Centre de Documentation Campus Montignies
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Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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EMC : Appareil locomoteur . Volume 11 numéro 2Paru le : 01/04/2016 |
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aucun exemplaire |
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Ajouter le résultat dans votre panierFractures de la jambe de l'adulte / A. Bertani in EMC : Appareil locomoteur, Volume 11 numéro 2 (Avril 2016)
[article]
Titre : Fractures de la jambe de l'adulte Type de document : texte imprimé Auteurs : A. Bertani, Auteur ; L. Mathieu, Auteur ; F. Rongiéras, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : 14-086-A-10 Langues : Français (fre) Mots-clés : Fracture Jambe Tibia Syndrome des loges Enclouage centromédullaire Fixateur externe Résumé : Les fractures de jambe sont fréquentes mais difficiles à traiter. La situation sous-cutanée de la face antéromédiale du tibia expose aux lésions sévères de l'os et des parties molles, l'ouverture cutanée étant plus fréquente à la jambe que sur d'autres localisations fracturaires. Les progrès en matière de sécurité routière ont diminué leur incidence chez le sujet jeune. À l'inverse, le vieillissement de la population a entraîné une augmentation des fractures ostéoporotiques du sujet âgé. Les avancées chirurgicales réalisées durant les 30 dernières années ont permis de limiter les complications septiques et les problèmes de consolidation liés à ces fractures. Il s'agit surtout de la mise au point des techniques d'ostéosynthèse à foyer fermé, et du développement des lambeaux de couverture des membres. Les indications chirurgicales sont actuellement bien standardisées. Le traitement orthopédique et l'ostéosynthèse à foyer ouvert occupent une place réduite dans le traitement des fractures fermées qui est dominé par l'enclouage centromédullaire. La prise en charge des fractures ouvertes repose sur le triptyque parage-fixation osseuse-couverture cutanée sous couvert d'une prophylaxie antibiotique et antitétanique. Le choix du mode d'ostéosynthèse et du procédé de couverture dépend de la taille de la perte de substance cutanée évaluée après parage. Le syndrome des loges reste une complication précoce commune aux fractures fermées et ouvertes, imposant la réalisation de dermofasciotomies en urgence et pouvant influer sur le mode de fixation osseuse. Les retards de consolidation et les pseudarthroses sont plus fréquents dans les suites des fractures ouvertes, car intimement liés à la survenue d'une infection osseuse dont le traitement demeure difficile sur un os non continu. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43451
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 11 numéro 2 (Avril 2016) . - 14-086-A-10[article] Fractures de la jambe de l'adulte [texte imprimé] / A. Bertani, Auteur ; L. Mathieu, Auteur ; F. Rongiéras, Auteur . - 2016 . - 14-086-A-10.
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 11 numéro 2 (Avril 2016) . - 14-086-A-10
Mots-clés : Fracture Jambe Tibia Syndrome des loges Enclouage centromédullaire Fixateur externe Résumé : Les fractures de jambe sont fréquentes mais difficiles à traiter. La situation sous-cutanée de la face antéromédiale du tibia expose aux lésions sévères de l'os et des parties molles, l'ouverture cutanée étant plus fréquente à la jambe que sur d'autres localisations fracturaires. Les progrès en matière de sécurité routière ont diminué leur incidence chez le sujet jeune. À l'inverse, le vieillissement de la population a entraîné une augmentation des fractures ostéoporotiques du sujet âgé. Les avancées chirurgicales réalisées durant les 30 dernières années ont permis de limiter les complications septiques et les problèmes de consolidation liés à ces fractures. Il s'agit surtout de la mise au point des techniques d'ostéosynthèse à foyer fermé, et du développement des lambeaux de couverture des membres. Les indications chirurgicales sont actuellement bien standardisées. Le traitement orthopédique et l'ostéosynthèse à foyer ouvert occupent une place réduite dans le traitement des fractures fermées qui est dominé par l'enclouage centromédullaire. La prise en charge des fractures ouvertes repose sur le triptyque parage-fixation osseuse-couverture cutanée sous couvert d'une prophylaxie antibiotique et antitétanique. Le choix du mode d'ostéosynthèse et du procédé de couverture dépend de la taille de la perte de substance cutanée évaluée après parage. Le syndrome des loges reste une complication précoce commune aux fractures fermées et ouvertes, imposant la réalisation de dermofasciotomies en urgence et pouvant influer sur le mode de fixation osseuse. Les retards de consolidation et les pseudarthroses sont plus fréquents dans les suites des fractures ouvertes, car intimement liés à la survenue d'une infection osseuse dont le traitement demeure difficile sur un os non continu. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43451 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire SAPHO / S. Ottaviani in EMC : Appareil locomoteur, Volume 11 numéro 2 (Avril 2016)
[article]
Titre : SAPHO Type de document : texte imprimé Auteurs : S. Ottaviani, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : 14-241-A-10 Langues : Français (fre) Mots-clés : SAPHO Ostéite Pustulose Biphosphonate Résumé : L'acronyme SAPHO (synovite, acné, pustulose, hyperostose, ostéite) a été proposé en 1987 par une équipe française pour désigner une entité clinicoradiologique associant des signes cutanés, osseux et articulaires, désormais partie intégrante des spondyloarthrites. L'atteinte osseuse et celle de la paroi thoracique antérieure sont les signes ostéoarticulaires les plus évocateurs. L'imagerie a une place prépondérante dans le diagnostic, avec comme lésion élémentaire l'ostéite hyperostosante. L'évolution est bonne sur le long terme. La physiopathologie n'est pas encore clarifiée, mais l'hypothèse d'une dérégulation neutrophilique secondaire à la persistance de certains germes comme Propionibacterium acnes, ayant pour conséquence la sécrétion de cytokines pro-inflammatoires, a été suggérée. Le traitement n'est pas codifié, mais le traitement symptomatique repose sur les anti-inflammatoires non stéroïdiens et les corticoïdes, alors qu'en cas d'atteinte articulaire chronique le méthotrexate ou la salazopyrine sont proposés. Les formes résistantes sont traitées par biphosphonate intraveineux ou agents biologiques, voire par antibiothérapie prolongée. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43452
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 11 numéro 2 (Avril 2016) . - 14-241-A-10[article] SAPHO [texte imprimé] / S. Ottaviani, Auteur . - 2016 . - 14-241-A-10.
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 11 numéro 2 (Avril 2016) . - 14-241-A-10
Mots-clés : SAPHO Ostéite Pustulose Biphosphonate Résumé : L'acronyme SAPHO (synovite, acné, pustulose, hyperostose, ostéite) a été proposé en 1987 par une équipe française pour désigner une entité clinicoradiologique associant des signes cutanés, osseux et articulaires, désormais partie intégrante des spondyloarthrites. L'atteinte osseuse et celle de la paroi thoracique antérieure sont les signes ostéoarticulaires les plus évocateurs. L'imagerie a une place prépondérante dans le diagnostic, avec comme lésion élémentaire l'ostéite hyperostosante. L'évolution est bonne sur le long terme. La physiopathologie n'est pas encore clarifiée, mais l'hypothèse d'une dérégulation neutrophilique secondaire à la persistance de certains germes comme Propionibacterium acnes, ayant pour conséquence la sécrétion de cytokines pro-inflammatoires, a été suggérée. Le traitement n'est pas codifié, mais le traitement symptomatique repose sur les anti-inflammatoires non stéroïdiens et les corticoïdes, alors qu'en cas d'atteinte articulaire chronique le méthotrexate ou la salazopyrine sont proposés. Les formes résistantes sont traitées par biphosphonate intraveineux ou agents biologiques, voire par antibiothérapie prolongée. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43452 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Polychondrite atrophiante / A. Michon in EMC : Appareil locomoteur, Volume 11 numéro 2 (Avril 2016)
