Centre de Documentation HELHa Tournai - Mouscron
Heures d'ouverture (période scolaire)
Après identification sur connected (ID et mot de passe), les membres de la Helha ont l'accès à Cinahl et à Cairn en passant par l'onglet "Bases de données" de ce catalogue et en cliquant sur le lien d'accès.
Tournai | Mouscron |
- lundi : 9h30-12h30 et 13h00-17h00 - mardi: 9h00-12h30 et 13h00-17h00 - mercredi: 9h00-12h30 et 13h00-17h30 - jeudi: 9h00-12h30 et 13h00-17h00 - vendredi: 09h00-17h00 | - lundi: 9h00 à 12h30 et 13h00 à 17h15 - mardi: 13h00 à 17h15 - mercredi: 13h00 à 17h15 - jeudi : 13h00 à 17h15 - vendredi: 13h00 à 17h00 |
Semaine du 18/11 à Tournai : Fermé mardi 19/11 en après-midi et jeudi 21/11 en matinée. Fermé mercredi à 17h00. Fermé vendredi entre 12 et 13h00.
Semaine du 25/11 à Tournai : Fermé vendredi 29/11 en matinée.
Semaine du 02/12 à Tournai : Horaire habituel.
Semaine du 18/11 à Mouscron : Horaire habituel
Semaine du 25/11 à Mouscron : Lundi: ouverture à 10h30.
Semaine du 11/11 à Mouscron : Fermé lundi (armistice)
Hygiènes . Vol. XXXII - n°2Mention de date : Mai 2024Paru le : 01/05/2024 |
Exemplaires (1)
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|---|
T010255 | HYG | Revue | Tournai | Soins infirmiers (T) | Disponible |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierEnquête sur la gestion des signalements d’infection nosocomiale dans l’application e-SIN par les centres d’appui pour la prévention des infections associées aux soins : présentation des résultat / Nathalie Floret ; Jean-Christophe Delarozière in Hygiènes, Vol. XXXII - n°2 (Mai 2024)
[article]
Titre : Enquête sur la gestion des signalements d’infection nosocomiale dans l’application e-SIN par les centres d’appui pour la prévention des infections associées aux soins : présentation des résultat Type de document : texte imprimé Auteurs : Nathalie Floret, Auteur ; Jean-Christophe Delarozière, Auteur Année de publication : 2024 Article en page(s) : p.115 Note générale : Doi : 10.25329/hy_xxxii_2_floret. Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Application numérique ; E:Enquête ; I:infection associée aux soins ; P:Prévention ; S:SignalementRésumé : Devant l’explosion du nombre de signalements d’infection nosocomiale via l’application e-SIN, Santé publique France (SPF) a mis en place un groupe de travail pour optimiser leur traitement. Dans ce cadre, SPF a souhaité savoir comment les centres d’appui pour la prévention des infections associées aux soins (CPias) étaient organisés pour la gestion des signalements. Pour ce faire, le réseau national des CPias a mené une enquête auprès des 17 CPias par entretiens semi-dirigés en octobre 2023. Vingt-deux responsables de signalement ont été identifiés et 54 professionnels sont mobilisés au total. À l’ouverture d’un signalement, cinq CPias contactent systématiquement l’établissement de santé signalant, les autres ne le font qu’en cas de présence de certains critères (cluster, caractéristiques du pathogène, demande d’appui de l’établissement…). Dans la plupart des CPias, il n’existe pas de règle pour positionner le niveau d’action. Les données du signalement sont utilisées par douze CPias pour des communications ou des retours d’expérience. Les CPias se réunissent régulièrement avec SPF (et éventuellement les agences régionales de santé) pour le suivi des signalements. Une harmonisation intra-CPias de la gestion des signalements est facilitée par des temps d’échange formels ou informels. En revanche, il est nécessaire de redéfinir un cadre au niveau national pour standardiser les modalités de gestion inter-CPias du signalement. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=54992
in Hygiènes > Vol. XXXII - n°2 (Mai 2024) . - p.115[article] Enquête sur la gestion des signalements d’infection nosocomiale dans l’application e-SIN par les centres d’appui pour la prévention des infections associées aux soins : présentation des résultat [texte imprimé] / Nathalie Floret, Auteur ; Jean-Christophe Delarozière, Auteur . - 2024 . - p.115.
Doi : 10.25329/hy_xxxii_2_floret.
Langues : Français (fre)
in Hygiènes > Vol. XXXII - n°2 (Mai 2024) . - p.115
Catégories : Alpha
A:Application numérique ; E:Enquête ; I:infection associée aux soins ; P:Prévention ; S:SignalementRésumé : Devant l’explosion du nombre de signalements d’infection nosocomiale via l’application e-SIN, Santé publique France (SPF) a mis en place un groupe de travail pour optimiser leur traitement. Dans ce cadre, SPF a souhaité savoir comment les centres d’appui pour la prévention des infections associées aux soins (CPias) étaient organisés pour la gestion des signalements. Pour ce faire, le réseau national des CPias a mené une enquête auprès des 17 CPias par entretiens semi-dirigés en octobre 2023. Vingt-deux responsables de signalement ont été identifiés et 54 professionnels sont mobilisés au total. À l’ouverture d’un signalement, cinq CPias contactent systématiquement l’établissement de santé signalant, les autres ne le font qu’en cas de présence de certains critères (cluster, caractéristiques du pathogène, demande d’appui de l’établissement…). Dans la plupart des CPias, il n’existe pas de règle pour positionner le niveau d’action. Les données du signalement sont utilisées par douze CPias pour des communications ou des retours d’expérience. Les CPias se réunissent régulièrement avec SPF (et éventuellement les agences régionales de santé) pour le suivi des signalements. Une harmonisation intra-CPias de la gestion des signalements est facilitée par des temps d’échange formels ou informels. En revanche, il est nécessaire de redéfinir un cadre au niveau national pour standardiser les modalités de gestion inter-CPias du signalement. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=54992 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T010255 HYG Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Intérêt de la comparaison génomique des souches de Clostridioides difficile dans les investigations de cas groupés / Isatis Aparicio ; Lydie Vallet-Tadeusz ; Lucien Brasme ; Odile Bajolet ; Annick Lefebvre in Hygiènes, Vol. XXXII - n°2 (Mai 2024)
[article]
Titre : Intérêt de la comparaison génomique des souches de Clostridioides difficile dans les investigations de cas groupés Type de document : texte imprimé Auteurs : Isatis Aparicio, Auteur ; Lydie Vallet-Tadeusz, Auteur ; Lucien Brasme, Auteur ; Odile Bajolet, Auteur ; Annick Lefebvre, Auteur Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 121-127 Note générale : Doi : 10.25329/hy_xxxii_2_aparicio. Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Analyse ; C:Clostridium difficile ; E:ÉpidémieRésumé : Contexte et objectif. Les infections à Clostridioides difficile sont la première cause de diarrhée infectieuse bactérienne nosocomiale chez l’adulte. Compte tenu du risque de transmission croisée, il est important de surveiller leur incidence et de détecter la survenue de cas groupés dans les unités de soins. Ces cas groupés sont investigués pour déterminer s’il s’agit d’une épidémie (transmission croisée) ou de cas non liés. Matériel et méthodes. Cette étude prospective inclut tous les résultats de prélèvements microbiologiques positifs en culture à C. difficile du centre hospitalier universitaire de Reims de 2012 à 2022. Chaque cas de C. difficile détecté au laboratoire de bactériologie est investigué par l’équipe opérationnelle d’hygiène à l’aide d’une grille de recueil. Les cas groupés au sein d’une même unité sont ensuite analysés au laboratoire de bactériologie par comparaison génomique des souches par PCR-RAPD, afin d’affirmer ou non l’épidémie. Résultats. Sur les 235 cas groupés de ces onze dernières années, on retrouve seulement 43 épisodes épidémiques (149 épisodes non épidémiques et 43 épisodes d’origine indéterminée), permettant d’éliminer une transmission croisée dans 63% des cas. Conclusion. L’élimination d’une transmission croisée dans 63% des cas grâce à la comparaison génomique conforte les équipes de soins dans leurs pratiques et contribue à cibler les services dans lesquels une intervention est nécessaire pour revoir l’application des précautions complémentaires. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=54993
in Hygiènes > Vol. XXXII - n°2 (Mai 2024) . - p. 121-127[article] Intérêt de la comparaison génomique des souches de Clostridioides difficile dans les investigations de cas groupés [texte imprimé] / Isatis Aparicio, Auteur ; Lydie Vallet-Tadeusz, Auteur ; Lucien Brasme, Auteur ; Odile Bajolet, Auteur ; Annick Lefebvre, Auteur . - 2024 . - p. 121-127.
Doi : 10.25329/hy_xxxii_2_aparicio.
Langues : Français (fre)
in Hygiènes > Vol. XXXII - n°2 (Mai 2024) . - p. 121-127
Catégories : Alpha
