Enquête de prévalence des embolies pulmonaires graves chez le sujet âgé présentant une fracture de l’extrémité supérieure du fémur / Laure Allan-Pattoglia ; Gaëtan Gavazzi ; Jérôme Tonetti ; Mehdi Boudissa ; Sabine Drevet in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement, Vol. 23, n°1 (Mars 2025)

Public ISBD [article]  inGériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol. 23, n°1 (Mars 2025) . - p. 104-115 Titre : Enquête de prévalence des embolies pulmonaires graves chez le sujet âgé présentant une fracture de l’extrémité supérieure du fémur Type de document : texte imprimé Auteurs : Laure Allan-Pattoglia, Auteur ; Gaëtan Gavazzi, Auteur ; Jérôme Tonetti, Auteur ; Mehdi Boudissa, Auteur ; Sabine Drevet, Auteur Année de publication : 2025 Article en page(s) : p. 104-115 Note générale : DOI : 10.1684/pnv.2025.1212 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha C:Complication ; E:Embolie pulmonaire ; F:Fracture de l'extrémité supérieure du fémur ; H:Hémorragie ; P:Personne âgée Résumé : Contexte L’embolie pulmonaire est fréquente en période périopératoire. La gravité de l’EP est bien définie mais sa prévalence reste mal connue en contexte de fracture de l’extrémité supérieure du fémur (FESF), dont la chirurgie est à haut risque hémorragique. L’objectif principal était de mesurer la prévalence de l’EP grave en période périopératoire d’une FESF chez des sujets de 75 ans et plus. Matériel et méthode Cette étude observationnelle, monocentrique, rétrospective était réalisée dans l'unité d'orthogériatrie du CHU Grenoble Alpes du 1er janvier 2020 au 31 décembre 2021. L’objectif principal était de mesurer la prévalence de l’EP grave. L’EP était grave si elle était à risque intermédiaire fort ou risque élevé de décès précoce. Les objectifs secondaires étaient de comparer les caractéristiques des patients avec EP grave à ceux sans critère de gravité. Résultats La prévalence de l’EP grave était de 38,4 %, soit 4,8 % de la population fracturée. Les patients du groupe EP grave présentaient plus d’hématomes profonds (33 % versus 4,2 %, p = 0,024). Le recours à une transfusion de culots globulaires était plus fréquent (60 % versus 29 %, p = 0,05). Discussion Il est possible qu’une conjonction de facteurs explique que la gravité de l’EP soit liée à l’EP mais aussi à un surrisque hémorragique. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=57190 [article] Enquête de prévalence des embolies pulmonaires graves chez le sujet âgé présentant une fracture de l’extrémité supérieure du fémur [texte imprimé] / Laure Allan-Pattoglia, Auteur ; Gaëtan Gavazzi, Auteur ; Jérôme Tonetti, Auteur ; Mehdi Boudissa, Auteur ; Sabine Drevet, Auteur . - 2025 . - p. 104-115. DOI : 10.1684/pnv.2025.1212 Langues : Français (fre) in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol. 23, n°1 (Mars 2025) . - p. 104-115 Catégories : Alpha C:Complication ; E:Embolie pulmonaire ; F:Fracture de l'extrémité supérieure du fémur ; H:Hémorragie ; P:Personne âgée Résumé : Contexte L’embolie pulmonaire est fréquente en période périopératoire. La gravité de l’EP est bien définie mais sa prévalence reste mal connue en contexte de fracture de l’extrémité supérieure du fémur (FESF), dont la chirurgie est à haut risque hémorragique. L’objectif principal était de mesurer la prévalence de l’EP grave en période périopératoire d’une FESF chez des sujets de 75 ans et plus. Matériel et méthode Cette étude observationnelle, monocentrique, rétrospective était réalisée dans l'unité d'orthogériatrie du CHU Grenoble Alpes du 1er janvier 2020 au 31 décembre 2021. L’objectif principal était de mesurer la prévalence de l’EP grave. L’EP était grave si elle était à risque intermédiaire fort ou risque élevé de décès précoce. Les objectifs secondaires étaient de comparer les caractéristiques des patients avec EP grave à ceux sans critère de gravité. Résultats La prévalence de l’EP grave était de 38,4 %, soit 4,8 % de la population fracturée. Les patients du groupe EP grave présentaient plus d’hématomes profonds (33 % versus 4,2 %, p = 0,024). Le recours à une transfusion de culots globulaires était plus fréquent (60 % versus 29 %, p = 0,05). Discussion Il est possible qu’une conjonction de facteurs explique que la gravité de l’EP soit liée à l’EP mais aussi à un surrisque hémorragique. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=57190

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Code-barres	Cote	Support	Localisation	Section	Disponibilité
T010612	GER	Revue	Tournai	Soins infirmiers (T)	Disponible

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