[article]
Titre : Polychondrite atrophiante Type de document : texte imprimé Auteurs : A. Michon, Auteur ; Jean-Benoît Arlet, Auteur ; J. Pouchot, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : 14-245-C-10 Langues : Français (fre) Mots-clés : Polychondrite atrophiante Cartilage Syndrome myélodysplasique Résumé : La polychondrite atrophiante se caractérise par des épisodes inflammatoires du cartilage des oreilles, du nez, du larynx et de l'arbre trachéobronchique dont la répétition peut aboutir à la fibrose et la déformation du cartilage. Les chondrites laryngées et trachéobronchiques sont particulièrement graves en raison du risque vital qu'elles font courir, et doivent être suspectées devant l'apparition d'une dyspnée. L'atteinte cartilagineuse ne résume pas cette affection qui peut être responsable de nombreuses manifestations systémiques : polyarthrite aiguë intermittente et non érosive, épisclérite, insuffisance aortique et lésions des gros troncs artériels, atteinte audiovestibulaire, manifestations cutanées et neurologiques variées. Les signes biologiques observés, syndrome inflammatoire et hyperleucocytose, ne sont pas spécifiques et les anticorps anticartilage ou anticollagène de type II sont inconstants. L'examen histologique du cartilage, non nécessaire au diagnostic, montre au début de la maladie une infiltration par des cellules lymphoplasmocytaires et macrophagiques. L'évolution de la maladie se fait généralement par poussées intermittentes. Un syndrome myélodysplasique est présent chez plus de 40 % des patients de plus de 60 ans, et à rechercher en présence d'anomalie(s) de l'hémogramme. Le traitement repose avant tout sur les corticoïdes et les immunosuppresseurs dans les formes les plus graves ou en cas de corticodépendance. L'expérience des biothérapies reste mitigée. La chirurgie laryngotrachéale et cardiovasculaire est parfois nécessaire dans les formes graves de la maladie. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43453
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 11 numéro 2 (Avril 2016) . - 14-245-C-10[article] Polychondrite atrophiante [texte imprimé] / A. Michon, Auteur ; Jean-Benoît Arlet, Auteur ; J. Pouchot, Auteur . - 2016 . - 14-245-C-10.
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 11 numéro 2 (Avril 2016) . - 14-245-C-10
Mots-clés : Polychondrite atrophiante Cartilage Syndrome myélodysplasique Résumé : La polychondrite atrophiante se caractérise par des épisodes inflammatoires du cartilage des oreilles, du nez, du larynx et de l'arbre trachéobronchique dont la répétition peut aboutir à la fibrose et la déformation du cartilage. Les chondrites laryngées et trachéobronchiques sont particulièrement graves en raison du risque vital qu'elles font courir, et doivent être suspectées devant l'apparition d'une dyspnée. L'atteinte cartilagineuse ne résume pas cette affection qui peut être responsable de nombreuses manifestations systémiques : polyarthrite aiguë intermittente et non érosive, épisclérite, insuffisance aortique et lésions des gros troncs artériels, atteinte audiovestibulaire, manifestations cutanées et neurologiques variées. Les signes biologiques observés, syndrome inflammatoire et hyperleucocytose, ne sont pas spécifiques et les anticorps anticartilage ou anticollagène de type II sont inconstants. L'examen histologique du cartilage, non nécessaire au diagnostic, montre au début de la maladie une infiltration par des cellules lymphoplasmocytaires et macrophagiques. L'évolution de la maladie se fait généralement par poussées intermittentes. Un syndrome myélodysplasique est présent chez plus de 40 % des patients de plus de 60 ans, et à rechercher en présence d'anomalie(s) de l'hémogramme. Le traitement repose avant tout sur les corticoïdes et les immunosuppresseurs dans les formes les plus graves ou en cas de corticodépendance. L'expérience des biothérapies reste mitigée. La chirurgie laryngotrachéale et cardiovasculaire est parfois nécessaire dans les formes graves de la maladie. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43453 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Cervicalgie commune et névralgies cervicobrachiales / C.H. Roux in EMC : Appareil locomoteur, Volume 11 numéro 2 (Avril 2016)