A:Analyse ; C:Clostridium difficile ; E:ÉpidémieRésumé : Contexte et objectif. Les infections à Clostridioides difficile sont la première cause de diarrhée infectieuse bactérienne nosocomiale chez l’adulte. Compte tenu du risque de transmission croisée, il est important de surveiller leur incidence et de détecter la survenue de cas groupés dans les unités de soins. Ces cas groupés sont investigués pour déterminer s’il s’agit d’une épidémie (transmission croisée) ou de cas non liés. Matériel et méthodes. Cette étude prospective inclut tous les résultats de prélèvements microbiologiques positifs en culture à C. difficile du centre hospitalier universitaire de Reims de 2012 à 2022. Chaque cas de C. difficile détecté au laboratoire de bactériologie est investigué par l’équipe opérationnelle d’hygiène à l’aide d’une grille de recueil. Les cas groupés au sein d’une même unité sont ensuite analysés au laboratoire de bactériologie par comparaison génomique des souches par PCR-RAPD, afin d’affirmer ou non l’épidémie. Résultats. Sur les 235 cas groupés de ces onze dernières années, on retrouve seulement 43 épisodes épidémiques (149 épisodes non épidémiques et 43 épisodes d’origine indéterminée), permettant d’éliminer une transmission croisée dans 63% des cas. Conclusion. L’élimination d’une transmission croisée dans 63% des cas grâce à la comparaison génomique conforte les équipes de soins dans leurs pratiques et contribue à cibler les services dans lesquels une intervention est nécessaire pour revoir l’application des précautions complémentaires. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=54993 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T010255 HYG Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Transmission respiratoire : vers de nouvelles recommandations / Olivia Keita-Perse in Hygiènes, Vol. XXXII - n°2 (Mai 2024)
[article]
Titre : Transmission respiratoire : vers de nouvelles recommandations Type de document : texte imprimé Auteurs : Olivia Keita-Perse, Auteur Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 129-132 Note générale : Doi : 10.25329/hy_xxxii_2_keita-perse Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Air ; G:Goutte ; P:Prévention ; R:Recommandation ; R:Risque infectieux ; T:Transmission (d'une maladie) ; V:VentilationRésumé : Depuis Hippocrate et sa théorie des « miasmes » transmis par l’air et occasionnant des maladies, les connaissances scientifiques relatives aux mécanismes de transmission des maladies infectieuses ont connu des progrès extraordinaires, avec des succès dans la prévention, comme lors de l’épidémie de choléra à Londres stoppée par John Snow (non, pas le héros de Games of Thrones, qui n’avait lui à sa disposition qu’une épée !), et des avancées majeures sur l’implication des micro-organismes dans la genèse des maladies infectieuses. À la fin du XIXe siècle, les expériences de Pasteur, Yersin, Koch puis surtout Flügge, avec ses travaux sur les sécrétions respiratoires et ses fameuses « gouttelettes » humides ou sèches, ont ouvert la voie à la notion de dichotomie de cette transmission par voie respiratoire, proposée par Wells et son épouse au début de XXe siècle (1934). Bien que très (trop) simplificatrice, cette dichotomie est finalement adoptée des décennies plus tard sous la forme d’une classification déformée et arbitraire des particules aéroportées selon leur taille, en gouttelettes respiratoires de grande taille (>5-10 μm, sédimentant au sol sur une distance <2 m) ou aérosols de petite taille (<5 μm, pouvant rétrécir par dessiccation, rester en suspension dans l’air et se déplacer sur de grandes distances) [1]. Elle sera la fondation de la position des Centers for Disease Control and Prevention1 (CDC), puis de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), qui classent les micro-organismes à transmission aéroportée en accord avec cette dichotomie arbitraire, et y associent des mesures de prévention spécifiques : transmission par les « gouttelettes respiratoires » pour les particules infectieuses >5 μm dont la prévention nécessite soit une distanciation physique de >1 m (voire 2 m pour les CDC), soit le port d’un masque à usage médical en cas de contact rapproché ; transmission par les « aérosols » (ou transmission « air ») pour les particules infectieuses <5 μm nécessitant le port d’un appareil de protection respiratoire de type FFP2. Dans son guide de recommandations pour la prévention de la transmission croisée par voie respiratoire air ou gouttelettes paru en 2013, la Société française d’hygiène hospitalière (SF2H) proposait des mesures de prévention en accord avec cette dichotomie [1]. Cependant, la récente crise sanitaire liée à la Covid-193 a « challengé », voire contesté, cette dichotomie et de nombreux articles scientifiques ont souligné et encore éclairci les mécanismes de la transmission aéroportée et la notion de continuum de tailles de gouttes respiratoires piégées, et précisé la modélisation de leur transport dans un nuage d’air turbulent et son évolution selon les conditions environnementales notamment. À l’issue de cette crise et pour en tirer des conclusions constructives, la SF2H a donc décidé d’approfondir le travail et de réactualiser ses recommandations de 2013 pour la prévention de la transmission par voie respiratoire air ou gouttelettes, et de s’appuyer sur deux piliers qui ont émergé des recommandations des experts internationaux : sortir de la dichotomie et baser la prévention sur une analyse de risque. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=54994
in Hygiènes > Vol. XXXII - n°2 (Mai 2024) . - p. 129-132[article] Transmission respiratoire : vers de nouvelles recommandations [texte imprimé] / Olivia Keita-Perse, Auteur . - 2024 . - p. 129-132.
Doi : 10.25329/hy_xxxii_2_keita-perse
Langues : Français (fre)
in Hygiènes > Vol. XXXII - n°2 (Mai 2024) . - p. 129-132
Catégories : Alpha
A:Air ; G:Goutte ; P:Prévention ; R:Recommandation ; R:Risque infectieux ; T:Transmission (d'une maladie) ; V:VentilationRésumé : Depuis Hippocrate et sa théorie des « miasmes » transmis par l’air et occasionnant des maladies, les connaissances scientifiques relatives aux mécanismes de transmission des maladies infectieuses ont connu des progrès extraordinaires, avec des succès dans la prévention, comme lors de l’épidémie de choléra à Londres stoppée par John Snow (non, pas le héros de Games of Thrones, qui n’avait lui à sa disposition qu’une épée !), et des avancées majeures sur l’implication des micro-organismes dans la genèse des maladies infectieuses. À la fin du XIXe siècle, les expériences de Pasteur, Yersin, Koch puis surtout Flügge, avec ses travaux sur les sécrétions respiratoires et ses fameuses « gouttelettes » humides ou sèches, ont ouvert la voie à la notion de dichotomie de cette transmission par voie respiratoire, proposée par Wells et son épouse au début de XXe siècle (1934). Bien que très (trop) simplificatrice, cette dichotomie est finalement adoptée des décennies plus tard sous la forme d’une classification déformée et arbitraire des particules aéroportées selon leur taille, en gouttelettes respiratoires de grande taille (>5-10 μm, sédimentant au sol sur une distance <2 m) ou aérosols de petite taille (<5 μm, pouvant rétrécir par dessiccation, rester en suspension dans l’air et se déplacer sur de grandes distances) [1]. Elle sera la fondation de la position des Centers for Disease Control and Prevention1 (CDC), puis de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), qui classent les micro-organismes à transmission aéroportée en accord avec cette dichotomie arbitraire, et y associent des mesures de prévention spécifiques : transmission par les « gouttelettes respiratoires » pour les particules infectieuses >5 μm dont la prévention nécessite soit une distanciation physique de >1 m (voire 2 m pour les CDC), soit le port d’un masque à usage médical en cas de contact rapproché ; transmission par les « aérosols » (ou transmission « air ») pour les particules infectieuses <5 μm nécessitant le port d’un appareil de protection respiratoire de type FFP2. Dans son guide de recommandations pour la prévention de la transmission croisée par voie respiratoire air ou gouttelettes paru en 2013, la Société française d’hygiène hospitalière (SF2H) proposait des mesures de prévention en accord avec cette dichotomie [1]. Cependant, la récente crise sanitaire liée à la Covid-193 a « challengé », voire contesté, cette dichotomie et de nombreux articles scientifiques ont souligné et encore éclairci les mécanismes de la transmission aéroportée et la notion de continuum de tailles de gouttes respiratoires piégées, et précisé la modélisation de leur transport dans un nuage d’air turbulent et son évolution selon les conditions environnementales notamment. À l’issue de cette crise et pour en tirer des conclusions constructives, la SF2H a donc décidé d’approfondir le travail et de réactualiser ses recommandations de 2013 pour la prévention de la transmission par voie respiratoire air ou gouttelettes, et de s’appuyer sur deux piliers qui ont émergé des recommandations des experts internationaux : sortir de la dichotomie et baser la prévention sur une analyse de risque. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=54994 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T010255 HYG Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Infirmier en thérapeutique anti-infectieuse au sein d’une équipe multidisciplinaire en antibiothérapie : missions et liens avec l’équipe opérationnelle d’hygiène / Charlotte Poux ; Alexandra Dubois ; Adrien Galy ; Raphaël Lepeule ; Jean-Winoc Decousser in Hygiènes, Vol. XXXII - n°2 (Mai 2024)
[article]
Titre : Infirmier en thérapeutique anti-infectieuse au sein d’une équipe multidisciplinaire en antibiothérapie : missions et liens avec l’équipe opérationnelle d’hygiène Type de document : texte imprimé Auteurs : Charlotte Poux, Auteur ; Alexandra Dubois, Auteur ; Adrien Galy, Auteur ; Raphaël Lepeule, Auteur ; Jean-Winoc Decousser, Auteur Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 133-139 Note générale : Doi : 10.25329/hy_xxxii_2_poux. Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Antibioprophylaxie ; A:Antibiothérapie ; A:Antibiotique ; E:Education thérapeutique du patient ; E:Equipe pluridisciplinaire ; I:Infirmière ; I:Infirmière hygiéniste ; M:Maladie infectieuse ; P:PréventionRésumé : Le bon usage des antibiotiques constitue un enjeu majeur de santé publique. Avec la lutte contre la transmission croisée, il permet de lutter contre la diffusion des bactéries multirésistantes. Pour faire face à ce défi, des équipes multidisciplinaires en antibiothérapie se sont mises en place dans de nombreux établissements de santé. Au côté des médecins infectiologues et des pharmaciens, des infirmiers en thérapeutique infectieuse ont bénéficié de formations et ont développé des compétences spécifiques dans différents domaines du bon usage des antibiotiques, tels que l’optimisation des protocoles d’administration des anti-infectieux à l’hôpital, le suivi des patients allergiques aux bêtalactamines et le choix de leur antibioprophylaxie lors d’interventions chirurgicales, ou la participation à la construction d’indicateurs et de supports de formation destinés au personnel paramédical et aux patients. Les domaines d’actions partagées avec les équipes opérationnelles d’hygiène sont nombreux : prévention des infections du site opératoire et des infections sur dispositif veineux à l’hôpital et au domicile des patients, lutte contre la diffusion des bactéries multirésistantes. En dehors des hôpitaux, les infirmiers en thérapeutique anti-infectieuse interviennent dans les établissements hébergeant des personnes âgées dépendantes en collaboration avec les infirmiers mobiles en hygiène. Dans un environnement complexe et multidisciplinaire, ils contribuent significativement au bon usage des antibiotiques, en synergie avec les différents acteurs de la lutte contre la résistance aux antibiotiques.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=54995
in Hygiènes > Vol. XXXII - n°2 (Mai 2024) . - p. 133-139[article] Infirmier en thérapeutique anti-infectieuse au sein d’une équipe multidisciplinaire en antibiothérapie : missions et liens avec l’équipe opérationnelle d’hygiène [texte imprimé] / Charlotte Poux, Auteur ; Alexandra Dubois, Auteur ; Adrien Galy, Auteur ; Raphaël Lepeule, Auteur ; Jean-Winoc Decousser, Auteur . - 2024 . - p. 133-139.
Doi : 10.25329/hy_xxxii_2_poux.
Langues : Français (fre)
in Hygiènes > Vol. XXXII - n°2 (Mai 2024) . - p. 133-139
Catégories : Alpha
A:Antibioprophylaxie ; A:Antibiothérapie ; A:Antibiotique ; E:Education thérapeutique du patient ; E:Equipe pluridisciplinaire ; I:Infirmière ; I:Infirmière hygiéniste ; M:Maladie infectieuse ; P:PréventionRésumé : Le bon usage des antibiotiques constitue un enjeu majeur de santé publique. Avec la lutte contre la transmission croisée, il permet de lutter contre la diffusion des bactéries multirésistantes. Pour faire face à ce défi, des équipes multidisciplinaires en antibiothérapie se sont mises en place dans de nombreux établissements de santé. Au côté des médecins infectiologues et des pharmaciens, des infirmiers en thérapeutique infectieuse ont bénéficié de formations et ont développé des compétences spécifiques dans différents domaines du bon usage des antibiotiques, tels que l’optimisation des protocoles d’administration des anti-infectieux à l’hôpital, le suivi des patients allergiques aux bêtalactamines et le choix de leur antibioprophylaxie lors d’interventions chirurgicales, ou la participation à la construction d’indicateurs et de supports de formation destinés au personnel paramédical et aux patients. Les domaines d’actions partagées avec les équipes opérationnelles d’hygiène sont nombreux : prévention des infections du site opératoire et des infections sur dispositif veineux à l’hôpital et au domicile des patients, lutte contre la diffusion des bactéries multirésistantes. En dehors des hôpitaux, les infirmiers en thérapeutique anti-infectieuse interviennent dans les établissements hébergeant des personnes âgées dépendantes en collaboration avec les infirmiers mobiles en hygiène. Dans un environnement complexe et multidisciplinaire, ils contribuent significativement au bon usage des antibiotiques, en synergie avec les différents acteurs de la lutte contre la résistance aux antibiotiques.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=54995 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T010255 HYG Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Épidémie d’Enterococcus faecium résistant à la vancomycine en contexte Covid-19 : investigation et stratégie de dépistage des patients contact en ville / Ivanne Le Roy ; Lucie Communier in Hygiènes, Vol. XXXII - n°2 (Mai 2024)
[article]
Titre : Épidémie d’Enterococcus faecium résistant à la vancomycine en contexte Covid-19 : investigation et stratégie de dépistage des patients contact en ville Type de document : texte imprimé Auteurs : Ivanne Le Roy, Auteur ; Lucie Communier, Auteur Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 141-146 Note générale : Doi : 10.25329/hy_xxxii_2_leroy. Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Antibiotique ; B:Bactérie multi- et hautement résistante ; D:Dépistage ; E:Enterococcus ; E:Épidémie ; P:Précaution complémentaire ; R:RésistanceRésumé : L’augmentation de la résistance bactérienne aux antibiotiques étant devenue préoccupante dans le monde, le Haut Conseil de la santé publique a émis en France des recommandations relatives à la maîtrise de la diffusion des bactéries hautement résistantes émergentes dès 2013. Entre décembre 2021 et avril 2022, alors que déferlait la cinquième vague de Covid-19, notre centre hospitalier a été confronté à une épidémie d’un clone d’entérocoque résistant à la vancomycine vanA : 31 patients porteurs et 1 115 patients contact ont été identifiés. En raison du potentiel de diffusion rapide de ce micro-organisme, d’importantes mesures de contrôle ont été mises en place. Dans ce contexte de pandémie, avec les difficultés de saturation en lits qui en découlaient et les contraintes architecturales propres à l’établissement, des mesures complémentaires aux recommandations nationales ont été envisagées. En accord avec les autorités sanitaires et la structure d’appui, une stratégie de dépistage des patients contact rentrés à domicile a été mise en œuvre afin de lever les précautions complémentaires avant réadmission. Pour ce faire, 660 courriers ont été adressés aux médecins traitants afin d’informer les patients contact et leur remettre une ordonnance pour trois examens de dépistage. Au total, 1 851 dépistages hors exposition ont été réalisés dont 45% en ville (n=832). Soixante-trois pour cent des patients contact ont été dépistés (n=705) et près de la moitié ont été retirés des listes de suivi (n=532) dont 55% grâce à un ou plusieurs examens de dépistage réalisés en ville (n=294). Cette stratégie a permis de soulager l’établissement et de prendre en charge chaque patient accueilli dans les conditions requises par son état de santé et adaptées à son statut infectieux.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=54996
in Hygiènes > Vol. XXXII - n°2 (Mai 2024) . - p. 141-146[article] Épidémie d’Enterococcus faecium résistant à la vancomycine en contexte Covid-19 : investigation et stratégie de dépistage des patients contact en ville [texte imprimé] / Ivanne Le Roy, Auteur ; Lucie Communier, Auteur . - 2024 . - p. 141-146.
Doi : 10.25329/hy_xxxii_2_leroy.
