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12 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Ostéomyélite'
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Ostéoarthropathies nerveuses / P. Lafforgue in EMC : Appareil locomoteur, (Août 2011)
[article]
Titre : Ostéoarthropathies nerveuses Type de document : texte imprimé Auteurs : P. Lafforgue, Auteur ; S. Trijau, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 14-285-A-10 [Tome 5] Langues : Français (fre) Mots-clés : Ostéoarthropathies nerveuses Charcot Diabète Neuropathie sensitive Ostéomyélite Résumé : Les ostéoarthropathies nerveuses (OAN) entraînent une atteinte destructrice ostéoarticulaire régionale, potentiellement sévère et pouvant provoquer des déformations, une instabilité, des ulcères cutanés voire conduire à une amputation. Elles surviennent au cours de neuropathies avec atteinte sensitive. La syphilis a maintenant été remplacée par le diabète comme cause principale, suivi des atteintes médullaires post-traumatiques et des neuropathies héréditaires. Cette atteinte sensitive explique le caractère relativement peu douloureux de l'affection. L'atteinte intéresse généralement une seule région, le plus souvent le pied et/ou la cheville, moins souvent le genou, l'épaule, le rachis, les autres localisations étant très rares. La physiopathologie fait intervenir d'une part des microtraumatismes favorisés par l'absence de perception douloureuse, et d'autre part une déminéralisation favorisée par l'hyperhémie secondaire à un défaut du système nerveux autonome. On distingue deux phases. À la phase aiguë, l'articulation est chaude, gonflée, rouge ; les radiographies initialement normales montrent ensuite une déminéralisation, des érosions articulaires, des fractures et fragmentations des os, des déformations. Il existe une hyperfixation scintigraphique régionale non spécifique. L'imagerie par résonance magnétique montre précocement un oedème osseux et des parties molles, des fractures, un épanchement articulaire et les destructions. La biologie est peu ou pas inflammatoire. À ce stade, les diagnostics différentiels sont les arthrites, l'algodystrophie et surtout l'ostéomyélite. Ensuite, la chaleur et l'oedème diminuent progressivement, les lésions radiologiques s'organisent, laissant la place à des séquelles définitives. Le traitement doit donc être très précoce. À la phase aiguë, il faut imposer une décharge ou une semi-décharge associée au port d'orthèse. Les bisphosphonates semblent être utiles. La reprise progressive de l'appui avec un chaussage orthopédique est autorisée lorsque l'oedème et la chaleur cutanée se sont normalisés, au bout de plusieurs semaines. La chirurgie vise à corriger des séquelles fonctionnellement gênantes (ulcère ou menace d'ulcère, trouble statique empêchant le chaussage, instabilité). Globalement, elle expose à des taux d'échec et de complications importants. Note de contenu : Introduction
Physiopathologie
Théorie neurovasculaire
Théorie neurotraumatique
Fragilité osseuse locale
Étiologies
Tabès/neurosyphilis
Diabète
Causes médullaires
Neuropathies sensitives ou sensitivomotrices héréditaires
Forme typique : le pied de Charcot
Phase aiguë
Phase chronique et évolution
Diagnostic différentiel
Algodystrophie
Arthrites rhumatismales ou microcristallines
Ostéomyélite
Formes topographiques
Membre inférieur
Membre supérieur
Rachis
Traitement
Traitement physique
Bisphosphonates et calcitonine
Traitement chirurgical
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44012
in EMC : Appareil locomoteur > (Août 2011) . - 14-285-A-10 [Tome 5][article] Ostéoarthropathies nerveuses [texte imprimé] / P. Lafforgue, Auteur ; S. Trijau, Auteur . - 2011 . - 14-285-A-10 [Tome 5].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Août 2011) . - 14-285-A-10 [Tome 5]
