Centre de Documentation HELHa Tournai - Mouscron
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Semaine du 09/12 à Tournai : Horaire habituel.
Semaine du 16/12 à Tournai : Horaire habituel.
Semaine du 02/12 à Mouscron : Lundi : ouverture à 10h30 et fermeture à 17h00.
Semaine du 25/11 à Mouscron : Lundi: ouverture à 10h30. Fermeture à 17h00.
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Autre traitement possible / Stéphane Palfi in Parkinson Magazine, 4/2017 (Octobre-novembre-décembre)
[article]
Titre : Autre traitement possible Type de document : texte imprimé Auteurs : Stéphane Palfi Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 10-11 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
P:Parkinson (maladie) ; S:Stimulation cérébrale profonde ; T:Traitement non-médicamenteuxPermalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=39759
in Parkinson Magazine > 4/2017 (Octobre-novembre-décembre) . - p. 10-11[article] Autre traitement possible [texte imprimé] / Stéphane Palfi . - 2017 . - p. 10-11.
Langues : Français (fre)
in Parkinson Magazine > 4/2017 (Octobre-novembre-décembre) . - p. 10-11
Catégories : Alpha
P:Parkinson (maladie) ; S:Stimulation cérébrale profonde ; T:Traitement non-médicamenteuxPermalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=39759 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M005328 PAR Revue Mouscron Soins Infirmiers (M) Disponible Moduler les fonctions neurologiques défaillantes / Jimmy Voirin in InterBloc, Tome XXXVII, 3 (Juillet - Septembre 2018)
[article]
Titre : Moduler les fonctions neurologiques défaillantes Type de document : texte imprimé Auteurs : Jimmy Voirin, Auteur ; Fanny Guthman, Auteur ; Sandra Jeanmaire, Auteur ; Christine Manisi, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 151-155 Note générale : Doi : 10.1016/j.bloc.2018.06.003 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
D:Douleur ; I:Infirmière de salle d'opération ; N:Neuropathie ; N:Neurostimulation ; P:Parkinson (maladie) ; S:Stimulation cérébrale profondeRésumé : La neuromodulation, et plus particulièrement la neurostimulation, offrent aujourd’hui un panel large d’applications externes ou internes afin d’améliorer la fonction motrice ou sensitive et la qualité de vie des patients. Les pistes d’innovation sont nombreuses. L’Ibode joue un rôle important lors de ces interventions, notamment pour rassurer le patient. Note de contenu : Fait partie du dossier: "La neurostimulation" Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=39178
in InterBloc > Tome XXXVII, 3 (Juillet - Septembre 2018) . - p. 151-155[article] Moduler les fonctions neurologiques défaillantes [texte imprimé] / Jimmy Voirin, Auteur ; Fanny Guthman, Auteur ; Sandra Jeanmaire, Auteur ; Christine Manisi, Auteur . - 2018 . - p. 151-155.
Doi : 10.1016/j.bloc.2018.06.003
Langues : Français (fre)
in InterBloc > Tome XXXVII, 3 (Juillet - Septembre 2018) . - p. 151-155
Catégories : Alpha
D:Douleur ; I:Infirmière de salle d'opération ; N:Neuropathie ; N:Neurostimulation ; P:Parkinson (maladie) ; S:Stimulation cérébrale profondeRésumé : La neuromodulation, et plus particulièrement la neurostimulation, offrent aujourd’hui un panel large d’applications externes ou internes afin d’améliorer la fonction motrice ou sensitive et la qualité de vie des patients. Les pistes d’innovation sont nombreuses. L’Ibode joue un rôle important lors de ces interventions, notamment pour rassurer le patient. Note de contenu : Fait partie du dossier: "La neurostimulation" Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=39178 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T008008 INT Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Place des traitements continus et de seconde ligne dans la population des parkinsoniens âgés à très âgés / Louise-Laure Mariani in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement, Vol.18, 2 (juin 2020)
[article]
Titre : Place des traitements continus et de seconde ligne dans la population des parkinsoniens âgés à très âgés Type de document : texte imprimé Auteurs : Louise-Laure Mariani Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 177-186 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
P:Parkinson (maladie) ; P:Personne âgée ; S:Stimulation cérébrale profonde ; T:TraitementRésumé : La maladie de Parkinson est une affection dont l’incidence augmente avec l’âge. Chez les patients très âgés, on distingue deux groupes de patients. D’une part, des patients âgés dont la maladie débute tardivement vers 80-85 ans, d’évolution plus sévère (troubles cognitifs et axiaux peu dopa-sensibles plus précoces) et ayant des comorbidités à prendre en considération dans la gestion thérapeutique. Du fait de leur espérance de vie limitée, ces patients n’auront vraisemblablement jamais besoin de traitements continus. D’autre part, des patients atteints d’une maladie évoluant depuis de nombreuses années et présentant des fluctuations motrices et des dyskinésies iatrogènes secondaires aux traitements substitutifs de la dopamine, ainsi que des troubles axiaux non dopa-sensibles. La gestion thérapeutique au long cours associe plusieurs traitements antiparkinsoniens, parfois à fortes doses. Certains reçoivent des traitements de deuxième ligne, continus, tels l’apomorphine sous-cutanée, le gel intestinal de levodopa-carbidopa, voire, la stimulation cérébrale profonde. Du fait des spécificités de la population âgée de patients parkinsoniens, la tolérance et l’efficacité peuvent être diminuées. L’enjeu est le maintien du meilleur état moteur possible en limitant le risque iatrogène. L’émergence de nouvelles techniques, dites moins invasives, tels les traitements par radiochirurgie par gamma-knife et la thermo-coagulation par ultra-sons focalisés est également discutée ici. Des études randomisées en double aveugle spécifiquement dédiées à l’étude des traitements continus chez les sujets parkinsoniens très âgés seraient nécessaires pour compléter les recommandations d’experts rapportées.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44247
in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol.18, 2 (juin 2020) . - p. 177-186[article] Place des traitements continus et de seconde ligne dans la population des parkinsoniens âgés à très âgés [texte imprimé] / Louise-Laure Mariani . - 2020 . - p. 177-186.
Langues : Français (fre)
in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol.18, 2 (juin 2020) . - p. 177-186
Catégories : Alpha
P:Parkinson (maladie) ; P:Personne âgée ; S:Stimulation cérébrale profonde ; T:TraitementRésumé : La maladie de Parkinson est une affection dont l’incidence augmente avec l’âge. Chez les patients très âgés, on distingue deux groupes de patients. D’une part, des patients âgés dont la maladie débute tardivement vers 80-85 ans, d’évolution plus sévère (troubles cognitifs et axiaux peu dopa-sensibles plus précoces) et ayant des comorbidités à prendre en considération dans la gestion thérapeutique. Du fait de leur espérance de vie limitée, ces patients n’auront vraisemblablement jamais besoin de traitements continus. D’autre part, des patients atteints d’une maladie évoluant depuis de nombreuses années et présentant des fluctuations motrices et des dyskinésies iatrogènes secondaires aux traitements substitutifs de la dopamine, ainsi que des troubles axiaux non dopa-sensibles. La gestion thérapeutique au long cours associe plusieurs traitements antiparkinsoniens, parfois à fortes doses. Certains reçoivent des traitements de deuxième ligne, continus, tels l’apomorphine sous-cutanée, le gel intestinal de levodopa-carbidopa, voire, la stimulation cérébrale profonde. Du fait des spécificités de la population âgée de patients parkinsoniens, la tolérance et l’efficacité peuvent être diminuées. L’enjeu est le maintien du meilleur état moteur possible en limitant le risque iatrogène. L’émergence de nouvelles techniques, dites moins invasives, tels les traitements par radiochirurgie par gamma-knife et la thermo-coagulation par ultra-sons focalisés est également discutée ici. Des études randomisées en double aveugle spécifiquement dédiées à l’étude des traitements continus chez les sujets parkinsoniens très âgés seraient nécessaires pour compléter les recommandations d’experts rapportées.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44247 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T008865 GER Revue Tournai Soins infirmiers (T) Perdu
Exclu du prêtPlace des traitements continus et de seconde ligne dans la population des parkinsoniens âgés à très âgés / Louise-Laure Mariani in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement, Vol.18, 2 (juin 2020)
[article]
Titre : Place des traitements continus et de seconde ligne dans la population des parkinsoniens âgés à très âgés Type de document : texte imprimé Auteurs : Louise-Laure Mariani Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 177-186 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
P:Parkinson (maladie) ; P:Personne âgée ; S:Stimulation cérébrale profonde ; T:TraitementRésumé : La maladie de Parkinson est une affection dont l’incidence augmente avec l’âge. Chez les patients très âgés, on distingue deux groupes de patients. D’une part, des patients âgés dont la maladie débute tardivement vers 80-85 ans, d’évolution plus sévère (troubles cognitifs et axiaux peu dopa-sensibles plus précoces) et ayant des comorbidités à prendre en considération dans la gestion thérapeutique. Du fait de leur espérance de vie limitée, ces patients n’auront vraisemblablement jamais besoin de traitements continus. D’autre part, des patients atteints d’une maladie évoluant depuis de nombreuses années et présentant des fluctuations motrices et des dyskinésies iatrogènes secondaires aux traitements substitutifs de la dopamine, ainsi que des troubles axiaux non dopa-sensibles. La gestion thérapeutique au long cours associe plusieurs traitements antiparkinsoniens, parfois à fortes doses. Certains reçoivent des traitements de deuxième ligne, continus, tels l’apomorphine sous-cutanée, le gel intestinal de levodopa-carbidopa, voire, la stimulation cérébrale profonde. Du fait des spécificités de la population âgée de patients parkinsoniens, la tolérance et l’efficacité peuvent être diminuées. L’enjeu est le maintien du meilleur état moteur possible en limitant le risque iatrogène. L’émergence de nouvelles techniques, dites moins invasives, tels les traitements par radiochirurgie par gamma-knife et la thermo-coagulation par ultra-sons focalisés est également discutée ici. Des études randomisées en double aveugle spécifiquement dédiées à l’étude des traitements continus chez les sujets parkinsoniens très âgés seraient nécessaires pour compléter les recommandations d’experts rapportées.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44248
in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol.18, 2 (juin 2020) . - p. 177-186[article] Place des traitements continus et de seconde ligne dans la population des parkinsoniens âgés à très âgés [texte imprimé] / Louise-Laure Mariani . - 2020 . - p. 177-186.
Langues : Français (fre)
in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol.18, 2 (juin 2020) . - p. 177-186
Catégories : Alpha
P:Parkinson (maladie) ; P:Personne âgée ; S:Stimulation cérébrale profonde ; T:TraitementRésumé : La maladie de Parkinson est une affection dont l’incidence augmente avec l’âge. Chez les patients très âgés, on distingue deux groupes de patients. D’une part, des patients âgés dont la maladie débute tardivement vers 80-85 ans, d’évolution plus sévère (troubles cognitifs et axiaux peu dopa-sensibles plus précoces) et ayant des comorbidités à prendre en considération dans la gestion thérapeutique. Du fait de leur espérance de vie limitée, ces patients n’auront vraisemblablement jamais besoin de traitements continus. D’autre part, des patients atteints d’une maladie évoluant depuis de nombreuses années et présentant des fluctuations motrices et des dyskinésies iatrogènes secondaires aux traitements substitutifs de la dopamine, ainsi que des troubles axiaux non dopa-sensibles. La gestion thérapeutique au long cours associe plusieurs traitements antiparkinsoniens, parfois à fortes doses. Certains reçoivent des traitements de deuxième ligne, continus, tels l’apomorphine sous-cutanée, le gel intestinal de levodopa-carbidopa, voire, la stimulation cérébrale profonde. Du fait des spécificités de la population âgée de patients parkinsoniens, la tolérance et l’efficacité peuvent être diminuées. L’enjeu est le maintien du meilleur état moteur possible en limitant le risque iatrogène. L’émergence de nouvelles techniques, dites moins invasives, tels les traitements par radiochirurgie par gamma-knife et la thermo-coagulation par ultra-sons focalisés est également discutée ici. Des études randomisées en double aveugle spécifiquement dédiées à l’étude des traitements continus chez les sujets parkinsoniens très âgés seraient nécessaires pour compléter les recommandations d’experts rapportées.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44248 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T008865 GER Revue Tournai Soins infirmiers (T) Perdu
Exclu du prêtStimulation cérébrale profonde / Alain Maertens De Noordhout in Parkinson Magazine, 2/2022 (Avril - Mai - Juin 2022)
[article]
Titre : Stimulation cérébrale profonde : du noyau sous-thalamique versus meilleur traitement médical : un suivi de douze ans. Type de document : texte imprimé Auteurs : Alain Maertens De Noordhout, Auteur Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 7-8 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
D:Dyskinésie ; P:Parkinson (maladie) ; P:Publication ; S:Stimulation cérébrale profonde ; T:TraitementRésumé : La stimulation électrique du noyau sous-thalamique est reconnu depuis une vingtaine d'années pour atténuer, souvent de façon spectaculaire, les fluctuations motrices dans la maladie de Parkinson avancée comme les blocages intempestifs et les dyskinésies, suite aux premières publications de l'équipe de Grenoble. Toutefois, on sait peu de choses sur son efficacité à très long terme, au-delà de 10 ans.
Nous avons suivi donc pendant 12 ans, 15 patients parkinsoniens ayant subi cette chirurgie d'implantation d'électrodes dans le noyau sous-thalamique entre 1997 e 2002 et les avons comparés à un groupe similaire de 14 patients avec le meilleur traitement médicamenteux possible.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=49261
in Parkinson Magazine > 2/2022 (Avril - Mai - Juin 2022) . - p. 7-8[article] Stimulation cérébrale profonde : du noyau sous-thalamique versus meilleur traitement médical : un suivi de douze ans. [texte imprimé] / Alain Maertens De Noordhout, Auteur . - 2022 . - p. 7-8.
Langues : Français (fre)
in Parkinson Magazine > 2/2022 (Avril - Mai - Juin 2022) . - p. 7-8
Catégories : Alpha
D:Dyskinésie ; P:Parkinson (maladie) ; P:Publication ; S:Stimulation cérébrale profonde ; T:TraitementRésumé : La stimulation électrique du noyau sous-thalamique est reconnu depuis une vingtaine d'années pour atténuer, souvent de façon spectaculaire, les fluctuations motrices dans la maladie de Parkinson avancée comme les blocages intempestifs et les dyskinésies, suite aux premières publications de l'équipe de Grenoble. Toutefois, on sait peu de choses sur son efficacité à très long terme, au-delà de 10 ans.
Nous avons suivi donc pendant 12 ans, 15 patients parkinsoniens ayant subi cette chirurgie d'implantation d'électrodes dans le noyau sous-thalamique entre 1997 e 2002 et les avons comparés à un groupe similaire de 14 patients avec le meilleur traitement médicamenteux possible.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=49261 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M006262 PAR Revue Mouscron Soins Infirmiers (M) Disponible La stimulation en psychochirurgie et dans le traitement de la douleur / Stéphane Palfi in InterBloc, Tome XXXVII, 3 (Juillet - Septembre 2018)
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