Langues : Français (fre)
in Hygiènes > Vol. XXXII - n°2 (Mai 2024) . - p. 141-146
Catégories : Alpha
A:Antibiotique ; B:Bactérie multi- et hautement résistante ; D:Dépistage ; E:Enterococcus ; E:Épidémie ; P:Précaution complémentaire ; R:RésistanceRésumé : L’augmentation de la résistance bactérienne aux antibiotiques étant devenue préoccupante dans le monde, le Haut Conseil de la santé publique a émis en France des recommandations relatives à la maîtrise de la diffusion des bactéries hautement résistantes émergentes dès 2013. Entre décembre 2021 et avril 2022, alors que déferlait la cinquième vague de Covid-19, notre centre hospitalier a été confronté à une épidémie d’un clone d’entérocoque résistant à la vancomycine vanA : 31 patients porteurs et 1 115 patients contact ont été identifiés. En raison du potentiel de diffusion rapide de ce micro-organisme, d’importantes mesures de contrôle ont été mises en place. Dans ce contexte de pandémie, avec les difficultés de saturation en lits qui en découlaient et les contraintes architecturales propres à l’établissement, des mesures complémentaires aux recommandations nationales ont été envisagées. En accord avec les autorités sanitaires et la structure d’appui, une stratégie de dépistage des patients contact rentrés à domicile a été mise en œuvre afin de lever les précautions complémentaires avant réadmission. Pour ce faire, 660 courriers ont été adressés aux médecins traitants afin d’informer les patients contact et leur remettre une ordonnance pour trois examens de dépistage. Au total, 1 851 dépistages hors exposition ont été réalisés dont 45% en ville (n=832). Soixante-trois pour cent des patients contact ont été dépistés (n=705) et près de la moitié ont été retirés des listes de suivi (n=532) dont 55% grâce à un ou plusieurs examens de dépistage réalisés en ville (n=294). Cette stratégie a permis de soulager l’établissement et de prendre en charge chaque patient accueilli dans les conditions requises par son état de santé et adaptées à son statut infectieux.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=54996 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T010255 HYG Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Le mois régional de la déclaration : une nouvelle façon d’aborder l’amélioration de la sécurité du patient, appliquée à la gestion des précautions contact / Isabelle Noyon-Seymour ; Ambre Beucher ; Sandrine Guisnel ; Raymond Nasso ; Antony Zubar ; Mélissa MARTIN in Hygiènes, Vol. XXXII - n°2 (Mai 2024)
[article]
Titre : Le mois régional de la déclaration : une nouvelle façon d’aborder l’amélioration de la sécurité du patient, appliquée à la gestion des précautions contact Type de document : texte imprimé Auteurs : Isabelle Noyon-Seymour, Auteur ; Ambre Beucher, Auteur ; Sandrine Guisnel, Auteur ; Raymond Nasso, Auteur ; Antony Zubar, Auteur ; Mélissa MARTIN, Auteur Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 149- Note générale : Doi : 10.25329/hy_xxxii_2_noyon. Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Amélioration ; P:Précaution complémentaire ; Q:Qualité des soins ; S:SécuritéRésumé : La structure régionale d’appui à la qualité des soins et à la sécurité des patients Oraqs-97.1 et le centre d’appui pour la prévention des infections associées aux soins des Îles de Guadeloupe (CPias IdG) se sont associés pour conduire une enquête auprès des professionnels des établissements de Guadeloupe sur les difficultés de gestion des précautions complémentaires contact (PCC). À travers un questionnaire détaillant le processus de gestion des PCC, les professionnels ont pu s’exprimer durant le « mois régional de la déclaration » du 1er juin au 15 juillet 2023. Les professionnels déclarent des difficultés concernant la gestion du matériel dédié aux PCC (39%), l’indisponibilité en temps réel de la prescription médicale adéquate (32%), la transmission défaillante de l’information au sein de l’équipe (32%), le défaut de connaissance sur les PCC (32%), le défaut d’information par le service « adresseur » du patient en PCC (28%), le défaut d’information par le laboratoire (21%). De manière plus inattendue, la majorité des professionnels déclarent des difficultés à communiquer avec le patient et son entourage sur les PCC : ils ont du mal à expliquer les PCC au patient (52%) ou à l’entourage (40%), et à faire respecter les PCC par le patient (59%) et par l’entourage (49%). Cette enquête sur la gestion des PCC a ainsi permis l’expression des difficultés particulières de communication, au-delà des classiques considérations d’observance. L’analyse des résultats a conduit à la définition d’un plan d’action comportant des accompagnements ciblés menés par le CPias et une offre de formation-action co-construite par l’Oraqs-97.1 et le CPias IdG pour étayer la communication des professionnels à travers des mises en situation.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=54997
in Hygiènes > Vol. XXXII - n°2 (Mai 2024) . - p. 149-[article] Le mois régional de la déclaration : une nouvelle façon d’aborder l’amélioration de la sécurité du patient, appliquée à la gestion des précautions contact [texte imprimé] / Isabelle Noyon-Seymour, Auteur ; Ambre Beucher, Auteur ; Sandrine Guisnel, Auteur ; Raymond Nasso, Auteur ; Antony Zubar, Auteur ; Mélissa MARTIN, Auteur . - 2024 . - p. 149-.
Doi : 10.25329/hy_xxxii_2_noyon.
