Centre de Documentation Campus Montignies
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17 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Plasticité cérébrale'
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Plasticité cérébrale et réorganisation du mouvement après lésion neurologique / Valentina Moro in Evolutions Psychomotrices, vol.22, 90 (Décembre 2010)
[article]
Titre : Plasticité cérébrale et réorganisation du mouvement après lésion neurologique Type de document : texte imprimé Auteurs : Valentina Moro, Auteur Année de publication : 2010 Langues : Français (fre) Mots-clés : Aptitudes motrices Plasticité cérébrale sensorimotricité Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=99183
in Evolutions Psychomotrices > vol.22, 90 (Décembre 2010)[article] Plasticité cérébrale et réorganisation du mouvement après lésion neurologique [texte imprimé] / Valentina Moro, Auteur . - 2010.
Langues : Français (fre)
in Evolutions Psychomotrices > vol.22, 90 (Décembre 2010)
Mots-clés : Aptitudes motrices Plasticité cérébrale sensorimotricité Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=99183 Réservation
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue CESA - Roux CESA - Roux Disponible
DisponibleLa plasticité cérébrale au coeur de la mémoire in La Recherche. Les essentiels, 34 (Juin-Juillet-Août 2020)
[article]
Titre : La plasticité cérébrale au coeur de la mémoire Type de document : texte imprimé Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 31-35 Note générale : Issu du dossier "le langage des neurones" Langues : Français (fre) Mots-clés : mémoire plasticité cérébrale mécanisme moléculaire Résumé : Notre aptitude à apprendre et à mémoriser tout au long de la vie repose sur une capacité bien particulière du cerveau : sa plasticité. L'un des mécanismes moléculaires à l'oeuvre vient d'être mis en évidence chez le rat. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=107996
in La Recherche. Les essentiels > 34 (Juin-Juillet-Août 2020) . - p. 31-35[article] La plasticité cérébrale au coeur de la mémoire [texte imprimé] . - 2020 . - p. 31-35.
Issu du dossier "le langage des neurones"
Langues : Français (fre)
in La Recherche. Les essentiels > 34 (Juin-Juillet-Août 2020) . - p. 31-35
Mots-clés : mémoire plasticité cérébrale mécanisme moléculaire Résumé : Notre aptitude à apprendre et à mémoriser tout au long de la vie repose sur une capacité bien particulière du cerveau : sa plasticité. L'un des mécanismes moléculaires à l'oeuvre vient d'être mis en évidence chez le rat. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=107996 Réservation
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Disponible
DisponibleLe langage des neurones [Dossier] in La Recherche. Les essentiels, 34 (Juin-Juillet-Août 2020)
[article]
Titre : Le langage des neurones [Dossier] Type de document : texte imprimé Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 12-39 Langues : Français (fre) Mots-clés : neurones migrateurs interneurones Schizophrénie -- thérapie Troubles du spectre autistique Neurogenèse Neurosciences cognitives psychologie cognitive Langage -- Acquisition Mathématiques : compréhension Réseau neuronal (anatomie) réseau neuronal : imagerie médicale réseau synaptique Plasticité cérébrale conscience : neuroscience Résumé : Les neurones échangent des informations électriques et chimiques via leurs points de contact, les synapses. Mais quelles informations ? Décrypter ce langage est ardu, ne serait-ce que parce que notre cerveau contient la bagatelle de 100 milliards de neurones capables d'établir chacun de 50 000 à 500 000 synapses. Cependant, la biologie moléculaire et l'imagerie cérébrale lèvent un pan du voile. Les premiers atlas des grandes connexions cérébrales viennent de sortir, le rôle de certaines protéines dans la transmission synaptique est démontré et on a découvert le réseau cortical de la syntaxe. Note de contenu : DES NEURONES MIGRATEURS CHEZ LES BÉBÉS / Oriane Dioux p. 14-17
Une étude montre qu'une population particulière de neurones poursuit sa migration dans le cerveau après la naissance. Ces travaux pourraient notamment aider à mieux comprendre le développement de maladies neurologiques.
« NOUS CHERCHONS À ACCÉDER AU CODE NEURAL DU LANGAGE » / Stanislas Dehaene p. 18-22
Neuroscientifique et psychologue cognitiviste, Stanislas Dehaene étudie, avec son équipe du centre de recherche NeuroSpin, les mécanismes cérébraux à l'origine de nos capacités cognitives de haut niveau, comme le langage ou les mathématiques.
PREMIERS ATLASDES RÉSEAUX DU CERVEAU / Mathias Germain p. 23-25
Grâce aux immenses progrès de l'imagerie médicale et à de nouvelles techniquesde dissection, des neuroscientifiques parviennent à cartographier les grandes voiesde communication du cerveau humain. Une véritable prouesse.
DÉCHIFFRER LE CODE MOLÉCULAIRE DES SYNAPSES / Fekrije Selimi p. 26-30
La formation des connexions entre les neurones, appelées synapses, semble suivre un code moléculaire. Une étude sur les cellules de Purkinje du cervelet montre que cette communication repose sur des liaisons spécifiques entre certaines protéines.
LA PLASTICITÉ CÉRÉBRALE AU COEUR DE LA MÉMOIRE / Daniel Choquet et Yann Humeau p. 31-35
Notre aptitude à apprendre et à mémoriser tout au long de la vie repose sur une capacité bien particulière du cerveau : sa plasticité. L'un des mécanismes moléculaires à l'oeuvre vient d'être mis en évidence chez le rat.
« NOUS AVONS UNE THÉORIE QUI EXPLIQUE L'ÉMERGENCE DE LA CONSCIENCE » / Christof Koch et olivier Dessibourg p. 36-39
Le neuroscientifique américain Christof Koch a lancé une vaste étude destinée à mieux connaître les flux d'informations échangés par les neurones. Grâce aux importants moyens qui lui sont alloués, il espère percer le mystère de la conscience.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=88902
in La Recherche. Les essentiels > 34 (Juin-Juillet-Août 2020) . - p. 12-39[article] Le langage des neurones [Dossier] [texte imprimé] . - 2020 . - p. 12-39.
Langues : Français (fre)
in La Recherche. Les essentiels > 34 (Juin-Juillet-Août 2020) . - p. 12-39
Mots-clés : neurones migrateurs interneurones Schizophrénie -- thérapie Troubles du spectre autistique Neurogenèse Neurosciences cognitives psychologie cognitive Langage -- Acquisition Mathématiques : compréhension Réseau neuronal (anatomie) réseau neuronal : imagerie médicale réseau synaptique Plasticité cérébrale conscience : neuroscience Résumé : Les neurones échangent des informations électriques et chimiques via leurs points de contact, les synapses. Mais quelles informations ? Décrypter ce langage est ardu, ne serait-ce que parce que notre cerveau contient la bagatelle de 100 milliards de neurones capables d'établir chacun de 50 000 à 500 000 synapses. Cependant, la biologie moléculaire et l'imagerie cérébrale lèvent un pan du voile. Les premiers atlas des grandes connexions cérébrales viennent de sortir, le rôle de certaines protéines dans la transmission synaptique est démontré et on a découvert le réseau cortical de la syntaxe. Note de contenu : DES NEURONES MIGRATEURS CHEZ LES BÉBÉS / Oriane Dioux p. 14-17
Une étude montre qu'une population particulière de neurones poursuit sa migration dans le cerveau après la naissance. Ces travaux pourraient notamment aider à mieux comprendre le développement de maladies neurologiques.
« NOUS CHERCHONS À ACCÉDER AU CODE NEURAL DU LANGAGE » / Stanislas Dehaene p. 18-22
Neuroscientifique et psychologue cognitiviste, Stanislas Dehaene étudie, avec son équipe du centre de recherche NeuroSpin, les mécanismes cérébraux à l'origine de nos capacités cognitives de haut niveau, comme le langage ou les mathématiques.
PREMIERS ATLASDES RÉSEAUX DU CERVEAU / Mathias Germain p. 23-25
Grâce aux immenses progrès de l'imagerie médicale et à de nouvelles techniquesde dissection, des neuroscientifiques parviennent à cartographier les grandes voiesde communication du cerveau humain. Une véritable prouesse.
DÉCHIFFRER LE CODE MOLÉCULAIRE DES SYNAPSES / Fekrije Selimi p. 26-30
La formation des connexions entre les neurones, appelées synapses, semble suivre un code moléculaire. Une étude sur les cellules de Purkinje du cervelet montre que cette communication repose sur des liaisons spécifiques entre certaines protéines.
LA PLASTICITÉ CÉRÉBRALE AU COEUR DE LA MÉMOIRE / Daniel Choquet et Yann Humeau p. 31-35
Notre aptitude à apprendre et à mémoriser tout au long de la vie repose sur une capacité bien particulière du cerveau : sa plasticité. L'un des mécanismes moléculaires à l'oeuvre vient d'être mis en évidence chez le rat.
« NOUS AVONS UNE THÉORIE QUI EXPLIQUE L'ÉMERGENCE DE LA CONSCIENCE » / Christof Koch et olivier Dessibourg p. 36-39
Le neuroscientifique américain Christof Koch a lancé une vaste étude destinée à mieux connaître les flux d'informations échangés par les neurones. Grâce aux importants moyens qui lui sont alloués, il espère percer le mystère de la conscience.
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Disponible
DisponibleL'activité physique au service de l'amélioration des fonctions cognitives des seniors / Jean-Jacques Temprado in Kinésithérapie scientifique, 623 (Septembre 2020)
[article]
Titre : L'activité physique au service de l'amélioration des fonctions cognitives des seniors Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Jacques Temprado, Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 17-29 Langues : Français (fre) Mots-clés : activité physique plasticité cérébrale Vieillissement Résumé : VIEILLISSEMENT ET COGNITION
L’allongement de la durée de vie observé dans la plupart des pays industrialisés se traduit par un vieillissement de la population. Cette transition démographique est généralement présentée comme une bonne nouvelle. Pourtant, il est difficile de se réjouir à l’idée de vivre plus longtemps si cela s’accompagne d’une rupture importante de la qualité de vie en raison de la diminution des capacités physiques et cognitives.
Les recherches en Sciences du mouvement humain ont un rôle important à jouer dans cette perspective. En effet, de nombreux travaux suggèrent qu’un potentiel de plasticité cérébrale demeure au cours du vieillissement normal [1, 2] et que cette plasticité peut être exploitée grâce à l’adoption d’habitudes de vie neuro-protectrices, au premier rang desquelles figure la pratique régulière d’exercices physiques.
Les premiers travaux scientifiques mettant en évidence le lien entre l’exercice physique et la longévité datent des années 50, mais cette thématique a connu un développement important au cours des 20 dernières années.
Aujourd’hui, la question des liens entre exercice physique, plasticité cérébrale et performances cognitives mobilise des équipes de recherche pluridisciplinaires dont bon nombre sont en lien avec des start-up qui développement des solutions numériques et technologiques pour faciliter l’entraînement à domicile. Il faut dire que les enjeux socio-économiques sont importants puisqu’on estime à 61 milliards d’euros par an les coûts de santé et de baisse de productivité liés à l’inactivité physique au niveau mondial. De plus, l’inactivité physique serait responsable de près de 5 millions de décès par an.
Face à ces chiffres vertigineux, le message délivré au « grand public » et, notamment, aux seniors est très simple : effectuer 10 000 pas/jour ou 75 à 150 minutes d’activité physique d’intensité modérée à vigoureuse par semaine. Cette prescription résume une sorte de consensus issu des données de la littérature et sur lequel s’accordent bon nombre de sociétés ou d’organismes. On mesure cependant à quel point le souci de simplification masque la complexité des mécanismes sous-jacents et surtout, les multiples facteurs modérateurs qui conditionnent l’efficacité de la pratique de l’exercice physique (niveau de forme du pratiquant, durée, intensité, fréquence, type d’exercice...).
Par ailleurs, la préconisation courante concerne principalement l’effet de l’exercice physique sur la santé globale (i.e. la prévention des maladies chroniques) plutôt que sur les performances cognitives. Pourtant, de nombreux travaux ont montré que l’activité physique permet aussi de retarder ou d’atténuer l’altération des structures cérébrales et le déclin des fonctions cognitives lié au vieillissement. De fait, la question se pose de savoir si les recommandations générales en matière d’exercice physique doivent être affinées afin de cibler spécifiquement la plasticité cérébrale et l’efficience des fonctions cognitives.
Cet article a pour but de présenter une brève synthèse, non exhaustive, des connaissances actuelles sur l’exercice physique et ses liens avec la cognition. Il s’agit notamment de montrer que la prise en charge de la personne âgée ne doit pas se limiter au reconditionnement musculaire et cardio-vasculaire. En effet, grâce à des entraînements combinant activité physique et stimulation cognitive, il est possible d’améliorer l’adaptabilité motrice dans la vie quotidienne et de lutter contre les conséquences dramatiques du vieillissement, notamment le déclin cognitif, les troubles de l’équilibre ou de la marche.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=89612
in Kinésithérapie scientifique > 623 (Septembre 2020) . - p. 17-29[article] L'activité physique au service de l'amélioration des fonctions cognitives des seniors [texte imprimé] / Jean-Jacques Temprado, Auteur . - 2020 . - p. 17-29.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 623 (Septembre 2020) . - p. 17-29
Mots-clés : activité physique plasticité cérébrale Vieillissement Résumé : VIEILLISSEMENT ET COGNITION
L’allongement de la durée de vie observé dans la plupart des pays industrialisés se traduit par un vieillissement de la population. Cette transition démographique est généralement présentée comme une bonne nouvelle. Pourtant, il est difficile de se réjouir à l’idée de vivre plus longtemps si cela s’accompagne d’une rupture importante de la qualité de vie en raison de la diminution des capacités physiques et cognitives.
Les recherches en Sciences du mouvement humain ont un rôle important à jouer dans cette perspective. En effet, de nombreux travaux suggèrent qu’un potentiel de plasticité cérébrale demeure au cours du vieillissement normal [1, 2] et que cette plasticité peut être exploitée grâce à l’adoption d’habitudes de vie neuro-protectrices, au premier rang desquelles figure la pratique régulière d’exercices physiques.
Les premiers travaux scientifiques mettant en évidence le lien entre l’exercice physique et la longévité datent des années 50, mais cette thématique a connu un développement important au cours des 20 dernières années.
Aujourd’hui, la question des liens entre exercice physique, plasticité cérébrale et performances cognitives mobilise des équipes de recherche pluridisciplinaires dont bon nombre sont en lien avec des start-up qui développement des solutions numériques et technologiques pour faciliter l’entraînement à domicile. Il faut dire que les enjeux socio-économiques sont importants puisqu’on estime à 61 milliards d’euros par an les coûts de santé et de baisse de productivité liés à l’inactivité physique au niveau mondial. De plus, l’inactivité physique serait responsable de près de 5 millions de décès par an.
Face à ces chiffres vertigineux, le message délivré au « grand public » et, notamment, aux seniors est très simple : effectuer 10 000 pas/jour ou 75 à 150 minutes d’activité physique d’intensité modérée à vigoureuse par semaine. Cette prescription résume une sorte de consensus issu des données de la littérature et sur lequel s’accordent bon nombre de sociétés ou d’organismes. On mesure cependant à quel point le souci de simplification masque la complexité des mécanismes sous-jacents et surtout, les multiples facteurs modérateurs qui conditionnent l’efficacité de la pratique de l’exercice physique (niveau de forme du pratiquant, durée, intensité, fréquence, type d’exercice...).
Par ailleurs, la préconisation courante concerne principalement l’effet de l’exercice physique sur la santé globale (i.e. la prévention des maladies chroniques) plutôt que sur les performances cognitives. Pourtant, de nombreux travaux ont montré que l’activité physique permet aussi de retarder ou d’atténuer l’altération des structures cérébrales et le déclin des fonctions cognitives lié au vieillissement. De fait, la question se pose de savoir si les recommandations générales en matière d’exercice physique doivent être affinées afin de cibler spécifiquement la plasticité cérébrale et l’efficience des fonctions cognitives.
Cet article a pour but de présenter une brève synthèse, non exhaustive, des connaissances actuelles sur l’exercice physique et ses liens avec la cognition. Il s’agit notamment de montrer que la prise en charge de la personne âgée ne doit pas se limiter au reconditionnement musculaire et cardio-vasculaire. En effet, grâce à des entraînements combinant activité physique et stimulation cognitive, il est possible d’améliorer l’adaptabilité motrice dans la vie quotidienne et de lutter contre les conséquences dramatiques du vieillissement, notamment le déclin cognitif, les troubles de l’équilibre ou de la marche.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=89612 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtAutisme et synchronisations sociales. De la clinique à la thérapie / C. Barthelemy in Enfances & psy, 80 ([01/01/2019])
[article]
Titre : Autisme et synchronisations sociales. De la clinique à la thérapie Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Barthelemy Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 147-151 Langues : Français (fre) Mots-clés : Neurologie Cerveau Plasticité cérébrale Autisme Résumé : L’approche clinique neuro-fonctionnelle nous éclaire sur les particularités sensorimotrices et émotionnelles qui altèrent les interactions du très jeune enfant autiste avec autrui et le développement de son répertoire d’activité personnelle et de communication. Cette dyspraxie sociale est liée, nous le savons maintenant, à des troubles du développement des réseaux nerveux intracérébraux dits du « cerveau social ». Les études cellulaires, moléculaires et la génétique orientent vers certaines substances-clés qui pourraient constituer la base de futurs médicaments de la connectivité. À ce jour, il n’existe pas de traitement pharmacologique qui guérisse l’autisme. On sait que les interventions rééducatives et éducatives précoces, ciblées et coordonnées, permettent, grâce à la plasticité cérébrale, de relancer la dynamique du développement des réseaux intracérébraux et d’améliorer les fonctionnements adaptatifs et de communication tout au long de la vie.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=78327
in Enfances & psy > 80 [01/01/2019] . - p. 147-151[article] Autisme et synchronisations sociales. De la clinique à la thérapie [texte imprimé] / C. Barthelemy . - 2019 . - p. 147-151.
Langues : Français (fre)
in Enfances & psy > 80 [01/01/2019] . - p. 147-151
Mots-clés : Neurologie Cerveau Plasticité cérébrale Autisme Résumé : L’approche clinique neuro-fonctionnelle nous éclaire sur les particularités sensorimotrices et émotionnelles qui altèrent les interactions du très jeune enfant autiste avec autrui et le développement de son répertoire d’activité personnelle et de communication. Cette dyspraxie sociale est liée, nous le savons maintenant, à des troubles du développement des réseaux nerveux intracérébraux dits du « cerveau social ». Les études cellulaires, moléculaires et la génétique orientent vers certaines substances-clés qui pourraient constituer la base de futurs médicaments de la connectivité. À ce jour, il n’existe pas de traitement pharmacologique qui guérisse l’autisme. On sait que les interventions rééducatives et éducatives précoces, ciblées et coordonnées, permettent, grâce à la plasticité cérébrale, de relancer la dynamique du développement des réseaux intracérébraux et d’améliorer les fonctionnements adaptatifs et de communication tout au long de la vie.
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Disponible
DisponibleMonoaminergic drugs for motor recovery after ischemic stroke in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 57, n°8 (Novembre 2014)
PermalinkNon-invasive brain stimulation (NIBS) and motor recovery after stroke / M. SIMONETTA-MOREAU in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 57, n°8 (Novembre 2014)
PermalinkÉpigénétique, plasticité neuronale et vie affective pré- et post-natale au regard de l’haptonomie / DOLTO (C) in Métiers de la petite enfance, 242 (Février 2017)
PermalinkIntérêt des prises en soins groupales des patients hémiplégiques / Samir Boudrahem in Kinésithérapie scientifique, 590 (Septembre 2017)
PermalinkDanser pour soigner son cerveau / Gunter Kreutz in Cerveau & Psycho, 86 (Mars 2017)
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