Centre de Documentation Campus Montignies
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Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h-18h30
Vendredi : 8h-16h30
Attention, votre centre de documentation sera fermé du 27/04 au 12/05 inclus.
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4 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Contrôle social (surveillance, auto-obéissance, obéissance, soumission à l'autorité)'
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À quel point sommes-nous prévisibles ? in Philosophie magazine, 102 (Septembre 2016)
[article]
Titre : À quel point sommes-nous prévisibles ? : dossier Type de document : texte imprimé Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 47-67 Langues : Français (fre) Mots-clés : 342.72 Droit à la vie privée 004 Informatique / Nouvelles Technologies / Internet / Big Data 004 Informatique / Nouvelles Technologie / Internet 316.35 Groupes / Identités / Communautés Contrôle social (surveillance, auto-obéissance, obéissance, soumission à l'autorité) Résumé : Comment puis-je affirmer ma liberté face à un Dieu qui, omniscient, a toujours déjà décidé de tout ? C’est une question que se posaient les philosophes de la modernité naissante, tels Descartes ou Leibniz, et que nous avions pris l’habitude de considérer comme datée. Du moins, avant que ne surgisse, au tournant du siècle, un nouveau genre d’entité omnisciente et qui semble prédire de manière de plus en plus exacte nos choix, nos goûts, nos pensées ou nos actions, avant même que nous ayons la possibilité de les formuler. Armés d’algorithmes toujours plus fins moulinant des big data toujours plus pléthoriques, ces nouveaux Moloch numériques que sont Google, Facebook ou Amazon nous connaissent sans doute mieux que nos proches. C’est un problème de nature politique, bien sûr, que nos sociétés auront à affronter. Mais c’est d’abord une énigme métaphysique que nous posent les data scientists de la Silicon Valley : sommes-nous aussi prévisibles que ce qu’ils prétendent ? Quels moyens avons-nous, sinon de dérouter, du moins d’échapper à nos déterminismes sociaux désormais assistés par ordinateurs ? Et surtout : comment pourrais-je affirmer ma liberté si je sais qu’une machine, quelque part, a déjà anticipé mon prochain geste ? Autrement dit : qu’en penserait Leibniz ? Note de contenu : Articles
En finir avec le hasard ? Par Alexandre Lacroix
Nos choix n’ont jamais été aussi libres… en apparence. En effet, les algorithmes mis au point par Facebook, Google ou Amazon seraient à même de prédire nos comportements. Vraiment ?
Surfez, vous êtes traqués ! Par Alexandre Lacroix
Comment le Web, qui devait être le support d’une conversation démocratique universelle, est-il devenu un gigantesque outil de surveillance ? C’est toute une histoire, que l’un de ses « héros », Ethan Zuckerman, a accepté de nous raconter depuis le commencement.
Ontologie du cookie Par Maurizio Ferraris, Alexandre Lacroix
Qui est le cookie ? Un ami indiscret, un espion embarrassant ou un archiviste méticuleux ? Réponses du philosophe Maurizio Ferraris, déjà auteur d’une “Ontologie du téléphone portable”.
Qui a mis la main sur notre avenir ? Par Martin Legros
À travers les données massives qui sont dorénavant recueillies sur nos existences, nous nous rendons de plus en plus prédictibles. Mais qui récolte ces données ? Et comment peut-on se réapproprier notre avenir ? Enquête du côté de ceux dont le futur est le métier : dans le domaine de la santé, des assurances ou… des paris pris sur le prochain président de la République.
Manuel de survie dans les sociétés de contrôle Par Michel Eltchaninoff
Nous savons désormais que nous sommes sous surveillance. Comment réagir ? Bien avant l’avènement du big data, des philosophes ont mis au point des stratégies de conduite face au regard de Big Brother. Et si vous suiviez leurs conseils ?
Chantal Jaquet, Magyd Cherfi. Entre les classes Par Catherine Portevin
Peut-on vraiment échapper à son milieu d’origine ? À quelles conditions et à quel prix? Magyd Cherfi, né dans les quartiers nord de Toulouse, devenu écrivain et parolier à succès du groupe Zebda, et la philosophe Chantal Jaquet, qui a consacré un essai aux « transclasses », dialoguent sur le déracinement, la réussite, la fidélité et les identités hybrides.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101643
in Philosophie magazine > 102 (Septembre 2016) . - p. 47-67[article] À quel point sommes-nous prévisibles ? : dossier [texte imprimé] . - 2016 . - p. 47-67.
Langues : Français (fre)
in Philosophie magazine > 102 (Septembre 2016) . - p. 47-67
Mots-clés : 342.72 Droit à la vie privée 004 Informatique / Nouvelles Technologies / Internet / Big Data 004 Informatique / Nouvelles Technologie / Internet 316.35 Groupes / Identités / Communautés Contrôle social (surveillance, auto-obéissance, obéissance, soumission à l'autorité) Résumé : Comment puis-je affirmer ma liberté face à un Dieu qui, omniscient, a toujours déjà décidé de tout ? C’est une question que se posaient les philosophes de la modernité naissante, tels Descartes ou Leibniz, et que nous avions pris l’habitude de considérer comme datée. Du moins, avant que ne surgisse, au tournant du siècle, un nouveau genre d’entité omnisciente et qui semble prédire de manière de plus en plus exacte nos choix, nos goûts, nos pensées ou nos actions, avant même que nous ayons la possibilité de les formuler. Armés d’algorithmes toujours plus fins moulinant des big data toujours plus pléthoriques, ces nouveaux Moloch numériques que sont Google, Facebook ou Amazon nous connaissent sans doute mieux que nos proches. C’est un problème de nature politique, bien sûr, que nos sociétés auront à affronter. Mais c’est d’abord une énigme métaphysique que nous posent les data scientists de la Silicon Valley : sommes-nous aussi prévisibles que ce qu’ils prétendent ? Quels moyens avons-nous, sinon de dérouter, du moins d’échapper à nos déterminismes sociaux désormais assistés par ordinateurs ? Et surtout : comment pourrais-je affirmer ma liberté si je sais qu’une machine, quelque part, a déjà anticipé mon prochain geste ? Autrement dit : qu’en penserait Leibniz ? Note de contenu : Articles
En finir avec le hasard ? Par Alexandre Lacroix
Nos choix n’ont jamais été aussi libres… en apparence. En effet, les algorithmes mis au point par Facebook, Google ou Amazon seraient à même de prédire nos comportements. Vraiment ?
Surfez, vous êtes traqués ! Par Alexandre Lacroix
Comment le Web, qui devait être le support d’une conversation démocratique universelle, est-il devenu un gigantesque outil de surveillance ? C’est toute une histoire, que l’un de ses « héros », Ethan Zuckerman, a accepté de nous raconter depuis le commencement.
Ontologie du cookie Par Maurizio Ferraris, Alexandre Lacroix
Qui est le cookie ? Un ami indiscret, un espion embarrassant ou un archiviste méticuleux ? Réponses du philosophe Maurizio Ferraris, déjà auteur d’une “Ontologie du téléphone portable”.
Qui a mis la main sur notre avenir ? Par Martin Legros
À travers les données massives qui sont dorénavant recueillies sur nos existences, nous nous rendons de plus en plus prédictibles. Mais qui récolte ces données ? Et comment peut-on se réapproprier notre avenir ? Enquête du côté de ceux dont le futur est le métier : dans le domaine de la santé, des assurances ou… des paris pris sur le prochain président de la République.
Manuel de survie dans les sociétés de contrôle Par Michel Eltchaninoff
Nous savons désormais que nous sommes sous surveillance. Comment réagir ? Bien avant l’avènement du big data, des philosophes ont mis au point des stratégies de conduite face au regard de Big Brother. Et si vous suiviez leurs conseils ?
Chantal Jaquet, Magyd Cherfi. Entre les classes Par Catherine Portevin
Peut-on vraiment échapper à son milieu d’origine ? À quelles conditions et à quel prix? Magyd Cherfi, né dans les quartiers nord de Toulouse, devenu écrivain et parolier à succès du groupe Zebda, et la philosophe Chantal Jaquet, qui a consacré un essai aux « transclasses », dialoguent sur le déracinement, la réussite, la fidélité et les identités hybrides.
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Disponible
Disponible
[article]
Titre : 2/ Norme et contrôle social : Les travailleurs sociaux à l’épreuve de nouveaux dilemmes sécuritaires Type de document : texte imprimé Auteurs : François-Xavier Duveau Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 73-83 Note générale : Issu du dossier "La norme dans tous ses états" Langues : Français (fre) Mots-clés : Contrôle social (surveillance, auto-obéissance, obéissance, soumission à l'autorité) Contrôle social Sécurité (psychologie) travailleurs sociaux : contrôle social Violence institutionnelle Coronavirus et travail social Résumé : Le déploiement grandissant de dispositifs sécuritaires pose de nouveaux défis pour les travailleurs sociaux. Les difficultés rencontrées par ces derniers sont autant le symptôme de la crise que traverse leur secteur que de la montée en puissance de la notion de sécurité au sein des institutions. Pour tenter de rester fidèles à leurs valeurs, ces professionnels doivent résoudre un certain nombre de dilemmes qui se posent aujourd’hui à eux. Note de contenu :
Travail social et dispositifs sécuritaires
Effet cliquet et performances sécuritaires
L’ignorance comme outil de résistance à la surenchère sécuritaire
Comment la sécurité confronte les professionnels face à des choix
Sécurité et contrôle social
En ligne : https://doi.org/10.3917/graph1.084.0073 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=114591
in Le Sociographe > 84 (Décembre 2023) . - p. 73-83[article] 2/ Norme et contrôle social : Les travailleurs sociaux à l’épreuve de nouveaux dilemmes sécuritaires [texte imprimé] / François-Xavier Duveau . - 2023 . - p. 73-83.
Issu du dossier "La norme dans tous ses états"
Langues : Français (fre)
in Le Sociographe > 84 (Décembre 2023) . - p. 73-83
Mots-clés : Contrôle social (surveillance, auto-obéissance, obéissance, soumission à l'autorité) Contrôle social Sécurité (psychologie) travailleurs sociaux : contrôle social Violence institutionnelle Coronavirus et travail social Résumé : Le déploiement grandissant de dispositifs sécuritaires pose de nouveaux défis pour les travailleurs sociaux. Les difficultés rencontrées par ces derniers sont autant le symptôme de la crise que traverse leur secteur que de la montée en puissance de la notion de sécurité au sein des institutions. Pour tenter de rester fidèles à leurs valeurs, ces professionnels doivent résoudre un certain nombre de dilemmes qui se posent aujourd’hui à eux. Note de contenu :
Travail social et dispositifs sécuritaires
Effet cliquet et performances sécuritaires
L’ignorance comme outil de résistance à la surenchère sécuritaire
Comment la sécurité confronte les professionnels face à des choix
Sécurité et contrôle social
En ligne : https://doi.org/10.3917/graph1.084.0073 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=114591 Réservation
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DisponibleD’où vient le mal ? L’hypothèse Arendt in Philosophie magazine, 69 (mai 2013)
[article]
Titre : D’où vient le mal ? L’hypothèse Arendt : dossier Type de document : texte imprimé Année de publication : 2013 Article en page(s) : p. 40-65 Langues : Français (fre) Mots-clés : Contrôle social (surveillance, auto-obéissance, obéissance, soumission à l'autorité) Bourreaux 17 Morale Ethique Philosophie pratique Valeurs Résumé : Du mal, on pensait, de Platon à Nietzsche, avoir tout dit – ainsi que son contraire. Et pourtant, comme le montre l’émouvant biopic que Margarethe von Trotta lui consacre, c’est un véritable coup de tonnerre dans le ciel de la métaphysique que provoquera Hannah Arendt en publiant son reportage sur le procès d’Adolf Eichmann en 1963. Quand tout le monde voulait voir en Eichmann une figure démoniaque, elle considère le haut fonctionnaire nazi comme un « clown » animé d’une insoutenable « banalité du mal ». « Perversité de l’intelligence », répliquera-t-on à la philosophe. Mais est-ce si sûr ? Alors que l’idée de banalité du mal offre à nombre d’intellectuels une clé de lecture des perversions qui minent la société contemporaine, peut-être Arendt pointait-elle une nouvelle modalité du vice qui vient tristement enrichir la gamme théorisée avant elle par Augustin, Rousseau, Kant ou Freud. Une modalité qui attendait l’avènement des sociétés de masse pour se manifester. Et qui prend à revers deux mille ans de tradition philosophique. Nous signalant par là que penser le mal est une tâche qui incombe encore à chacun de nous. Note de contenu : Articles :
- Dépasser le manichéisme Par Alexandre Lacroix
« Je ne connais pas bien l’Amérique mais, d’après ses films, je crois que, pour mieux se préserver, pour se garder intacte, elle a inventé une sorte de gangster qui incarne à peu près totalement le Mal. Ces gangsters sont naturellement imaginaires. L’Amérique a dressé devant elle un gangster imaginaire de telle façon qu’on ne puisse pas l’identifier, elle, l’Amérique, avec le Mal. »
- L’hypothèse Arendt Par Martin Legros
Lorsqu’elle arrive à Jérusalem en 1961 pour couvrir le procès de l’officier SS Adolf Eichmann, Hannah Arendt n’imaginait pas qu’elle allait déclencher avec son concept de « banalité du mal » une controverse mondiale. Retour sur les enjeux historiques, politiques et métaphysiques d’une théorie toujours brûlante.
+ Le mal radical selon Kant
+ les protagonistes : Hannah Arendt (1906-1975) : Adolf Eichmann (1906-1962), Martin Heidegger (1889-1976), Heinrich Blücher (1899-1970), Gershom Scholem (1897-1982), Hans Jonas (1903-1993) et Karl Jaspers (1883-1969)
+ De la radicalité à la banalité du mal
- Margarethe von Trotta. «Je voulais que le public arrive à la même conclusion qu’Arendt» Par Svenja Flaßpöhler , Pierre Rusch
Son film «Hannah Arendt» a déjà connu un succès inattendu en Allemagne. À l’occasion de la sortie en France de ce long métrage centré sur le regard de la philosophe pendant le procès Eichmann, la réalisatrice Margarethe von Trotta explique pourquoi elle s’est passionnée pour la théoricienne de la « banalité du mal ».
- Gestion des ressources inhumaines Par Michel Eltchaninoff
De l’entreprise à l’action humanitaire, la banalité du mal sévit-elle encore, de manière discrète mais destructrice, dans nos sociétés ? Réponses de l’historien Jacques Sémelin, du philosophe Michel Terestchenko, du psychanalyste Christophe Dejours et du fondateur de Médecins sans frontières Rony Brauman.
- Au cœur des ténèbres Par Martin Duru
Trois matchs. À chaque fois, le même scénario. D’un côté, ceux qui neutralisent le mal en l’expliquant comme l’œuvre de Dieu, de la société, de notre ignorance. De l’autre, ceux qui en font une dimension essentielle de notre condition, dont il nous arrive même de tirer du plaisir
* Est-ce vraiment de notre faute ?
* Peut-on jouir du mal ?
* Est-ce la société qui nous rend mauvais ?
- Platon n’y a vu que du feu Par Mehdi Belhaj Kacem
Depuis Platon, la philosophie a oublié le mal, érigeant le bien comme idée suprême. Pour Mehdi Belhaj Kacem, il est grand temps, surtout après Auschwitz, qu’elle s’y intéresse. Car, en le refoulant, notre civilisation rationnelle et technicienne s’est vouée à être hantée par un nihilisme menaçant.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101665
in Philosophie magazine > 69 (mai 2013) . - p. 40-65[article] D’où vient le mal ? L’hypothèse Arendt : dossier [texte imprimé] . - 2013 . - p. 40-65.
Langues : Français (fre)
in Philosophie magazine > 69 (mai 2013) . - p. 40-65
Mots-clés : Contrôle social (surveillance, auto-obéissance, obéissance, soumission à l'autorité) Bourreaux 17 Morale Ethique Philosophie pratique Valeurs Résumé : Du mal, on pensait, de Platon à Nietzsche, avoir tout dit – ainsi que son contraire. Et pourtant, comme le montre l’émouvant biopic que Margarethe von Trotta lui consacre, c’est un véritable coup de tonnerre dans le ciel de la métaphysique que provoquera Hannah Arendt en publiant son reportage sur le procès d’Adolf Eichmann en 1963. Quand tout le monde voulait voir en Eichmann une figure démoniaque, elle considère le haut fonctionnaire nazi comme un « clown » animé d’une insoutenable « banalité du mal ». « Perversité de l’intelligence », répliquera-t-on à la philosophe. Mais est-ce si sûr ? Alors que l’idée de banalité du mal offre à nombre d’intellectuels une clé de lecture des perversions qui minent la société contemporaine, peut-être Arendt pointait-elle une nouvelle modalité du vice qui vient tristement enrichir la gamme théorisée avant elle par Augustin, Rousseau, Kant ou Freud. Une modalité qui attendait l’avènement des sociétés de masse pour se manifester. Et qui prend à revers deux mille ans de tradition philosophique. Nous signalant par là que penser le mal est une tâche qui incombe encore à chacun de nous. Note de contenu : Articles :
- Dépasser le manichéisme Par Alexandre Lacroix
« Je ne connais pas bien l’Amérique mais, d’après ses films, je crois que, pour mieux se préserver, pour se garder intacte, elle a inventé une sorte de gangster qui incarne à peu près totalement le Mal. Ces gangsters sont naturellement imaginaires. L’Amérique a dressé devant elle un gangster imaginaire de telle façon qu’on ne puisse pas l’identifier, elle, l’Amérique, avec le Mal. »
- L’hypothèse Arendt Par Martin Legros
Lorsqu’elle arrive à Jérusalem en 1961 pour couvrir le procès de l’officier SS Adolf Eichmann, Hannah Arendt n’imaginait pas qu’elle allait déclencher avec son concept de « banalité du mal » une controverse mondiale. Retour sur les enjeux historiques, politiques et métaphysiques d’une théorie toujours brûlante.
+ Le mal radical selon Kant
+ les protagonistes : Hannah Arendt (1906-1975) : Adolf Eichmann (1906-1962), Martin Heidegger (1889-1976), Heinrich Blücher (1899-1970), Gershom Scholem (1897-1982), Hans Jonas (1903-1993) et Karl Jaspers (1883-1969)
+ De la radicalité à la banalité du mal
- Margarethe von Trotta. «Je voulais que le public arrive à la même conclusion qu’Arendt» Par Svenja Flaßpöhler , Pierre Rusch
Son film «Hannah Arendt» a déjà connu un succès inattendu en Allemagne. À l’occasion de la sortie en France de ce long métrage centré sur le regard de la philosophe pendant le procès Eichmann, la réalisatrice Margarethe von Trotta explique pourquoi elle s’est passionnée pour la théoricienne de la « banalité du mal ».
- Gestion des ressources inhumaines Par Michel Eltchaninoff
De l’entreprise à l’action humanitaire, la banalité du mal sévit-elle encore, de manière discrète mais destructrice, dans nos sociétés ? Réponses de l’historien Jacques Sémelin, du philosophe Michel Terestchenko, du psychanalyste Christophe Dejours et du fondateur de Médecins sans frontières Rony Brauman.
- Au cœur des ténèbres Par Martin Duru
Trois matchs. À chaque fois, le même scénario. D’un côté, ceux qui neutralisent le mal en l’expliquant comme l’œuvre de Dieu, de la société, de notre ignorance. De l’autre, ceux qui en font une dimension essentielle de notre condition, dont il nous arrive même de tirer du plaisir
* Est-ce vraiment de notre faute ?
* Peut-on jouir du mal ?
* Est-ce la société qui nous rend mauvais ?
- Platon n’y a vu que du feu Par Mehdi Belhaj Kacem
Depuis Platon, la philosophie a oublié le mal, érigeant le bien comme idée suprême. Pour Mehdi Belhaj Kacem, il est grand temps, surtout après Auschwitz, qu’elle s’y intéresse. Car, en le refoulant, notre civilisation rationnelle et technicienne s’est vouée à être hantée par un nihilisme menaçant.
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Empruntable sur demande auprès des documentalistes
DisponibleVers un droit à la vie féministe? Partie 2 : Discours sécuritaires & gentrification. Quand le néolibéralisme confisque les critiques féministes au détriment des femmes / Tam Blondiau-Lebeau in Bruxelles en mouvements, 326 (octobre 2023)
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