[article]
Titre : |
Connaissances, attitudes et pratiques des femmes tunisiennes en matière de dépistage du cancer du sein et de celui du col de l’utérus |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
S. Bouslah, Auteur ; M.-S. Soltani, Auteur ; A. Ben Salah, Auteur ; A. Sriha, Auteur |
Année de publication : |
2014 |
Article en page(s) : |
p.123-132 |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Alpha C:Cancer ; C:Col utérin ; C:Comportement ; C:Connaissance ; D:Dépistage ; P:Psycho-oncologie ; S:Savoir pratique ; S:Sein ; T:Tunisie
|
Résumé : |
Décrire et analyser les connaissances, les attitudes et les pratiques des femmes tunisiennes vis-à-vis du dépistage du cancer du sein et celui du col de l’utérus.
Il s’agit d’une étude transversale descriptive des connaissances, attitudes et pratiques d’un échantillon de 900 femmes qui consultaient pour tout motif, au niveau des centres de santé de base (CSB) de la région sanitaire de Monastir. L’enquête s’est déroulée sur une période de quatre mois moyennant un questionnaire conçu pour les objectifs de l’étude.
Il ressort de notre étude que le niveau des connaissances des femmes vis-à-vis du cancer du sein et celui du col de l’utérus est encore insuffisant, particulièrement pour le cancer du col. Le recours au dépistage du cancer du sein était relativement faible (36,2 %) et encore plus faible pour le dépistage du cancer du col de l’utérus (22,1 %). La pratique du dépistage était fortement corrélée à sa connaissance et à la participation aux séances d’éducation pour la santé pour chacun des deux cancers étudiés ainsi qu’au niveau d’étude pour le cancer du sein. Suite à la participation à ces séances, 98,5 % des femmes devenaient plus motivées à se faire dépister. Désormais, elles préfèrent que le dépistage soit pratiqué par une sage-femme et par un personnel soignant du genre féminin plutôt que par un médecin.
Il s’agit essentiellement d’une attitude favorable envers le dépistage du cancer du sein et celui du col de l’utérus contrastant avec une insuffisance du niveau des connaissances et de la pratique de ce dépistage. Ces résultats mettent l’accent sur le besoin d’une meilleure information et motivation des femmes. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=39908 |
in Psycho-Oncologie > Vol. 8, 2 (Juin 2014) . - p.123-132
[article] Connaissances, attitudes et pratiques des femmes tunisiennes en matière de dépistage du cancer du sein et de celui du col de l’utérus [texte imprimé] / S. Bouslah, Auteur ; M.-S. Soltani, Auteur ; A. Ben Salah, Auteur ; A. Sriha, Auteur . - 2014 . - p.123-132. Langues : Français ( fre) in Psycho-Oncologie > Vol. 8, 2 (Juin 2014) . - p.123-132
Catégories : |
Alpha C:Cancer ; C:Col utérin ; C:Comportement ; C:Connaissance ; D:Dépistage ; P:Psycho-oncologie ; S:Savoir pratique ; S:Sein ; T:Tunisie
|
Résumé : |
Décrire et analyser les connaissances, les attitudes et les pratiques des femmes tunisiennes vis-à-vis du dépistage du cancer du sein et celui du col de l’utérus.
Il s’agit d’une étude transversale descriptive des connaissances, attitudes et pratiques d’un échantillon de 900 femmes qui consultaient pour tout motif, au niveau des centres de santé de base (CSB) de la région sanitaire de Monastir. L’enquête s’est déroulée sur une période de quatre mois moyennant un questionnaire conçu pour les objectifs de l’étude.
Il ressort de notre étude que le niveau des connaissances des femmes vis-à-vis du cancer du sein et celui du col de l’utérus est encore insuffisant, particulièrement pour le cancer du col. Le recours au dépistage du cancer du sein était relativement faible (36,2 %) et encore plus faible pour le dépistage du cancer du col de l’utérus (22,1 %). La pratique du dépistage était fortement corrélée à sa connaissance et à la participation aux séances d’éducation pour la santé pour chacun des deux cancers étudiés ainsi qu’au niveau d’étude pour le cancer du sein. Suite à la participation à ces séances, 98,5 % des femmes devenaient plus motivées à se faire dépister. Désormais, elles préfèrent que le dépistage soit pratiqué par une sage-femme et par un personnel soignant du genre féminin plutôt que par un médecin.
Il s’agit essentiellement d’une attitude favorable envers le dépistage du cancer du sein et celui du col de l’utérus contrastant avec une insuffisance du niveau des connaissances et de la pratique de ce dépistage. Ces résultats mettent l’accent sur le besoin d’une meilleure information et motivation des femmes. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=39908 |
|