Centre de Documentation Campus Montignies
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Aurais-je été résistant ou bourreau? / François Azouvi in Philosophie magazine, 66 (février 2013)
[article]
Titre : Aurais-je été résistant ou bourreau? Type de document : texte imprimé Auteurs : François Azouvi, Auteur Année de publication : 2013 Article en page(s) : p. 86-87 Langues : Français (fre) Mots-clés : Bourreaux 94(100)"1939/45" Résistance Seconde Guerre mondiale 1 Philosophie Psychologie Résumé : Et moi, qu’aurais-je fait ? Qu’est-ce qui transforme l’homme sans qualités en héros ? En interrogeant ce moment de bascule, Pierre Bayard approche la part potentielle de notre identité. Et lui garde son mystère.
Sur le livre de Pierre Bayard aux éditions de Minuit.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101648
in Philosophie magazine > 66 (février 2013) . - p. 86-87[article] Aurais-je été résistant ou bourreau? [texte imprimé] / François Azouvi, Auteur . - 2013 . - p. 86-87.
Langues : Français (fre)
in Philosophie magazine > 66 (février 2013) . - p. 86-87
Mots-clés : Bourreaux 94(100)"1939/45" Résistance Seconde Guerre mondiale 1 Philosophie Psychologie Résumé : Et moi, qu’aurais-je fait ? Qu’est-ce qui transforme l’homme sans qualités en héros ? En interrogeant ce moment de bascule, Pierre Bayard approche la part potentielle de notre identité. Et lui garde son mystère.
Sur le livre de Pierre Bayard aux éditions de Minuit.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101648 Réservation
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DisponibleD’où vient le mal ? L’hypothèse Arendt in Philosophie magazine, 69 (mai 2013)
[article]
Titre : D’où vient le mal ? L’hypothèse Arendt : dossier Type de document : texte imprimé Année de publication : 2013 Article en page(s) : p. 40-65 Langues : Français (fre) Mots-clés : Contrôle social (surveillance, auto-obéissance, obéissance, soumission à l'autorité) Bourreaux 17 Morale Ethique Philosophie pratique Valeurs Résumé : Du mal, on pensait, de Platon à Nietzsche, avoir tout dit – ainsi que son contraire. Et pourtant, comme le montre l’émouvant biopic que Margarethe von Trotta lui consacre, c’est un véritable coup de tonnerre dans le ciel de la métaphysique que provoquera Hannah Arendt en publiant son reportage sur le procès d’Adolf Eichmann en 1963. Quand tout le monde voulait voir en Eichmann une figure démoniaque, elle considère le haut fonctionnaire nazi comme un « clown » animé d’une insoutenable « banalité du mal ». « Perversité de l’intelligence », répliquera-t-on à la philosophe. Mais est-ce si sûr ? Alors que l’idée de banalité du mal offre à nombre d’intellectuels une clé de lecture des perversions qui minent la société contemporaine, peut-être Arendt pointait-elle une nouvelle modalité du vice qui vient tristement enrichir la gamme théorisée avant elle par Augustin, Rousseau, Kant ou Freud. Une modalité qui attendait l’avènement des sociétés de masse pour se manifester. Et qui prend à revers deux mille ans de tradition philosophique. Nous signalant par là que penser le mal est une tâche qui incombe encore à chacun de nous. Note de contenu : Articles :
- Dépasser le manichéisme Par Alexandre Lacroix
« Je ne connais pas bien l’Amérique mais, d’après ses films, je crois que, pour mieux se préserver, pour se garder intacte, elle a inventé une sorte de gangster qui incarne à peu près totalement le Mal. Ces gangsters sont naturellement imaginaires. L’Amérique a dressé devant elle un gangster imaginaire de telle façon qu’on ne puisse pas l’identifier, elle, l’Amérique, avec le Mal. »
- L’hypothèse Arendt Par Martin Legros
Lorsqu’elle arrive à Jérusalem en 1961 pour couvrir le procès de l’officier SS Adolf Eichmann, Hannah Arendt n’imaginait pas qu’elle allait déclencher avec son concept de « banalité du mal » une controverse mondiale. Retour sur les enjeux historiques, politiques et métaphysiques d’une théorie toujours brûlante.
+ Le mal radical selon Kant
+ les protagonistes : Hannah Arendt (1906-1975) : Adolf Eichmann (1906-1962), Martin Heidegger (1889-1976), Heinrich Blücher (1899-1970), Gershom Scholem (1897-1982), Hans Jonas (1903-1993) et Karl Jaspers (1883-1969)
+ De la radicalité à la banalité du mal
- Margarethe von Trotta. «Je voulais que le public arrive à la même conclusion qu’Arendt» Par Svenja Flaßpöhler , Pierre Rusch
Son film «Hannah Arendt» a déjà connu un succès inattendu en Allemagne. À l’occasion de la sortie en France de ce long métrage centré sur le regard de la philosophe pendant le procès Eichmann, la réalisatrice Margarethe von Trotta explique pourquoi elle s’est passionnée pour la théoricienne de la « banalité du mal ».
- Gestion des ressources inhumaines Par Michel Eltchaninoff
De l’entreprise à l’action humanitaire, la banalité du mal sévit-elle encore, de manière discrète mais destructrice, dans nos sociétés ? Réponses de l’historien Jacques Sémelin, du philosophe Michel Terestchenko, du psychanalyste Christophe Dejours et du fondateur de Médecins sans frontières Rony Brauman.
- Au cœur des ténèbres Par Martin Duru
Trois matchs. À chaque fois, le même scénario. D’un côté, ceux qui neutralisent le mal en l’expliquant comme l’œuvre de Dieu, de la société, de notre ignorance. De l’autre, ceux qui en font une dimension essentielle de notre condition, dont il nous arrive même de tirer du plaisir
* Est-ce vraiment de notre faute ?
* Peut-on jouir du mal ?
* Est-ce la société qui nous rend mauvais ?
- Platon n’y a vu que du feu Par Mehdi Belhaj Kacem
Depuis Platon, la philosophie a oublié le mal, érigeant le bien comme idée suprême. Pour Mehdi Belhaj Kacem, il est grand temps, surtout après Auschwitz, qu’elle s’y intéresse. Car, en le refoulant, notre civilisation rationnelle et technicienne s’est vouée à être hantée par un nihilisme menaçant.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101665
in Philosophie magazine > 69 (mai 2013) . - p. 40-65[article] D’où vient le mal ? L’hypothèse Arendt : dossier [texte imprimé] . - 2013 . - p. 40-65.
Langues : Français (fre)
in Philosophie magazine > 69 (mai 2013) . - p. 40-65
Mots-clés : Contrôle social (surveillance, auto-obéissance, obéissance, soumission à l'autorité) Bourreaux 17 Morale Ethique Philosophie pratique Valeurs Résumé : Du mal, on pensait, de Platon à Nietzsche, avoir tout dit – ainsi que son contraire. Et pourtant, comme le montre l’émouvant biopic que Margarethe von Trotta lui consacre, c’est un véritable coup de tonnerre dans le ciel de la métaphysique que provoquera Hannah Arendt en publiant son reportage sur le procès d’Adolf Eichmann en 1963. Quand tout le monde voulait voir en Eichmann une figure démoniaque, elle considère le haut fonctionnaire nazi comme un « clown » animé d’une insoutenable « banalité du mal ». « Perversité de l’intelligence », répliquera-t-on à la philosophe. Mais est-ce si sûr ? Alors que l’idée de banalité du mal offre à nombre d’intellectuels une clé de lecture des perversions qui minent la société contemporaine, peut-être Arendt pointait-elle une nouvelle modalité du vice qui vient tristement enrichir la gamme théorisée avant elle par Augustin, Rousseau, Kant ou Freud. Une modalité qui attendait l’avènement des sociétés de masse pour se manifester. Et qui prend à revers deux mille ans de tradition philosophique. Nous signalant par là que penser le mal est une tâche qui incombe encore à chacun de nous. Note de contenu : Articles :
- Dépasser le manichéisme Par Alexandre Lacroix
« Je ne connais pas bien l’Amérique mais, d’après ses films, je crois que, pour mieux se préserver, pour se garder intacte, elle a inventé une sorte de gangster qui incarne à peu près totalement le Mal. Ces gangsters sont naturellement imaginaires. L’Amérique a dressé devant elle un gangster imaginaire de telle façon qu’on ne puisse pas l’identifier, elle, l’Amérique, avec le Mal. »
- L’hypothèse Arendt Par Martin Legros
Lorsqu’elle arrive à Jérusalem en 1961 pour couvrir le procès de l’officier SS Adolf Eichmann, Hannah Arendt n’imaginait pas qu’elle allait déclencher avec son concept de « banalité du mal » une controverse mondiale. Retour sur les enjeux historiques, politiques et métaphysiques d’une théorie toujours brûlante.
+ Le mal radical selon Kant
+ les protagonistes : Hannah Arendt (1906-1975) : Adolf Eichmann (1906-1962), Martin Heidegger (1889-1976), Heinrich Blücher (1899-1970), Gershom Scholem (1897-1982), Hans Jonas (1903-1993) et Karl Jaspers (1883-1969)
+ De la radicalité à la banalité du mal
- Margarethe von Trotta. «Je voulais que le public arrive à la même conclusion qu’Arendt» Par Svenja Flaßpöhler , Pierre Rusch
Son film «Hannah Arendt» a déjà connu un succès inattendu en Allemagne. À l’occasion de la sortie en France de ce long métrage centré sur le regard de la philosophe pendant le procès Eichmann, la réalisatrice Margarethe von Trotta explique pourquoi elle s’est passionnée pour la théoricienne de la « banalité du mal ».
- Gestion des ressources inhumaines Par Michel Eltchaninoff
De l’entreprise à l’action humanitaire, la banalité du mal sévit-elle encore, de manière discrète mais destructrice, dans nos sociétés ? Réponses de l’historien Jacques Sémelin, du philosophe Michel Terestchenko, du psychanalyste Christophe Dejours et du fondateur de Médecins sans frontières Rony Brauman.
- Au cœur des ténèbres Par Martin Duru
Trois matchs. À chaque fois, le même scénario. D’un côté, ceux qui neutralisent le mal en l’expliquant comme l’œuvre de Dieu, de la société, de notre ignorance. De l’autre, ceux qui en font une dimension essentielle de notre condition, dont il nous arrive même de tirer du plaisir
* Est-ce vraiment de notre faute ?
* Peut-on jouir du mal ?
* Est-ce la société qui nous rend mauvais ?
- Platon n’y a vu que du feu Par Mehdi Belhaj Kacem
Depuis Platon, la philosophie a oublié le mal, érigeant le bien comme idée suprême. Pour Mehdi Belhaj Kacem, il est grand temps, surtout après Auschwitz, qu’elle s’y intéresse. Car, en le refoulant, notre civilisation rationnelle et technicienne s’est vouée à être hantée par un nihilisme menaçant.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101665 Réservation
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