Les troubles de torsion des membres inférieurs ont été le plus souvent étudiés de manière segmentaire, au niveau du fémur ou du tibia. La prise en compte du morphotype global du membre inférieur conduit à intégrer, dans la biomécanique de la marche, les conséquences des torsions fémorales et tibiales sur les contraintes appliquées lors de la phase portante du pas. Les conséquences des torsions osseuses diaphysaires, pour un angle du pas donné, vont concerner les niveaux articulaires dans lesquels des rotations vont pouvoir s'effectuer, et principalement la hanche et le genou. Au-delà de l'évaluation clinique, les mesures les plus fiables et les plus reproductibles sont apportées en imagerie par l'examen tomodensitométrique. Ce chapitre envisage les contraintes transmises à l'implant fémoral d'une prothèse totale de la hanche, les effets sur l'articulation fémoropatellaire, la participation des torsions osseuses dans la pathogénie de la gonarthrose et dans l'évolution des prothèses de genou, les développements actuels des prothèses de cheville du fait des contraintes rotatoires, les torsions induites iatrogènes post-traumatiques et leur prise en charge, et enfin les conséquences des troubles torsionnels du membre inférieur sur la pratique sportive. Note de contenu : Introduction
Éléments d'ostéologie et de biomécanique osseuse
Définitions des torsions
Applications aux os du membre inférieur et détermination du sens des torsions
Morphotype torsionnel global du membre inférieur
Mesures des torsions osseuses fémorale et tibiale et de la rotation fémorotibiale
Conséquences biomécaniques des torsions squelettiques du membre inférieur au cours de la phase portante de la marche
Torsions et hanches
Torsions et arthroplasties par prothèses totales de hanche
Torsions et genou
Torsions et pathologie fémoropatellaire
Torsions et gonarthrose
Torsions et arthroplastie prothétique de la cheville
Troubles de torsions acquis : postostéotomies, post-traumatiques, postostéosynthèse
Troubles de torsions après ostéotomies
Troubles de torsions acquis post-traumatiques
Torsions et sport
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44086 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire