[article] 
inLe Sociographe > HS 15 (Novembre 2022) . - p. 105-119

Titre :	La jeunesse n’est-elle réellement qu’un mot ? : Essentialisation et catégorisation à l’épreuve des travailleurs sociaux
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Christophe Dargère ; Jonathan Collin
Année de publication :	2022
Article en page(s) :	p. 105-119
Note générale :	https://doi.org/10.3917/graph1.hs015.0105
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	Action sociale  Ethique  Jeunesse  Langage  Représentation  Stigmate social
Résumé :	Les auteurs explorent les expressions ayant cours dans des dispositifs d’accompagnement socio-éducatif. Ils mettent en évidence que le mot « jeune » peut être une catégorie « fourre-tout » ou être associée à d’autres éléments qui conduisent au stigmate. Ces processus amènent à simplifier la situation des individus aux vulnérabilités multiples et à réduire l’accompagnement social au stigmate identifié. La réaction sociale découle alors des catégories employées et n’est pas sans conséquence sur les représentations sociales véhiculées à l’égard de ces jeunes. En conclusion, les auteurs proposent d’interroger l’éthique du langage employé pour penser l’action différemment.
Permalink :	./index.php?lvl=notice_display&id=107812

[article] La jeunesse n’est-elle réellement qu’un mot ? : Essentialisation et catégorisation à l’épreuve des travailleurs sociaux [texte imprimé] / Christophe Dargère ; Jonathan Collin . - 2022 . - p. 105-119.
https://doi.org/10.3917/graph1.hs015.0105
Langues : Français (fre)
in Le Sociographe > HS 15 (Novembre 2022) . - p. 105-119

Mots-clés :	Action sociale  Ethique  Jeunesse  Langage  Représentation  Stigmate social
Résumé :	Les auteurs explorent les expressions ayant cours dans des dispositifs d’accompagnement socio-éducatif. Ils mettent en évidence que le mot « jeune » peut être une catégorie « fourre-tout » ou être associée à d’autres éléments qui conduisent au stigmate. Ces processus amènent à simplifier la situation des individus aux vulnérabilités multiples et à réduire l’accompagnement social au stigmate identifié. La réaction sociale découle alors des catégories employées et n’est pas sans conséquence sur les représentations sociales véhiculées à l’égard de ces jeunes. En conclusion, les auteurs proposent d’interroger l’éthique du langage employé pour penser l’action différemment.
Permalink :	./index.php?lvl=notice_display&id=107812