Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-18h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h-18h30
Vendredi : 8h-16h30
Attention, votre centre de documentation sera fermé ce vendredi 17 mai.
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-18h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h-18h30
Vendredi : 8h-16h30
Attention, votre centre de documentation sera fermé ce vendredi 17 mai.
Bienvenue sur le catalogue du centre de documentation du campus de Montignies.
Résultat de la recherche
2 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'DOMS'
Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche Générer le flux rss de la recherche
Partager le résultat de cette recherche Faire une suggestion
Effets du Theragun® sur la récupération musculaire après un protocole de fatigue des emmbres inférieurs / Alexandre Cirlande
Titre : Effets du Theragun® sur la récupération musculaire après un protocole de fatigue des emmbres inférieurs Type de document : TFE / Mémoire Auteurs : Alexandre Cirlande ; Mikael Scohier, Promoteur du mémoire Editeur : Montignies-sur-Sambre : Haute Ecole Louvain en Hainaut Année de publication : 2021 Importance : 38p. Note générale : Le fichier numérique de ce document est disponible uniquement pour les membres de la Haute Ecole Louvain-en-Hainaut.
Veuillez vous connecter pour accéder à votre compte lecteur.Langues : Français (fre) Mots-clés : Pistolet à percussion Vibrations DOMS Récupération musculaire Index. décimale : MK Mémoire kinésithérapie Résumé : Contexte et objectif – Consécutivement à l’effort et faisant suite à des microslésions peuvent survenir des douleurs musculaires d’apparition retardée (DOMS). Pour pallier à ce phénomène, des pistolets à percussion sont à l’heure actuelle employés. Le bénéfice recherché est de favoriser la régénération de ces tissus microslésés pour soulager la sensation d’inconfort perçu et optimaliser la performance. La littérature décrit cependant peu de réels bénéfices concernant l’utilisation de cet appareil. L’objectif de notre étude a donc été de déterminer l’effet du Theragun sur la récupération musculaire après un protocole de fatigue appliqué aux membres inférieurs.
Méthodes – Un essai croisé randomisé contrôlé a été réalisé. Celui-ci intègre 20 sujets randomisés en deux groupes et confronte à la suite d’un protocole de fatigue une intervention « Theragun » à une intervention « Placébo » (effleurages). Afin d’objectiver les effets de l’application du pistolet sur la récupération musculaire 15 minutes (T2) et 24 heures (T3) après la fin de ce protocole, quatre variables ont été mesurées : la circonférence des membres inférieurs, l’inconfort musculaire, la lactatémie et la puissance maximale lors d’un saut.
Résultats – Comparativement à la condition placébo, l’intervention par pistolet à percussions a montré une diminution significative de l’inconfort musculaire 15 minutes et 24 heures après la fin du protocole de fatigue. Le taux de lactate mesuré 15 minutes après la fin du protocole était par contre significativement plus élevé (p < 0,001) à la suite de l’intervention par pistolet à percussions. Aucune différence n’a été constatée concernant la performance du saut et la circonférence des membres inférieurs.
Conclusion – L’application de l’outil semble permettre de diminuer la perception de la douleur provoquée par les DOMS. 15 minutes et 24 heures après un effort à haute intensité mais est susceptible de favoriser une augmentation de la lactatémie. Il n’apporte aucune différence vis-à-vis de la performance de saut et de la circonférence des membres inférieurs.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=96776 Effets du Theragun® sur la récupération musculaire après un protocole de fatigue des emmbres inférieurs [TFE / Mémoire] / Alexandre Cirlande ; Mikael Scohier, Promoteur du mémoire . - Montignies-sur-Sambre : Haute Ecole Louvain en Hainaut, 2021 . - 38p.
Le fichier numérique de ce document est disponible uniquement pour les membres de la Haute Ecole Louvain-en-Hainaut.
Veuillez vous connecter pour accéder à votre compte lecteur.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Pistolet à percussion Vibrations DOMS Récupération musculaire Index. décimale : MK Mémoire kinésithérapie Résumé : Contexte et objectif – Consécutivement à l’effort et faisant suite à des microslésions peuvent survenir des douleurs musculaires d’apparition retardée (DOMS). Pour pallier à ce phénomène, des pistolets à percussion sont à l’heure actuelle employés. Le bénéfice recherché est de favoriser la régénération de ces tissus microslésés pour soulager la sensation d’inconfort perçu et optimaliser la performance. La littérature décrit cependant peu de réels bénéfices concernant l’utilisation de cet appareil. L’objectif de notre étude a donc été de déterminer l’effet du Theragun sur la récupération musculaire après un protocole de fatigue appliqué aux membres inférieurs.
Méthodes – Un essai croisé randomisé contrôlé a été réalisé. Celui-ci intègre 20 sujets randomisés en deux groupes et confronte à la suite d’un protocole de fatigue une intervention « Theragun » à une intervention « Placébo » (effleurages). Afin d’objectiver les effets de l’application du pistolet sur la récupération musculaire 15 minutes (T2) et 24 heures (T3) après la fin de ce protocole, quatre variables ont été mesurées : la circonférence des membres inférieurs, l’inconfort musculaire, la lactatémie et la puissance maximale lors d’un saut.
Résultats – Comparativement à la condition placébo, l’intervention par pistolet à percussions a montré une diminution significative de l’inconfort musculaire 15 minutes et 24 heures après la fin du protocole de fatigue. Le taux de lactate mesuré 15 minutes après la fin du protocole était par contre significativement plus élevé (p < 0,001) à la suite de l’intervention par pistolet à percussions. Aucune différence n’a été constatée concernant la performance du saut et la circonférence des membres inférieurs.
Conclusion – L’application de l’outil semble permettre de diminuer la perception de la douleur provoquée par les DOMS. 15 minutes et 24 heures après un effort à haute intensité mais est susceptible de favoriser une augmentation de la lactatémie. Il n’apporte aucune différence vis-à-vis de la performance de saut et de la circonférence des membres inférieurs.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=96776 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Intérêt du travail excentrique en rééducation / L. Hubert in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation, Vol.37 N°2 (Avril 2024)
[article]
Titre : Intérêt du travail excentrique en rééducation Type de document : texte imprimé Auteurs : L. Hubert Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 26-055-B-30 [Tome 2] Langues : Français (fre) Mots-clés : Travail excentrique Renforcement Tendinopathie Reconstruction protéique Rééducation multiple DOMS Résumé : Bien que la physiologie du travail excentrique soit complexe, on admet qu'il existe des effets spécifiques lors du renforcement musculaire excentrique. Ainsi, la production de force est supérieure à celle observée au cours des autres régimes de contraction. On observe qu'à tension égale la contraction excentrique nécessite moins d'activité électrique que lors des autres types de contraction, et donc les unités motrices recrutées produisent chacune une force supérieure. Les fibres sont ainsi sollicitées de façon plus intense que dans les autres régimes. Une meilleure connaissance des dommages transitoires induits par l'exercice excentrique et des adaptations ultérieures au niveau mécanique peut aider à mieux comprendre les cycles de dégénérescence/régénération dans le muscle squelettique sain et à identifier les anomalies de ces processus dans des conditions pathologiques comme dans les maladies neuromusculaires. Le travail excentrique a longtemps été sous-utilisé en raison de ces effets iatrogènes, et notamment des lésions musculaires profondes : l'épaississement, l'ondulation ou la rupture de la strie Z, la nécrose d'un grand nombre de fibres (de type II principalement), la destruction importante des myofibrilles, l'atteinte du tissu conjonctif, le remaniement au niveau des protéines de liaisons, des DOMS (delayed onset muscle soreness) plus importantes et prolongées que dans les autres régimes de travail. On retrouve dans bon nombre de prises en charge l'utilisation de ce mode de contraction dans des protocoles précis afin d'éviter tous ces effets délétères sur les articulations fragiles comme dans le cas des arthropathies du genou. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=117273
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > Vol.37 N°2 (Avril 2024) . - p. 26-055-B-30 [Tome 2][article] Intérêt du travail excentrique en rééducation [texte imprimé] / L. Hubert . - 2024 . - p. 26-055-B-30 [Tome 2].
Langues : Français (fre)
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > Vol.37 N°2 (Avril 2024) . - p. 26-055-B-30 [Tome 2]
Mots-clés : Travail excentrique Renforcement Tendinopathie Reconstruction protéique Rééducation multiple DOMS Résumé : Bien que la physiologie du travail excentrique soit complexe, on admet qu'il existe des effets spécifiques lors du renforcement musculaire excentrique. Ainsi, la production de force est supérieure à celle observée au cours des autres régimes de contraction. On observe qu'à tension égale la contraction excentrique nécessite moins d'activité électrique que lors des autres types de contraction, et donc les unités motrices recrutées produisent chacune une force supérieure. Les fibres sont ainsi sollicitées de façon plus intense que dans les autres régimes. Une meilleure connaissance des dommages transitoires induits par l'exercice excentrique et des adaptations ultérieures au niveau mécanique peut aider à mieux comprendre les cycles de dégénérescence/régénération dans le muscle squelettique sain et à identifier les anomalies de ces processus dans des conditions pathologiques comme dans les maladies neuromusculaires. Le travail excentrique a longtemps été sous-utilisé en raison de ces effets iatrogènes, et notamment des lésions musculaires profondes : l'épaississement, l'ondulation ou la rupture de la strie Z, la nécrose d'un grand nombre de fibres (de type II principalement), la destruction importante des myofibrilles, l'atteinte du tissu conjonctif, le remaniement au niveau des protéines de liaisons, des DOMS (delayed onset muscle soreness) plus importantes et prolongées que dans les autres régimes de travail. On retrouve dans bon nombre de prises en charge l'utilisation de ce mode de contraction dans des protocoles précis afin d'éviter tous ces effets délétères sur les articulations fragiles comme dans le cas des arthropathies du genou. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=117273 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire