54 Décembre 2015 55 Avril 2016 56 Septembre 2016 57 décembre 2016 58 Avril 2017 59 Septembre 2017 60 Décembre 2017 61 Avril 2018 62 Septembre 2018 63 Décembre 2018 64 Avril 2019 65 septembre 2019 66 Décembre 2019 Perspective soignante . 60 Mention de date :  Décembre 2017 Paru le :  01/12/2017

Dépouillements

"On disait qu'on était des soignants..." : un petit jeu sans conséquences ? / Cédric Juliens in Perspective soignante, 60 (Décembre 2017)

Public ISBD [article]  inPerspective soignante > 60 (Décembre 2017) . - p. 7-22 Titre : "On disait qu'on était des soignants..." : un petit jeu sans conséquences ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Cédric Juliens, ; Laura L. Danero Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 7-22 Langues : Français (fre) Mots-clés : Élève infirmier  Relations infirmier-patient  Formation par simulation  Enseignement infirmier:Stage pratique guidé  Observation  Perception  toucher relationnel  socialisation corporelle  relation au corps  formation corporelle  écriture sensible  soin relationnel Résumé : Les auteurs constatent que la simulation, au sens étroit de la pratique, ne prépare pas les étudiants à aller au contact du corps de l'autre. Par son caractère désincarné, elle délaisse la question de l'initiation, corporelle et psychologique, de l'étudiant, de même que les affects relationnels liés à l'intimité du corps à corps. Les auteurs plaident pour une définition plus large du mot 'simulation' comme dispositif expérientiel d'apprentissage, doublé d'une posture réflexive qui permet de travailler avec l'étudiant la notion de risque inhérent à la confrontation du corps réel. Au moyen d'ateliers psychocorporels, ils proposent aux étudiants d'expérimenter des situations de soins, en portant l'attention sur les informations sensorielles, le langage non verbal et les contacts interpersonnels. Ensuite, ils identifient avec eux tout ce qui a été mobilisé dans le passage de la sensation à la perception, à travers des exercices d'écriture subjective. Dans cet article, les auteurs développent la réflexion qui a présidé à l'élaboration de ces ateliers : (1) préparer l'étudiant à recevoir ce qui va surgir à la rencontre du premier patient "alpha", (2) développer les compétences perceptives des étudiants par une éducation sensorielle qui va nourrir leur démarche clinique (observation) et leur potentiel empathique et (3) outiller les étudiants pour pouvoir côtoyer la souffrance. Il s'agit à leurs yeux de réinvestir l'abord psychocorporel des soins, et, de repenser l'accompagnement des étudiants au chevet, en nommant ce qui peut être appréhendé par la simulation et ce qui ne peut pas l'être. Note de contenu : Cet article est extrait de l'ouvrage coordonné par Michel Dupuis et Walter Hesbeen, Simulation et formations aux métiers de la santé, Seli Arslan, 2018. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbjolimont/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=92212 [article] "On disait qu'on était des soignants..." : un petit jeu sans conséquences ? [texte imprimé] / Cédric Juliens, ; Laura L. Danero . - 2017 . - p. 7-22. Langues : Français (fre) in Perspective soignante > 60 (Décembre 2017) . - p. 7-22 Mots-clés : Élève infirmier  Relations infirmier-patient  Formation par simulation  Enseignement infirmier:Stage pratique guidé  Observation  Perception  toucher relationnel  socialisation corporelle  relation au corps  formation corporelle  écriture sensible  soin relationnel Résumé : Les auteurs constatent que la simulation, au sens étroit de la pratique, ne prépare pas les étudiants à aller au contact du corps de l'autre. Par son caractère désincarné, elle délaisse la question de l'initiation, corporelle et psychologique, de l'étudiant, de même que les affects relationnels liés à l'intimité du corps à corps. Les auteurs plaident pour une définition plus large du mot 'simulation' comme dispositif expérientiel d'apprentissage, doublé d'une posture réflexive qui permet de travailler avec l'étudiant la notion de risque inhérent à la confrontation du corps réel. Au moyen d'ateliers psychocorporels, ils proposent aux étudiants d'expérimenter des situations de soins, en portant l'attention sur les informations sensorielles, le langage non verbal et les contacts interpersonnels. Ensuite, ils identifient avec eux tout ce qui a été mobilisé dans le passage de la sensation à la perception, à travers des exercices d'écriture subjective. Dans cet article, les auteurs développent la réflexion qui a présidé à l'élaboration de ces ateliers : (1) préparer l'étudiant à recevoir ce qui va surgir à la rencontre du premier patient "alpha", (2) développer les compétences perceptives des étudiants par une éducation sensorielle qui va nourrir leur démarche clinique (observation) et leur potentiel empathique et (3) outiller les étudiants pour pouvoir côtoyer la souffrance. Il s'agit à leurs yeux de réinvestir l'abord psychocorporel des soins, et, de repenser l'accompagnement des étudiants au chevet, en nommant ce qui peut être appréhendé par la simulation et ce qui ne peut pas l'être. Note de contenu : Cet article est extrait de l'ouvrage coordonné par Michel Dupuis et Walter Hesbeen, Simulation et formations aux métiers de la santé, Seli Arslan, 2018. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbjolimont/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=92212

Exemplaires (1)

Code-barres	Cote	Support	Section	Disponibilité
08121	REV.62	Périodique	Périodiques / Revues	Disponible

Face à la souffrance spirituelle, quel soin infirmier ? / Martine Goethals in Perspective soignante, 60 (Décembre 2017)

Public ISBD [article]  inPerspective soignante > 60 (Décembre 2017) . - p. 55-76 Titre : Face à la souffrance spirituelle, quel soin infirmier ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Martine Goethals Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 55-76 Langues : Français (fre) Mots-clés : Relations infirmier-patient  éthique  Spiritualité  Accompagnement de la fin de la vie  distance thérapeutique  besoin spirituel  détresse spirituelle  soin spirituel  juste distance Résumé : Cet article traite de la qualité de la présence du soignant lors de l'accompagnement spirituel du patient. La spiritualité qui intéresse l'auteure dépasse la cadre strict de la religion et n'est pas limitée à la dimension de fin de vie. Elle définit la spiritualité en faisant appel à l'étymologie (du latin spiritus, -us : le souffle) qui nous apprend que la spiritualité nous aide à respirer, et donc à vivre. L'auteure développe sa réflexion autour des trois composantes irréductibles de notre condition humaine : finitude, solitude et incertitude que nous devons apprendre à apprivoiser au cours de la vie. De ce point de vue, soignant et soigné se trouvent côte à côte face aux grandes questions humaines. L'accompagnement spirituel du sujet en quête de sens, demande de la part de l'équipe soignante un forme de lâcher-prise par rapport à l'idéal médical. Il doit plutôt être à côté de lui, dans un lien d'humanité, "prêt à naviguer sur les eaux de l'incertitude et du non-faire". Elle propose quelques pistes quant aux formes que peuvent prendre un soin spirituel. Certains propositions relèvent de la posture (pleine présence, incertitude assumée,..) d'autres passent par des pratiques (toucher relationnel, méditation, aromathérapie, snoezelen, art-thérapie, bibliothérapie, etc). Elle met en évidence l'importance du silence, de la respiration et de la voix dans l'échange. L'auteure met en garde contre les pièges de la préméditation, du projet et pose les conditions d'une 'juste présence' lors du soin spirituel : accueillir ce qui vient, être ouvert à sa propre spiritualité et surtout une autodiscipline pour ne jamais penser à la place de l'autre. Note de contenu : Ce texte est un extrait de travail de fin d'études en vue de l'obtention du diplôme de Bachelière en soins infirmiers responsable de soins généraux, Haute Ecole Léonard de Vinci, Parnasse-ISEI, Louvain-la-Neuve, 2016-2017; conseillère pédagogique Anne Lodewijck. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbjolimont/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=92228 [article] Face à la souffrance spirituelle, quel soin infirmier ? [texte imprimé] / Martine Goethals . - 2017 . - p. 55-76. Langues : Français (fre) in Perspective soignante > 60 (Décembre 2017) . - p. 55-76 Mots-clés : Relations infirmier-patient  éthique  Spiritualité  Accompagnement de la fin de la vie  distance thérapeutique  besoin spirituel  détresse spirituelle  soin spirituel  juste distance Résumé : Cet article traite de la qualité de la présence du soignant lors de l'accompagnement spirituel du patient. La spiritualité qui intéresse l'auteure dépasse la cadre strict de la religion et n'est pas limitée à la dimension de fin de vie. Elle définit la spiritualité en faisant appel à l'étymologie (du latin spiritus, -us : le souffle) qui nous apprend que la spiritualité nous aide à respirer, et donc à vivre. L'auteure développe sa réflexion autour des trois composantes irréductibles de notre condition humaine : finitude, solitude et incertitude que nous devons apprendre à apprivoiser au cours de la vie. De ce point de vue, soignant et soigné se trouvent côte à côte face aux grandes questions humaines. L'accompagnement spirituel du sujet en quête de sens, demande de la part de l'équipe soignante un forme de lâcher-prise par rapport à l'idéal médical. Il doit plutôt être à côté de lui, dans un lien d'humanité, "prêt à naviguer sur les eaux de l'incertitude et du non-faire". Elle propose quelques pistes quant aux formes que peuvent prendre un soin spirituel. Certains propositions relèvent de la posture (pleine présence, incertitude assumée,..) d'autres passent par des pratiques (toucher relationnel, méditation, aromathérapie, snoezelen, art-thérapie, bibliothérapie, etc). Elle met en évidence l'importance du silence, de la respiration et de la voix dans l'échange. L'auteure met en garde contre les pièges de la préméditation, du projet et pose les conditions d'une 'juste présence' lors du soin spirituel : accueillir ce qui vient, être ouvert à sa propre spiritualité et surtout une autodiscipline pour ne jamais penser à la place de l'autre. Note de contenu : Ce texte est un extrait de travail de fin d'études en vue de l'obtention du diplôme de Bachelière en soins infirmiers responsable de soins généraux, Haute Ecole Léonard de Vinci, Parnasse-ISEI, Louvain-la-Neuve, 2016-2017; conseillère pédagogique Anne Lodewijck. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbjolimont/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=92228

