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Psycho-Oncologie . Vol. 17, n°4Mention de date : 2023Paru le : 01/10/2023 |
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aucun exemplaire |
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Ajouter le résultat dans votre panierRevue narrative pour démêler les racines historiques des mythes entourant l’hypnose et discerner les faits / Dali Geagea in Psycho-Oncologie, Vol. 17, n°4 (2023)
[article]
Titre : Revue narrative pour démêler les racines historiques des mythes entourant l’hypnose et discerner les faits Type de document : document électronique Auteurs : Dali Geagea, Auteur Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 215-224 Note générale : https://doi.org/10.32604/po.2023.043338 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
H:Histoire ; H:Hypnose ; M:Mythe ; P:Preuve ; R:RevueRésumé : L’hypnose est une technique ayant une longue histoire d’utilisation dans des cadres médicaux et psychothérapeutiques. Au cours de la dernière décennie, de nombreuses recherches ont indiqué l’efficacité de l’hypnose pour divers maux physiologiques et psychologiques, notamment la douleur, la détresse et les troubles psychosomatiques. Cependant, l’adoption et l’acceptation de l’hypnose sont encore entravées par les mythes et les fausses idées qui persistent parmi le grand public et les cliniciens. Compte tenu du rôle important des cliniciens dans l’administration et l’acceptation des traitements médicaux et psychothérapeutiques, les cliniciens doivent être informés sur l’hypnose pour améliorer leurs points de vue et promouvoir leur adoption de cette intervention. Cette revue retrace les racines historiques des mythes entourant l’hypnose, tout en démêlant les idées erronées qui ont entravé son utilisation dans les milieux cliniques et de recherche. Nous espérons que cette revue pourra améliorer les connaissances des cliniciens et du public sur l’hypnose clinique et orienter la recherche vers une pratique de l’hypnose fondée sur des preuves. En ligne : https://www.techscience.com/PO/v17n4/55152/html Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=54620
in Psycho-Oncologie > Vol. 17, n°4 (2023) . - p. 215-224[article] Revue narrative pour démêler les racines historiques des mythes entourant l’hypnose et discerner les faits [document électronique] / Dali Geagea, Auteur . - 2023 . - p. 215-224.
https://doi.org/10.32604/po.2023.043338
Langues : Français (fre)
in Psycho-Oncologie > Vol. 17, n°4 (2023) . - p. 215-224
Catégories : Alpha
H:Histoire ; H:Hypnose ; M:Mythe ; P:Preuve ; R:RevueRésumé : L’hypnose est une technique ayant une longue histoire d’utilisation dans des cadres médicaux et psychothérapeutiques. Au cours de la dernière décennie, de nombreuses recherches ont indiqué l’efficacité de l’hypnose pour divers maux physiologiques et psychologiques, notamment la douleur, la détresse et les troubles psychosomatiques. Cependant, l’adoption et l’acceptation de l’hypnose sont encore entravées par les mythes et les fausses idées qui persistent parmi le grand public et les cliniciens. Compte tenu du rôle important des cliniciens dans l’administration et l’acceptation des traitements médicaux et psychothérapeutiques, les cliniciens doivent être informés sur l’hypnose pour améliorer leurs points de vue et promouvoir leur adoption de cette intervention. Cette revue retrace les racines historiques des mythes entourant l’hypnose, tout en démêlant les idées erronées qui ont entravé son utilisation dans les milieux cliniques et de recherche. Nous espérons que cette revue pourra améliorer les connaissances des cliniciens et du public sur l’hypnose clinique et orienter la recherche vers une pratique de l’hypnose fondée sur des preuves. En ligne : https://www.techscience.com/PO/v17n4/55152/html Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=54620 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire L’hypnose en oncologie pédiatrique / Jennifer Marini ; A. Vanhaudenhuyse ; Marie Lacasse ; Maud Jaspard ; Marie-Elisabeth Faymonville ; Hadrien Tasset ; Christophe F. Chantrain ; Charlotte Grégoire in Psycho-Oncologie, Vol. 17, n°4 (2023)
[article]
Titre : L’hypnose en oncologie pédiatrique Type de document : document électronique Auteurs : Jennifer Marini, Auteur ; A. Vanhaudenhuyse, Auteur ; Marie Lacasse, Auteur ; Maud Jaspard, Auteur ; Marie-Elisabeth Faymonville, Auteur ; Hadrien Tasset, Auteur ; Christophe F. Chantrain, Auteur ; Charlotte Grégoire, Auteur Année de publication : 2023 Article en page(s) : p.225-233 Note générale : https://doi.org/10.32604/po.2023.043341 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Antalgie ; B:Bienveillance ; H:Hypnose ; O:Oncologie ; P:Pédiatrie ; Q:Qualité de vieRésumé : L’hypnose est un état de conscience modifié qui a montré ses bénéfices pour la prise en charge de différents symptômes, principalement la douleur. Depuis peu, cette technique est également utilisée auprès d’adultes en oncologie afin d’améliorer d’autres symptômes, comme la détresse émotionnelle, la fatigue ou les difficultés de sommeil. En oncologie pédiatrique, l’hypnose est également utilisée afin de diminuer la douleur et l’anxiété liées à la maladie, aux traitements ou à des procédures médicales invasives. L’apprentissage de l’auto-hypnose et de l’auto-bienveillance permet par ailleurs une amélioration du bien- être chez les patients adultes, les enfants en traitement ou ayant été traités pour un cancer ainsi que chez leurs parents et leur fratrie. A travers plusieurs vignettes cliniques, nous décrirons l’implémentation des techniques hypnotiques et de l’autobienveillance au sein du service d’hémato-oncologie pédiatrique du CHC MontLégia (Liège, Belgique) et rapporterons les bénéfices observés. En ligne : https://www.techscience.com/PO/v17n4/55155/html Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=54626
in Psycho-Oncologie > Vol. 17, n°4 (2023) . - p.225-233[article] L’hypnose en oncologie pédiatrique [document électronique] / Jennifer Marini, Auteur ; A. Vanhaudenhuyse, Auteur ; Marie Lacasse, Auteur ; Maud Jaspard, Auteur ; Marie-Elisabeth Faymonville, Auteur ; Hadrien Tasset, Auteur ; Christophe F. Chantrain, Auteur ; Charlotte Grégoire, Auteur . - 2023 . - p.225-233.
https://doi.org/10.32604/po.2023.043341
Langues : Français (fre)
in Psycho-Oncologie > Vol. 17, n°4 (2023) . - p.225-233
Catégories : Alpha
A:Antalgie ; B:Bienveillance ; H:Hypnose ; O:Oncologie ; P:Pédiatrie ; Q:Qualité de vieRésumé : L’hypnose est un état de conscience modifié qui a montré ses bénéfices pour la prise en charge de différents symptômes, principalement la douleur. Depuis peu, cette technique est également utilisée auprès d’adultes en oncologie afin d’améliorer d’autres symptômes, comme la détresse émotionnelle, la fatigue ou les difficultés de sommeil. En oncologie pédiatrique, l’hypnose est également utilisée afin de diminuer la douleur et l’anxiété liées à la maladie, aux traitements ou à des procédures médicales invasives. L’apprentissage de l’auto-hypnose et de l’auto-bienveillance permet par ailleurs une amélioration du bien- être chez les patients adultes, les enfants en traitement ou ayant été traités pour un cancer ainsi que chez leurs parents et leur fratrie. A travers plusieurs vignettes cliniques, nous décrirons