Mots-clés : Ostéoarthropathies nerveuses Charcot Diabète Neuropathie sensitive Ostéomyélite Résumé : Les ostéoarthropathies nerveuses (OAN) entraînent une atteinte destructrice ostéoarticulaire régionale, potentiellement sévère et pouvant provoquer des déformations, une instabilité, des ulcères cutanés voire conduire à une amputation. Elles surviennent au cours de neuropathies avec atteinte sensitive. La syphilis a maintenant été remplacée par le diabète comme cause principale, suivi des atteintes médullaires post-traumatiques et des neuropathies héréditaires. Cette atteinte sensitive explique le caractère relativement peu douloureux de l'affection. L'atteinte intéresse généralement une seule région, le plus souvent le pied et/ou la cheville, moins souvent le genou, l'épaule, le rachis, les autres localisations étant très rares. La physiopathologie fait intervenir d'une part des microtraumatismes favorisés par l'absence de perception douloureuse, et d'autre part une déminéralisation favorisée par l'hyperhémie secondaire à un défaut du système nerveux autonome. On distingue deux phases. À la phase aiguë, l'articulation est chaude, gonflée, rouge ; les radiographies initialement normales montrent ensuite une déminéralisation, des érosions articulaires, des fractures et fragmentations des os, des déformations. Il existe une hyperfixation scintigraphique régionale non spécifique. L'imagerie par résonance magnétique montre précocement un oedème osseux et des parties molles, des fractures, un épanchement articulaire et les destructions. La biologie est peu ou pas inflammatoire. À ce stade, les diagnostics différentiels sont les arthrites, l'algodystrophie et surtout l'ostéomyélite. Ensuite, la chaleur et l'oedème diminuent progressivement, les lésions radiologiques s'organisent, laissant la place à des séquelles définitives. Le traitement doit donc être très précoce. À la phase aiguë, il faut imposer une décharge ou une semi-décharge associée au port d'orthèse. Les bisphosphonates semblent être utiles. La reprise progressive de l'appui avec un chaussage orthopédique est autorisée lorsque l'oedème et la chaleur cutanée se sont normalisés, au bout de plusieurs semaines. La chirurgie vise à corriger des séquelles fonctionnellement gênantes (ulcère ou menace d'ulcère, trouble statique empêchant le chaussage, instabilité). Globalement, elle expose à des taux d'échec et de complications importants. Note de contenu : Introduction
Physiopathologie
Théorie neurovasculaire
Théorie neurotraumatique
Fragilité osseuse locale
Étiologies
Tabès/neurosyphilis
Diabète
Causes médullaires
Neuropathies sensitives ou sensitivomotrices héréditaires
Forme typique : le pied de Charcot
Phase aiguë
Phase chronique et évolution
Diagnostic différentiel
Algodystrophie
Arthrites rhumatismales ou microcristallines
Ostéomyélite
Formes topographiques
Membre inférieur
Membre supérieur
Rachis
Traitement
Traitement physique
Bisphosphonates et calcitonine
Traitement chirurgical
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44012 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Localisation secondaire atypique d'une bactériémie à Staphylococcus aureus / Lisa Michelin in La revue de gériatrie, Vol.47 N°7 (septembre 2022)
[article]
Titre : Localisation secondaire atypique d'une bactériémie à Staphylococcus aureus Type de document : texte imprimé Auteurs : Lisa Michelin ; Alexanre Bucci ; Thomas Morin Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 351-355 Langues : Français (fre) Mots-clés : Ostéomyélite Infections à staphylocoques Staphylococcus aureus métastases septiques ostéomyélite sternale primaire Résumé : Les infections bactériennes à Staphylococcus aureus sont des infections graves et constituent une cause majeure de bactériémie, dont les localisations secondaires sont fréquentes et variées. Ce cas clinique rapporte la survenue d’une métastase septique atypique d’une récidive de bactériémie à S. aureus, chez un patient de 85 ans, sous forme d’ostéomyélite sternale primaire. Ce diagnostic a été posé quelques semaines après la fin d’un traitement antibiotique, administré pour une première bactériémie non compliquée à S. aureus multisensible de même spectre. La porte d’entrée infectieuse cutanée a été traitée huit jours après la fin des antibiotiques. Les récidives de ces bactériémies sont fréquentes, favorisées par plusieurs facteurs de risque, dont le diabète ainsi que le traitement tardif de la porte d’entrée. L’ostéomyélite sternale primaire, définie comme survenant en dehors de toute chirurgie ou traumatisme, est rare et doit être évoquée devant une douleur thoracique atypique avec des signes inflammatoires locaux et généraux, voire la formation d’une masse présternale. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=106563
in La revue de gériatrie > Vol.47 N°7 (septembre 2022) . - p. 351-355[article] Localisation secondaire atypique d'une bactériémie à Staphylococcus aureus [texte imprimé] / Lisa Michelin ; Alexanre Bucci ; Thomas Morin . - 2022 . - p. 351-355.
Langues : Français (fre)
in La revue de gériatrie > Vol.47 N°7 (septembre 2022) . - p. 351-355
Mots-clés : Ostéomyélite Infections à staphylocoques Staphylococcus aureus métastases septiques ostéomyélite sternale primaire Résumé : Les infections bactériennes à Staphylococcus aureus sont des infections graves et constituent une cause majeure de bactériémie, dont les localisations secondaires sont fréquentes et variées. Ce cas clinique rapporte la survenue d’une métastase septique atypique d’une récidive de bactériémie à S. aureus, chez un patient de 85 ans, sous forme d’ostéomyélite sternale primaire. Ce diagnostic a été posé quelques semaines après la fin d’un traitement antibiotique, administré pour une première bactériémie non compliquée à S. aureus multisensible de même spectre. La porte d’entrée infectieuse cutanée a été traitée huit jours après la fin des antibiotiques. Les récidives de ces bactériémies sont fréquentes, favorisées par plusieurs facteurs de risque, dont le diabète ainsi que le traitement tardif de la porte d’entrée. L’ostéomyélite sternale primaire, définie comme survenant en dehors de toute chirurgie ou traumatisme, est rare et doit être évoquée devant une douleur thoracique atypique avec des signes inflammatoires locaux et généraux, voire la formation d’une masse présternale. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=106563 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtOstéoarthropathies nerveuses / P. Lafforgue in EMC : Appareil locomoteur, Vol.35, n°2 (Avril 2021)
[article]
Titre : Ostéoarthropathies nerveuses Type de document : texte imprimé Auteurs : P. Lafforgue ; S. Trijau Année de publication : 2021 Article en page(s) : 14-285-A-10 [Tome 5] Langues : Français (fre) Mots-clés : Ostéoarthropathies nerveuses Charcot Diabète Neuropathie sensitive Ostéomyélite Pied Résumé : Les ostéoarthropathies nerveuses sont une atteinte destructrice ostéoarticulaire régionale, potentiellement sévère et pouvant entraîner des déformations, une instabilité, des ulcères cutanés, voire conduire à une amputation. Elles surviennent au cours d'atteintes sensitives (proprioceptives, nociceptives et dysautonomiques) d'origine périphérique comme dans le diabète ou centrale. Le diabète a maintenant remplacé la syphilis comme cause principale, suivi des atteintes médullaires post-traumatiques et des neuropathies héréditaires. Cette atteinte sensitive explique le caractère relativement peu douloureux de l'affection. Une seule région est généralement concernée, le plus souvent le pied et/ou la cheville, moins souvent le genou, l'épaule, le rachis, les autres localisations étant très rares. La physiopathologie fait intervenir, d'une part, des microtraumatismes favorisés par l'absence de perception douloureuse et, d'autre part, une déminéralisation favorisée par l'hyperhémie secondaire au dérèglement de la circulation locale. On distingue deux phases. À la phase aiguë, l'articulation est chaude, gonflée, rouge ; les radiographies initialement normales montrent ensuite une déminéralisation, des érosions articulaires, des fractures et fragmentations des os, et des déformations. Il existe une hyperfixation scintigraphique régionale non spécifique. L'imagerie par résonance magnétique montre précocement un œdème osseux et des parties molles, des fractures, un épanchement articulaire et les destructions. Le syndrome inflammatoire est modéré ou absent. À ce stade, les diagnostics différentiels sont les arthrites, l'algodystrophie et surtout l'ostéomyélite. Ensuite, la chaleur et l'œdème diminuent progressivement, les lésions radiologiques s'organisent, laissant la place à des séquelles définitives. Le traitement doit donc être très précoce. À la phase aiguë, il faut imposer une décharge ou une semi-décharge associée au port d'orthèse. L'utilité des bisphosphonates n'est pas clairement établie. La reprise progressive de l'appui avec un chaussage orthopédique est autorisée lorsque l'œdème et la chaleur cutanée se sont normalisés, au bout de plusieurs semaines. La chirurgie vise à corriger des séquelles fonctionnellement gênantes (ulcère ou menace d'ulcère, trouble statique empêchant le chaussage, instabilité). Globalement, elle expose à des taux d'échec et de complications importants. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=95168
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.35, n°2 (Avril 2021) . - 14-285-A-10 [Tome 5][article] Ostéoarthropathies nerveuses [texte imprimé] / P. Lafforgue ; S. Trijau . - 2021 . - 14-285-A-10 [Tome 5].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.35, n°2 (Avril 2021) . - 14-285-A-10 [Tome 5]
Mots-clés : Ostéoarthropathies nerveuses Charcot Diabète Neuropathie sensitive Ostéomyélite Pied Résumé : Les ostéoarthropathies nerveuses sont une atteinte destructrice ostéoarticulaire régionale, potentiellement sévère et pouvant entraîner des déformations, une instabilité, des ulcères cutanés, voire conduire à une amputation. Elles surviennent au cours d'atteintes sensitives (proprioceptives, nociceptives et dysautonomiques) d'origine périphérique comme dans le diabète ou centrale. Le diabète a maintenant remplacé la syphilis comme cause principale, suivi des atteintes médullaires post-traumatiques et des neuropathies héréditaires. Cette atteinte sensitive explique le caractère relativement peu douloureux de l'affection. Une seule région est généralement concernée, le plus souvent le pied et/ou la cheville, moins souvent le genou, l'épaule, le rachis, les autres localisations étant très rares. La physiopathologie fait intervenir, d'une part, des microtraumatismes favorisés par l'absence de perception douloureuse et, d'autre part, une déminéralisation favorisée par l'hyperhémie secondaire au dérèglement de la circulation locale. On distingue deux phases. À la phase aiguë, l'articulation est chaude, gonflée, rouge ; les radiographies initialement normales montrent ensuite une déminéralisation, des érosions articulaires, des fractures et fragmentations des os, et des déformations. Il existe une hyperfixation scintigraphique régionale non spécifique. L'imagerie par résonance magnétique montre précocement un œdème osseux et des parties molles, des fractures, un épanchement articulaire et les destructions. Le syndrome inflammatoire est modéré ou absent. À ce stade, les diagnostics différentiels sont les arthrites, l'algodystrophie et surtout l'ostéomyélite. Ensuite, la chaleur et l'œdème diminuent progressivement, les lésions radiologiques s'organisent, laissant la place à des séquelles définitives. Le traitement doit donc être très précoce. À la phase aiguë, il faut imposer une décharge ou une semi-décharge associée au port d'orthèse. L'utilité des bisphosphonates n'est pas clairement établie. La reprise progressive de l'appui avec un chaussage orthopédique est autorisée lorsque l'œdème et la chaleur cutanée se sont normalisés, au bout de plusieurs semaines. La chirurgie vise à corriger des séquelles fonctionnellement gênantes (ulcère ou menace d'ulcère, trouble statique empêchant le chaussage, instabilité). Globalement, elle expose à des taux d'échec et de complications importants. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=95168 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Infections ostéoarticulaires de l'enfant / P. Violas in EMC : Appareil locomoteur, (Février 2009)
[article]
Titre : Infections ostéoarticulaires de l'enfant Type de document : texte imprimé Auteurs : P. Violas ; V. Rabier ; S. Marleix Année de publication : 2009 Article en page(s) : 14-178-A-10 [Tome 4] Langues : Français (fre) Mots-clés : Ostéomyélite Arthrite septique Ostéoarthrite Résumé : Depuis quelques années, les tableaux classiques des infections ostéoarticulaires de l'enfant tendent à disparaître au profit de tableaux plus insidieux. Si les germes « classiques » comme le staphylocoque doré sont les agents pathogènes les plus fréquemment retrouvés, l'écologie bactérienne s'est modifiée, de nouveaux germes comme Kingella kingae nécessitent d'être recherchés avec des précautions et des techniques particulières. Cela peut s'expliquer par la modification du calendrier vaccinal de la population pédiatrique française (introduction d'un vaccin anti-Haemophilus B et du vaccin conjugué heptavalent antipneumococcique). Sur un plan thérapeutique, l'amélioration du diagnostic bactériologique, ainsi que la meilleure connaissance de la pharmacocinétique des molécules anti-infectieuses ont permis d'envisager autrement le traitement médical de ces infections. La conférence de consensus de 1991 avait recommandé l'administration d'un traitement intraveineux durant trois semaines. Aujourd'hui, de nombreuses équipes ont choisi de réduire la durée de ce temps de traitement et de mieux cibler les antibiotiques employés. Malgré des évolutions le plus souvent favorables, il n'en reste pas moins vrai que cette pathologie fréquente nécessite un traitement en urgence et que les séquelles fonctionnelles existent encore. Les cas où le pronostic vital est en jeu sont devenus heureusement exceptionnels. Note de contenu : Épidémiologie
Physiopathologie
Analyse anatomique
Analyse expérimentale
Déroulement chronologique de l'infection osseuse et articulaire
Tableaux cliniques
Tableaux « classiques »
Tableaux moins fréquents, plus « pièges »
Diagnostic différentiel
Synovite aiguë transitoire
Tumeurs osseuses
Hémopathies malignes
Arthrites rhumatismales
Syndrome SAPHO
Hyperostose sternoclaviculaire
Drépanocytose
Examens complémentaires
Imagerie
Biologie
Bactériologie
Microbiologie des infections ostéoarticulaires de l'enfant
Virulence bactérienne
Rendement bactériologique
Répartition globale des germes
Répartition des étiologies par âge
Répartition des bactéries par type d'infection
Traitement
Antibiotiques et os
Durée de traitement
Immobilisation
Complications des infections ostéoarticulaires de l'enfant
Générales
Orthopédiques
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43961
in EMC : Appareil locomoteur > (Février 2009) . - 14-178-A-10 [Tome 4][article] Infections ostéoarticulaires de l'enfant [texte imprimé] / P. Violas ; V. Rabier ; S. Marleix . - 2009 . - 14-178-A-10 [Tome 4].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Février 2009) . - 14-178-A-10 [Tome 4]
Mots-clés : Ostéomyélite Arthrite septique Ostéoarthrite Résumé : Depuis quelques années, les tableaux classiques des infections ostéoarticulaires de l'enfant tendent à disparaître au profit de tableaux plus insidieux. Si les germes « classiques » comme le staphylocoque doré sont les agents pathogènes les plus fréquemment retrouvés, l'écologie bactérienne s'est modifiée, de nouveaux germes comme Kingella kingae nécessitent d'être recherchés avec des précautions et des techniques particulières. Cela peut s'expliquer par la modification du calendrier vaccinal de la population pédiatrique française (introduction d'un vaccin anti-Haemophilus B et du vaccin conjugué heptavalent antipneumococcique). Sur un plan thérapeutique, l'amélioration du diagnostic bactériologique, ainsi que la meilleure connaissance de la pharmacocinétique des molécules anti-infectieuses ont permis d'envisager autrement le traitement médical de ces infections. La conférence de consensus de 1991 avait recommandé l'administration d'un traitement intraveineux durant trois semaines. Aujourd'hui, de nombreuses équipes ont choisi de réduire la durée de ce temps de traitement et de mieux cibler les antibiotiques employés. Malgré des évolutions le plus souvent favorables, il n'en reste pas moins vrai que cette pathologie fréquente nécessite un traitement en urgence et que les séquelles fonctionnelles existent encore. Les cas où le pronostic vital est en jeu sont devenus heureusement exceptionnels. Note de contenu : Épidémiologie
Physiopathologie
Analyse anatomique
Analyse expérimentale
Déroulement chronologique de l'infection osseuse et articulaire
Tableaux cliniques
Tableaux « classiques »
Tableaux moins fréquents, plus « pièges »
Diagnostic différentiel
Synovite aiguë transitoire
Tumeurs osseuses
Hémopathies malignes
Arthrites rhumatismales
Syndrome SAPHO
Hyperostose sternoclaviculaire
Drépanocytose
Examens complémentaires
Imagerie
Biologie
Bactériologie
Microbiologie des infections ostéoarticulaires de l'enfant
Virulence bactérienne
Rendement bactériologique
Répartition globale des germes
Répartition des étiologies par âge
Répartition des bactéries par type d'infection
Traitement
Antibiotiques et os
Durée de traitement
Immobilisation
Complications des infections ostéoarticulaires de l'enfant
Générales
Orthopédiques
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43961 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Is acute compression and distraction superior to segmental bone transport techniques in chronic tibial osteomyelitis ? Comparison of Distraction Osteogenesis Techniques / Levent Eralp in Acta Orthopaedica Belgica, Vol.82/3 (Septembre 2016)
[article]
