Centre de Documentation du Campus Mons
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[article]
Titre : |
Mesures anticipées en psychiatrie et bipolarité |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Aurélie TINLAND |
Année de publication : |
2023 |
Article en page(s) : |
p. 68-71 |
Note générale : |
Issu du dossier : "Clinique de l'épisode maniaque" |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Autonomisation Malades mentaux -- Soins Personne de confiance Troubles bipolaires
|
Résumé : |
"Les personnes qui vivent avec des troubles bipolaires expérimentent des fluctuations extrêmes de leur humeur, dans lesquelles leurs capacités décisionnelles peuvent être altérées. La succession de crises plus ou moins graves leur permet d'identifier ce qui est utile et ce qui doit être évité, et cette connaissance est le socle des plans de crise. De plus, comparativement à d'autres troubles psychiques, les personnes bipolaires ont un rétablissement post-crise souvent plus rapide qui favorise l'élaboration." |
Note de contenu : |
Notes bibliographiques |
in Santé mentale > 277 (Avril 2023) . - p. 68-71
[article] Mesures anticipées en psychiatrie et bipolarité [texte imprimé] / Aurélie TINLAND . - 2023 . - p. 68-71. Issu du dossier : "Clinique de l'épisode maniaque" Langues : Français ( fre) in Santé mentale > 277 (Avril 2023) . - p. 68-71
Catégories : |
Autonomisation Malades mentaux -- Soins Personne de confiance Troubles bipolaires
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Résumé : |
"Les personnes qui vivent avec des troubles bipolaires expérimentent des fluctuations extrêmes de leur humeur, dans lesquelles leurs capacités décisionnelles peuvent être altérées. La succession de crises plus ou moins graves leur permet d'identifier ce qui est utile et ce qui doit être évité, et cette connaissance est le socle des plans de crise. De plus, comparativement à d'autres troubles psychiques, les personnes bipolaires ont un rétablissement post-crise souvent plus rapide qui favorise l'élaboration." |
Note de contenu : |
Notes bibliographiques |
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Exemplaires
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[article] "Mon pauvre esprit est en plein tour de manège" [texte imprimé] / Elise Godest . - 2023 . - p. 30-35. Issu du dossier : "Clinique de l'épisode maniaque" Langues : Français ( fre) in Santé mentale > 277 (Avril 2023) . - p. 30-35 |
Exemplaires
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: kit de survie à l'usage des soignants
Exemplaires (1)
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L9813 | 616.89 PLO | Livre | HELHA Campus Mons | Livres | Disponible |
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[article]
Titre : |
Patrimoine génétique et troubles bipolaires |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Stéphane Jamain |
Année de publication : |
2021 |
Article en page(s) : |
p. 26-29 |
Note générale : |
Cet article fait partie du dossier " Approche familiale des troubles bipolaires" |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Génétique Hérédité Troubles bipolaires
|
Résumé : |
"Si la génétique explique fortement la prévalence accrue de troubles bipolaires dans certaines familles, il n’y a pourtant pas de fatalité. Des personnes peuvent avoir un risque génétique important sans toutefois déclencher la maladie. Focus sur la recherche.
Depuis de nombreuses années, l’exploration du caractère familial des troubles bipolaires (TB) fait partie des pratiques cliniques de routine. Nous savons en effet que le risque de développer un TB augmente significativement dans les familles où cette pathologie a déjà été diagnostiquée et que ce risque est d’autant plus important que le degré de parenté avec la personne malade ou que le nombre de personnes atteintes dans une famille est élevé. Les grandes études épidémiologiques récentes sur des populations entières par exemple estiment un risque multiplié par 10 de développer un tel trouble lorsqu’un parent ou un frère ou une sœur en sont atteints par rapport au risque de la population générale (Lichtenstein et al., 2009). Ce risque de récurrence atteint les 50?% dans le cas de couples de jumeaux monozygotes (Kieseppä et al., 2004). Ces données nous permettent d’estimer une héritabilité pour les troubles bipolaires, c’est-à-dire la part de la maladie expliquée par le patrimoine génétique, entre 60?% et 80?% selon les études. Un taux supérieur à celui observé dans d’autres maladies à hérédité complexe comme la maladie de Crohn ou le diabète de type 2."
|
in Santé mentale > 258 (Mai 2021) . - p. 26-29
[article] Patrimoine génétique et troubles bipolaires [texte imprimé] / Stéphane Jamain . - 2021 . - p. 26-29. Cet article fait partie du dossier " Approche familiale des troubles bipolaires" Langues : Français ( fre) in Santé mentale > 258 (Mai 2021) . - p. 26-29
Catégories : |
Génétique Hérédité Troubles bipolaires
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Résumé : |
"Si la génétique explique fortement la prévalence accrue de troubles bipolaires dans certaines familles, il n’y a pourtant pas de fatalité. Des personnes peuvent avoir un risque génétique important sans toutefois déclencher la maladie. Focus sur la recherche.
Depuis de nombreuses années, l’exploration du caractère familial des troubles bipolaires (TB) fait partie des pratiques cliniques de routine. Nous savons en effet que le risque de développer un TB augmente significativement dans les familles où cette pathologie a déjà été diagnostiquée et que ce risque est d’autant plus important que le degré de parenté avec la personne malade ou que le nombre de personnes atteintes dans une famille est élevé. Les grandes études épidémiologiques récentes sur des populations entières par exemple estiment un risque multiplié par 10 de développer un tel trouble lorsqu’un parent ou un frère ou une sœur en sont atteints par rapport au risque de la population générale (Lichtenstein et al., 2009). Ce risque de récurrence atteint les 50?% dans le cas de couples de jumeaux monozygotes (Kieseppä et al., 2004). Ces données nous permettent d’estimer une héritabilité pour les troubles bipolaires, c’est-à-dire la part de la maladie expliquée par le patrimoine génétique, entre 60?% et 80?% selon les études. Un taux supérieur à celui observé dans d’autres maladies à hérédité complexe comme la maladie de Crohn ou le diabète de type 2."
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Exemplaires
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: en 37 notions
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