[article]
Titre : Cervicalgie commune et névralgies cervicobrachiales Type de document : texte imprimé Auteurs : C.H. Roux ; N. Bronsard Année de publication : 2016 Article en page(s) : 15-831-A-10 [Tome 7] Langues : Français (fre) Mots-clés : Cervicalgie commune Névralgie cervicobrachiale (NCB) Torticolis Névralgie d'Arnold Arthrose cervicale Coup de fouet cervical Hernie discale cervicale Conflit radiculaire Traitement médical des cervicalgies communes Traitement médical des NCB Traitement chirurgical de la NCB Résumé : Dans les cervicalgies communes, aucune cause ou lésion avérée ne peut généralement être retenue. Très fréquentes, elles ont des conséquences financières importantes. Les progrès de la physiopathologie ont permis une meilleure compréhension de la symptomatologie et des connexions avec des manifestations à distance, que ce soit des céphalées, des pseudovertiges, des manifestations ophtalmologiques ou oto-rhino-laryngologiques (ORL), des douleurs référées. Le torticolis de l'adulte ou de l'enfant est un cas particulier avec de nombreuses étiologies. Les formes symptomatiques sont nombreuses, parfois de réalité discutable. Se placent ici : la névralgie d'Arnold, le syndrome de l'angulaire de l'omoplate, l'arthrose cervicale (association plutôt que cause), les formes post-traumatiques, rarement graves, dont le coup de fouet cervical, et des formes inquiétantes : tumorales, infectieuses, vasculaires, rhumatismes inflammatoires, etc. ; ainsi que d'autres plus bénignes : syndrome d'Eagle, syndrome de l'os hyoïde, syndrome cervicolingual, parfois impressionnantes en cas de pathologie microcristalline. L'imagerie répond au désir d'éliminer une cause grave ; elle doit être envisagée avec modération. Les difficultés diagnostiques sont multiples avec des affections locales ou distantes. Une multitude de traitements ont été proposés empiriquement, la plupart efficaces. La névralgie cervicobrachiale (NCB) comporte une douleur cervicale et une douleur de topographie radiculaire dans l'un ou les deux membres supérieurs. Les causes les plus fréquentes de la NCB commune sont la hernie discale cervicale, et surtout le conflit radiculaire consécutif à un rétrécissement dégénératif du foramen intervertébral avec une composante mécanique et une composante inflammatoire. La douleur est associée à des troubles objectifs sensitifs, moteurs et réflexes. Des radiographies du rachis cervical sont licites, alors qu'imagerie par résonance magnétique (IRM) et tomodensitométrie (TDM) doivent être limitées aux cas non résolutifs ou dans l'optique d'un acte invasif. L'exploration électrique est une aide pour le diagnostic différentiel qui se fait surtout avec des plexopathies et des neuropathies tronculaires, parfois avec une myélopathie cervicarthrosique. Les NCB symptomatiques, peu nombreuses, sont souvent des formes potentiellement graves, d'origine rachidienne ou intrarachidienne : traumatiques, tumorales plus souvent malignes que bénignes, infectieuses, rhumatismes inflammatoires, etc. Le traitement des NCB communes est avant tout médical : maintien si possible de l'activité, collier cervical, tractions vertébrales, acupuncture, antalgiques, anti-inflammatoires non stéroïdiens, myorelaxants, physiothérapie, kinésithérapie, etc. Manipulations et injections sont déconseillées. Le traitement chirurgical ne se conçoit qu'après échec d'un traitement médical bien conduit ou bien en cas d'indication de chirurgie en urgence. Note de contenu : Introduction
Cervicalgie commune
Cervicalgie commune
Cervicalgies symptomatiques
Imagerie
Diagnostic différentiel
Traitement
Névralgies cervicobrachiales
Névralgies cervicobrachiales communes
Névralgies cervicobrachiales symptomatiques
TraitementPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43461
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 11 numéro 2 (Avril 2016) . - 15-831-A-10 [Tome 7][article] Cervicalgie commune et névralgies cervicobrachiales [texte imprimé] / C.H. Roux ; N. Bronsard . - 2016 . - 15-831-A-10 [Tome 7].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 11 numéro 2 (Avril 2016) . - 15-831-A-10 [Tome 7]
Mots-clés : Cervicalgie commune Névralgie cervicobrachiale (NCB) Torticolis Névralgie d'Arnold Arthrose cervicale Coup de fouet cervical Hernie discale cervicale Conflit radiculaire Traitement médical des cervicalgies communes Traitement médical des NCB Traitement chirurgical de la NCB Résumé : Dans les cervicalgies communes, aucune cause ou lésion avérée ne peut généralement être retenue. Très fréquentes, elles ont des conséquences financières importantes. Les progrès de la physiopathologie ont permis une meilleure compréhension de la symptomatologie et des connexions avec des manifestations à distance, que ce soit des céphalées, des pseudovertiges, des manifestations ophtalmologiques ou oto-rhino-laryngologiques (ORL), des douleurs référées. Le torticolis de l'adulte ou de l'enfant est un cas particulier avec de nombreuses étiologies. Les formes symptomatiques sont nombreuses, parfois de réalité discutable. Se placent ici : la névralgie d'Arnold, le syndrome de l'angulaire de l'omoplate, l'arthrose cervicale (association plutôt que cause), les formes post-traumatiques, rarement graves, dont le coup de fouet cervical, et des formes inquiétantes : tumorales, infectieuses, vasculaires, rhumatismes inflammatoires, etc. ; ainsi que d'autres plus bénignes : syndrome d'Eagle, syndrome de l'os hyoïde, syndrome cervicolingual, parfois impressionnantes en cas de pathologie microcristalline. L'imagerie répond au désir d'éliminer une cause grave ; elle doit être envisagée avec modération. Les difficultés diagnostiques sont multiples avec des affections locales ou distantes. Une multitude de traitements ont été proposés empiriquement, la plupart efficaces. La névralgie cervicobrachiale (NCB) comporte une douleur cervicale et une douleur de topographie radiculaire dans l'un ou les deux membres supérieurs. Les causes les plus fréquentes de la NCB commune sont la hernie discale cervicale, et surtout le conflit radiculaire consécutif à un rétrécissement dégénératif du foramen intervertébral avec une composante mécanique et une composante inflammatoire. La douleur est associée à des troubles objectifs sensitifs, moteurs et réflexes. Des radiographies du rachis cervical sont licites, alors qu'imagerie par résonance magnétique (IRM) et tomodensitométrie (TDM) doivent être limitées aux cas non résolutifs ou dans l'optique d'un acte invasif. L'exploration électrique est une aide pour le diagnostic différentiel qui se fait surtout avec des plexopathies et des neuropathies tronculaires, parfois avec une myélopathie cervicarthrosique. Les NCB symptomatiques, peu nombreuses, sont souvent des formes potentiellement graves, d'origine rachidienne ou intrarachidienne : traumatiques, tumorales plus souvent malignes que bénignes, infectieuses, rhumatismes inflammatoires, etc. Le traitement des NCB communes est avant tout médical : maintien si possible de l'activité, collier cervical, tractions vertébrales, acupuncture, antalgiques, anti-inflammatoires non stéroïdiens, myorelaxants, physiothérapie, kinésithérapie, etc. Manipulations et injections sont déconseillées. Le traitement chirurgical ne se conçoit qu'après échec d'un traitement médical bien conduit ou bien en cas d'indication de chirurgie en urgence. Note de contenu : Introduction
Cervicalgie commune
Cervicalgie commune
Cervicalgies symptomatiques
Imagerie
Diagnostic différentiel
Traitement
Névralgies cervicobrachiales
Névralgies cervicobrachiales communes
Névralgies cervicobrachiales symptomatiques
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Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Lomboradiculalgies persistantes ou récidivantes après traitement chirurgical / P. Vergne-Salle in EMC : Appareil locomoteur, Volume 11 numéro 2 (Avril 2016)
[article]
Titre : Lomboradiculalgies persistantes ou récidivantes après traitement chirurgical Type de document : texte imprimé Auteurs : P. Vergne-Salle Année de publication : 2016 Article en page(s) : 15-840-G-10 [Tome 7] Langues : Français (fre) Mots-clés : Lomboradiculalgie postopératoire Douleur postopératoire Douleur chronique Douleur neuropathique Chirurgie du rachis Résumé : Les douleurs lombaires et/ou radiculaires après chirurgie du rachis, nommées sous le terme anglo-saxon de failed back surgery syndrome, regroupent une constellation d'états pathologiques complexes multifactoriels où la douleur persiste au-delà de 3 mois après une chirurgie du rachis. Sa prise en charge repose sur une enquête minutieuse des caractéristiques de la douleur, du mode de survenue, des éléments cliniques et paracliniques préopératoires, des facteurs de chronicisation et des comorbidités associées. L'imagerie par résonance magnétique est l'examen d'imagerie de choix qui permet d'explorer tout d'abord une complication précoce infectieuse ou hémorragique, puis ensuite permet de faire un bilan lésionnel, notamment rechercher une récidive d'hernie discale, une absence de fusion vertébrale, des discopathies dégénératives, une sténose canalaire foraminale ou centrale, etc. Fréquemment, les lésions sont minimes et la discordance entre douleur, incapacité et imagerie peu parlante doit faire rechercher une douleur neuropathique. Quels que soient les facteurs étiologiques, l'évaluation et la prise en charge sont le plus souvent multidisciplinaires, favorisant le traitement médical en première intention. Celui-ci associe une réadaptation fonctionnelle, un traitement médicamenteux antalgique, antiépileptique ou antidépresseur en cas de douleur neuropathique, de la neurostimulation transcutanée, une prise en charge des troubles cognitifs, psychologiques ou des facteurs socioprofessionnels. Les indications d'une reprise chirurgicale sont peu fréquentes et doivent être discutées avec un chirurgien après évaluation complète clinique et paraclinique. Note de contenu : Introduction
Étiologies
Douleurs postopératoires d'apparition immédiate ou à court terme
Douleurs postopératoires à moyen et long terme
Évaluation
Caractéristiques de la douleur et histoire de la maladie
Évaluation clinique
Évaluation paraclinique
Prise en charge des douleurs du rachis opéré
Traitement conservateur
Traitement chirurgical
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43462
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 11 numéro 2 (Avril 2016) . - 15-840-G-10 [Tome 7][article] Lomboradiculalgies persistantes ou récidivantes après traitement chirurgical [texte imprimé] / P. Vergne-Salle . - 2016 . - 15-840-G-10 [Tome 7].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 11 numéro 2 (Avril 2016) . - 15-840-G-10 [Tome 7]
Mots-clés : Lomboradiculalgie postopératoire Douleur postopératoire Douleur chronique Douleur neuropathique Chirurgie du rachis Résumé : Les douleurs lombaires et/ou radiculaires après chirurgie du rachis, nommées sous le terme anglo-saxon de failed back surgery syndrome, regroupent une constellation d'états pathologiques complexes multifactoriels où la douleur persiste au-delà de 3 mois après une chirurgie du rachis. Sa prise en charge repose sur une enquête minutieuse des caractéristiques de la douleur, du mode de survenue, des éléments cliniques et paracliniques préopératoires, des facteurs de chronicisation et des comorbidités associées. L'imagerie par résonance magnétique est l'examen d'imagerie de choix qui permet d'explorer tout d'abord une complication précoce infectieuse ou hémorragique, puis ensuite permet de faire un bilan lésionnel, notamment rechercher une récidive d'hernie discale, une absence de fusion vertébrale, des discopathies dégénératives, une sténose canalaire foraminale ou centrale, etc. Fréquemment, les lésions sont minimes et la discordance entre douleur, incapacité et imagerie peu parlante doit faire rechercher une douleur neuropathique. Quels que soient les facteurs étiologiques, l'évaluation et la prise en charge sont le plus souvent multidisciplinaires, favorisant le traitement médical en première intention. Celui-ci associe une réadaptation fonctionnelle, un traitement médicamenteux antalgique, antiépileptique ou antidépresseur en cas de douleur neuropathique, de la neurostimulation transcutanée, une prise en charge des troubles cognitifs, psychologiques ou des facteurs socioprofessionnels. Les indications d'une reprise chirurgicale sont peu fréquentes et doivent être discutées avec un chirurgien après évaluation complète clinique et paraclinique. Note de contenu : Introduction
