Dépouillements

Fin de vie et vieillesse : double peine ou double chance ? / Régis Aubry in Gérontologie et Société, Vol. 42, n°163 (2020)

Public ISBD [article]  inGérontologie et Société > Vol. 42, n°163 (2020) . - p. 31-45 Titre : Fin de vie et vieillesse : double peine ou double chance ? : Pour une véritable politique d’accompagnement du vieillissement et de la fin de vie Type de document : texte imprimé Auteurs : Régis Aubry Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 31-45 Note générale : doi : 10.3917/gs1.163.0031 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha A:Accompagnement du patient ; F:Fin de vie ; I:Inclusion ; S:Système de santé ; V:Vieillesse ; V:Vieillissement Résumé : Au moment même où notre société semble prendre la mesure de la réalité de son vieillissement et où notre système de santé interroge sa propre adéquation à cette réalité, il apparaît essentiel de porter un regard sur la mort et sur la vieillesse qui y conduit afin de penser les enjeux majeurs pour notre société et pour notre système de santé futur. Cet article interroge ainsi les nouvelles formes de fin de vie concernant les personnes âgées, il montre le rapport ambigu que notre société entretient tant avec le vieillissement qu’avec la mort, le paradoxe entre les discours et les faits, entre le vieillissement effectif et l’insuffisance de son accompagnement dans notre société moderne. Il rappelle les mesures existantes ou en cours pour l’accompagnement du vieillissement et de la fin de la vie et envisage au final les pistes possibles pour une évolution vers une société inclusive à l’égard des personnes âgées les plus vulnérables, à la fin de leur existence. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45761 [article] Fin de vie et vieillesse : double peine ou double chance ? : Pour une véritable politique d’accompagnement du vieillissement et de la fin de vie [texte imprimé] / Régis Aubry . - 2020 . - p. 31-45. doi : 10.3917/gs1.163.0031 Langues : Français (fre) in Gérontologie et Société > Vol. 42, n°163 (2020) . - p. 31-45 Catégories : Alpha A:Accompagnement du patient ; F:Fin de vie ; I:Inclusion ; S:Système de santé ; V:Vieillesse ; V:Vieillissement Résumé : Au moment même où notre société semble prendre la mesure de la réalité de son vieillissement et où notre système de santé interroge sa propre adéquation à cette réalité, il apparaît essentiel de porter un regard sur la mort et sur la vieillesse qui y conduit afin de penser les enjeux majeurs pour notre société et pour notre système de santé futur. Cet article interroge ainsi les nouvelles formes de fin de vie concernant les personnes âgées, il montre le rapport ambigu que notre société entretient tant avec le vieillissement qu’avec la mort, le paradoxe entre les discours et les faits, entre le vieillissement effectif et l’insuffisance de son accompagnement dans notre société moderne. Il rappelle les mesures existantes ou en cours pour l’accompagnement du vieillissement et de la fin de la vie et envisage au final les pistes possibles pour une évolution vers une société inclusive à l’égard des personnes âgées les plus vulnérables, à la fin de leur existence. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45761

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Trajectoires de personnes âgées hospitalisées de façon non pertinente / Hélène Trimaille in Gérontologie et Société, Vol. 42, n°163 (2020)

Public ISBD [article]  inGérontologie et Société > Vol. 42, n°163 (2020) . - p. 47-62 Titre : Trajectoires de personnes âgées hospitalisées de façon non pertinente Type de document : texte imprimé Auteurs : Hélène Trimaille ; Régis Aubry ; Florence Mathieu-Nicot ; Cécile Cornet ; Thomas Tannou ; Aurélie Godard-Marceau ; Elodie Cretin ; Séverine Koeberle Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 47-62 Note générale : doi:10.3917/gs1.163.0047 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha A:Adaptation des soins ou des pratiques ; F:Fin de vie ; H:Hospitalisation ; P:Parcours de soins du patient ; P:Personne âgée ; P:Prise de décision Résumé : Certaines hospitalisations de personnes âgées sont qualifiées de « non pertinentes » parce qu’elles y reçoivent une prise en charge médicale, paramédicale et sociale qui pourrait être rendue à domicile ou dans des structures plus efficientes et mieux adaptées à leurs besoins ou à leurs situations. L’étude PAGE a pour objectif de comprendre les raisons des hospitalisations non pertinentes des personnes âgées ayant des troubles cognitifs légers à modérés et de décrire les conséquences sur la fin de leur vie. Comment penser, anticiper et adapter leurs besoins en aide et en soins relatifs à cette période de vie selon leurs souhaits ? 17 entretiens individuels semi-directifs ont été effectués auprès de personnes âgées, leur entourage personnel (n = 8) et professionnel (n = 14). Pour explorer leurs trajectoires, les entretiens ont été réalisés à leur entrée à l’hôpital puis renouvelés à chaque étape de leur parcours durant 6 mois. Les hospitalisations non pertinentes cristallisent la dénégation de la perte d’autonomie fonctionnelle. Alors que les personnes vivent des pertes, les discussions et prises de décisions pérennes quant à leur choix de fin de leur vie sont repoussées. Les hospitalisations non pertinentes surviennent lorsque ce quotidien n’est plus adapté et obligent l’entourage ou la personne âgée à prendre des décisions urgentes et contraires à leurs souhaits et besoins. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45762 [article] Trajectoires de personnes âgées hospitalisées de façon non pertinente [texte imprimé] / Hélène Trimaille ; Régis Aubry ; Florence Mathieu-Nicot ; Cécile Cornet ; Thomas Tannou ; Aurélie Godard-Marceau ; Elodie Cretin ; Séverine Koeberle . - 2020 . - p. 47-62. doi:10.3917/gs1.163.0047 Langues : Français (fre) in Gérontologie et Société > Vol. 42, n°163 (2020) . - p. 47-62 Catégories : Alpha A:Adaptation des soins ou des pratiques ; F:Fin de vie ; H:Hospitalisation ; P:Parcours de soins du patient ; P:Personne âgée ; P:Prise de décision Résumé : Certaines hospitalisations de personnes âgées sont qualifiées de « non pertinentes » parce qu’elles y reçoivent une prise en charge médicale, paramédicale et sociale qui pourrait être rendue à domicile ou dans des structures plus efficientes et mieux adaptées à leurs besoins ou à leurs situations. L’étude PAGE a pour objectif de comprendre les raisons des hospitalisations non pertinentes des personnes âgées ayant des troubles cognitifs légers à modérés et de décrire les conséquences sur la fin de leur vie. Comment penser, anticiper et adapter leurs besoins en aide et en soins relatifs à cette période de vie selon leurs souhaits ? 17 entretiens individuels semi-directifs ont été effectués auprès de personnes âgées, leur entourage personnel (n = 8) et professionnel (n = 14). Pour explorer leurs trajectoires, les entretiens ont été réalisés à leur entrée à l’hôpital puis renouvelés à chaque étape de leur parcours durant 6 mois. Les hospitalisations non pertinentes cristallisent la dénégation de la perte d’autonomie fonctionnelle. Alors que les personnes vivent des pertes, les discussions et prises de décisions pérennes quant à leur choix de fin de leur vie sont repoussées. Les hospitalisations non pertinentes surviennent lorsque ce quotidien n’est plus adapté et obligent l’entourage ou la personne âgée à prendre des décisions urgentes et contraires à leurs souhaits et besoins. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45762

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Se lever pour Vigiles. Tenir le coup pour vieillir et mourir au monastère / Laurent Amiotte-Suchet in Gérontologie et Société, Vol. 42, n°163 (2020)

Public ISBD [article]  inGérontologie et Société > Vol. 42, n°163 (2020) . - p. 63-75 Titre : Se lever pour Vigiles. Tenir le coup pour vieillir et mourir au monastère Type de document : texte imprimé Auteurs : Laurent Amiotte-Suchet ; Annick Anchisi Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 63-75 Note générale : doi : 10.3917/gs1.163.0063 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha C:Communauté ; M:Moine ; M:Mort ; P:Personne âgée ; R:Rite ; V:Vieillissement Résumé : Le monastère vieillit, la proportion de ses membres âgés augmente de façon significative. Moines et moniales sont aux prises avec une gageure : tenir pour vieillir et mourir dans leurs murs, sans faire porter la charge aux plus jeunes ou décourager les personnes qui seraient attirées par ce type d’engagement. La ligne de crête est ténue. La vieillesse et la mort obligent un devoir faire ensemble qui, à défaut d’être nouveau, demande aujourd’hui d’être vécu au prisme de normes gérontologiques et palliatives actuelles. Si la mort offre l’opportunité de renforcer l’idéal communautaire, elle renvoie aussi simultanément à l’amenuisement de ces collectifs. Cet article veut questionner la vieillesse et les lieux du mourir sur la base d’une étude ethnographique en cours sur le vieillissement des communautés contemplatives en Suisse romande et en Bourgogne Franche-Comté française. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45763 [article] Se lever pour Vigiles. Tenir le coup pour vieillir et mourir au monastère [texte imprimé] / Laurent Amiotte-Suchet ; Annick Anchisi . - 2020 . - p. 63-75. doi : 10.3917/gs1.163.0063 Langues : Français (fre) in Gérontologie et Société > Vol. 42, n°163 (2020) . - p. 63-75 Catégories : Alpha C:Communauté ; M:Moine ; M:Mort ; P:Personne âgée ; R:Rite ; V:Vieillissement Résumé : Le monastère vieillit, la proportion de ses membres âgés augmente de façon significative. Moines et moniales sont aux prises avec une gageure : tenir pour vieillir et mourir dans leurs murs, sans faire porter la charge aux plus jeunes ou décourager les personnes qui seraient attirées par ce type d’engagement. La ligne de crête est ténue. La vieillesse et la mort obligent un devoir faire ensemble qui, à défaut d’être nouveau, demande aujourd’hui d’être vécu au prisme de normes gérontologiques et palliatives actuelles. Si la mort offre l’opportunité de renforcer l’idéal communautaire, elle renvoie aussi simultanément à l’amenuisement de ces collectifs. Cet article veut questionner la vieillesse et les lieux du mourir sur la base d’une étude ethnographique en cours sur le vieillissement des communautés contemplatives en Suisse romande et en Bourgogne Franche-Comté française. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45763

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Après la loi de 2016 : les pratiques sédatives dans un contexte gérontologique / Marion Broucke in Gérontologie et Société, Vol. 42, n°163 (2020)

Public ISBD [article]  inGérontologie et Société > Vol. 42, n°163 (2020) . - p. 77-97 Titre : Après la loi de 2016 : les pratiques sédatives dans un contexte gérontologique Type de document : texte imprimé Auteurs : Marion Broucke ; Bernard Devalois Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 77-97 Note générale : doi : 10.3917/gs1.163.0077 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha E:Ethique ; E:Ethique clinique ; F:Fin de vie ; G:Gériatrie ; P:Pratique clinique ; S:Sédation Résumé : La loi de février 2016 sur les droits des patients et la fin de vie a créé pour les professionnels de santé un devoir de mettre en œuvre toute pratique sédative nécessaire pour soulager les souffrances réfractaires en fin de vie. Dans certains cas très spécifiques, elle a même créé un véritable droit à une sédation irréversible (maintenue jusqu’au décès). La typologie SEDAPALL est un outil d’aide à la réflexion et à la prise de décision pour la mise en œuvre des différentes pratiques sédatives à visée palliative en fin de vie. Elle permet de les différencier selon trois axes : la durée prévue, la profondeur et la nature du consentement. À ce jour, il n’existe pas de travaux spécifiques sur les pratiques sédatives pour des patients gériatriques. À l’aide de vignettes cliniques concernant des situations gérontologiques, il est proposé de discuter des différentes problématiques éthiques soulevées par ces pratiques sédatives. D’éventuelles spécificités pour le grand âge sont discutées tout en rappelant le droit pour chaque patient, y compris gériatrique, à une mort apaisée, si besoin par une altération pharmacologique de sa vigilance. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45764 [article] Après la loi de 2016 : les pratiques sédatives dans un contexte gérontologique [texte imprimé] / Marion Broucke ; Bernard Devalois . - 2020 . - p. 77-97. doi : 10.3917/gs1.163.0077 Langues : Français (fre) in Gérontologie et Société > Vol. 42, n°163 (2020) . - p. 77-97 Catégories : Alpha E:Ethique ; E:Ethique clinique ; F:Fin de vie ; G:Gériatrie ; P:Pratique clinique ; S:Sédation Résumé : La loi de février 2016 sur les droits des patients et la fin de vie a créé pour les professionnels de santé un devoir de mettre en œuvre toute pratique sédative nécessaire pour soulager les souffrances réfractaires en fin de vie. Dans certains cas très spécifiques, elle a même créé un véritable droit à une sédation irréversible (maintenue jusqu’au décès). La typologie SEDAPALL est un outil d’aide à la réflexion et à la prise de décision pour la mise en œuvre des différentes pratiques sédatives à visée palliative en fin de vie. Elle permet de les différencier selon trois axes : la durée prévue, la profondeur et la nature du consentement. À ce jour, il n’existe pas de travaux spécifiques sur les pratiques sédatives pour des patients gériatriques. À l’aide de vignettes cliniques concernant des situations gérontologiques, il est proposé de discuter des différentes problématiques éthiques soulevées par ces pratiques sédatives. D’éventuelles spécificités pour le grand âge sont discutées tout en rappelant le droit pour chaque patient, y compris gériatrique, à une mort apaisée, si besoin par une altération pharmacologique de sa vigilance. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45764

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À la croisée des mondes, aux frontières du réel, rencontre du troisième âge / Yves-Antoine Leroy in Gérontologie et Société, Vol. 42, n°163 (2020)

Public ISBD [article]  inGérontologie et Société > Vol. 42, n°163 (2020) . - p. 99-112 Titre : À la croisée des mondes, aux frontières du réel, rencontre du troisième âge : Du bien mourir au réel gériatrique Type de document : texte imprimé Auteurs : Yves-Antoine Leroy ; Pamella Osouf ; Bedra Zabalia Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 99-112 Note générale : doi : 10.3917/gs1.163.0099 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha C:Culture ; F:Fin de vie ; M:Maison de repos et de soins ; P:Personne âgée ; S:Soins palliatifs Résumé : Deux cliniques paraissent proches : la fin de vie en soins palliatifs et la fin de la vie dans les Ehpad. Dans la pratique, cela constitue souvent deux mondes avec leur propre langue et leur culture qui ont du mal à se rencontrer. Nous proposons de faire état de réunions annuelles entre les psychologues des Ehpad et ceux des soins palliatifs. Ainsi, nous voulons mettre l’accent sur la possibilité de la création d’un collectif autour d’une réelle clinique commune : le sujet vieillissant face à la fin de vie dans une institution de vie et de soin. Nous reprendrons l’histoire de ces rencontres débutées en 2013. L’appel des supposés spécialistes du mourir dans les Ehpad, le sentiment d’impuissance face à ces cliniques, la place des familles, l’attendu d’un certain « parler de la mort », l’influence des différents lieux du mourir et les effets de l’étiquette « soins palliatifs » ont été le terreau de notre travail commun. Nous analyserons notre dernière rencontre de 2018 à la manière d’une situation clinique. Cela nous permettra de réfléchir aux points de rencontres possibles lorsque nous voulons créer des ponts entre le monde des Ehpad et celui des soins palliatifs. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45765 [article] À la croisée des mondes, aux frontières du réel, rencontre du troisième âge : Du bien mourir au réel gériatrique [texte imprimé] / Yves-Antoine Leroy ; Pamella Osouf ; Bedra Zabalia . - 2020 . - p. 99-112. doi : 10.3917/gs1.163.0099 Langues : Français (fre) in Gérontologie et Société > Vol. 42, n°163 (2020) . - p. 99-112 Catégories : Alpha C:Culture ; F:Fin de vie ; M:Maison de repos et de soins ; P:Personne âgée ; S:Soins palliatifs Résumé : Deux cliniques paraissent proches : la fin de vie en soins palliatifs et la fin de la vie dans les Ehpad. Dans la pratique, cela constitue souvent deux mondes avec leur propre langue et leur culture qui ont du mal à se rencontrer. Nous proposons de faire état de réunions annuelles entre les psychologues des Ehpad et ceux des soins palliatifs. Ainsi, nous voulons mettre l’accent sur la possibilité de la création d’un collectif autour d’une réelle clinique commune : le sujet vieillissant face à la fin de vie dans une institution de vie et de soin. Nous reprendrons l’histoire de ces rencontres débutées en 2013. L’appel des supposés spécialistes du mourir dans les Ehpad, le sentiment d’impuissance face à ces cliniques, la place des familles, l’attendu d’un certain « parler de la mort », l’influence des différents lieux du mourir et les effets de l’étiquette « soins palliatifs » ont été le terreau de notre travail commun. Nous analyserons notre dernière rencontre de 2018 à la manière d’une situation clinique. Cela nous permettra de réfléchir aux points de rencontres possibles lorsque nous voulons créer des ponts entre le monde des Ehpad et celui des soins palliatifs. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45765

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Le suicide assisté en Suisse sous l’angle de la déprise / Murielle Pott in Gérontologie et Société, Vol. 42, n°163 (2020)

Public ISBD [article]  inGérontologie et Société > Vol. 42, n°163 (2020) . - p. 113-124 Titre : Le suicide assisté en Suisse sous l’angle de la déprise Type de document : texte imprimé Auteurs : Murielle Pott ; Stefano Cavalli Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 113-124 Note générale : doi : 10.3917/gs1.163.0113 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha A:Association ; D:Déprise ; F:Fin de vie ; M:Mort ; P:Personne âgée ; P:Polypathologie ; P:Protocole ; S:Suicide assisté ; V:Vieillissement Résumé : Profitant d’un contexte législatif particulier, deux des huit Associations pour le Droit de Mourir dans la Dignité (ADMD) de Suisse ont élaboré des protocoles d’assistance au suicide pour les personnes souffrant de « polypathologies invalidantes liées à l’âge ». Elles proposent à leurs membres âgés d’envisager le suicide comme une option raisonnable, permettant d’éviter des processus de réaménagement induits par des circonstances difficiles, comme la perte d’une certaine intégrité physique ou mentale, la baisse de performance physique, la dépendance, voire d’y mettre fin. Après avoir expliqué comment une ADMD a élaboré au fil du temps un dispositif de fin de vie, utilisé surtout par des personnes âgées, acceptable légalement et socialement, on montrera à travers un cas emblématique, comment un processus de déprise s’articule à un projet de suicide, qui pourrait aboutir à une demande d’assistance. Plus largement, cet article s’interroge sur la construction possible d’un ordre négocié où la mort peut devenir un sort enviable pour les âgés et le suicide un projet personnel et parfois même familial, permettant de préserver son identité. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45766 [article] Le suicide assisté en Suisse sous l’angle de la déprise [texte imprimé] / Murielle Pott ; Stefano Cavalli . - 2020 . - p. 113-124. doi : 10.3917/gs1.163.0113 Langues : Français (fre) in Gérontologie et Société > Vol. 42, n°163 (2020) . - p. 113-124 Catégories : Alpha A:Association ; D:Déprise ; F:Fin de vie ; M:Mort ; P:Personne âgée ; P:Polypathologie ; P:Protocole ; S:Suicide assisté ; V:Vieillissement Résumé : Profitant d’un contexte législatif particulier, deux des huit Associations pour le Droit de Mourir dans la Dignité (ADMD) de Suisse ont élaboré des protocoles d’assistance au suicide pour les personnes souffrant de « polypathologies invalidantes liées à l’âge ». Elles proposent à leurs membres âgés d’envisager le suicide comme une option raisonnable, permettant d’éviter des processus de réaménagement induits par des circonstances difficiles, comme la perte d’une certaine intégrité physique ou mentale, la baisse de performance physique, la dépendance, voire d’y mettre fin. Après avoir expliqué comment une ADMD a élaboré au fil du temps un dispositif de fin de vie, utilisé surtout par des personnes âgées, acceptable légalement et socialement, on montrera à travers un cas emblématique, comment un processus de déprise s’articule à un projet de suicide, qui pourrait aboutir à une demande d’assistance. Plus largement, cet article s’interroge sur la construction possible d’un ordre négocié où la mort peut devenir un sort enviable pour les âgés et le suicide un projet personnel et parfois même familial, permettant de préserver son identité. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45766

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Le grand âge et la bonne mort. Ethnographie de la pratique de l’euthanasie en Belgique / Chloé Vallée in Gérontologie et Société, Vol. 42, n°163 (2020)

Public ISBD [article]  inGérontologie et Société > Vol. 42, n°163 (2020) . - p. 125-138 Titre : Le grand âge et la bonne mort. Ethnographie de la pratique de l’euthanasie en Belgique Type de document : texte imprimé Auteurs : Chloé Vallée Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 125-138 Note générale : doi : 10.3917/gs1.163.0125 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha B:Belgique ; B:Bonne mort ; D:Dignité ; E:Euthanasie ; G:Grand âge ; L:Liberté ; M:Mort ; P:Personne âgée Résumé : À l’heure où les techniques médicales prolongent la vie en questionnant sur sa qualité et où l’idéal de liberté et d’autonomie individuelles se heurte aux logiques de contrôle politique et médical de la vie, la question de l’aide à mourir prend une place centrale dans les débats sur la fin de vie. La Belgique, qui depuis plus de 17 ans bénéficie d’une loi de dépénalisation de l’euthanasie, constitue un observatoire privilégié pour comprendre les enjeux de cette pratique et permet plus largement de questionner une certaine construction de la bonne mort en lien avec les problématiques que révèle l’avancée en âge. Quelles sont les relations entre le grand âge et la pratique de l’euthanasie ? Les personnes âgées en sont-elles des usagers comme les autres ? Que nous disent les parcours euthanasiques sur ce qui, dans le grand âge, constitue un invivable ? Les données récoltées lors d’une enquête ethnographique menée à Bruxelles auprès des différents acteurs de la pratique de l’euthanasie mettent en lumière la manière dont ce processus s’inscrit dans des logiques sociales où s’articulent les notions d’autonomie et de dignité, de dépendance interpersonnelle et de liberté individuelle. Examiner le recours à l’aide à mourir dans le grand âge nous amène à explorer une fabrique contemporaine de la bonne mort et à dessiner les contours de ce qui, dans les sociétés occidentales, balise aujourd’hui la vie bonne. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45767 [article] Le grand âge et la bonne mort. Ethnographie de la pratique de l’euthanasie en Belgique [texte imprimé] / Chloé Vallée . - 2020 . - p. 125-138. doi : 10.3917/gs1.163.0125 Langues : Français (fre) in Gérontologie et Société > Vol. 42, n°163 (2020) . - p. 125-138 Catégories : Alpha B:Belgique ; B:Bonne mort ; D:Dignité ; E:Euthanasie ; G:Grand âge ; L:Liberté ; M:Mort ; P:Personne âgée Résumé : À l’heure où les techniques médicales prolongent la vie en questionnant sur sa qualité et où l’idéal de liberté et d’autonomie individuelles se heurte aux logiques de contrôle politique et médical de la vie, la question de l’aide à mourir prend une place centrale dans les débats sur la fin de vie. La Belgique, qui depuis plus de 17 ans bénéficie d’une loi de dépénalisation de l’euthanasie, constitue un observatoire privilégié pour comprendre les enjeux de cette pratique et permet plus largement de questionner une certaine construction de la bonne mort en lien avec les problématiques que révèle l’avancée en âge. Quelles sont les relations entre le grand âge et la pratique de l’euthanasie ? Les personnes âgées en sont-elles des usagers comme les autres ? Que nous disent les parcours euthanasiques sur ce qui, dans le grand âge, constitue un invivable ? Les données récoltées lors d’une enquête ethnographique menée à Bruxelles auprès des différents acteurs de la pratique de l’euthanasie mettent en lumière la manière dont ce processus s’inscrit dans des logiques sociales où s’articulent les notions d’autonomie et de dignité, de dépendance interpersonnelle et de liberté individuelle. Examiner le recours à l’aide à mourir dans le grand âge nous amène à explorer une fabrique contemporaine de la bonne mort et à dessiner les contours de ce qui, dans les sociétés occidentales, balise aujourd’hui la vie bonne. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45767

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La fin de vie et au-delà / Magnus Broström in Gérontologie et Société, Vol. 42, n°163 (2020)

Public ISBD [article]  inGérontologie et Société > Vol. 42, n°163 (2020) . - p. 139-153 Titre : La fin de vie et au-delà Type de document : texte imprimé Auteurs : Magnus Broström ; Eva Jeppsson-Grassman Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 139-153 Note générale : doi : 10.3917/gs1.163.0139 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha F:Fin de vie ; M:Mort ; P:Perception ; P:Personne âgée ; P:Préparation ; R:Représentation Résumé : Dans les sociétés occidentales, la mort est largement associée à la vieillesse. Mais ni la gérontologie ni la thanatologie ne prêtent une grande attention à la façon dont les personnes âgées elles-mêmes perçoivent la mort et la fin de vie. S’appuyant sur des données issues d’entretiens menés auprès de participants âgés de 70 à 91 ans dans le contexte suédois, cet article traite des réflexions des personnes âgées sur la mort et la fin de vie. La question discutée est la suivante : de quelles manières les thèmes de la « bonne fin de vie » et de la « bonne mort » sont-ils exprimés dans les récits des personnes interrogées ? L’étude révèle que les personnes âgées en bonne santé semblent assez souvent consacrer du temps, sous différentes formes, à planifier, réfléchir et parler de la fin de vie, de la mort et de ce qu’il y a après. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45768 [article] La fin de vie et au-delà [texte imprimé] / Magnus Broström ; Eva Jeppsson-Grassman . - 2020 . - p. 139-153. doi : 10.3917/gs1.163.0139 Langues : Français (fre) in Gérontologie et Société > Vol. 42, n°163 (2020) . - p. 139-153 Catégories : Alpha F:Fin de vie ; M:Mort ; P:Perception ; P:Personne âgée ; P:Préparation ; R:Représentation Résumé : Dans les sociétés occidentales, la mort est largement associée à la vieillesse. Mais ni la gérontologie ni la thanatologie ne prêtent une grande attention à la façon dont les personnes âgées elles-mêmes perçoivent la mort et la fin de vie. S’appuyant sur des données issues d’entretiens menés auprès de participants âgés de 70 à 91 ans dans le contexte suédois, cet article traite des réflexions des personnes âgées sur la mort et la fin de vie. La question discutée est la suivante : de quelles manières les thèmes de la « bonne fin de vie » et de la « bonne mort » sont-ils exprimés dans les récits des personnes interrogées ? L’étude révèle que les personnes âgées en bonne santé semblent assez souvent consacrer du temps, sous différentes formes, à planifier, réfléchir et parler de la fin de vie, de la mort et de ce qu’il y a après. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45768

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Assez vieux pour mourir. L’âge dans l’assistance au suicide en Suisse / Alexandre Pillonel in Gérontologie et Société, Vol. 42, n°163 (2020)

Public ISBD [article]  inGérontologie et Société > Vol. 42, n°163 (2020) . - p. 155-170 Titre : Assez vieux pour mourir. L’âge dans l’assistance au suicide en Suisse Type de document : texte imprimé Auteurs : Alexandre Pillonel ; Marc-Antoine Berthod ; Dolores Angela Castelli Dransart Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 155-170 Note générale : doi : 10.3917/gs1.163.0155 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha A:Âge ; D:Démarche décisionnelle ; E:Evaluation ; S:Suicide assisté ; S:Suisse Résumé : L’assistance au suicide concerne majoritairement des personnes âgées. Cette pratique, à l’instar d’autres formes contemporaines du mourir (euthanasie, soins palliatifs), exemplifie des transformations récentes tant individuelles que collectives de notre rapport à la mort. Bien qu’elle soit légale en Suisse, son opérationnalisation ne va pourtant pas de soi. Chaque demande fait l’objet d’une évaluation. Dans ce processus décisionnel, la notion d’âge apparaît en filigrane des arguments et des justifications qui sont mobilisés. Basé sur une recherche ethnographique, cet article expose et analyse différents points de vue pour mettre en lumière la façon dont la question de l’âge est convoquée dans l’élaboration de cette acceptabilité. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45769 [article] Assez vieux pour mourir. L’âge dans l’assistance au suicide en Suisse [texte imprimé] / Alexandre Pillonel ; Marc-Antoine Berthod ; Dolores Angela Castelli Dransart . - 2020 . - p. 155-170. doi : 10.3917/gs1.163.0155 Langues : Français (fre) in Gérontologie et Société > Vol. 42, n°163 (2020) . - p. 155-170 Catégories : Alpha A:Âge ; D:Démarche décisionnelle ; E:Evaluation ; S:Suicide assisté ; S:Suisse Résumé : L’assistance au suicide concerne majoritairement des personnes âgées. Cette pratique, à l’instar d’autres formes contemporaines du mourir (euthanasie, soins palliatifs), exemplifie des transformations récentes tant individuelles que collectives de notre rapport à la mort. Bien qu’elle soit légale en Suisse, son opérationnalisation ne va pourtant pas de soi. Chaque demande fait l’objet d’une évaluation. Dans ce processus décisionnel, la notion d’âge apparaît en filigrane des arguments et des justifications qui sont mobilisés. Basé sur une recherche ethnographique, cet article expose et analyse différents points de vue pour mettre en lumière la façon dont la question de l’âge est convoquée dans l’élaboration de cette acceptabilité. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45769

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(Se) nourrir ou mourir : un nouveau dilemme éthique du grand âge ? / Nicolas Foureur in Gérontologie et Société, Vol. 42, n°163 (2020)

Public ISBD [article]  inGérontologie et Société > Vol. 42, n°163 (2020) . - p.171-185 Titre : (Se) nourrir ou mourir : un nouveau dilemme éthique du grand âge ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Nicolas Foureur ; Véronique Fournier Année de publication : 2020 Article en page(s) : p.171-185 Note générale : doi : 10.3917/gs1.163.0171 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha F:Fin de vie ; G:Gériatrie ; H:Hydratation ; N:Nutrition ; V:Vieillesse Résumé : Á partir de situations que nous avons eues à connaître au Centre d’éthique clinique, nous discutons dans cet article de quelques interrogations éthiques qui nous semblent se rencontrer de plus en plus fréquemment sur le terrain, à propos de la nutrition/hydratation (NH) en contexte de fin de vie chez les personnes âgées. En gériatrie, en effet, se pose souvent la question de savoir comment et jusqu’où il convient de supplémenter les patients lorsqu’ils ne savent ou ne peuvent plus se nourrir suffisamment spontanément. Ceci tient au fait que l’espérance de vie augmente, que ces questions concernent donc de plus en plus de personnes, de plus en plus âgées, que de nouvelles techniques de supplémentation alimentaire ont été mises au point, et que les lois récentes sur la fin de vie ont rendu plus explicite le lien possible entre arrêt de NH et survenue de la mort. L’article s’emploie à mettre en lumière la complexité éthique des questions qui se posent, sans prétendre les résoudre. On s’interrogera sur ce que signifie arrêter de nourrir et d’hydrater quelqu’un, arrêter une alimentation par sonde versus une alimentation artificialisée versus une alimentation naturelle, ou encore ce que l’on peut dire de nos intentions lorsque l’on suspend toute NH chez un patient. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45771 [article] (Se) nourrir ou mourir : un nouveau dilemme éthique du grand âge ? [texte imprimé] / Nicolas Foureur ; Véronique Fournier . - 2020 . - p.171-185. doi : 10.3917/gs1.163.0171 Langues : Français (fre) in Gérontologie et Société > Vol. 42, n°163 (2020) . - p.171-185 Catégories : Alpha F:Fin de vie ; G:Gériatrie ; H:Hydratation ; N:Nutrition ; V:Vieillesse Résumé : Á partir de situations que nous avons eues à connaître au Centre d’éthique clinique, nous discutons dans cet article de quelques interrogations éthiques qui nous semblent se rencontrer de plus en plus fréquemment sur le terrain, à propos de la nutrition/hydratation (NH) en contexte de fin de vie chez les personnes âgées. En gériatrie, en effet, se pose souvent la question de savoir comment et jusqu’où il convient de supplémenter les patients lorsqu’ils ne savent ou ne peuvent plus se nourrir suffisamment spontanément. Ceci tient au fait que l’espérance de vie augmente, que ces questions concernent donc de plus en plus de personnes, de plus en plus âgées, que de nouvelles techniques de supplémentation alimentaire ont été mises au point, et que les lois récentes sur la fin de vie ont rendu plus explicite le lien possible entre arrêt de NH et survenue de la mort. L’article s’emploie à mettre en lumière la complexité éthique des questions qui se posent, sans prétendre les résoudre. On s’interrogera sur ce que signifie arrêter de nourrir et d’hydrater quelqu’un, arrêter une alimentation par sonde versus une alimentation artificialisée versus une alimentation naturelle, ou encore ce que l’on peut dire de nos intentions lorsque l’on suspend toute NH chez un patient. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45771

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La construction du suicide des personnes âgées comme problème public / Frédéric Balard in Gérontologie et Société, Vol. 42, n°163 (2020)

Public ISBD [article]  inGérontologie et Société > Vol. 42, n°163 (2020) . - p. 187-204 Titre : La construction du suicide des personnes âgées comme problème public Type de document : texte imprimé Auteurs : Frédéric Balard ; Ingrid Voléry ; Elodie Fornezzo Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 187-204 Note générale : doi:10.3917/gs1.163.0187 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha D:Dépression ; F:France ; G:Grand âge ; P:Personne âgée ; P:Prévention ; S:Suicide Résumé : Partant de l’analyse de la littérature d’expertise et d’observations de réunions et de formations sur la prévention du suicide des âgés en France, cet article étudie la manière dont le suicide des personnes âgées, fait statistique ancien mais jusqu’alors invisibilisé, a été constitué comme problème public au cours des deux dernières décennies. Il montre tout d’abord comment la suicidologie a construit une lecture du suicide assise sur une démarche rétrospective – l’autopsie psychologique – qui implique la recherche de troubles ou de souffrances psychiques dans une optique de prévention et de soin. Le suicide s’y est vu durablement associé à un sous-diagnostic des troubles psychiques et en particulier de la dépression qui pourrait revêtir des formes spécifiques dans l’âge avancé. L’article explique ensuite comment le suicide des âgés se trouve aujourd’hui mis en exergue comme fléau sociétal tout en étant utilisé par certains experts pour défendre des positions institutionnelles. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45772 [article] La construction du suicide des personnes âgées comme problème public [texte imprimé] / Frédéric Balard ; Ingrid Voléry ; Elodie Fornezzo . - 2020 . - p. 187-204. doi:10.3917/gs1.163.0187 Langues : Français (fre) in Gérontologie et Société > Vol. 42, n°163 (2020) . - p. 187-204 Catégories : Alpha D:Dépression ; F:France ; G:Grand âge ; P:Personne âgée ; P:Prévention ; S:Suicide Résumé : Partant de l’analyse de la littérature d’expertise et d’observations de réunions et de formations sur la prévention du suicide des âgés en France, cet article étudie la manière dont le suicide des personnes âgées, fait statistique ancien mais jusqu’alors invisibilisé, a été constitué comme problème public au cours des deux dernières décennies. Il montre tout d’abord comment la suicidologie a construit une lecture du suicide assise sur une démarche rétrospective – l’autopsie psychologique – qui implique la recherche de troubles ou de souffrances psychiques dans une optique de prévention et de soin. Le suicide s’y est vu durablement associé à un sous-diagnostic des troubles psychiques et en particulier de la dépression qui pourrait revêtir des formes spécifiques dans l’âge avancé. L’article explique ensuite comment le suicide des âgés se trouve aujourd’hui mis en exergue comme fléau sociétal tout en étant utilisé par certains experts pour défendre des positions institutionnelles. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45772

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Adopter un animal « collectif » en Ehpad : l’exemple du chat Jovi / Isabelle Tournier in Gérontologie et Société, Vol. 42, n°163 (2020)

Public ISBD [article]  inGérontologie et Société > Vol. 42, n°163 (2020) . - p. 205-220 Titre : Adopter un animal « collectif » en Ehpad : l’exemple du chat Jovi Type de document : texte imprimé Auteurs : Isabelle Tournier ; Marion David ; Marie-Frédérique Vives Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 205-220 Note générale : doi: 10.3917/gs1.163.0205 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha B:Bien-être ; I:intervention non médicamenteuse ; M:Maison de repos et de soins ; M:Médiation animale ; P:Personne âgée Résumé : De nombreuses études suggèrent que la présence d’animaux auprès des personnes âgées vivant en institution procure de nombreux bénéfices psychologiques, sociaux et physiques. Cependant, cette approche se heurte parfois à des difficultés organisationnelles ou à des inquiétudes. Afin de faciliter la mise en place d’un projet d’accueil d’un animal, le présent article détaille les étapes ayant abouti à l’adoption d’un chat prénommé Jovi par les résidents et membres du personnel d’un établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad). Après un aperçu de la littérature concernant les bénéfices liés à la présence d’animaux, nous décrivons une enquête menée auprès de 37 résidents et 44 membres du personnel. Leurs réponses révèlent une grande motivation de leur part pour accueillir un chat au sein de l’établissement même si certaines personnes ont mentionné des craintes potentielles (hygiène et propreté, risque de transmission de maladies, nécessité d’interdire l’accès à certaines pièces, risque d’allergies). La suite de l’article aborde ces craintes en décrivant la mise en place d’un protocole adapté d’hygiène, l’estimation du coût financier ainsi que la désignation de résidents et de membres du personnel volontaires pour prendre soin de l’animal au quotidien. Toutes ces étapes sont nécessaires pour fédérer les résidents, membres du personnel mais aussi familles autour d’un tel projet et s’assurer du succès de l’accueil, même temporaire, d’un animal. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45773 [article] Adopter un animal « collectif » en Ehpad : l’exemple du chat Jovi [texte imprimé] / Isabelle Tournier ; Marion David ; Marie-Frédérique Vives . - 2020 . - p. 205-220. doi: 10.3917/gs1.163.0205 Langues : Français (fre) in Gérontologie et Société > Vol. 42, n°163 (2020) . - p. 205-220 Catégories : Alpha B:Bien-être ; I:intervention non médicamenteuse ; M:Maison de repos et de soins ; M:Médiation animale ; P:Personne âgée Résumé : De nombreuses études suggèrent que la présence d’animaux auprès des personnes âgées vivant en institution procure de nombreux bénéfices psychologiques, sociaux et physiques. Cependant, cette approche se heurte parfois à des difficultés organisationnelles ou à des inquiétudes. Afin de faciliter la mise en place d’un projet d’accueil d’un animal, le présent article détaille les étapes ayant abouti à l’adoption d’un chat prénommé Jovi par les résidents et membres du personnel d’un établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad). Après un aperçu de la littérature concernant les bénéfices liés à la présence d’animaux, nous décrivons une enquête menée auprès de 37 résidents et 44 membres du personnel. Leurs réponses révèlent une grande motivation de leur part pour accueillir un chat au sein de l’établissement même si certaines personnes ont mentionné des craintes potentielles (hygiène et propreté, risque de transmission de maladies, nécessité d’interdire l’accès à certaines pièces, risque d’allergies). La suite de l’article aborde ces craintes en décrivant la mise en place d’un protocole adapté d’hygiène, l’estimation du coût financier ainsi que la désignation de résidents et de membres du personnel volontaires pour prendre soin de l’animal au quotidien. Toutes ces étapes sont nécessaires pour fédérer les résidents, membres du personnel mais aussi familles autour d’un tel projet et s’assurer du succès de l’accueil, même temporaire, d’un animal. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45773

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Fragilité du sujet âgé et prévention : que retenir des avancées de la recherche ? / Georges Arbuz in Gérontologie et Société, Vol. 42, n°163 (2020)

Public ISBD [article]  inGérontologie et Société > Vol. 42, n°163 (2020) . - p. 221-233 Titre : Fragilité du sujet âgé et prévention : que retenir des avancées de la recherche ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Georges Arbuz ; Régis Gonthier Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 221-233 Note générale : doi : 10.3917/gs1.163.0221 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha A:Autonomie ; F:Fragilité ; I:Intégration des résultats de recherche dans la pratique infirmière ; P:Personne âgée ; P:Perte de capacités ; R:Recherche scientifique ; V:Vieillissement ; V:Vulnérabilité Résumé : Traditionnellement associée aux âges extrêmes de l’existence, la fragilité du sujet âgé a bénéficié d’un regain d’intérêt à la suite du remplacement d’une représentation figée de la vieillesse par celle plus complexe et dynamique de vieillissement et d’une meilleure appréciation de ses conséquences sur le déroulement des dernières années de vie des aînés. Des colloques sur la fragilité sont régulièrement programmés, une revue scientifique intitulée Journal of Frailty and Aging a été créée, de nombreux projets de recherche lui sont consacrés. Après un aperçu des contributions de la recherche médicale, de la sociologie et de la psychologie à la compréhension de la fragilité, cet article présente l’aide qu’on peut en attendre pour aider les sujets âgés à se prémunir contre les risques majeurs de la fragilité et à en retarder certaines des manifestations. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45774 [article] Fragilité du sujet âgé et prévention : que retenir des avancées de la recherche ? [texte imprimé] / Georges Arbuz ; Régis Gonthier . - 2020 . - p. 221-233. doi : 10.3917/gs1.163.0221 Langues : Français (fre) in Gérontologie et Société > Vol. 42, n°163 (2020) . - p. 221-233 Catégories : Alpha A:Autonomie ; F:Fragilité ; I:Intégration des résultats de recherche dans la pratique infirmière ; P:Personne âgée ; P:Perte de capacités ; R:Recherche scientifique ; V:Vieillissement ; V:Vulnérabilité Résumé : Traditionnellement associée aux âges extrêmes de l’existence, la fragilité du sujet âgé a bénéficié d’un regain d’intérêt à la suite du remplacement d’une représentation figée de la vieillesse par celle plus complexe et dynamique de vieillissement et d’une meilleure appréciation de ses conséquences sur le déroulement des dernières années de vie des aînés. Des colloques sur la fragilité sont régulièrement programmés, une revue scientifique intitulée Journal of Frailty and Aging a été créée, de nombreux projets de recherche lui sont consacrés. Après un aperçu des contributions de la recherche médicale, de la sociologie et de la psychologie à la compréhension de la fragilité, cet article présente l’aide qu’on peut en attendre pour aider les sujets âgés à se prémunir contre les risques majeurs de la fragilité et à en retarder certaines des manifestations. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45774

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Dialogue résident-famille-institution : clé du consentement à l’entrée en Ehpad / Ophélie Angel in Gérontologie et Société, Vol. 42, n°163 (2020)

Public ISBD [article]  inGérontologie et Société > Vol. 42, n°163 (2020) . - p. 235-262 Titre : Dialogue résident-famille-institution : clé du consentement à l’entrée en Ehpad : Ophélie Angel, Christine Bonardi, Cyril Drouot, Xavier Corveleyn Type de document : texte imprimé Auteurs : Ophélie Angel ; Christine Bonardi ; Cyril Drouot ; Xavier Coveleyn Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 235-262 Note générale : doi : 10.3917/gs1.163.0235 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha C:Consentement ; E:Emotion ; F:Famille ; M:Maison de repos et de soins ; P:Placement en maison de repos Résumé : Malgré le besoin juridique d’un consentement libre et éclairé avant toute institutionnalisation, le consentement des personnes âgées est trop rarement recherché. Pourtant, la phase de dialogue entre les acteurs structurant l’entrée en Ehpad serait un facteur clé de réussite de cette institutionnalisation. L’objectif de cette étude est de comprendre comment l’obtention de ce consentement est perçue par les différents membres de la triade famille-résident-soignant. Des entretiens semi-structurés menés avec cinq résidents, leur aidant principal et l’équipe pluridisciplinaire ont permis d’obtenir une vision plurielle du vécu de l’institutionnalisation. Les entretiens (enregistrés et retranscrits, puis quantitativement et qualitativement analysés via le logiciel Tropes®), montrent que, si tous les résidents (consentants ou non consentants à l’entrée) rationalisent leur consentement, les résidents non consentants saturent émotionnellement plus négativement leurs propos que les résidents consentants. Les familles suivent le même schéma de résultat. Enfin, les équipes soignantes rapportent un mieux-être des résidents consentants plus important que pour les non-consentants. De plus, les éléments émotionnels du discours divergent entre les consentants et les non-consentants. Ces émotions peuvent renvoyer à la notion de liberté du consentement et devront être davantage prises en compte dans le processus de recherche du consentement, voire de l’assentiment de la personne en perte d’autonomie, lors de l’entrée en Ehpad. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45775 [article] Dialogue résident-famille-institution : clé du consentement à l’entrée en Ehpad : Ophélie Angel, Christine Bonardi, Cyril Drouot, Xavier Corveleyn [texte imprimé] / Ophélie Angel ; Christine Bonardi ; Cyril Drouot ; Xavier Coveleyn . - 2020 . - p. 235-262. doi : 10.3917/gs1.163.0235 Langues : Français (fre) in Gérontologie et Société > Vol. 42, n°163 (2020) . - p. 235-262 Catégories : Alpha C:Consentement ; E:Emotion ; F:Famille ; M:Maison de repos et de soins ; P:Placement en maison de repos Résumé : Malgré le besoin juridique d’un consentement libre et éclairé avant toute institutionnalisation, le consentement des personnes âgées est trop rarement recherché. Pourtant, la phase de dialogue entre les acteurs structurant l’entrée en Ehpad serait un facteur clé de réussite de cette institutionnalisation. L’objectif de cette étude est de comprendre comment l’obtention de ce consentement est perçue par les différents membres de la triade famille-résident-soignant. Des entretiens semi-structurés menés avec cinq résidents, leur aidant principal et l’équipe pluridisciplinaire ont permis d’obtenir une vision plurielle du vécu de l’institutionnalisation. Les entretiens (enregistrés et retranscrits, puis quantitativement et qualitativement analysés via le logiciel Tropes®), montrent que, si tous les résidents (consentants ou non consentants à l’entrée) rationalisent leur consentement, les résidents non consentants saturent émotionnellement plus négativement leurs propos que les résidents consentants. Les familles suivent le même schéma de résultat. Enfin, les équipes soignantes rapportent un mieux-être des résidents consentants plus important que pour les non-consentants. De plus, les éléments émotionnels du discours divergent entre les consentants et les non-consentants. Ces émotions peuvent renvoyer à la notion de liberté du consentement et devront être davantage prises en compte dans le processus de recherche du consentement, voire de l’assentiment de la personne en perte d’autonomie, lors de l’entrée en Ehpad. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45775

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La Plateforme de Répit et l’accueil séquentiel, un lieu « ressources » / Pascale Bailly in Gérontologie et Société, Vol. 42, n°163 (2020)

Public ISBD [article]  inGérontologie et Société > Vol. 42, n°163 (2020) . - p. 263-275 Titre : La Plateforme de Répit et l’accueil séquentiel, un lieu « ressources » Type de document : texte imprimé Auteurs : Pascale Bailly ; Nathalie Cortes Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 263-275 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha A:Accompagnement des proches ; A:Aidant ; A:Alzheimer (maladie) ; R:Relation d'aide ; R:Répit ; R:Ressenti Résumé : Les Plateformes d’Accompagnement et de Répit, issues du Plan National Alzheimer 2008-2012 ont pour mission « d’offrir sur chaque territoire une palette diversifiée de structures de répit correspondant aux besoins des patients et aux attentes des aidants, en garantissant l’accessibilité à ces structures ». Le Lieu de Répit, service géré par le CCAS de Villeurbanne est l’une des plateformes dont la singularité est de proposer depuis 2014 un accueil séquentiel aux personnes âgées atteintes de maladie d’Alzheimer ou syndromes apparentés et vivant à domicile. Un court séjour permet au binôme Aidant/Aidé d’éprouver graduellement la séparation et de vivre une première expérience de la vie en collectivité. Un lien de confiance va se créer progressivement entre les professionnels, les personnes malades et leurs proches aidants. Ce lien permettra aux familles d’exprimer, le plus souvent pour la première fois, leur vécu au quotidien, difficultés, questionnements, attentes, craintes, ressenti et la manière dont elles envisagent l’avenir. Il s’agit aussi pour les professionnels de la gérontologie d’une expérience originale, radicalement différente de la prise en charge actuelle en établissement gériatrique et prenant en compte notamment les difficultés et les besoins du conjoint ou de la famille. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45776 [article] La Plateforme de Répit et l’accueil séquentiel, un lieu « ressources » [texte imprimé] / Pascale Bailly ; Nathalie Cortes . - 2020 . - p. 263-275. Langues : Français (fre) in Gérontologie et Société > Vol. 42, n°163 (2020) . - p. 263-275 Catégories : Alpha A:Accompagnement des proches ; A:Aidant ; A:Alzheimer (maladie) ; R:Relation d'aide ; R:Répit ; R:Ressenti Résumé : Les Plateformes d’Accompagnement et de Répit, issues du Plan National Alzheimer 2008-2012 ont pour mission « d’offrir sur chaque territoire une palette diversifiée de structures de répit correspondant aux besoins des patients et aux attentes des aidants, en garantissant l’accessibilité à ces structures ». Le Lieu de Répit, service géré par le CCAS de Villeurbanne est l’une des plateformes dont la singularité est de proposer depuis 2014 un accueil séquentiel aux personnes âgées atteintes de maladie d’Alzheimer ou syndromes apparentés et vivant à domicile. Un court séjour permet au binôme Aidant/Aidé d’éprouver graduellement la séparation et de vivre une première expérience de la vie en collectivité. Un lien de confiance va se créer progressivement entre les professionnels, les personnes malades et leurs proches aidants. Ce lien permettra aux familles d’exprimer, le plus souvent pour la première fois, leur vécu au quotidien, difficultés, questionnements, attentes, craintes, ressenti et la manière dont elles envisagent l’avenir. Il s’agit aussi pour les professionnels de la gérontologie d’une expérience originale, radicalement différente de la prise en charge actuelle en établissement gériatrique et prenant en compte notamment les difficultés et les besoins du conjoint ou de la famille. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45776

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