[article] 
inAxelle > 253 (Juillet - Août 2023) . - p. 26-28

Titre :	Pas de souveraineté alimentaire sans féminisme populaire
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Manon Legrand
Année de publication :	2023
Article en page(s) :	p. 26-28
Note générale :	Issu du dossier "Manger ou être mangée ?"
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	Alimentation  Agriculture durable  Droit à l'alimentation  Féminisme  Femmes -- Droits  Femmes en agriculture  Politique agricole  Politique alimentaire
Résumé :	"Parce qu'elle désigne le droit des peuples à une alimentation saine, produite par des méthodes durables. Parce qu'elle défend le droit des populations locales à définir les politiques agricoles et alimentaires les mieux adaptées pour elles. Parce qu'elle place au coeur de la chaîne alimentaire non pas le marché et les entreprises mais les personnes - en majorité des femmes - qui sèment, récoltent, produisent, conservent, nourrissent... Pour tout ça et bien d'autres raisons encore, il semble évident que la souveraineté alimentaire, avec pour pilier l'agroécologie, oeuvre à l'émancipation des femmes. Mais pour que la souveraineté alimentaire leur garantisse une réelle autonomie et un renforcement, elle doit tenir compte des discriminations croisées, de la division sexuelle du travail, des obstacles et violences que subissent les femmes, des menaces sur leur droit. Décryptage."
Permalink :	./index.php?lvl=notice_display&id=112052

[article] Pas de souveraineté alimentaire sans féminisme populaire [texte imprimé] / Manon Legrand . - 2023 . - p. 26-28.
Issu du dossier "Manger ou être mangée ?"
Langues : Français (fre)
in Axelle > 253 (Juillet - Août 2023) . - p. 26-28

Mots-clés :	Alimentation  Agriculture durable  Droit à l'alimentation  Féminisme  Femmes -- Droits  Femmes en agriculture  Politique agricole  Politique alimentaire
Résumé :	"Parce qu'elle désigne le droit des peuples à une alimentation saine, produite par des méthodes durables. Parce qu'elle défend le droit des populations locales à définir les politiques agricoles et alimentaires les mieux adaptées pour elles. Parce qu'elle place au coeur de la chaîne alimentaire non pas le marché et les entreprises mais les personnes - en majorité des femmes - qui sèment, récoltent, produisent, conservent, nourrissent... Pour tout ça et bien d'autres raisons encore, il semble évident que la souveraineté alimentaire, avec pour pilier l'agroécologie, oeuvre à l'émancipation des femmes. Mais pour que la souveraineté alimentaire leur garantisse une réelle autonomie et un renforcement, elle doit tenir compte des discriminations croisées, de la division sexuelle du travail, des obstacles et violences que subissent les femmes, des menaces sur leur droit. Décryptage."
Permalink :	./index.php?lvl=notice_display&id=112052