Exemplaires (1)

Code-barres	Cote	Support	Section	Disponibilité
08121	REV.62	Périodique	Périodiques / Revues	Disponible

La simulation clinique pleine échelle : quelle(s) pédagogie(s) pour une activité complexe ? / Florence Policard in Perspective soignante, 60 (Décembre 2017)

Public ISBD [article]  inPerspective soignante > 60 (Décembre 2017) . - p. 23-43 Titre : La simulation clinique pleine échelle : quelle(s) pédagogie(s) pour une activité complexe ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Florence Policard Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 23-43 Langues : Français (fre) Mots-clés : Formation par simulation  Ethique  Formation par simulation haute fidélité  Enseignement infirmier  scénario pédagogique  didactique professionnelle  pédagogie par l'erreur  débriefing Résumé : La simulation clinique pleine échelle (SCPE) consiste à reproduire un environnement au plus proche du réel, et à placer les apprenants en situation de réaliser l'activité de travail dans toutes ses dimensions, sur la base d'un scénario les confrontant à un problème à résoudre. Après avoir rappelé les modalités et les principes de l'enseignement par simulation clinique, l'auteure interroge les trois grands courants pédagogiques qui sous-tendent son utilisation : courant cognitiviste, béhavioriste et socioconstructivisme sont à mobiliser à bon escient en fonction des exigences de la situation. Ensuite, l'auteure se propose de repérer les trois exigences inhérentes au format de la simulation clinique : (1) l'obtention d'un matériau expérientiel de qualité dans la perspective du débriefing. La conception du scénario doit, à cette fin, prendre en compte trois dimensions : la fidélité, la problématicité et l'interactivité. (2) Faciliter l'expression de la réflexivité et (3) l'importance d'un cadre sécure sur un plan psychologique comme levier de la motivation des apprenants. Pour l'auteure, la complexité à mener une séance de simulation clinique réside dans deux questions cruciales qu'elle développe: (1) l'incertitude que le formateur va rencontrer au cours de la séance l'amènera à gérer le passage de la position d'expert à celle de médiateur de manière plus ou moins dirigiste (2) la pédagogie par l'erreur : quoique dédramatisante, cette approche comporte trois biais importants : la banalisation de l'erreur, l'autorisation que se donne l'apprenant à se tromper en remettant en cause son image et la focalisation sur les vertus apprenantes de l'erreur qui peut faire oublier de travailler en profondeur les actions 'réussies'. Cette réflexion s'appuie sur une recherche en cours auprès de formateurs en instituts de formation en soins infirmiers (IFSI). Note de contenu : Cet article est extrait de l'ouvrage coordonné par Michel Dupuis et Walter Hesbeen, Simulation et formations aux métiers de la santé, Seli Arslan, 2018. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbjolimont/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=92240 [article] La simulation clinique pleine échelle : quelle(s) pédagogie(s) pour une activité complexe ? [texte imprimé] / Florence Policard . - 2017 . - p. 23-43. Langues : Français (fre) in Perspective soignante > 60 (Décembre 2017) . - p. 23-43 Mots-clés : Formation par simulation  Ethique  Formation par simulation haute fidélité  Enseignement infirmier  scénario pédagogique  didactique professionnelle  pédagogie par l'erreur  débriefing Résumé : La simulation clinique pleine échelle (SCPE) consiste à reproduire un environnement au plus proche du réel, et à placer les apprenants en situation de réaliser l'activité de travail dans toutes ses dimensions, sur la base d'un scénario les confrontant à un problème à résoudre. Après avoir rappelé les modalités et les principes de l'enseignement par simulation clinique, l'auteure interroge les trois grands courants pédagogiques qui sous-tendent son utilisation : courant cognitiviste, béhavioriste et socioconstructivisme sont à mobiliser à bon escient en fonction des exigences de la situation. Ensuite, l'auteure se propose de repérer les trois exigences inhérentes au format de la simulation clinique : (1) l'obtention d'un matériau expérientiel de qualité dans la perspective du débriefing. La conception du scénario doit, à cette fin, prendre en compte trois dimensions : la fidélité, la problématicité et l'interactivité. (2) Faciliter l'expression de la réflexivité et (3) l'importance d'un cadre sécure sur un plan psychologique comme levier de la motivation des apprenants. Pour l'auteure, la complexité à mener une séance de simulation clinique réside dans deux questions cruciales qu'elle développe: (1) l'incertitude que le formateur va rencontrer au cours de la séance l'amènera à gérer le passage de la position d'expert à celle de médiateur de manière plus ou moins dirigiste (2) la pédagogie par l'erreur : quoique dédramatisante, cette approche comporte trois biais importants : la banalisation de l'erreur, l'autorisation que se donne l'apprenant à se tromper en remettant en cause son image et la focalisation sur les vertus apprenantes de l'erreur qui peut faire oublier de travailler en profondeur les actions 'réussies'. Cette réflexion s'appuie sur une recherche en cours auprès de formateurs en instituts de formation en soins infirmiers (IFSI). Note de contenu : Cet article est extrait de l'ouvrage coordonné par Michel Dupuis et Walter Hesbeen, Simulation et formations aux métiers de la santé, Seli Arslan, 2018. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbjolimont/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=92240

Exemplaires (1)

Code-barres	Cote	Support	Section	Disponibilité
08121	REV.62	Périodique	Périodiques / Revues	Disponible

Le patient partenaire des professionnels de la santé pour les exercices de simulation / Dan Lecocq in Perspective soignante, 60 (Décembre 2017)

Public ISBD [article]  inPerspective soignante > 60 (Décembre 2017) . - p. 44--54 Titre : Le patient partenaire des professionnels de la santé pour les exercices de simulation Type de document : texte imprimé Auteurs : Dan Lecocq ; Hélène Lefebvre ; André Néron Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 44--54 Langues : Français (fre) Mots-clés : Participation du patient  Formation par simulation  Ethique  Personnel de santé  patient partenaire  patient-expert  scénario pédagogique Résumé : Les auteurs développent les choix qui ont présidé à l'élaboration d'une formation des professionnels de santé par la simulation, en impliquant directement les patients-partenaires dans leur dispositif. La définition du "partenariat patient" retenue à l'Université Libre de Bruxelles repose sur la reconnaissance de la complémentarité des savoirs des professionnels de santé et des patients : "experts des maladies" pour les uns et "expert de la vie avec sa maladie" pour les autres. A l'opposé de la tendance à standardiser le patient dans ce type d'exercices, l'originalité de ce dispositif réside dans la prise en compte de la singularité de l'expérience du patient à vivre sa maladie. Une question fondamentale de l'article réside dans la sélection, le recrutement et la formation des patients partenaires associés aux dispositifs de simulation. Les auteurs énumèrent les qualités que les candidats doivent présenter pour devenir patient partenaire dans la formation des professionnels. La principale sera toujours le fait d'être avant tout un patient partenaire de ses propres soins. Les auteurs déclinent ensuite la contribution du patient au cours différentes phases de ces exercices de simulation, co-construits avec les formateurs. Depuis la scénarisation jusqu'à l'évaluation du dispositif, le principe du partenariat patient va permettre de nombreux co-apprentissages, tant entre formateurs - patients et professionnels - qu'avec les apprenants. Un dernier chapitre envisage les bénéfices d'un tel dispositif sur le plan éthique : (1) encourager les étudiants, par l'exemple, à adopter des attitudes favorables au partenariat patient, (2) renforcer le potentiel de bienveillance des étudiants, (3) reconnaître les ressources des patients et (4) entraîner "l'intelligence du singulier" des futurs professionnels, sans tomber dans le piège de considérer les patients comme des "objets d'apprentissage". Note de contenu : Cet article est extrait de l'ouvrage coordonné par Michel Dupuis et Walter Hesbeen, Simulation et formations aux métiers de la santé, Seli Arslan, 2018. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbjolimont/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=92246 [article] Le patient partenaire des professionnels de la santé pour les exercices de simulation [texte imprimé] / Dan Lecocq ; Hélène Lefebvre ; André Néron . - 2017 . - p. 44--54. Langues : Français (fre) in Perspective soignante > 60 (Décembre 2017) . - p. 44--54 Mots-clés : Participation du patient  Formation par simulation  Ethique  Personnel de santé  patient partenaire  patient-expert  scénario pédagogique Résumé : Les auteurs développent les choix qui ont présidé à l'élaboration d'une formation des professionnels de santé par la simulation, en impliquant directement les patients-partenaires dans leur dispositif. La définition du "partenariat patient" retenue à l'Université Libre de Bruxelles repose sur la reconnaissance de la complémentarité des savoirs des professionnels de santé et des patients : "experts des maladies" pour les uns et "expert de la vie avec sa maladie" pour les autres. A l'opposé de la tendance à standardiser le patient dans ce type d'exercices, l'originalité de ce dispositif réside dans la prise en compte de la singularité de l'expérience du patient à vivre sa maladie. Une question fondamentale de l'article réside dans la sélection, le recrutement et la formation des patients partenaires associés aux dispositifs de simulation. Les auteurs énumèrent les qualités que les candidats doivent présenter pour devenir patient partenaire dans la formation des professionnels. La principale sera toujours le fait d'être avant tout un patient partenaire de ses propres soins. Les auteurs déclinent ensuite la contribution du patient au cours différentes phases de ces exercices de simulation, co-construits avec les formateurs. Depuis la scénarisation jusqu'à l'évaluation du dispositif, le principe du partenariat patient va permettre de nombreux co-apprentissages, tant entre formateurs - patients et professionnels - qu'avec les apprenants. Un dernier chapitre envisage les bénéfices d'un tel dispositif sur le plan éthique : (1) encourager les étudiants, par l'exemple, à adopter des attitudes favorables au partenariat patient, (2) renforcer le potentiel de bienveillance des étudiants, (3) reconnaître les ressources des patients et (4) entraîner "l'intelligence du singulier" des futurs professionnels, sans tomber dans le piège de considérer les patients comme des "objets d'apprentissage". Note de contenu : Cet article est extrait de l'ouvrage coordonné par Michel Dupuis et Walter Hesbeen, Simulation et formations aux métiers de la santé, Seli Arslan, 2018. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbjolimont/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=92246

Exemplaires (1)

Code-barres	Cote	Support	Section	Disponibilité
08121	REV.62	Périodique	Périodiques / Revues	Disponible

Les sages-femmes libérales : des formes de travail vigilantes / Florence Douguet in Perspective soignante, 60 (Décembre 2017)

Public ISBD [article]  inPerspective soignante > 60 (Décembre 2017) . - p. 90-116 Titre : Les sages-femmes libérales : des formes de travail vigilantes Type de document : texte imprimé Auteurs : Florence Douguet ; Alain Vilbrod Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 90-116 Langues : Français (fre) Mots-clés : Profession de sage-femme  Rôle professionnel  Visites à domicile  Continuité des soins  Services de soins à domicile  Prise en charge prénatale  Entretien psychologique  Femmes enceintes  Accessibilité des services de santé  Pauvreté  Protection maternelle  Sociologie  Entretien Prénatal Précoce (France) Résumé : L'objectif des auteurs est de mettre la lumière sur le rôle et les pratiques des sages-femmes libérales (plus d'1/4 de la profession en France) et plus particulièrement leur contribution à la réduction des situations de précarité et de vulnérabilité des femmes. Sur base d'une enquête par questionnaire ainsi qu'une série d'entretiens, ils explorent plus particulièrement trois activités menées par les sages-femmes libérales : (1) le suivi global pour l'accompagnement individuel tout au long de la grossesse et en période de post-partum, (2) les visites au domicile. Les témoignages des sages-femmes illustrent en quoi la teneur des relations qui se nouent entre elles et leurs patientes, au cabinet et au domicile, sont différentes de celles qui peuvent se nouer à la maternité. Une partie importante de l'article est consacrée à (3) la conduite de l'entretien prénatal précoce (EPP) qui est prévu légalement au cours du 4ème. mois de grossesse : les modalités de l'entretien et questions abordées avec les parents sont développées. Note de contenu : Cet article est extrait de l'ouvrage de Florence Douguet et Alain Vilbrod, Les sages-femmes libérales, Seli Arslan, 2017. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbjolimont/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=92254 [article] Les sages-femmes libérales : des formes de travail vigilantes [texte imprimé] / Florence Douguet ; Alain Vilbrod . - 2017 . - p. 90-116. Langues : Français (fre) in Perspective soignante > 60 (Décembre 2017) . - p. 90-116 Mots-clés : Profession de sage-femme  Rôle professionnel  Visites à domicile  Continuité des soins  Services de soins à domicile  Prise en charge prénatale  Entretien psychologique  Femmes enceintes  Accessibilité des services de santé  Pauvreté  Protection maternelle  Sociologie  Entretien Prénatal Précoce (France) Résumé : L'objectif des auteurs est de mettre la lumière sur le rôle et les pratiques des sages-femmes libérales (plus d'1/4 de la profession en France) et plus particulièrement leur contribution à la réduction des situations de précarité et de vulnérabilité des femmes. Sur base d'une enquête par questionnaire ainsi qu'une série d'entretiens, ils explorent plus particulièrement trois activités menées par les sages-femmes libérales : (1) le suivi global pour l'accompagnement individuel tout au long de la grossesse et en période de post-partum, (2) les visites au domicile. Les témoignages des sages-femmes illustrent en quoi la teneur des relations qui se nouent entre elles et leurs patientes, au cabinet et au domicile, sont différentes de celles qui peuvent se nouer à la maternité. Une partie importante de l'article est consacrée à (3) la conduite de l'entretien prénatal précoce (EPP) qui est prévu légalement au cours du 4ème. mois de grossesse : les modalités de l'entretien et questions abordées avec les parents sont développées. Note de contenu : Cet article est extrait de l'ouvrage de Florence Douguet et Alain Vilbrod, Les sages-femmes libérales, Seli Arslan, 2017. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbjolimont/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=92254

Exemplaires (1)

Code-barres	Cote	Support	Section	Disponibilité
08121	REV.62	Périodique	Périodiques / Revues	Disponible

Oeuvrer à la qualité du lien social entre les différents acteurs de la formation infirmière / Nsuni Met in Perspective soignante, 60 (Décembre 2017)

Public ISBD [article]  inPerspective soignante > 60 (Décembre 2017) . - p. 77-89 Titre : Oeuvrer à la qualité du lien social entre les différents acteurs de la formation infirmière Type de document : texte imprimé Auteurs : Nsuni Met Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 77-89 Langues : Français (fre) Mots-clés : Enseignement infirmier  Stage pratique guidé  Corps enseignant et administratif de l'école d'infirmières  Rôle professionnel  Élève infirmier  Comportement coopératif  Culture organisationnelle  tuteur de stage  encadrement des étudiants en stage  formation par alternance  partenariat ecole-hôpital  référentiel de formation  identité professionnelle  réforme de la formation infirmière (2009)  France Résumé : Après la réforme de l'enseignement infirmier en France en 2009, les formateurs en IFSI (Instituts de formation en soins infirmiers) ont été confrontés à une crise d'identité suite à la modification de leur rôle et plus précisément par la suppression des mises en situation professionnelles. Or, ces dernières permettaient des échanges entre les trois protagonistes de la formation en alternance : l'étudiant infirmier, le tuteur infirmier de terrain et le formateur en IFSI, notamment lors de stages cliniques des étudiants. Le référentiel de 2009 a fait se questionner les formateurs sur leur identité professionnelle : ils doivent se trouver une nouvelle place dans l'apprentissage par l'alternance entre les universitaires et les tuteurs de terrain. L'objectif de cette étude est de comprendre la nature du lien social qui unit maintenant le formateur et le tuteur et de déterminer l'impact de ce lien dans le processus de construction de l'identité professionnelle des étudiants. Les données ont été recueillies au cours d'entretiens croisés entre 7 tuteurs et 7 formateurs référents d'une unité de soins, d'un part, et sur base d'un questionnaire adressé aux étudiants de 3ème. année, d'autre part. Depuis la réforme, les tuteurs de terrain rapporte un sentiment de responsabilité accrue car ils sont les seuls à valider la formation pratique des étudiants et se sentent isolés lorsqu'il s'agit d'accompagner les étudiants en difficulté. Dans le groupe des cadres formateurs, il se dégage deux profils : ceux qui vivent leur nouvelle fonction comme une prolongation de leur métier d'infirmier(ère) et se posent en défenseurs de l'identité professionnelle, et d'autre part, (2) ceux qui sont formateurs avant tout et dont le statut est plus lié à celui de cadre ou de pédagogue que d'infirmier(ère). En ce qui concerne le lien social, les entretiens menés ne permettent pas de dire que les deux groupes appartiennent à une même communauté, ce qui est renforcé par la différence hiérarchique des deux statuts. Il existe bien une identité collective commune entre formateurs, tuteurs et infirmier(ère), mais celle-ci n'est pas en lien avec le soin mais avec l'objectif pédagogique de tous, lequel créé le lien. L'enquête auprès des étudiants révèle que les futur(e)s infirmier(ères) se considèrent comme des usagers, bénéficiaires d'une prestation de l'Etat, au même titre que le patient de l'hôpital. Ils plébiscitent à 60% l'accompagnement en stage par les formateurs des IFSI afin de réduire l'écart entre les injonctions des services où ils sont en stage d'un côté et les contraintes des IFSI de l'autre. Malgré les difficultés du nouveau référentiel de formation, l'auteur note une volonté de collaborer pour améliorer la formation des étudiants infirmiers. A cet égard, il semble que les exercices de simulation soient une opportunité de travailler ensemble, à travers l'écriture de scénarios à la fois pédagogiques et pratiques. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbjolimont/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=92269 [article] Oeuvrer à la qualité du lien social entre les différents acteurs de la formation infirmière [texte imprimé] / Nsuni Met . - 2017 . - p. 77-89. Langues : Français (fre) in Perspective soignante > 60 (Décembre 2017) . - p. 77-89 Mots-clés : Enseignement infirmier  Stage pratique guidé  Corps enseignant et administratif de l'école d'infirmières  Rôle professionnel  Élève infirmier  Comportement coopératif  Culture organisationnelle  tuteur de stage  encadrement des étudiants en stage  formation par alternance  partenariat ecole-hôpital  référentiel de formation  identité professionnelle  réforme de la formation infirmière (2009)  France Résumé : Après la réforme de l'enseignement infirmier en France en 2009, les formateurs en IFSI (Instituts de formation en soins infirmiers) ont été confrontés à une crise d'identité suite à la modification de leur rôle et plus précisément par la suppression des mises en situation professionnelles. Or, ces dernières permettaient des échanges entre les trois protagonistes de la formation en alternance : l'étudiant infirmier, le tuteur infirmier de terrain et le formateur en IFSI, notamment lors de stages cliniques des étudiants. Le référentiel de 2009 a fait se questionner les formateurs sur leur identité professionnelle : ils doivent se trouver une nouvelle place dans l'apprentissage par l'alternance entre les universitaires et les tuteurs de terrain. L'objectif de cette étude est de comprendre la nature du lien social qui unit maintenant le formateur et le tuteur et de déterminer l'impact de ce lien dans le processus de construction de l'identité professionnelle des étudiants. Les données ont été recueillies au cours d'entretiens croisés entre 7 tuteurs et 7 formateurs référents d'une unité de soins, d'un part, et sur base d'un questionnaire adressé aux étudiants de 3ème. année, d'autre part. Depuis la réforme, les tuteurs de terrain rapporte un sentiment de responsabilité accrue car ils sont les seuls à valider la formation pratique des étudiants et se sentent isolés lorsqu'il s'agit d'accompagner les étudiants en difficulté. Dans le groupe des cadres formateurs, il se dégage deux profils : ceux qui vivent leur nouvelle fonction comme une prolongation de leur métier d'infirmier(ère) et se posent en défenseurs de l'identité professionnelle, et d'autre part, (2) ceux qui sont formateurs avant tout et dont le statut est plus lié à celui de cadre ou de pédagogue que d'infirmier(ère). En ce qui concerne le lien social, les entretiens menés ne permettent pas de dire que les deux groupes appartiennent à une même communauté, ce qui est renforcé par la différence hiérarchique des deux statuts. Il existe bien une identité collective commune entre formateurs, tuteurs et infirmier(ère), mais celle-ci n'est pas en lien avec le soin mais avec l'objectif pédagogique de tous, lequel créé le lien. L'enquête auprès des étudiants révèle que les futur(e)s infirmier(ères) se considèrent comme des usagers, bénéficiaires d'une prestation de l'Etat, au même titre que le patient de l'hôpital. Ils plébiscitent à 60% l'accompagnement en stage par les formateurs des IFSI afin de réduire l'écart entre les injonctions des services où ils sont en stage d'un côté et les contraintes des IFSI de l'autre. Malgré les difficultés du nouveau référentiel de formation, l'auteur note une volonté de collaborer pour améliorer la formation des étudiants infirmiers. A cet égard, il semble que les exercices de simulation soient une opportunité de travailler ensemble, à travers l'écriture de scénarios à la fois pédagogiques et pratiques. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbjolimont/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=92269

Exemplaires (1)

Code-barres	Cote	Support	Section	Disponibilité
08121	REV.62	Périodique	Périodiques / Revues	Disponible

Penser autrement l'éthique du soin : l'histoire de la réalisation d'un film / Myriam Le Sommer-Pere in Perspective soignante, 60 (Décembre 2017)  

Public ISBD [article]  inPerspective soignante > 60 (Décembre 2017) . - p. 117-124 Titre : Penser autrement l'éthique du soin : l'histoire de la réalisation d'un film Type de document : texte imprimé Auteurs : Myriam Le Sommer-Pere Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 117-124 Langues : Français (fre) Mots-clés : Éthique clinique  enseignement et éducation  Déshumanisation  Philosophie médicale  Empathie  Émissions diffusées sur la Toile  violence  soins  Participation du patient Résumé : Genèse et élaboration d'un documentaire consacré à l'éthique du soin où s'associent des professionnels de la santé, philosophes, malades et familles pour témoigner de l'importance d'une vigilance éthique au coeur du monde de la santé. Quelques thèmes abordés : la définition de l'éthique, la juste distance, l'empathie, le respect de la singularité et des choix du patient, le danger de la référence croissante aux protocoles de prise en charge, la maltraitance liée au soins, la formation en éthique des étudiants infirmiers,... La vidéo est consultable en ligne à l'URL : https://www.youtube.com/watch?v=rovYbvSe6qc En ligne : https://www.youtube.com/watch?v=rovYbvSe6qc Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbjolimont/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=92272 [article] Penser autrement l'éthique du soin : l'histoire de la réalisation d'un film [texte imprimé] / Myriam Le Sommer-Pere . - 2017 . - p. 117-124. Langues : Français (fre) in Perspective soignante > 60 (Décembre 2017) . - p. 117-124 Mots-clés : Éthique clinique  enseignement et éducation  Déshumanisation  Philosophie médicale  Empathie  Émissions diffusées sur la Toile  violence  soins  Participation du patient Résumé : Genèse et élaboration d'un documentaire consacré à l'éthique du soin où s'associent des professionnels de la santé, philosophes, malades et familles pour témoigner de l'importance d'une vigilance éthique au coeur du monde de la santé. Quelques thèmes abordés : la définition de l'éthique, la juste distance, l'empathie, le respect de la singularité et des choix du patient, le danger de la référence croissante aux protocoles de prise en charge, la maltraitance liée au soins, la formation en éthique des étudiants infirmiers,... La vidéo est consultable en ligne à l'URL : https://www.youtube.com/watch?v=rovYbvSe6qc En ligne : https://www.youtube.com/watch?v=rovYbvSe6qc Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbjolimont/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=92272

Exemplaires (1)

Code-barres	Cote	Support	Section	Disponibilité
08121	REV.62	Périodique	Périodiques / Revues	Disponible