Étiologies
Douleurs postopératoires d'apparition immédiate ou à court terme
Douleurs postopératoires à moyen et long terme
Évaluation
Caractéristiques de la douleur et histoire de la maladie
Évaluation clinique
Évaluation paraclinique
Prise en charge des douleurs du rachis opéré
Traitement conservateur
Traitement chirurgical
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43462 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Affections de l'appareil locomoteur d'origine professionnelle / Y. Ronzi in EMC : Appareil locomoteur, Volume 11 numéro 2 (Avril 2016)
[article]
Titre : Affections de l'appareil locomoteur d'origine professionnelle Type de document : texte imprimé Auteurs : Y. Ronzi ; A. Petit ; Yves Roquelaure Année de publication : 2016 Article en page(s) : 15-918-A-20 [Tome 7] Langues : Français (fre) Mots-clés : Appareil locomoteur Troubles musculosquelettiques Maladies professionnelles Membre supérieur Rachis Résumé : Les troubles musculosquelettiques (TMS) sont des troubles de l'appareil locomoteur. Ils peuvent induire une gêne fonctionnelle et des douleurs. L'activité professionnelle peut jouer un rôle dans la genèse, le maintien ou l'aggravation de ces troubles. Ils affectent principalement les muscles, les tendons et les nerfs. Les TMS affectent le dos, les membres supérieurs et inférieurs. Enjeu majeur en termes de santé au travail, les TMS représentent près de 85 % du total des maladies professionnelles indemnisées. Liées à des facteurs de risque biomécaniques et psychosociaux, en lien avec l'organisation du travail, ces pathologies ont de lourdes conséquences : souffrance, arrêts de travail, handicap, absentéisme, etc. Elles mettent en jeu l'employabilité, en particulier des séniors, et sont sources d'inégalités sociales de santé. Les TMS et lombalgies représentent en effet la principale cause d'inaptitude au travail et la première cause d'invalidité avant 45 ans. Malgré les avancées accomplies en recherche et en prévention, les TMS continuent à s'accroître dans tous les secteurs d'activité. Afin que ces maladies ne deviennent pas chroniques, elles doivent être diagnostiquées et prises en charge précocement. Des solutions de prévention peuvent être mises en place. La prise en charge des TMS en milieu de travail nécessite de les détecter le plus précocement possible avec l'aide du médecin du travail. Celui-ci dispose d'outils tels que le questionnaire « Nordique » ou l'outil SALTSA de dépistage des principaux TMS. La prise en charge médicale (voire chirurgicale) doit être associée à l'adaptation du travail pour permettre au salarié de reprendre son activité progressivement et dans de meilleures conditions. Cette prise en charge coordonnée des différents acteurs médicaux, sociaux et professionnels est indispensable dans les cas complexes pour éviter le risque d'incapacité prolongée, voire d'exclusion professionnelle. Note de contenu : Introduction
Troubles musculosquelettiques des membres supérieurs
Définition et problématique
Contexte d'apparition
Évaluation clinique
Prévention des troubles musculosquelettiques liés à l'activité professionnelle
Principes de la prise en charge thérapeutique des troubles musculosquelettiques
Cas particulier des troubles musculosquelettiques du rachis
Définition et problématique
Contexte d'apparition des lombalgies chez les travailleurs
Principes de la prise en charge des lombalgies chez les travailleurs
Reconnaissance en maladie professionnelle
Tableaux des maladies professionnelles pour les affections de l'appareil locomoteur
Conseiller la déclaration d'un trouble musculosquelettique en maladie professionnelle
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43463
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 11 numéro 2 (Avril 2016) . - 15-918-A-20 [Tome 7][article] Affections de l'appareil locomoteur d'origine professionnelle [texte imprimé] / Y. Ronzi ; A. Petit ; Yves Roquelaure . - 2016 . - 15-918-A-20 [Tome 7].
