Centre de Documentation HELHa Tournai - Mouscron
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Traumatismes précoces et troubles bipolaires / Bruno Étain in Santé Mentale, 258 (Mai 2021)
[article]
Titre : Traumatismes précoces et troubles bipolaires Type de document : texte imprimé Auteurs : Bruno Étain Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 30-35 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
C:Comorbidité ; E:Enfance ; E:Environnement social ; F:Facteur de risque ; I:Interaction sociale ; L:Littérature scientifique ; P:Physiopathologie ; P:Prise en charge personnalisée du patient ; P:Psychopathologie ; T:Traumatisme psychologique ; T:Trouble bipolaireRésumé : Les évènements traumatiques vécus dans l’enfance constituent un facteur de risque de développer des troubles bipolaires et d’en augmenter la sévérité. Cette dimension doit être prise en compte dans le projet de soin. Le point sur la recherche.
Les études d’épidémiologie génétique montrent l’implication de facteurs de risque génétiques dans les troubles bipolaires, comme en témoigne la forte héritabilité de ces troubles (de l’ordre de 65%) (voir aussi l’article de S. Jamain, p. 26). L’héritabilité correspond à la proportion de la maladie expliquée par la somme des facteurs génétiques. Néanmoins, les études de jumeaux montrent que la concordance observée pour le trouble bipolaire entre jumeaux monozygotes n’est jamais de 100%. Ceci témoigne donc que des facteurs de risque non génétiques et partagés par les individus (d’une même fratrie par exemple) sont également à l’œuvre.
Dans les troubles bipolaires, on estime que 20 à 40% de la maladie seraient expliqués des facteurs non génétiques, partagés ou non entre les individus atteints. Ces facteurs environnementaux qui augmentent le risque de développer un trouble bipolaire restent globalement méconnus. La recherche a cependant montré que les patients atteint de troubles bipolaires décrivent plus de traumas dans l'enfance, plus sévères, souvent multiples, avec une fréquence particulièrement élevée d'abus émotionnels. Cet article résume les données issues de la littérature scientifique concernant l'association entre traumatismes affectifs dans l'enfance et trouble bipolaire.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=46923
in Santé Mentale > 258 (Mai 2021) . - p. 30-35[article] Traumatismes précoces et troubles bipolaires [texte imprimé] / Bruno Étain . - 2021 . - p. 30-35.
Langues : Français (fre)
in Santé Mentale > 258 (Mai 2021) . - p. 30-35
Catégories : Alpha
C:Comorbidité ; E:Enfance ; E:Environnement social ; F:Facteur de risque ; I:Interaction sociale ; L:Littérature scientifique ; P:Physiopathologie ; P:Prise en charge personnalisée du patient ; P:Psychopathologie ; T:Traumatisme psychologique ; T:Trouble bipolaireRésumé : Les évènements traumatiques vécus dans l’enfance constituent un facteur de risque de développer des troubles bipolaires et d’en augmenter la sévérité. Cette dimension doit être prise en compte dans le projet de soin. Le point sur la recherche.
Les études d’épidémiologie génétique montrent l’implication de facteurs de risque génétiques dans les troubles bipolaires, comme en témoigne la forte héritabilité de ces troubles (de l’ordre de 65%) (voir aussi l’article de S. Jamain, p. 26). L’héritabilité correspond à la proportion de la maladie expliquée par la somme des facteurs génétiques. Néanmoins, les études de jumeaux montrent que la concordance observée pour le trouble bipolaire entre jumeaux monozygotes n’est jamais de 100%. Ceci témoigne donc que des facteurs de risque non génétiques et partagés par les individus (d’une même fratrie par exemple) sont également à l’œuvre.
Dans les troubles bipolaires, on estime que 20 à 40% de la maladie seraient expliqués des facteurs non génétiques, partagés ou non entre les individus atteints. Ces facteurs environnementaux qui augmentent le risque de développer un trouble bipolaire restent globalement méconnus. La recherche a cependant montré que les patients atteint de troubles bipolaires décrivent plus de traumas dans l'enfance, plus sévères, souvent multiples, avec une fréquence particulièrement élevée d'abus émotionnels. Cet article résume les données issues de la littérature scientifique concernant l'association entre traumatismes affectifs dans l'enfance et trouble bipolaire.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=46923 Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M006060 SAN Revue Mouscron Soins Infirmiers (M) Disponible T009123 SAN Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Le vieillissement cognitif en dehors de la démence / Philippe Thomas in Soins gérontologie, Vol. 26, n° 150 (Juillet 2021)
[article]
Titre : Le vieillissement cognitif en dehors de la démence Type de document : texte imprimé Auteurs : Philippe Thomas ; Cyril Hazif-Thomas Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 10-17 Note générale : Cet article fait partie du dossier "Mémoire et personnes âgées".