l’implémentation des techniques hypnotiques et de l’autobienveillance au sein du service d’hémato-oncologie pédiatrique du CHC MontLégia (Liège, Belgique) et rapporterons les bénéfices observés. En ligne : https://www.techscience.com/PO/v17n4/55155/html Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=54626 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire L’atteinte psychologique des patients marocains suivis pour hémopathie maligne et son impact sur leur qualité de vie / Maha Ouazzani ; Zineb El Khammar ; Nawal Oubelkacem ; Youssef Aboussaleh ; Hajar Masrour ; Moncef Maiouak ; Rhizlane Berrady in Psycho-Oncologie, Vol. 17, n°4 (2023)
[article]
Titre : L’atteinte psychologique des patients marocains suivis pour hémopathie maligne et son impact sur leur qualité de vie Type de document : document électronique Auteurs : Maha Ouazzani, Auteur ; Zineb El Khammar, Auteur ; Nawal Oubelkacem, Auteur ; Youssef Aboussaleh, Auteur ; Hajar Masrour, Auteur ; Moncef Maiouak, Auteur ; Rhizlane Berrady, Auteur Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 235-244 Note générale : https://doi.org/10.32604/po.2023.044831 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
H:Hémopathie ; O:Oncologie ; Q:Qualité de vie ; S:Santé mentale ; S:Santé psychologiqueRésumé : Introduction : la qualité de vie des patients suivis pour une hémopathie maligne dépend non seulement du type de la maladie, de ses caractéristiques cliniques, biologiques et thérapeutiques, mais aussi de la santé mentale du patient. L’objectif de notre étude est d’évaluer l’état psychologique des patients au diagnostic, de rechercher les facteurs associés à son altération et de préciser son impact sur la qualité de vie des patients. Méthode : nous avons mené une étude monocentrique transversale qui évalue la dépression, l’anxiété et la qualité de vie d’une population de patients atteints de syndromes lymphoprolifératifs sur une période de 22mois. Deux questionnaires ont été utilisés au moment du diagnostic : le HADS pour rechercher la dépression et l’anxiété et le SF12 échelle pour évaluer la qualité de vie liée à la santé. Résultat : Les cent patients ont accepté de répondre aux questionnaires. Ces patients sont suivis pour un lymphome malin non hodgkinien, une maladie de Hodgkin, et une leucémie lymphoïde chronique. Le sex-ratio (H/F) est de 1,08. La prévalence des symptômes anxieux est de 70% avec 95% CI (61,01% ; 78,99%) et des symptômes dépressifs de 76% avec 95% CI (49,4% ; 82,6%) des cas.En analyse univariée, le caractère féminin est associé aux symptômes anxieux (p = 0,008), et à l’altération de qualité de vie mentale (p = 0,02). Alors qu’en analyse multivariée, Les symptômes anxio-dépressifs sont significativement associés à un score de qualité de vie faible aussi bien mentale que physique. En plus les symptômes anxieux sont corrélés au sexe féminin (ORA = 20,50 ; 95% CI [1,58–264,48]) ; et la douleur (ORA = 12,33 ; 95% CI [1,07–141,77]). Conclusion : la recherche de comorbidités psychologiques doit faire partie du diagnostic initial de cette population vulnérable pour une meilleure qualité de vie. En ligne : https://www.techscience.com/PO/v17n4/55156/html Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=54628
in Psycho-Oncologie > Vol. 17, n°4 (2023) . - p. 235-244[article] L’atteinte psychologique des patients marocains suivis pour hémopathie maligne et son impact sur leur qualité de vie [document électronique] / Maha Ouazzani, Auteur ; Zineb El Khammar, Auteur ; Nawal Oubelkacem, Auteur ; Youssef Aboussaleh, Auteur ; Hajar Masrour, Auteur ; Moncef Maiouak, Auteur ; Rhizlane Berrady, Auteur . - 2023 . - p. 235-244.
