Centre de Documentation Campus Montignies
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Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur OPPENHEIM-GLUCKMAN H. |
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Psychopathologie de la méconnaissance des troubles cognitifs et comportementaux des traumatisés crâniens sévères / OPPENHEIM-GLUCKMAN H. in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 46, n°1 (février 2003)
[article]
Titre : Psychopathologie de la méconnaissance des troubles cognitifs et comportementaux des traumatisés crâniens sévères Type de document : texte imprimé Auteurs : OPPENHEIM-GLUCKMAN H. ; Philippe Azouvi ; COLLASSON P. de ; DUMOND J. J. ; FAYOL P. Année de publication : 2003 Article en page(s) : p. 41-48 Mots-clés : Trouble comportement social Deuil Fonction cognitive Traumatisme crânien Résumé : Objectifs.-Explorer la méconnaissance du trouble cognitif et comportemental avec une approche psychopathologique. Patients.-Quinze patients avec un traumatisme crânien sévère en cours de suivi réadaptatif en externe par un centre de jour ou par des services hospitaliers comprenant des unités de réadaptation et de réinsertion (UEROS). Méthode.-Analyse de cas. Les données issues d'entretiens semi-directifs avec les patients et leur famille à au moins six mois de l'accident sont confrontées aux éléments fournis par la Patient Comptetency Rating Scale (PCRS) et la Neurobehavioural Rating Scale Revised (NRS-R). Résultats.-Neuf patients méconnaissent leurs troubles cognitifs et comportementaux selon la PCRS (Groupe I), six non (Groupe II). Il existe des phénomènes psychiques propres aux patients du groupe I. Certains seraient spécifiques au fait d'être cérébro-lésé, comme l'absence de représentation éprouvée du trouble cognitif et comportemental ou la difficulté à intégrer la maladie dans son espace psychique. D'autres ne sont pas spécifiques au fait d'être cérébro-lésé comme les difficultés du travail de deuil, des traits de personnalité, des mécanismes de défense. Plusieurs phénomènes psychiques coexistent chez un même patient. Conclusion.-Cette étude montre la complexité de la méconnaissance du trouble cognitif et comportemental et incite à poursuivre un travail de définition clinique et théorique de ce concept.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13400
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 46, n°1 (février 2003) . - p. 41-48[article] Psychopathologie de la méconnaissance des troubles cognitifs et comportementaux des traumatisés crâniens sévères [texte imprimé] / OPPENHEIM-GLUCKMAN H. ; Philippe Azouvi ; COLLASSON P. de ; DUMOND J. J. ; FAYOL P. . - 2003 . - p. 41-48.
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 46, n°1 (février 2003) . - p. 41-48
Mots-clés : Trouble comportement social Deuil Fonction cognitive Traumatisme crânien Résumé : Objectifs.-Explorer la méconnaissance du trouble cognitif et comportemental avec une approche psychopathologique. Patients.-Quinze patients avec un traumatisme crânien sévère en cours de suivi réadaptatif en externe par un centre de jour ou par des services hospitaliers comprenant des unités de réadaptation et de réinsertion (UEROS). Méthode.-Analyse de cas. Les données issues d'entretiens semi-directifs avec les patients et leur famille à au moins six mois de l'accident sont confrontées aux éléments fournis par la Patient Comptetency Rating Scale (PCRS) et la Neurobehavioural Rating Scale Revised (NRS-R). Résultats.-Neuf patients méconnaissent leurs troubles cognitifs et comportementaux selon la PCRS (Groupe I), six non (Groupe II). Il existe des phénomènes psychiques propres aux patients du groupe I. Certains seraient spécifiques au fait d'être cérébro-lésé, comme l'absence de représentation éprouvée du trouble cognitif et comportemental ou la difficulté à intégrer la maladie dans son espace psychique. D'autres ne sont pas spécifiques au fait d'être cérébro-lésé comme les difficultés du travail de deuil, des traits de personnalité, des mécanismes de défense. Plusieurs phénomènes psychiques coexistent chez un même patient. Conclusion.-Cette étude montre la complexité de la méconnaissance du trouble cognitif et comportemental et incite à poursuivre un travail de définition clinique et théorique de ce concept.
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtVécu des adolescents dont l'un des parents est cérébrolésé : étude préliminaire / OPPENHEIM-GLUCKMAN H. in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 48, n°9 (décembre 2005)
[article]
Titre : Vécu des adolescents dont l'un des parents est cérébrolésé : étude préliminaire Type de document : texte imprimé Auteurs : OPPENHEIM-GLUCKMAN H. ; Marie-Thérèse AESCHBACHER ; CHAMBRY J. ; GRAINDORGE C. ; MARIONI G. Année de publication : 2005 Article en page(s) : p.650-661 Mots-clés : Psychologie Parent Affectivité Adolescent Relation parent enfant Cérébro lésé Résumé : Objectifs.-Explorer le retentissement de la lésion cérébrale d'un parent sur les symptômes psycho-affectifs et le vécu des adolescents. Patients.-Onze adolescents entre treize et dix-huit ans ayant un parent cérébrolésé avec des séquelles cognitives. Méthode.-Analyse de cas multiples. Évaluation de l'anxiété et de la dépression par la R-CMAS et le BDI. Analyse qualitative d'un entretien semi-directif et du dessin de la famille. Résultats.-Score pathologique à la R-CMAS dans 18 % des cas, à la BDI dans 45 %. Passage à l'acte 36 % des cas, difficultés scolaires 73 % des cas, symptômes somatiques 45 % des cas. Sentiment d'isolement 64 % des cas, difficulté d'expression des sentiments dans la famille 82 % des cas. Maintien de la position symbolique du parent malade tous les cas. Rupture des processus de reconnaissance par l'adolescent de son parent cérébrolésé. 45 % des cas. L'adolescent s'attribue des caractéristiques de la partie malade de son parent. 55 % des cas. Sentiment d'insécurité dans tous les cas. Dessin de la ramille : anomalies de la représentation du corps des personnages, en particulier absence de mains ou mains sans doigts dans 91 % des cas, personnages vacillants et ou fantomatiques dans 82 %. Conclusion.-Avoir un parent cérébrolésé favorise des affects dépressifs, un sentiment de solitude et d'insécurité. La rupture des processus de reconnaissance par l'adolescent de son parent malade et l'identification aux caractéristiques de sa partie malade sont inquiétants. Les anomalies de la représentation des corps des personnages et les personnages vacillants et ou fantomatiques sont des traits caractéristiques.
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in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 48, n°9 (décembre 2005) . - p.650-661[article] Vécu des adolescents dont l'un des parents est cérébrolésé : étude préliminaire [texte imprimé] / OPPENHEIM-GLUCKMAN H. ; Marie-Thérèse AESCHBACHER ; CHAMBRY J. ; GRAINDORGE C. ; MARIONI G. . - 2005 . - p.650-661.
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 48, n°9 (décembre 2005) . - p.650-661
Mots-clés : Psychologie Parent Affectivité Adolescent Relation parent enfant Cérébro lésé Résumé : Objectifs.-Explorer le retentissement de la lésion cérébrale d'un parent sur les symptômes psycho-affectifs et le vécu des adolescents. Patients.-Onze adolescents entre treize et dix-huit ans ayant un parent cérébrolésé avec des séquelles cognitives. Méthode.-Analyse de cas multiples. Évaluation de l'anxiété et de la dépression par la R-CMAS et le BDI. Analyse qualitative d'un entretien semi-directif et du dessin de la famille. Résultats.-Score pathologique à la R-CMAS dans 18 % des cas, à la BDI dans 45 %. Passage à l'acte 36 % des cas, difficultés scolaires 73 % des cas, symptômes somatiques 45 % des cas. Sentiment d'isolement 64 % des cas, difficulté d'expression des sentiments dans la famille 82 % des cas. Maintien de la position symbolique du parent malade tous les cas. Rupture des processus de reconnaissance par l'adolescent de son parent cérébrolésé. 45 % des cas. L'adolescent s'attribue des caractéristiques de la partie malade de son parent. 55 % des cas. Sentiment d'insécurité dans tous les cas. Dessin de la ramille : anomalies de la représentation du corps des personnages, en particulier absence de mains ou mains sans doigts dans 91 % des cas, personnages vacillants et ou fantomatiques dans 82 %. Conclusion.-Avoir un parent cérébrolésé favorise des affects dépressifs, un sentiment de solitude et d'insécurité. La rupture des processus de reconnaissance par l'adolescent de son parent malade et l'identification aux caractéristiques de sa partie malade sont inquiétants. Les anomalies de la représentation des corps des personnages et les personnages vacillants et ou fantomatiques sont des traits caractéristiques.
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtVécu des enfants dont l'un des parents est cérébrolésé : étude préliminaire / OPPENHEIM-GLUCKMAN H. in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 46, n°8 (novembre 2003)
[article]
Titre : Vécu des enfants dont l'un des parents est cérébrolésé : étude préliminaire Type de document : texte imprimé Auteurs : OPPENHEIM-GLUCKMAN H. ; Marie-Thérèse AESCHBACHER ; CANNY-VERRIER F. ; MARIONI G. ; VIROLE B. Année de publication : 2003 Article en page(s) : p. 525-538 Résumé : Objectifs.-Explorer le retentissement de la lésion cérébrale d'un parent par la recherche des symptômes psycho-affectifs de l'enfant et par l'étude de son vécu subjectif. Patients.-Dix-neuf enfants entre six et 12 ans au moment de la recherche ayant un parent cérébrolésé avec des séquelles cognitives vivant à domicile. Méthode.-Analyse de cas. Passation d'un autoquestionnaire d'anxiété, le R-CMAS et analyse qualitative des données d'un entretien semi-directif et du dessin de la famille. Résultats.-Quatre enfants (21 %) présentaient une anxiété pathologique identifiée par le R-CMAS. L'entretien semi-directif montrait que 16 enfants (84 %) avaient une représentation de la lésion cérébrale. La place symbolique du parent cérébrolésé était maintenue dans tous les cas. Un enfant présentait des conduites impulsives. L'analyse du dessin de la famille montrait des personnages sans interaction entre eux dans 16 cas (84 %). Trois enfants (15 %) représentaient le handicap réel, et dix-sept (89 %) des anomalies de la représentation picturale du corps des personnages qui concernaient le parent cérébrolésé et d'autres membres de la famille. Un signe " pathognomonique " était l'absence de main ou la représentation de mains amputées dans 14 cas (73 %). Un autre était la présence de personnages vacillants, " dans les airs " ou représentés comme des fantômes dans 13 cas (68 %). Conclusion.-Malgré la présence de peu de symptômes psycho-affectifs et derrière une relative adaptation, il existe un impact fort du handicap du parent sur le vécu de l'enfant et sur sa perception du " corps familial".
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13496
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 46, n°8 (novembre 2003) . - p. 525-538[article] Vécu des enfants dont l'un des parents est cérébrolésé : étude préliminaire [texte imprimé] / OPPENHEIM-GLUCKMAN H. ; Marie-Thérèse AESCHBACHER ; CANNY-VERRIER F. ; MARIONI G. ; VIROLE B. . - 2003 . - p. 525-538.
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 46, n°8 (novembre 2003) . - p. 525-538
Résumé : Objectifs.-Explorer le retentissement de la lésion cérébrale d'un parent par la recherche des symptômes psycho-affectifs de l'enfant et par l'étude de son vécu subjectif. Patients.-Dix-neuf enfants entre six et 12 ans au moment de la recherche ayant un parent cérébrolésé avec des séquelles cognitives vivant à domicile. Méthode.-Analyse de cas. Passation d'un autoquestionnaire d'anxiété, le R-CMAS et analyse qualitative des données d'un entretien semi-directif et du dessin de la famille. Résultats.-Quatre enfants (21 %) présentaient une anxiété pathologique identifiée par le R-CMAS. L'entretien semi-directif montrait que 16 enfants (84 %) avaient une représentation de la lésion cérébrale. La place symbolique du parent cérébrolésé était maintenue dans tous les cas. Un enfant présentait des conduites impulsives. L'analyse du dessin de la famille montrait des personnages sans interaction entre eux dans 16 cas (84 %). Trois enfants (15 %) représentaient le handicap réel, et dix-sept (89 %) des anomalies de la représentation picturale du corps des personnages qui concernaient le parent cérébrolésé et d'autres membres de la famille. Un signe " pathognomonique " était l'absence de main ou la représentation de mains amputées dans 14 cas (73 %). Un autre était la présence de personnages vacillants, " dans les airs " ou représentés comme des fantômes dans 13 cas (68 %). Conclusion.-Malgré la présence de peu de symptômes psycho-affectifs et derrière une relative adaptation, il existe un impact fort du handicap du parent sur le vécu de l'enfant et sur sa perception du " corps familial".
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