Langues : Français (fre)
in Hygiènes > Vol. XXXII - n°2 (Mai 2024) . - p. 149-
Catégories : Alpha
A:Amélioration ; P:Précaution complémentaire ; Q:Qualité des soins ; S:SécuritéRésumé : La structure régionale d’appui à la qualité des soins et à la sécurité des patients Oraqs-97.1 et le centre d’appui pour la prévention des infections associées aux soins des Îles de Guadeloupe (CPias IdG) se sont associés pour conduire une enquête auprès des professionnels des établissements de Guadeloupe sur les difficultés de gestion des précautions complémentaires contact (PCC). À travers un questionnaire détaillant le processus de gestion des PCC, les professionnels ont pu s’exprimer durant le « mois régional de la déclaration » du 1er juin au 15 juillet 2023. Les professionnels déclarent des difficultés concernant la gestion du matériel dédié aux PCC (39%), l’indisponibilité en temps réel de la prescription médicale adéquate (32%), la transmission défaillante de l’information au sein de l’équipe (32%), le défaut de connaissance sur les PCC (32%), le défaut d’information par le service « adresseur » du patient en PCC (28%), le défaut d’information par le laboratoire (21%). De manière plus inattendue, la majorité des professionnels déclarent des difficultés à communiquer avec le patient et son entourage sur les PCC : ils ont du mal à expliquer les PCC au patient (52%) ou à l’entourage (40%), et à faire respecter les PCC par le patient (59%) et par l’entourage (49%). Cette enquête sur la gestion des PCC a ainsi permis l’expression des difficultés particulières de communication, au-delà des classiques considérations d’observance. L’analyse des résultats a conduit à la définition d’un plan d’action comportant des accompagnements ciblés menés par le CPias et une offre de formation-action co-construite par l’Oraqs-97.1 et le CPias IdG pour étayer la communication des professionnels à travers des mises en situation.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=54997 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T010255 HYG Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Diagnostic et prise en charge au laboratoire des infections à Mycoplasma pneumoniae, une toute petite bactérie qui n’a pas fini de livrer ses secrets / Bruno Pozzetto ; et al. in Hygiènes, Vol. XXXII - n°2 (Mai 2024)
[article]
Titre : Diagnostic et prise en charge au laboratoire des infections à Mycoplasma pneumoniae, une toute petite bactérie qui n’a pas fini de livrer ses secrets Type de document : texte imprimé Auteurs : Bruno Pozzetto, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 156-165 Note générale : Doi : 10.25329/hy_xxxii_2_labo Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
B:Bactérie multi- et hautement résistante ; I:Infection bactérienne ; I:Infection communautaire ; M:Mycoplasma pneumoniae ; S:SérologieRésumé : Après une quasi-disparition pendant la pandémie de Covid-19, Mycoplasma pneumoniae est responsable d’un rebond épidémique depuis l’été 2023. Cet agent pathogène est la plus petite bactérie connue en termes de taille (facteur 10 par rapport aux autres bacilles) et de taille de génome. Il est principalement responsable de pneumonies communautaires atypiques proches des pneumopathies virales chez les grands enfants et les adultes jeunes ; il peut aussi causer des infections extra-respiratoires, indépendamment ou non de la pneumonie. Son cycle est endémo-épidémique avec un pic survenant tous les trois à sept ans. La culture au laboratoire étant très laborieuse, le diagnostic repose en priorité sur la détection de l’ADN bactérien par technique d’amplification génique (TAG) dans les sécrétions respiratoires. La sérologie (présence d’anticorps de classe IgM ou sérovariation sur deux sérums prélevés à 10-15 jours d’écart) est utile pour authentifier certaines manifestations extra-respiratoires. Du fait de l’absence de paroi bactérienne, le traitement des infections à M. pneumoniae repose d’abord sur les macrolides et apparentés, sur les tétracyclines en cas d’intolérance ou de résistance aux macrolides et rarement sur les fluoroquinolones. Au cours des vingt dernières années, une très grande augmentation des résistances aux macrolides a été observée dans certaines régions du monde (actuellement autour de 2% en France), ce qui justifie de pouvoir documenter les cas d’infection aiguë par TAG pour éviter les antibiothérapies abusives ou inadaptées.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=54998
in Hygiènes > Vol. XXXII - n°2 (Mai 2024) . - p. 156-165[article] Diagnostic et prise en charge au laboratoire des infections à Mycoplasma pneumoniae, une toute petite bactérie qui n’a pas fini de livrer ses secrets [texte imprimé] / Bruno Pozzetto, Auteur ; et al., Auteur . - 2024 . - p. 156-165.