Doi : 10.1016/j.sger.2021.05.003Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
C:Cognition ; E:Environnement social ; I:Inégalité ; M:Mémoire ; R:Relation sociale ; V:VieillissementRésumé : Le vieillissement cognitif en dehors de la démence résulte d’une programmation génétique différente selon les individus. Le vieillissement des différentes fonctions cognitives, très hétérogène, dépend en grande partie du parcours de vie de chaque personne. Des facteurs sociaux, en particulier l’environnement, accélèrent ou non ces processus. Des vitesses de traitement des informations provenant de l’environnement plus lentes, des néo-acquisitions praxiques ou stratégiques et la gestion des tâches multiples plus difficiles, reflètent une hypofrontalité liée à l’âge. La santé physique et mentale, le bien-être social et relationnel participent à un bon vieillissement cognitif. L’exploration des différentes facettes de ce vieillissement en révèle la complexité. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=47065
in Soins gérontologie > Vol. 26, n° 150 (Juillet 2021) . - p. 10-17[article] Le vieillissement cognitif en dehors de la démence [texte imprimé] / Philippe Thomas ; Cyril Hazif-Thomas . - 2021 . - p. 10-17.
Cet article fait partie du dossier "Mémoire et personnes âgées".
Doi : 10.1016/j.sger.2021.05.003
Langues : Français (fre)
in Soins gérontologie > Vol. 26, n° 150 (Juillet 2021) . - p. 10-17
Catégories : Alpha
C:Cognition ; E:Environnement social ; I:Inégalité ; M:Mémoire ; R:Relation sociale ; V:VieillissementRésumé : Le vieillissement cognitif en dehors de la démence résulte d’une programmation génétique différente selon les individus. Le vieillissement des différentes fonctions cognitives, très hétérogène, dépend en grande partie du parcours de vie de chaque personne. Des facteurs sociaux, en particulier l’environnement, accélèrent ou non ces processus. Des vitesses de traitement des informations provenant de l’environnement plus lentes, des néo-acquisitions praxiques ou stratégiques et la gestion des tâches multiples plus difficiles, reflètent une hypofrontalité liée à l’âge. La santé physique et mentale, le bien-être social et relationnel participent à un bon vieillissement cognitif. L’exploration des différentes facettes de ce vieillissement en révèle la complexité. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=47065 Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M006077 SOI Revue Mouscron Soins Infirmiers (M) Disponible T009175 SOI Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible La violence, ça se soigne ? / Daniel Marcelli in Sciences Humaines, 291 (Avril 2017)
[article]
Titre : La violence, ça se soigne ? Titre original : Rencontre avec Daniel Marcelli Type de document : texte imprimé Auteurs : Daniel Marcelli, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 34-35 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
E:Enfant ; E:Environnement ; E:Environnement social ; F:Famille ; P:Psychologie ; V:ViolenceRésumé : La violence infantile fait l’objet d’une médicalisation croissante. Mais elle doit aussi faire l’objet d’une approche psychoéducative car elle s’enracine la plupart du temps dans le contexte familial et environnemental.
Où situez-vous les origines de la violence chez l’enfant ?
Quand il s’agit de parler de violence chez l’enfant, j’aime évoquer cette maxime de Bertolt Brecht, dramaturge allemand du 20e siècle : « On dit d’un fleuve dont le courant emporte tout sur son passage qu’il est violent mais on ne dit jamais rien de la violence des berges qui l’enserrent ! » Les berges symbolisent pour moi l’ensemble du contexte éducatif et socioculturel dans lequel a évolué l’enfant.
Dans une bonne moitié des cas, je dirais qu’un enfant est violent à la hauteur des violences qu’il a subies ou auxquelles il a été exposé. J’identifie deux grandes sources : soit l’enfant a été lui-même victime de violence, soit il a été exposé à des violences, par exemple, son père frappait sa mère ou bien ses parents frappaient un frère ou une sœur. Assister à une scène de violence est violent en soi.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=34268
in Sciences Humaines > 291 (Avril 2017) . - p. 34-35[article] La violence, ça se soigne ? = Rencontre avec Daniel Marcelli [texte imprimé] / Daniel Marcelli, Auteur . - 2017 . - p. 34-35.
Langues : Français (fre)
in Sciences Humaines > 291 (Avril 2017) . - p. 34-35
Catégories : Alpha
E:Enfant ; E:Environnement ; E:Environnement social ; F:Famille ; P:Psychologie ; V:ViolenceRésumé : La violence infantile fait l’objet d’une médicalisation croissante. Mais elle doit aussi faire l’objet d’une approche psychoéducative car elle s’enracine la plupart du temps dans le contexte familial et environnemental.
Où situez-vous les origines de la violence chez l’enfant ?
Quand il s’agit de parler de violence chez l’enfant, j’aime évoquer cette maxime de Bertolt Brecht, dramaturge allemand du 20e siècle : « On dit d’un fleuve dont le courant emporte tout sur son passage qu’il est violent mais on ne dit jamais rien de la violence des berges qui l’enserrent ! » Les berges symbolisent pour moi l’ensemble du contexte éducatif et socioculturel dans lequel a évolué l’enfant.
Dans une bonne moitié des cas, je dirais qu’un enfant est violent à la hauteur des violences qu’il a subies ou auxquelles il a été exposé. J’identifie deux grandes sources : soit l’enfant a été lui-même victime de violence, soit il a été exposé à des violences, par exemple, son père frappait sa mère ou bien ses parents frappaient un frère ou une sœur. Assister à une scène de violence est violent en soi.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=34268 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T007058 SCI Revue Tournai Communication Disponible