Idées reçues sur le logement social / Jean-Marc Stébé

Public ISBD Titre : Idées reçues sur le logement social Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Marc Stébé ; Hervé Marchal ; Marc Bertier Editeur : Paris : le Cavalier bleu éditions Année de publication : 2016 Collection : Idées reçues, ISSN 1625-9157 Importance : 124 p. Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-84670-885-2 Langues : Français (fre) Catégories : Logement social -- France Préjugés Index. décimale : 365 Logement Note de contenu : Bibliogr. p. 123 Idées reçues sur le logement social [texte imprimé] / Jean-Marc Stébé ; Hervé Marchal ; Marc Bertier . - Paris : le Cavalier bleu éditions, 2016 . - 124 p. ; 18 cm. - (Idées reçues, ISSN 1625-9157) . ISBN : 978-2-84670-885-2 Langues : Français (fre) Catégories : Logement social -- France Préjugés Index. décimale : 365 Logement Note de contenu : Bibliogr. p. 123

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Transaction sociale, Économie sociale et solidaire, Émancipation. Hommage à Jean Remy [Dossier] / Maurice Blanc in Pensée plurielle, 55 (2022/1)  

Public ISBD [article]  inPensée plurielle > 55 (2022/1) . - p. 7-204 Titre : Transaction sociale, Économie sociale et solidaire, Émancipation. Hommage à Jean Remy [Dossier] Type de document : texte imprimé Auteurs : Maurice Blanc ; Nicolas Faysse ; Josiane Stoessel-Ritz ; Josiane Stoessel-Ritz ; Hervé Marchal ; Maurice Blanc ; Christophe Gibout ; Josiane Stoessel-Ritz ; Casimiro Balsa ; Jonathan Collin ; Rachida Larinouna ; Alexandre Fauquette ; Benoît Cordelier ; Lamia Bouadi ; Manuel Boutet ; Eve Saint-Germes ; Emeline Hassenforder ; Houssem Braiki ; Guillaume Lestrelin Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 7-204 Langues : Français (fre) Catégories : Économie sociale et solidaire Emancipation Individu et société Sociologie Transaction sociale Résumé : "Jean Remy nous a quittés en novembre 2019, quelques jours après avoir terminé un ouvrage de synthèse essentiel et qui tient lieu de testament : La transaction sociale. Un outil pour penser et dénouer la complexité de la vie en société (paru en 2020). Professeur de sociologie à l’université catholique de Louvain, il est surtout connu pour ses travaux sur l’urbain et le rural, ainsi que sur la religion ; mais il a abordé bien d’autres domaines, le SIDA par exemple ([1994] 2020). Avec la complicité de Liliane Voyé et Émile Servais, J. Remy est l’inventeur du paradigme de la transaction sociale ([1978] 1991). Il se méfiait de la rigidité des théories et il disait : « le paradigme, c’est une manière de faire de la sociologie ». C’est une démarche qui part du terrain et qui est étroitement liée à une vision du monde qui considère le conflit comme un facteur essentiel du changement social, à condition de le surmonter. Le conflit est un signal d’alarme qui prévient de l’émergence d’un problème auquel il faudra tôt ou tard apporter une solution. « La concurrence est une modalité d’expression d’un régime de solidarité et d’expression entre acteurs. La régulation de celle-ci est un aspect de la transaction. Elle n’est pourtant pas l’élément clé […]. La transaction est liée à un type de solidarité qui […] est compatible avec un élargissement de l’individuation. […] La notion de transaction prend tout son sens dans de tels contextes, où la solidarité et l’individuation s’entrecroisent. […] La transaction englobe la négociation sans s’y réduire » (Remy, 1994 : 302). La démarche de J. Remy est proche de celle des anthropologues ; économiste de formation, il est devenu un sociologue reconnu et respecté. Il part du terrain et il voit la théorie et le paradigme comme des outils qui peuvent être bien ou mal utilisés. Il reprend l’image célèbre de « la longue-vue qui peut se transformer en œillères » (Merton, [1949] 1965 : 24) : la longue-vue permet de voir des choses invisibles à l’œil nu, mais en réduisant considérablement le champ de vision. Ce qui est gagné en profondeur est perdu en extension. Il en va de même pour la théorie, mais J. Remy ne la rejette pas, au contraire." En ligne : https://cairn-cdocs.helha.be/revue-pensee-plurielle-2022-1.htm [article] Transaction sociale, Économie sociale et solidaire, Émancipation. Hommage à Jean Remy [Dossier] [texte imprimé] / Maurice Blanc ; Nicolas Faysse ; Josiane Stoessel-Ritz ; Josiane Stoessel-Ritz ; Hervé Marchal ; Maurice Blanc ; Christophe Gibout ; Josiane Stoessel-Ritz ; Casimiro Balsa ; Jonathan Collin ; Rachida Larinouna ; Alexandre Fauquette ; Benoît Cordelier ; Lamia Bouadi ; Manuel Boutet ; Eve Saint-Germes ; Emeline Hassenforder ; Houssem Braiki ; Guillaume Lestrelin . - 2022 . - p. 7-204. Langues : Français (fre) in Pensée plurielle > 55 (2022/1) . - p. 7-204 Catégories : Économie sociale et solidaire Emancipation Individu et société Sociologie Transaction sociale Résumé : "Jean Remy nous a quittés en novembre 2019, quelques jours après avoir terminé un ouvrage de synthèse essentiel et qui tient lieu de testament : La transaction sociale. Un outil pour penser et dénouer la complexité de la vie en société (paru en 2020). Professeur de sociologie à l’université catholique de Louvain, il est surtout connu pour ses travaux sur l’urbain et le rural, ainsi que sur la religion ; mais il a abordé bien d’autres domaines, le SIDA par exemple ([1994] 2020). Avec la complicité de Liliane Voyé et Émile Servais, J. Remy est l’inventeur du paradigme de la transaction sociale ([1978] 1991). Il se méfiait de la rigidité des théories et il disait : « le paradigme, c’est une manière de faire de la sociologie ». C’est une démarche qui part du terrain et qui est étroitement liée à une vision du monde qui considère le conflit comme un facteur essentiel du changement social, à condition de le surmonter. Le conflit est un signal d’alarme qui prévient de l’émergence d’un problème auquel il faudra tôt ou tard apporter une solution. « La concurrence est une modalité d’expression d’un régime de solidarité et d’expression entre acteurs. La régulation de celle-ci est un aspect de la transaction. Elle n’est pourtant pas l’élément clé […]. La transaction est liée à un type de solidarité qui […] est compatible avec un élargissement de l’individuation. […] La notion de transaction prend tout son sens dans de tels contextes, où la solidarité et l’individuation s’entrecroisent. […] La transaction englobe la négociation sans s’y réduire » (Remy, 1994 : 302). La démarche de J. Remy est proche de celle des anthropologues ; économiste de formation, il est devenu un sociologue reconnu et respecté. Il part du terrain et il voit la théorie et le paradigme comme des outils qui peuvent être bien ou mal utilisés. Il reprend l’image célèbre de « la longue-vue qui peut se transformer en œillères » (Merton, [1949] 1965 : 24) : la longue-vue permet de voir des choses invisibles à l’œil nu, mais en réduisant considérablement le champ de vision. Ce qui est gagné en profondeur est perdu en extension. Il en va de même pour la théorie, mais J. Remy ne la rejette pas, au contraire." En ligne : https://cairn-cdocs.helha.be/revue-pensee-plurielle-2022-1.htm