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in EMC : Appareil locomoteur > Volume 11 numéro 2 (Avril 2016) . - 15-918-A-20 [Tome 7]
Mots-clés : Appareil locomoteur Troubles musculosquelettiques Maladies professionnelles Membre supérieur Rachis Résumé : Les troubles musculosquelettiques (TMS) sont des troubles de l'appareil locomoteur. Ils peuvent induire une gêne fonctionnelle et des douleurs. L'activité professionnelle peut jouer un rôle dans la genèse, le maintien ou l'aggravation de ces troubles. Ils affectent principalement les muscles, les tendons et les nerfs. Les TMS affectent le dos, les membres supérieurs et inférieurs. Enjeu majeur en termes de santé au travail, les TMS représentent près de 85 % du total des maladies professionnelles indemnisées. Liées à des facteurs de risque biomécaniques et psychosociaux, en lien avec l'organisation du travail, ces pathologies ont de lourdes conséquences : souffrance, arrêts de travail, handicap, absentéisme, etc. Elles mettent en jeu l'employabilité, en particulier des séniors, et sont sources d'inégalités sociales de santé. Les TMS et lombalgies représentent en effet la principale cause d'inaptitude au travail et la première cause d'invalidité avant 45 ans. Malgré les avancées accomplies en recherche et en prévention, les TMS continuent à s'accroître dans tous les secteurs d'activité. Afin que ces maladies ne deviennent pas chroniques, elles doivent être diagnostiquées et prises en charge précocement. Des solutions de prévention peuvent être mises en place. La prise en charge des TMS en milieu de travail nécessite de les détecter le plus précocement possible avec l'aide du médecin du travail. Celui-ci dispose d'outils tels que le questionnaire « Nordique » ou l'outil SALTSA de dépistage des principaux TMS. La prise en charge médicale (voire chirurgicale) doit être associée à l'adaptation du travail pour permettre au salarié de reprendre son activité progressivement et dans de meilleures conditions. Cette prise en charge coordonnée des différents acteurs médicaux, sociaux et professionnels est indispensable dans les cas complexes pour éviter le risque d'incapacité prolongée, voire d'exclusion professionnelle. Note de contenu : Introduction
Troubles musculosquelettiques des membres supérieurs
Définition et problématique
Contexte d'apparition
Évaluation clinique
Prévention des troubles musculosquelettiques liés à l'activité professionnelle
Principes de la prise en charge thérapeutique des troubles musculosquelettiques
Cas particulier des troubles musculosquelettiques du rachis
Définition et problématique
Contexte d'apparition des lombalgies chez les travailleurs
Principes de la prise en charge des lombalgies chez les travailleurs
Reconnaissance en maladie professionnelle
Tableaux des maladies professionnelles pour les affections de l'appareil locomoteur
Conseiller la déclaration d'un trouble musculosquelettique en maladie professionnelle
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