Titre : Is acute compression and distraction superior to segmental bone transport techniques in chronic tibial osteomyelitis ? Comparison of Distraction Osteogenesis Techniques Type de document : texte imprimé Auteurs : Levent Eralp ; Halil I. Balci ; Mehmet Kocaoglu ; [et al...] Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 599-609 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : tibia ostéomyélite chirurgie Résumé : Treatment of tibial osteomyelitis with infected, necrotic, unstable bone segments (Cierny-Mader Type IV local osteomyelitis) includes débridement and segmental resection, which results in long bone defects. Reconstruction may be with distraction osteogenesis. Segmental bone transport and acute compression and distraction techniques are two main distraction osteogenesis techniques used in the treatment of Type IV local tibial osteomyelitis. In this retrospective, four-center study we compared these two techniques during a 15-year period. 29 patients treated using segmental bone transport technique and 45 patients were treated using acute compression and distraction technique. The mean age (p= 0,34) and the mean bone loss with preoperative shortening (P=0,08) and the mean number of previous operation (p=0,06) were not different in these two groups. . At latest followup, functional and radiographic results were evaluated There was no difference between two technique on the Paley’s scoring system ( p=0,33) and in the total number of complication(p=0,16). Mean external fixator index was lower in the second group ( p=0.02 ). Both techniques can be used safely; however, the acute compression distraction technique may provide greater patient satisfaction because of shorter external fixator index, although future studies will be needed to determine whether this is. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=47190
in Acta Orthopaedica Belgica > Vol.82/3 (Septembre 2016) . - p. 599-609[article] Is acute compression and distraction superior to segmental bone transport techniques in chronic tibial osteomyelitis ? Comparison of Distraction Osteogenesis Techniques [texte imprimé] / Levent Eralp ; Halil I. Balci ; Mehmet Kocaoglu ; [et al...] . - 2016 . - p. 599-609.
Langues : Anglais (eng)
in Acta Orthopaedica Belgica > Vol.82/3 (Septembre 2016) . - p. 599-609
Mots-clés : tibia ostéomyélite chirurgie Résumé : Treatment of tibial osteomyelitis with infected, necrotic, unstable bone segments (Cierny-Mader Type IV local osteomyelitis) includes débridement and segmental resection, which results in long bone defects. Reconstruction may be with distraction osteogenesis. Segmental bone transport and acute compression and distraction techniques are two main distraction osteogenesis techniques used in the treatment of Type IV local tibial osteomyelitis. In this retrospective, four-center study we compared these two techniques during a 15-year period. 29 patients treated using segmental bone transport technique and 45 patients were treated using acute compression and distraction technique. The mean age (p= 0,34) and the mean bone loss with preoperative shortening (P=0,08) and the mean number of previous operation (p=0,06) were not different in these two groups. . At latest followup, functional and radiographic results were evaluated There was no difference between two technique on the Paley’s scoring system ( p=0,33) and in the total number of complication(p=0,16). Mean external fixator index was lower in the second group ( p=0.02 ). Both techniques can be used safely; however, the acute compression distraction technique may provide greater patient satisfaction because of shorter external fixator index, although future studies will be needed to determine whether this is. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=47190 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtManifestations musculosquelettiques du diabète sucré / M.-A. Timsit in EMC : Appareil locomoteur, (Janvier 2007)
PermalinkConditions de prise en charge et traitement des infections osseuses et articulaires de l'enfant . Enquête multicentrique (II) in MMI / Médecine et Maladies Infectieuses, SPECIAL OCTOBRE (1992)
PermalinkEpidémiologie et diagnostic bactériologique des infections osseuses et articulaires de l'enfant . Enquête multicentrique (I) in MMI / Médecine et Maladies Infectieuses, SPECIAL OCTOBRE (1992)
PermalinkLES INFECTIONS BACTERIENNES OSTEO-ARTICULAIRES EN DEHORS DES INFECTIONS A MYCOBACTERIES . TOURS - 25 JANVIER 1991 Diagnostic des infections ostéo-articulaires . Traitement des infections ostéo-articulaires . Infections sur prothèse articulaire in MMI / Médecine et Maladies Infectieuses, 8/9 N°SPECIAL (1991)
PermalinkInfections ostéo-articulaires de l'enfant : durée du traitement in MMI / Médecine et Maladies Infectieuses, SPECIAL OCTOBRE (1992)
Permalink