Doi : 10.25329/hy_xxxii_2_labo
Langues : Français (fre)
in Hygiènes > Vol. XXXII - n°2 (Mai 2024) . - p. 156-165
Catégories : Alpha
B:Bactérie multi- et hautement résistante ; I:Infection bactérienne ; I:Infection communautaire ; M:Mycoplasma pneumoniae ; S:SérologieRésumé : Après une quasi-disparition pendant la pandémie de Covid-19, Mycoplasma pneumoniae est responsable d’un rebond épidémique depuis l’été 2023. Cet agent pathogène est la plus petite bactérie connue en termes de taille (facteur 10 par rapport aux autres bacilles) et de taille de génome. Il est principalement responsable de pneumonies communautaires atypiques proches des pneumopathies virales chez les grands enfants et les adultes jeunes ; il peut aussi causer des infections extra-respiratoires, indépendamment ou non de la pneumonie. Son cycle est endémo-épidémique avec un pic survenant tous les trois à sept ans. La culture au laboratoire étant très laborieuse, le diagnostic repose en priorité sur la détection de l’ADN bactérien par technique d’amplification génique (TAG) dans les sécrétions respiratoires. La sérologie (présence d’anticorps de classe IgM ou sérovariation sur deux sérums prélevés à 10-15 jours d’écart) est utile pour authentifier certaines manifestations extra-respiratoires. Du fait de l’absence de paroi bactérienne, le traitement des infections à M. pneumoniae repose d’abord sur les macrolides et apparentés, sur les tétracyclines en cas d’intolérance ou de résistance aux macrolides et rarement sur les fluoroquinolones. Au cours des vingt dernières années, une très grande augmentation des résistances aux macrolides a été observée dans certaines régions du monde (actuellement autour de 2% en France), ce qui justifie de pouvoir documenter les cas d’infection aiguë par TAG pour éviter les antibiothérapies abusives ou inadaptées.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=54998 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T010255 HYG Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Mission nationale Prévention de l’antibiorésistance et des infections associées aux soins en établissements médico-sociaux et en soins de ville (Primo) 2023-2028 : trois volets pour deux secteurs / et al. ; Gabriel Birgand in Hygiènes, Vol. XXXII - n°2 (Mai 2024)
[article]
Titre : Mission nationale Prévention de l’antibiorésistance et des infections associées aux soins en établissements médico-sociaux et en soins de ville (Primo) 2023-2028 : trois volets pour deux secteurs Type de document : texte imprimé Auteurs : et al. ; Gabriel Birgand, Auteur Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 167-171 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Antibiotique ; B:Bactérie multi- et hautement résistante ; I:infection associée aux soins ; M:Mésusage ; R:Résistance aux antibiotiques ; S:SurveillanceRésumé : La mission nationale Prévention de l’antibiorésistance et des infections associées aux soins en établissements médico-sociaux et en soins de ville (Primo) est une des cinq missions nationales déléguées par Santé publique France (SpF) suite à un appel à projets destiné aux centres d’appui pour la prévention des infections associées aux soins (CPias) en 2017. Depuis 2018, la mission Primo a, dans son champ d’action, la prévention et le contrôle des infections associées aux soins (PCI) et la prévention et la surveillance de l’antibiorésistance dans les établissements sociaux et médico-sociaux (ESMS) et pour les soins de ville. Durant ces cinq années, l’équipe pluridisciplinaire de la mission (coordonnée par le CPias Pays de la Loire et en collaboration avec le CPias Grand Est) a élaboré et développé des outils d’aide pour les différents professionnels de santé, effectué des surveillances et accompagné les professionnels, notamment pendant la crise sanitaire. En octobre 2023, la nouvelle mandature de la mission Primo a débuté, accompagnée de plusieurs nouveautés : l’intégration d’un volet spécifique « Bon usage des antibiotiques » (BUA) en complément des deux volets déjà existants (PCI et antibiorésistance) et l’implication de nouveaux professionnels provenant de différentes régions (CPias Pays de la Loire et Auvergne-Rhône-Alpes, centres régionaux en antibiothérapie [CRAtb] Normandie et Pays de la Loire, Les amis d’Antibioclic1) (Figure 1). Cette mission coordonne diverses actions relatives à ces trois volets dans le but d’améliorer la qualité des soins et de réduire les risques d’infection associée aux soins (IAS) et l’antibiorésistance en France. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=54999
in Hygiènes > Vol. XXXII - n°2 (Mai 2024) . - p. 167-171[article] Mission nationale Prévention de l’antibiorésistance et des infections associées aux soins en établissements médico-sociaux et en soins de ville (Primo) 2023-2028 : trois volets pour deux secteurs [texte imprimé] / et al. ; Gabriel Birgand, Auteur . - 2024 . - p. 167-171.
Langues : Français (fre)
in Hygiènes > Vol. XXXII - n°2 (Mai 2024) . - p. 167-171
Catégories : Alpha
A:Antibiotique ; B:Bactérie multi- et hautement résistante ; I:infection associée aux soins ; M:Mésusage ; R:Résistance aux antibiotiques ; S:SurveillanceRésumé : La mission nationale Prévention de l’antibiorésistance et des infections associées aux soins en établissements médico-sociaux et en soins de ville (Primo) est une des cinq missions nationales déléguées par Santé publique France (SpF) suite à un appel à projets destiné aux centres d’appui pour la prévention des infections associées aux soins (CPias) en 2017. Depuis 2018, la mission Primo a, dans son champ d’action, la prévention et le contrôle des infections associées aux soins (PCI) et la prévention et la surveillance de l’antibiorésistance dans les établissements sociaux et médico-sociaux (ESMS) et pour les soins de ville. Durant ces cinq années, l’équipe pluridisciplinaire de la mission (coordonnée par le CPias Pays de la Loire et en collaboration avec le CPias Grand Est) a élaboré et développé des outils d’aide pour les différents professionnels de santé, effectué des surveillances et accompagné les professionnels, notamment pendant la crise sanitaire. En octobre 2023, la nouvelle mandature de la mission Primo a débuté, accompagnée de plusieurs nouveautés : l’intégration d’un volet spécifique « Bon usage des antibiotiques » (BUA) en complément des deux volets déjà existants (PCI et antibiorésistance) et l’implication de nouveaux professionnels provenant de différentes régions (CPias Pays de la Loire et Auvergne-Rhône-Alpes, centres régionaux en antibiothérapie [CRAtb] Normandie et Pays de la Loire, Les amis d’Antibioclic1) (Figure 1). Cette mission coordonne diverses actions relatives à ces trois volets dans le but d’améliorer la qualité des soins et de réduire les risques d’infection associée aux soins (IAS) et l’antibiorésistance en France. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=54999 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T010255 HYG Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible