Centre de Documentation HELHa Tournai - Mouscron
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- mardi: 9h00-12h30 et 13h00-17h00
- mercredi: 9h00-12h30 et 13h00-17h30
- jeudi: 9h00-12h30 et 13h00-17h00
- vendredi: 09h00-17h00
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Semaine du 18/11 à Tournai : Fermé mardi 19/11 en après-midi et jeudi 21/11 en matinée. Fermé mercredi à 17h00. Fermé vendredi entre 12 et 13h00.
Semaine du 25/11 à Tournai : Fermé vendredi 29/11 en matinée.
Semaine du 02/12 à Tournai : Horaire habituel.
Semaine du 18/11 à Mouscron : Horaire habituel
Semaine du 25/11 à Mouscron : Lundi: ouverture à 10h30.
Semaine du 11/11 à Mouscron : Fermé lundi (armistice)
Mention de date : Avril 2020
Paru le : 01/04/2020
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Exemplaires (1)
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T008692 | NPG | Revue | Tournai | Soins infirmiers (T) | Disponible |
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T008692 | NPG | Revue | Tournai | Soins infirmiers (T) | Disponible |
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T008692 | NPG | Revue | Tournai | Soins infirmiers (T) | Disponible |
[article]
Titre : |
Outils de dépistage du déclin cognitif chez le sujet âgé atteint de trouble bipolaire |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
A. Boualame ; Y. Labreure ; F.Z. Elfahiri ; I. Adali ; F. Manoudi ; F. Asri |
Année de publication : |
2020 |
Article en page(s) : |
p. 91-100 |
Note générale : |
Doi : 10.1016/j.npg.2019.11.003 |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Alpha D:Dépistage ; P:Personne âgée ; P:Prévalence ; T:Trouble bipolaire ; T:Trouble cognitif
|
Résumé : |
Introduction
Le risque de développer une démence au cours du suivi à long terme du trouble bipolaire serait jusqu’à treize fois plus élevé que chez les témoins sains. Le dépistage représente la première étape d’un processus d’évaluation plus poussé du déclin cognitif et peut aider à identifier et guider une prise en charge appropriée améliorant ainsi le pronostic.
Objectif
Présenter les outils de dépistage du déclin cognitif utilisable chez la population des sujets âgés bipolaires.
Méthodes
Revue de la littérature.
Résultats
Au total, six tests de dépistages ont été retenus. Deux tests spécifiques conçus pour le dépistage du déclin cognitif au cours du trouble bipolaire : « Screen for Cognitive Impairment in Psychiatry » (SCIP) et « Cognitive Complaints in Bipolar disorder Rating Assessment » (COBRA). En plus des quatre tests classiques de dépistage de la démence chez le sujet âgé utilisés par les études antérieures s’intéressant à la population des patients bipolaires : « Mini-Mental State Examination » (MMSE), « Montreal Cognitive Assessment » (MoCA), « Addenbrooke's Cognitive Examination-Revised » (ACE-R) et « Syndrom-Kurztest » (SKT).
Conclusion
Ces six outils validés dans le dépistage de la démence ont, cliniquement, prouvé leur utilité aussi bien dans la population générale que dans celle des patients bipolaires. Malgré la relative rareté des travaux de recherche s’intéressant à la population des patients bipolaires âgés, on note une reconnaissance récemment croissante de la nécessité d’une prise en charge adaptée et holistique de ces patients en commençant par le dépistage de leurs difficultés cognitives. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=43623 |
in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > 116 (Avril 2020) . - p. 91-100
[article] Outils de dépistage du déclin cognitif chez le sujet âgé atteint de trouble bipolaire [texte imprimé] / A. Boualame ; Y. Labreure ; F.Z. Elfahiri ; I. Adali ; F. Manoudi ; F. Asri . - 2020 . - p. 91-100. Doi : 10.1016/j.npg.2019.11.003 Langues : Français ( fre) in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > 116 (Avril 2020) . - p. 91-100
Catégories : |
Alpha D:Dépistage ; P:Personne âgée ; P:Prévalence ; T:Trouble bipolaire ; T:Trouble cognitif
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Résumé : |
Introduction
Le risque de développer une démence au cours du suivi à long terme du trouble bipolaire serait jusqu’à treize fois plus élevé que chez les témoins sains. Le dépistage représente la première étape d’un processus d’évaluation plus poussé du déclin cognitif et peut aider à identifier et guider une prise en charge appropriée améliorant ainsi le pronostic.
Objectif
Présenter les outils de dépistage du déclin cognitif utilisable chez la population des sujets âgés bipolaires.
Méthodes
Revue de la littérature.
Résultats
Au total, six tests de dépistages ont été retenus. Deux tests spécifiques conçus pour le dépistage du déclin cognitif au cours du trouble bipolaire : « Screen for Cognitive Impairment in Psychiatry » (SCIP) et « Cognitive Complaints in Bipolar disorder Rating Assessment » (COBRA). En plus des quatre tests classiques de dépistage de la démence chez le sujet âgé utilisés par les études antérieures s’intéressant à la population des patients bipolaires : « Mini-Mental State Examination » (MMSE), « Montreal Cognitive Assessment » (MoCA), « Addenbrooke's Cognitive Examination-Revised » (ACE-R) et « Syndrom-Kurztest » (SKT).
Conclusion
Ces six outils validés dans le dépistage de la démence ont, cliniquement, prouvé leur utilité aussi bien dans la population générale que dans celle des patients bipolaires. Malgré la relative rareté des travaux de recherche s’intéressant à la population des patients bipolaires âgés, on note une reconnaissance récemment croissante de la nécessité d’une prise en charge adaptée et holistique de ces patients en commençant par le dépistage de leurs difficultés cognitives. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=43623 |
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Exemplaires (1)
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T008692 | NPG | Revue | Tournai | Soins infirmiers (T) | Disponible |
[article]
Titre : |
Atelier « Cuisine thérapeutique » : préparation au retour à domicile chez des patients en soin de suite gériatrique |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
V. Luce |
Année de publication : |
2020 |
Article en page(s) : |
p. 101-106 |
Note générale : |
Doi : 10.1016/j.npg.2019.12.001 |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Alpha A:Activité thérapeutique ; A:Autonomie ; C:Cuisine ; E:Ergothérapie ; P:Personne âgée
|
Résumé : |
Suite à une hospitalisation aiguë, le retour rapide à l’autonomie antérieure n’est pas toujours possible chez les personnes âgées. C’est pourquoi un séjour en unité de soin de suite et de réadaptation (SSR) gériatrique peut être proposé pour leur permettre de poursuivre leur rééducation et de retrouver un maximum d’indépendance. Cela se réalise par un accompagnement adapté à leur projet de vie grâce à la présence d’une équipe pluridisciplinaire. En effet, la perte d’autonomie impacte sur la qualité de vie dans tous les domaines, comme par exemple : se déplacer, faire ses soins d’hygiènes, gérer son traitement, ses papiers administratifs mais également dans la prise alimentaire. Cette dernière est une activité primordiale dans notre quotidien. L’ergothérapeute est un rééducateur qui va mettre en évidence les capacités et les incapacités par des mises en situations de la personne et va l’accompagner en fonction de ses objectifs. Les activités reprenant le quotidien sont beaucoup utilisées dans les prises en charge en SSR gériatrique. L’atelier cuisine thérapeutique est intéressant car il est global, requiert beaucoup de capacités et permet d’observer le patient dans diverses situations : lors de réflexions autour des recettes, en extérieur pour les courses, la mise en situation dans la cuisine. Cela permet une visualisation holistique du patient dans toutes les étapes de sa prise en charge : de l’évaluation à la ré-autonomisation. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=43624 |
in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > 116 (Avril 2020) . - p. 101-106
[article] Atelier « Cuisine thérapeutique » : préparation au retour à domicile chez des patients en soin de suite gériatrique [texte imprimé] / V. Luce . - 2020 . - p. 101-106. Doi : 10.1016/j.npg.2019.12.001 Langues : Français ( fre) in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > 116 (Avril 2020) . - p. 101-106
Catégories : |
Alpha A:Activité thérapeutique ; A:Autonomie ; C:Cuisine ; E:Ergothérapie ; P:Personne âgée
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Résumé : |
Suite à une hospitalisation aiguë, le retour rapide à l’autonomie antérieure n’est pas toujours possible chez les personnes âgées. C’est pourquoi un séjour en unité de soin de suite et de réadaptation (SSR) gériatrique peut être proposé pour leur permettre de poursuivre leur rééducation et de retrouver un maximum d’indépendance. Cela se réalise par un accompagnement adapté à leur projet de vie grâce à la présence d’une équipe pluridisciplinaire. En effet, la perte d’autonomie impacte sur la qualité de vie dans tous les domaines, comme par exemple : se déplacer, faire ses soins d’hygiènes, gérer son traitement, ses papiers administratifs mais également dans la prise alimentaire. Cette dernière est une activité primordiale dans notre quotidien. L’ergothérapeute est un rééducateur qui va mettre en évidence les capacités et les incapacités par des mises en situations de la personne et va l’accompagner en fonction de ses objectifs. Les activités reprenant le quotidien sont beaucoup utilisées dans les prises en charge en SSR gériatrique. L’atelier cuisine thérapeutique est intéressant car il est global, requiert beaucoup de capacités et permet d’observer le patient dans diverses situations : lors de réflexions autour des recettes, en extérieur pour les courses, la mise en situation dans la cuisine. Cela permet une visualisation holistique du patient dans toutes les étapes de sa prise en charge : de l’évaluation à la ré-autonomisation. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=43624 |
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Exemplaires (1)
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T008692 | NPG | Revue | Tournai | Soins infirmiers (T) | Disponible |
[article]
Titre : |
Objets connectés, Alzheimer, pathologies apparentés et autres… |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
P. Rumeau ; N. Vigouroux ; F. Vella |
Année de publication : |
2020 |
Article en page(s) : |
p. 107-111 |
Note générale : |
Doi : 10.1016/j.npg.2020.01.001 |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Alpha A:Aide ; A:Alzheimer (maladie) ; E:Ergonomie ; O:Objet connecté ; P:Personne âgée
|
Résumé : |
Les objets connectés participent du concept d’informatique diffuse et sont liés au partage de données personnelles numériques. Ils peuvent aider les patients âgés handicapés comme leurs aidants. Pour ce faire, nous devons répondre à huit questions : à quoi cet objet sert-il ? Quel niveau de compétence technique est nécessaire pour l’utiliser ? Quels prérequis techniques pour s’en servir ? Comment se localise-t-il par rapport au patient ? Est-il ergonomique ? A-t-il un impact sur la relation avec le patient ? Existe-t-il des études ? Les médecins devraient en faire la prescription en fonction de leur balance bénéfices/dangers et au regard de la pathologie et de l’environnement du patient. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=43625 |
in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > 116 (Avril 2020) . - p. 107-111
[article] Objets connectés, Alzheimer, pathologies apparentés et autres… [texte imprimé] / P. Rumeau ; N. Vigouroux ; F. Vella . - 2020 . - p. 107-111. Doi : 10.1016/j.npg.2020.01.001 Langues : Français ( fre) in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > 116 (Avril 2020) . - p. 107-111
Catégories : |
Alpha A:Aide ; A:Alzheimer (maladie) ; E:Ergonomie ; O:Objet connecté ; P:Personne âgée
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Résumé : |
Les objets connectés participent du concept d’informatique diffuse et sont liés au partage de données personnelles numériques. Ils peuvent aider les patients âgés handicapés comme leurs aidants. Pour ce faire, nous devons répondre à huit questions : à quoi cet objet sert-il ? Quel niveau de compétence technique est nécessaire pour l’utiliser ? Quels prérequis techniques pour s’en servir ? Comment se localise-t-il par rapport au patient ? Est-il ergonomique ? A-t-il un impact sur la relation avec le patient ? Existe-t-il des études ? Les médecins devraient en faire la prescription en fonction de leur balance bénéfices/dangers et au regard de la pathologie et de l’environnement du patient. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=43625 |
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Exemplaires (1)
|
T008692 | NPG | Revue | Tournai | Soins infirmiers (T) | Disponible |
[article]
Titre : |
Pratiques professionnelles inappropriées et maltraitances |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Robert Moulias ; J.-C. Monfort ; M. Beaulieu ; M. Simon Marzais ; M.H. Isern Real ; B. Poch ; Sophie Moulias ; et al. |
Année de publication : |
2020 |
Article en page(s) : |
p.112-123 |
Note générale : |
Doi : 10.1016/j.npg.2019.12.008 |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Alpha E:Epuisement ; E:Erreur ; M:Maltraitance ; M:Management ; O:Organisation ; P:Personne âgée ; P:Pratique professionnelle ; P:Procédure ; V:Vulnérabilité
|
Résumé : |