https://doi.org/10.32604/po.2023.044831
Langues : Français (fre)
in Psycho-Oncologie > Vol. 17, n°4 (2023) . - p. 235-244
Catégories : Alpha
H:Hémopathie ; O:Oncologie ; Q:Qualité de vie ; S:Santé mentale ; S:Santé psychologiqueRésumé : Introduction : la qualité de vie des patients suivis pour une hémopathie maligne dépend non seulement du type de la maladie, de ses caractéristiques cliniques, biologiques et thérapeutiques, mais aussi de la santé mentale du patient. L’objectif de notre étude est d’évaluer l’état psychologique des patients au diagnostic, de rechercher les facteurs associés à son altération et de préciser son impact sur la qualité de vie des patients. Méthode : nous avons mené une étude monocentrique transversale qui évalue la dépression, l’anxiété et la qualité de vie d’une population de patients atteints de syndromes lymphoprolifératifs sur une période de 22mois. Deux questionnaires ont été utilisés au moment du diagnostic : le HADS pour rechercher la dépression et l’anxiété et le SF12 échelle pour évaluer la qualité de vie liée à la santé. Résultat : Les cent patients ont accepté de répondre aux questionnaires. Ces patients sont suivis pour un lymphome malin non hodgkinien, une maladie de Hodgkin, et une leucémie lymphoïde chronique. Le sex-ratio (H/F) est de 1,08. La prévalence des symptômes anxieux est de 70% avec 95% CI (61,01% ; 78,99%) et des symptômes dépressifs de 76% avec 95% CI (49,4% ; 82,6%) des cas.En analyse univariée, le caractère féminin est associé aux symptômes anxieux (p = 0,008), et à l’altération de qualité de vie mentale (p = 0,02). Alors qu’en analyse multivariée, Les symptômes anxio-dépressifs sont significativement associés à un score de qualité de vie faible aussi bien mentale que physique. En plus les symptômes anxieux sont corrélés au sexe féminin (ORA = 20,50 ; 95% CI [1,58–264,48]) ; et la douleur (ORA = 12,33 ; 95% CI [1,07–141,77]). Conclusion : la recherche de comorbidités psychologiques doit faire partie du diagnostic initial de cette population vulnérable pour une meilleure qualité de vie. En ligne : https://www.techscience.com/PO/v17n4/55156/html Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=54628 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Existe-t-il un profil spécifique de perception du risque de COVID-19 chez les personnes atteintes d’un cancer ? une étude transversale / Renaud Mabire-Yon ; Arnaud Siméone ; Thibaud Marmorat ; Anne-Sophie Petit ; Mathilde Perray ; Coztanza Puppo ; Charlotte Bauquier ; Claire Della Vecchia ; Hervé Picard ; M. Preau in Psycho-Oncologie, Vol. 17, n°4 (2023)
[article]
Titre : Existe-t-il un profil spécifique de perception du risque de COVID-19 chez les personnes atteintes d’un cancer ? une étude transversale Type de document : document électronique Auteurs : Renaud Mabire-Yon, Auteur ; Arnaud Siméone, Auteur ; Thibaud Marmorat, Auteur ; Anne-Sophie Petit, Auteur ; Mathilde Perray, Auteur ; Coztanza Puppo, Auteur ; Charlotte Bauquier, Auteur ; Claire Della Vecchia, Auteur ; Hervé Picard, Auteur ; M. Preau, Auteur Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 245-256 Note générale : https://doi.org/10.32604/po.2023.042296 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
C:Cancer ; C:Covid-19 ; F:Facteur socioéconomique ; R:Risque ; R:Risque psychosocialRésumé : Objectifs : Cette étude visait à déterminer si les personnes atteintes d’un cancer (PAC) présentaient un profil unique de perception du risque COVID-19 et à identifier les facteurs psychosociaux caractérisant les PAC qui n’appartenaient pas au profil majoritaire de perception du risque. Procédure : Une étude transversale par auto-questionnaire en ligne a été menée en France du 25 avril au 7 mai 2020, avec un échantillon (n = 748) comprenant des PAC, des personnes ne recevant pas de traitement contre le cancer et des personnes n’ayant pas d’antécédents de cancer. Des profils latents de perception du risque COVID-19 (PLPR) ont été établis. Méthodes : Une régression logistique multinomiale multivariée a été réalisée pour évaluer l’association entre le statut de cancer et l’appartenance au PLPR. Les caractéristiques des PLPR selon les différents profils ont été comparées. Résultats : Quatre profils se sont dégagés, allant d’une perception faible du risque à une perception haute du risque. Les PAC étaient plus susceptibles d’appartenir au profil « Percepteurs à haut risque » (aOR : 3,02; p < 0,001). Les PAC ne correspondant pas à ce profil avaient un niveau socio-économique perçu plus élevé (p < 0,05). La majorité des PAC avaient un profil commun de perception du risque COVID-19, principalement influencé par les connaissances médicales désignant le cancer comme un facteur de risque d’avoir une COVID-19 grave. Le niveau socio- économique perçu était un facteur déterminant de la perception des risques parmi les PAC. Conclusion : Les interventions visant à modifier la perception du risque de COVID-19 devraient tenir compte de ces facteurs, en mettant particulièrement l’accent sur les préoccupations liées à l’infection par le SRAS-CoV-2. En ligne : https://www.techscience.com/PO/v17n4/55154/html Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=54636
in Psycho-Oncologie > Vol. 17, n°4 (2023) . - p. 245-256[article] Existe-t-il un profil spécifique de perception du risque de COVID-19 chez les personnes atteintes d’un cancer ? une étude transversale [document électronique] / Renaud Mabire-Yon, Auteur ; Arnaud Siméone, Auteur ; Thibaud Marmorat, Auteur ; Anne-Sophie Petit, Auteur ; Mathilde Perray, Auteur ; Coztanza Puppo, Auteur ; Charlotte Bauquier, Auteur ; Claire Della Vecchia, Auteur ; Hervé Picard, Auteur ; M. Preau, Auteur . - 2023 . - p. 245-256.
https://doi.org/10.32604/po.2023.042296
Langues : Français (fre)
in Psycho-Oncologie > Vol. 17, n°4 (2023) . - p. 245-256
Catégories : Alpha
C:Cancer ; C:Covid-19 ; F:Facteur socioéconomique ; R:Risque ; R:Risque psychosocialRésumé : Objectifs : Cette étude visait à déterminer si les personnes atteintes d’un cancer (PAC) présentaient un profil unique de perception du risque COVID-19 et à identifier les facteurs psychosociaux caractérisant les PAC qui n’appartenaient pas au profil majoritaire de perception du risque. Procédure : Une étude transversale par auto-questionnaire en ligne a été menée en France du 25 avril au 7 mai 2020, avec un échantillon (n = 748) comprenant des PAC, des personnes ne recevant pas de traitement contre le cancer et des personnes n’ayant pas d’antécédents de cancer. Des profils latents de perception du risque COVID-19 (PLPR) ont été établis. Méthodes : Une régression logistique multinomiale multivariée a été réalisée pour évaluer l’association entre le statut de cancer et l’appartenance au PLPR. Les caractéristiques des PLPR selon les différents profils ont été comparées. Résultats : Quatre profils se sont dégagés, allant d’une perception faible du risque à une perception haute du risque. Les PAC étaient plus susceptibles d’appartenir au profil « Percepteurs à haut risque » (aOR : 3,02; p < 0,001). Les PAC ne correspondant pas à ce profil avaient un niveau socio-économique perçu plus élevé (p < 0,05). La majorité des PAC avaient un profil commun de perception du risque COVID-19, principalement influencé par les connaissances médicales désignant le cancer comme un facteur de risque d’avoir une COVID-19 grave. Le niveau socio- économique perçu était un facteur déterminant de la perception des risques parmi les PAC. Conclusion : Les interventions visant à modifier la perception du risque de COVID-19 devraient tenir compte de ces facteurs, en mettant particulièrement l’accent sur les préoccupations liées à l’infection par le SRAS-CoV-2. En ligne : https://www.techscience.com/PO/v17n4/55154/html Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=54636 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Etude exploratoire de l’intolérance à l’incertitude et de ses processus cognitifs par la tâche du Stroop chez les parents d’un enfant en rémission de cancer / Marie Vander Haegen ; Anne-Marie Etienne in Psycho-Oncologie, Vol. 17, n°4 (2023)
[article]
Titre : Etude exploratoire de l’intolérance à l’incertitude et de ses processus cognitifs par la tâche du Stroop chez les parents d’un enfant en rémission de cancer Type de document : document électronique Auteurs : Marie Vander Haegen, Auteur ; Anne-Marie Etienne, Auteur Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 257-266 Note générale : https://doi.org/10.32604/po.2023.043340 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