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La transaction sociale incertaine : une audace anthropologique bienvenue / Hervé Marchal in Pensée plurielle, 55 (2022/1)  

Public ISBD [article]  inPensée plurielle > 55 (2022/1) . - p. 21-30 Titre : La transaction sociale incertaine : une audace anthropologique bienvenue Type de document : texte imprimé Auteurs : Hervé Marchal Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 21-30 Note générale : Issu du dossier "Transaction sociale, Économie sociale et solidaire, Émancipation. Hommage à Jean Remy" Langues : Français (fre) Catégories : Altérité (philosophie) Anthropologie Économie sociale et solidaire Emancipation Individu et société Sociologie Transaction sociale Résumé : "À aucun moment, la méthode de la transaction sociale n’a versé dans une anthropologie exclusive et mutilante, si bien que Jean Remy donne à penser et à réaliser une approche de la vie sociale où s’esquisse un art sociologique : œuvrer à faire société en prenant acte des multiples facettes naturelles de l’être humain. La démarche proposée plaide pour un pluralisme anthropologique contraire à toute hégémonie conceptuelle et pour une réhabilitation de toute l’épaisseur humaine de chacun, au cœur des situations concrètes observées." Note de contenu : Bibliographie p. 29-30 En ligne : https://cairn-cdocs.helha.be/revue-pensee-plurielle-2022-1-page-21.htm?contenu=a [...] [article] La transaction sociale incertaine : une audace anthropologique bienvenue [texte imprimé] / Hervé Marchal . - 2022 . - p. 21-30. Issu du dossier "Transaction sociale, Économie sociale et solidaire, Émancipation. Hommage à Jean Remy" Langues : Français (fre) in Pensée plurielle > 55 (2022/1) . - p. 21-30 Catégories : Altérité (philosophie) Anthropologie Économie sociale et solidaire Emancipation Individu et société Sociologie Transaction sociale Résumé : "À aucun moment, la méthode de la transaction sociale n’a versé dans une anthropologie exclusive et mutilante, si bien que Jean Remy donne à penser et à réaliser une approche de la vie sociale où s’esquisse un art sociologique : œuvrer à faire société en prenant acte des multiples facettes naturelles de l’être humain. La démarche proposée plaide pour un pluralisme anthropologique contraire à toute hégémonie conceptuelle et pour une réhabilitation de toute l’épaisseur humaine de chacun, au cœur des situations concrètes observées." Note de contenu : Bibliographie p. 29-30 En ligne : https://cairn-cdocs.helha.be/revue-pensee-plurielle-2022-1-page-21.htm?contenu=a [...]

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Vieillir dans un quartier urbain composé de pavillons / Hervé Marchal in Gérontologie et société, 152 (Mars 2017)

Public ISBD [article]  inGérontologie et société > 152 (Mars 2017) . - p. 27-40 Titre : Vieillir dans un quartier urbain composé de pavillons Type de document : texte imprimé Auteurs : Hervé Marchal Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 27-40 Langues : Français (fre) Catégories : Autonomie Personnes âgées -- Logement Solitude Vieillissement Résumé : "À partir d’entretiens et d’observations, l’article interroge le rapport au quartier de personnes âgées de plus de 80 ans habitant dans un vaste ensemble pavillonnaire. Les personnes âgées, résidant pour la plupart depuis de longues années au sein de leur quartier, considèrent celui-ci comme un espace de vie où il est possible d’ancrer son identité personnelle et sociale. Mais l’approche développée souligne également toute la pluralité et les nuances qu’il faut retenir pour saisir le rapport pluriel qui lie les plus « anciens » à leur quartier et à ses habitants. Aussi est-il mis en évidence combien le quartier devient étrange à mesure qu’il s’agrandit et combien en même temps il revêt les atours d’un village où il fait bon vivre dans son centre historique. Dans ce sens, le propos souligne de quelle manière le quartier est un support du quotidien à travers de multiples sociabilités informelles qui compensent des solidarités de voisinage distantes. Le quartier procure au final un sentiment d’existence à des personnes souffrant souvent de solitude en leur offrant un cadre social et territorial familier. Autrement dit, il participe pleinement du capital social et spatial des aînés qui y vivent, tout en garantissant une place dans le monde." Note de contenu : Issu du dossier "Habiter chez soi jusqu'au bout de sa vie" [article] Vieillir dans un quartier urbain composé de pavillons [texte imprimé] / Hervé Marchal . - 2017 . - p. 27-40. Langues : Français (fre) in Gérontologie et société > 152 (Mars 2017) . - p. 27-40 Catégories : Autonomie Personnes âgées -- Logement Solitude Vieillissement Résumé : "À partir d’entretiens et d’observations, l’article interroge le rapport au quartier de personnes âgées de plus de 80 ans habitant dans un vaste ensemble pavillonnaire. Les personnes âgées, résidant pour la plupart depuis de longues années au sein de leur quartier, considèrent celui-ci comme un espace de vie où il est possible d’ancrer son identité personnelle et sociale. Mais l’approche développée souligne également toute la pluralité et les nuances qu’il faut retenir pour saisir le rapport pluriel qui lie les plus « anciens » à leur quartier et à ses habitants. Aussi est-il mis en évidence combien le quartier devient étrange à mesure qu’il s’agrandit et combien en même temps il revêt les atours d’un village où il fait bon vivre dans son centre historique. Dans ce sens, le propos souligne de quelle manière le quartier est un support du quotidien à travers de multiples sociabilités informelles qui compensent des solidarités de voisinage distantes. Le quartier procure au final un sentiment d’existence à des personnes souffrant souvent de solitude en leur offrant un cadre social et territorial familier. Autrement dit, il participe pleinement du capital social et spatial des aînés qui y vivent, tout en garantissant une place dans le monde." Note de contenu : Issu du dossier "Habiter chez soi jusqu'au bout de sa vie"

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