Des progrès techniques considérables ont eu lieu dans les domaines hospitalier et médicosocial. Cependant, persistent des pratiques inappropriées sources d’effets indésirables et de violences. L’enjeu est de diminuer les risques, tout en protégeant ceux qui exercent. Le mot « maltraitance » a été utile dans les années 1990 pour faire connaître ces dérives ou négligences et inciter à leurs signalements et corrections. Aujourd’hui, ce terme peut porter tort aux professionnels et aux établissements. Englobant tout, il est à l’origine d’une confusion entre les pratiques inappropriées individuelles, les carences organisationnelles et des violences qui relèvent de la délinquance. Cette confusion banalise des délits et criminalise des actions inadaptées de professionnels ou d’organisations. Les liens évidents entre les pratiques professionnelles et les organisations sont fréquemment méconnus. C’est la structure qui devrait adapter les compétences, les effectifs et les locaux aux besoins des personnes à aider et à soigner. La maltraitance n’est pas qu’individuelle et le professionnel est souvent maltraitant malgré lui. Le risque est la désaffection de carrières devenues déshumanisées et stigmatisantes. La priorité est d’inverser cette tendance. Ces métiers relationnels du soin et de l’aide aux plus vulnérables doivent redevenir valorisants et attractifs. La terminologie a un rôle. Une première mesure serait de dépasser le mot global de maltraitance pour séparer l’intention de nuire des actions inappropriées et séparer aussi ce qui est organisationnel de ce qui est individuel. Des définitions basées sur les mécanismes et facteurs de risques seraient plus opérationnelles pour aller vers des pratiques professionnelles et des organisations mieux adaptées aux besoins. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=43626 |
in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > 116 (Avril 2020) . - p.112-123
[article] Pratiques professionnelles inappropriées et maltraitances [texte imprimé] / Robert Moulias ; J.-C. Monfort ; M. Beaulieu ; M. Simon Marzais ; M.H. Isern Real ; B. Poch ; Sophie Moulias ; et al. . - 2020 . - p.112-123. Doi : 10.1016/j.npg.2019.12.008 Langues : Français ( fre) in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > 116 (Avril 2020) . - p.112-123
Catégories : |
Alpha E:Epuisement ; E:Erreur ; M:Maltraitance ; M:Management ; O:Organisation ; P:Personne âgée ; P:Pratique professionnelle ; P:Procédure ; V:Vulnérabilité
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Résumé : |
Des progrès techniques considérables ont eu lieu dans les domaines hospitalier et médicosocial. Cependant, persistent des pratiques inappropriées sources d’effets indésirables et de violences. L’enjeu est de diminuer les risques, tout en protégeant ceux qui exercent. Le mot « maltraitance » a été utile dans les années 1990 pour faire connaître ces dérives ou négligences et inciter à leurs signalements et corrections. Aujourd’hui, ce terme peut porter tort aux professionnels et aux établissements. Englobant tout, il est à l’origine d’une confusion entre les pratiques inappropriées individuelles, les carences organisationnelles et des violences qui relèvent de la délinquance. Cette confusion banalise des délits et criminalise des actions inadaptées de professionnels ou d’organisations. Les liens évidents entre les pratiques professionnelles et les organisations sont fréquemment méconnus. C’est la structure qui devrait adapter les compétences, les effectifs et les locaux aux besoins des personnes à aider et à soigner. La maltraitance n’est pas qu’individuelle et le professionnel est souvent maltraitant malgré lui. Le risque est la désaffection de carrières devenues déshumanisées et stigmatisantes. La priorité est d’inverser cette tendance. Ces métiers relationnels du soin et de l’aide aux plus vulnérables doivent redevenir valorisants et attractifs. La terminologie a un rôle. Une première mesure serait de dépasser le mot global de maltraitance pour séparer l’intention de nuire des actions inappropriées et séparer aussi ce qui est organisationnel de ce qui est individuel. Des définitions basées sur les mécanismes et facteurs de risques seraient plus opérationnelles pour aller vers des pratiques professionnelles et des organisations mieux adaptées aux besoins. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=43626 |
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Exemplaires (1)
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T008692 | NPG | Revue | Tournai | Soins infirmiers (T) | Disponible |