B:Belgique ; C:Cancer ; E:Enfant ; I:Incertitude ; P:Parent ; R:RémissionRésumé : Introduction. Aucune étude n’a examiné le lien entre le facteur d’intolérance à l’incertitude et ses effets sur les processus cognitifs de parents d’un enfant en rémission d’un cancer. L’intolérance à l’incertitude est un facteur central dans le trouble anxieux généralisé; trouble anxieux où l’on observe également un traitement altéré de l’information cognitive sous forme de biais cognitifs. L’objectif de l’étude est de mesurer via une tâche de Stroop test classique et de Stroop test émotionnel, l’orientation de l’attention sélective en lien avec le facteur d’intolérance à l’incertitude. Méthodes. Soixante et un parents d’un enfant en rémission d’un cancer (de 4 ans à 6 ans) ont été recrutés dans les hôpitaux de la Province de Liège (Belgique). Les parents ont remplis des questionnaires relatifs à l’intolérance à l’incertitude et ses facteurs associés (i.e., utilité de l’inquiétude, évitement cognitif, attitude en résolution de problèmes et ruminations) et réalisaient une tâche de Stroop test et de Stroop émotionnel. Des corrélations de Spearman et des régressions linéaires multiples ont été réalisées. Résultats. Les résultats indiquent des corrélations positives et significatives entre le stroop émotionnel (indice d’interférence négatif) et l’intolérance à l’incertitude mais également avec les pensées répétitives (ruminations) et les inquiétudes. Les régressions linéaires montrent que les symptômes dépressifs semblent contribuer à expliquer des latences plus longues pour la condition d’interférence (mot de couleur écrit dans une autre couleur). Conclusion. Des recommandations ont été publiées pour améliorer la prise en charge des parents d’un enfant en rémission de cancer mais des études neuropsychologiques centrées sur le parent sont encore nécessaires et à développer afin d’améliorer les initiatives de prévention et de détection de ces familles. En ligne : https://www.techscience.com/PO/v17n4/55153/html Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=54638
in Psycho-Oncologie > Vol. 17, n°4 (2023) . - p. 257-266[article] Etude exploratoire de l’intolérance à l’incertitude et de ses processus cognitifs par la tâche du Stroop chez les parents d’un enfant en rémission de cancer [document électronique] / Marie Vander Haegen, Auteur ; Anne-Marie Etienne, Auteur . - 2023 . - p. 257-266.
https://doi.org/10.32604/po.2023.043340
Langues : Français (fre)
in Psycho-Oncologie > Vol. 17, n°4 (2023) . - p. 257-266
Catégories : Alpha
B:Belgique ; C:Cancer ; E:Enfant ; I:Incertitude ; P:Parent ; R:RémissionRésumé : Introduction. Aucune étude n’a examiné le lien entre le facteur d’intolérance à l’incertitude et ses effets sur les processus cognitifs de parents d’un enfant en rémission d’un cancer. L’intolérance à l’incertitude est un facteur central dans le trouble anxieux généralisé; trouble anxieux où l’on observe également un traitement altéré de l’information cognitive sous forme de biais cognitifs. L’objectif de l’étude est de mesurer via une tâche de Stroop test classique et de Stroop test émotionnel, l’orientation de l’attention sélective en lien avec le facteur d’intolérance à l’incertitude. Méthodes. Soixante et un parents d’un enfant en rémission d’un cancer (de 4 ans à 6 ans) ont été recrutés dans les hôpitaux de la Province de Liège (Belgique). Les parents ont remplis des questionnaires relatifs à l’intolérance à l’incertitude et ses facteurs associés (i.e., utilité de l’inquiétude, évitement cognitif, attitude en résolution de problèmes et ruminations) et réalisaient une tâche de Stroop test et de Stroop émotionnel. Des corrélations de Spearman et des régressions linéaires multiples ont été réalisées. Résultats. Les résultats indiquent des corrélations positives et significatives entre le stroop émotionnel (indice d’interférence négatif) et l’intolérance à l’incertitude mais également avec les pensées répétitives (ruminations) et les inquiétudes. Les régressions linéaires montrent que les symptômes dépressifs semblent contribuer à expliquer des latences plus longues pour la condition d’interférence (mot de couleur écrit dans une autre couleur). Conclusion. Des recommandations ont été publiées pour améliorer la prise en charge des parents d’un enfant en rémission de cancer mais des études neuropsychologiques centrées sur le parent sont encore nécessaires et à développer afin d’améliorer les initiatives de prévention et de détection de ces familles. En ligne : https://www.techscience.com/PO/v17n4/55153/html Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=54638 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Evaluation du burnout du personnel soignant de l’Institut de Cancérologie d’Akanda / A. C. Filankembo Kava ; B. C. Ndjengue Bengono ; P. L. Nzamba Bissielou ; A. Kabena ; T. Mpami ; Ernest Belembaogo in Psycho-Oncologie, Vol. 17, n°4 (2023)
[article]
Titre : Evaluation du burnout du personnel soignant de l’Institut de Cancérologie d’Akanda Type de document : document électronique Auteurs : A. C. Filankembo Kava, Auteur ; B. C. Ndjengue Bengono, Auteur ; P. L. Nzamba Bissielou, Auteur ; A. Kabena, Auteur ; T. Mpami, Auteur ; Ernest Belembaogo, Auteur Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 267-273 Note générale : https://doi.org/10.32604/po.2023.044512 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Afrique subsaharienne ; D:Dépersonnalisation ; E:Epuisement professionnel ; I:Impact ; O:OncologieRésumé : Objectif. Le syndrome d’épuisement professionnel est fréquent chez les travailleurs de la santé en oncologie. Non diagnostiqué et incorrectement pris en charge, le burnout peut avoir un impact négatif sur le rendement professionnel. L’Institut de Cancérologie d’Akanda (ICA) est un centre hospitalier ultra-moderne qui se veut une référence en matière de prise en charge du cancer en Afrique centrale. L’objectif de l’étude est de mesurer la fréquence du burnout au sein du personnel soignant de l’Institut de Cancérologie d’Akanda et d’évaluer les principaux facteurs de risque. Patients et méthodes. Nous avons mené une étude transversale à l’Institut de cancérologie d’Akanda durant le mois de Janvier 2022. Le burnout a été évalué à l’aide du Maslach Burnout Inventory (MBI). Résultats. Sur les 42 participants, on notait une prédominance féminine (57,1%) avec un sexe ratio homme sur femme de 0,75. L’âge moyen était de 39,57 ± 8,13 ans. Les infirmiers représentaient plus de la moitié de l’échantillon (52,5%). La moyenne d’années de service à l’ICA était de 6,30 ± 4,80 ans. Une proportion de 35,7% des sujets présentaient un épuisement émotionnel. Quant à la dépersonnalisation sévère et la perte d’accomplissement sévère, elles étaient mesurées chez respectivement 14,3% et 31,0% des participants. Le burnout sévère a été retrouvé chez 14,3% des sujets. Il y avait une association significative entre l’épuisement émotionnel, les actes de violence et le soutien familial (p = 0,031; p = 0,042). Les sujets victimes d’actes de violence ont 5 fois plus de risque de développer un épuisement émotionnel sévère que les sujets non-victimes. Les sujets bénéficiant d’un soutien familial ont une réduction du risque de 82,6% de développer un épuisement émotionnel sévère. Il n’y avait pas d’association statistiquement significative entre les variables sociodémographiques ni professionnelles de l’échantillon et la dépersonnalisation ainsi qu’avec la perte d’accomplissement professionnel. Conclusion. Le burnout est relativement fréquent à l’ICA. Il est important de pouvoir l’identifier afin de prévenir les effets néfastes qu’il peut avoir sur l’état de santé physique et mentale du personnel, pouvant être responsable d’un impact négatif sur le fonctionnement du service et la prise en charge des patients. Un plaidoyer doit être émis à l’encontre du directeur afin de mettre en place des campagnes de sensibilisation pour l’identification du trouble et d’offrir un suivi psychologique. Note de contenu :
En ligne : https://www.techscience.com/PO/v17n4/55151/html Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=54639
in Psycho-Oncologie > Vol. 17, n°4 (2023) . - p. 267-273[article] Evaluation du burnout du personnel soignant de l’Institut de Cancérologie d’Akanda [document électronique] / A. C. Filankembo Kava, Auteur ; B. C. Ndjengue Bengono, Auteur ; P. L. Nzamba Bissielou, Auteur ; A. Kabena, Auteur ; T. Mpami, Auteur ; Ernest Belembaogo, Auteur . - 2023 . - p. 267-273.
https://doi.org/10.32604/po.2023.044512
Langues : Français (fre)
in Psycho-Oncologie > Vol. 17, n°4 (2023) . - p. 267-273
Catégories : Alpha
A:Afrique subsaharienne ; D:Dépersonnalisation ; E:Epuisement professionnel ; I:Impact ; O:OncologieRésumé : Objectif. Le syndrome d’épuisement professionnel est fréquent chez les travailleurs de la santé en oncologie. Non diagnostiqué et incorrectement pris en charge, le burnout peut avoir un impact négatif sur le rendement professionnel. L’Institut de Cancérologie d’Akanda (ICA) est un centre hospitalier ultra-moderne qui se veut une référence en matière de prise en charge du cancer en Afrique centrale. L’objectif de l’étude est de mesurer la fréquence du burnout au sein du personnel soignant de l’Institut de Cancérologie d’Akanda et d’évaluer les principaux facteurs de risque. Patients et méthodes. Nous avons mené une étude transversale à l’Institut de cancérologie d’Akanda durant le mois de Janvier 2022. Le burnout a été évalué à l’aide du Maslach Burnout Inventory (MBI). Résultats. Sur les 42 participants, on notait une prédominance féminine (57,1%) avec un sexe ratio homme sur femme de 0,75. L’âge moyen était de 39,57 ± 8,13 ans. Les infirmiers représentaient plus de la moitié de l’échantillon (52,5%). La moyenne d’années de service à l’ICA était de 6,30 ± 4,80 ans. Une proportion de 35,7% des sujets présentaient un épuisement émotionnel. Quant à la dépersonnalisation sévère et la perte d’accomplissement sévère, elles étaient mesurées chez respectivement 14,3% et 31,0% des participants. Le burnout sévère a été retrouvé chez 14,3% des sujets. Il y avait une association significative entre l’épuisement émotionnel, les actes de violence et le soutien familial (p = 0,031; p = 0,042). Les sujets victimes d’actes de violence ont 5 fois plus de risque de développer un épuisement émotionnel sévère que les sujets non-victimes. Les sujets bénéficiant d’un soutien familial ont une réduction du risque de 82,6% de développer un épuisement émotionnel sévère. Il n’y avait pas d’association statistiquement significative entre les variables sociodémographiques ni professionnelles de l’échantillon et la dépersonnalisation ainsi qu’avec la perte d’accomplissement professionnel. Conclusion. Le burnout est relativement fréquent à l’ICA. Il est important de pouvoir l’identifier afin de prévenir les effets néfastes qu’il peut avoir sur l’état de santé physique et mentale du personnel, pouvant être responsable d’un impact négatif sur le fonctionnement du service et la prise en charge des patients. Un plaidoyer doit être émis à l’encontre du directeur afin de mettre en place des campagnes de sensibilisation pour l’identification du trouble et d’offrir un suivi psychologique. Note de contenu :
En ligne : https://www.techscience.com/PO/v17n4/55151/html Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=54639 Exemplaires
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