Centre de Documentation HELHa Tournai - Mouscron
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Semaine du 02/06 à Tournai : Ouvert le vendredi 06/06 jusqu'à 13h00.
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Semaine du 16/06 à Tournai : Horaire habituel.
Semaine du 26/05 à Mouscron : Fermé le jeudi 29/05 (Ascension).
Semaine du 02/06 à Mouscron : Fermé le mardi 03/05.
Semaine du 09/06 à Mouscron : Fermé le lundi 09 juin (Pentecôte).
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Détail de l'auteur
Auteur Laure Allan-Pattoglia |
Documents disponibles écrits par cet auteur



Enquête de prévalence des embolies pulmonaires graves chez le sujet âgé présentant une fracture de l’extrémité supérieure du fémur / Laure Allan-Pattoglia ; Gaëtan Gavazzi ; Jérôme Tonetti ; Mehdi Boudissa ; Sabine Drevet in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement, Vol. 23, n°1 (Mars 2025)
[article]
Titre : Enquête de prévalence des embolies pulmonaires graves chez le sujet âgé présentant une fracture de l’extrémité supérieure du fémur Type de document : texte imprimé Auteurs : Laure Allan-Pattoglia, Auteur ; Gaëtan Gavazzi, Auteur ; Jérôme Tonetti, Auteur ; Mehdi Boudissa, Auteur ; Sabine Drevet, Auteur Année de publication : 2025 Article en page(s) : p. 104-115 Note générale : DOI : 10.1684/pnv.2025.1212 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
C:Complication ; E:Embolie pulmonaire ; F:Fracture de l'extrémité supérieure du fémur ; H:Hémorragie ; P:Personne âgéeRésumé : Contexte
L’embolie pulmonaire est fréquente en période périopératoire. La gravité de l’EP est bien définie mais sa prévalence reste mal connue en contexte de fracture de l’extrémité supérieure du fémur (FESF), dont la chirurgie est à haut risque hémorragique. L’objectif principal était de mesurer la prévalence de l’EP grave en période périopératoire d’une FESF chez des sujets de 75 ans et plus.
Matériel et méthode
Cette étude observationnelle, monocentrique, rétrospective était réalisée dans l'unité d'orthogériatrie du CHU Grenoble Alpes du 1er janvier 2020 au 31 décembre 2021. L’objectif principal était de mesurer la prévalence de l’EP grave. L’EP était grave si elle était à risque intermédiaire fort ou risque élevé de décès précoce. Les objectifs secondaires étaient de comparer les caractéristiques des patients avec EP grave à ceux sans critère de gravité.
Résultats
La prévalence de l’EP grave était de 38,4 %, soit 4,8 % de la population fracturée. Les patients du groupe EP grave présentaient plus d’hématomes profonds (33 % versus 4,2 %, p = 0,024). Le recours à une transfusion de culots globulaires était plus fréquent (60 % versus 29 %, p = 0,05).
Discussion
Il est possible qu’une conjonction de facteurs explique que la gravité de l’EP soit liée à l’EP mais aussi à un surrisque hémorragique.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=57190
in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol. 23, n°1 (Mars 2025) . - p. 104-115[article] Enquête de prévalence des embolies pulmonaires graves chez le sujet âgé présentant une fracture de l’extrémité supérieure du fémur [texte imprimé] / Laure Allan-Pattoglia, Auteur ; Gaëtan Gavazzi, Auteur ; Jérôme Tonetti, Auteur ; Mehdi Boudissa, Auteur ; Sabine Drevet, Auteur . - 2025 . - p. 104-115.
DOI : 10.1684/pnv.2025.1212
Langues : Français (fre)
in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol. 23, n°1 (Mars 2025) . - p. 104-115
Catégories : Alpha
C:Complication ; E:Embolie pulmonaire ; F:Fracture de l'extrémité supérieure du fémur ; H:Hémorragie ; P:Personne âgéeRésumé : Contexte
L’embolie pulmonaire est fréquente en période périopératoire. La gravité de l’EP est bien définie mais sa prévalence reste mal connue en contexte de fracture de l’extrémité supérieure du fémur (FESF), dont la chirurgie est à haut risque hémorragique. L’objectif principal était de mesurer la prévalence de l’EP grave en période périopératoire d’une FESF chez des sujets de 75 ans et plus.
Matériel et méthode
Cette étude observationnelle, monocentrique, rétrospective était réalisée dans l'unité d'orthogériatrie du CHU Grenoble Alpes du 1er janvier 2020 au 31 décembre 2021. L’objectif principal était de mesurer la prévalence de l’EP grave. L’EP était grave si elle était à risque intermédiaire fort ou risque élevé de décès précoce. Les objectifs secondaires étaient de comparer les caractéristiques des patients avec EP grave à ceux sans critère de gravité.
Résultats
La prévalence de l’EP grave était de 38,4 %, soit 4,8 % de la population fracturée. Les patients du groupe EP grave présentaient plus d’hématomes profonds (33 % versus 4,2 %, p = 0,024). Le recours à une transfusion de culots globulaires était plus fréquent (60 % versus 29 %, p = 0,05).
Discussion
Il est possible qu’une conjonction de facteurs explique que la gravité de l’EP soit liée à l’EP mais aussi à un surrisque hémorragique.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=57190 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T010612 GER Revue Tournai Soins infirmiers (T) Sorti jusqu'au 20/05/2025 Le zona, une maladie à prévention vaccinale : il est temps de s’en rendre compte / Gaëtan Gavazzi ; Sabine Drevet ; Gilles Berrut ; Laure Allan-Pattoglia in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement, Vol. 22, n°4 (Décembre 2024)
[article]
Titre : Le zona, une maladie à prévention vaccinale : il est temps de s’en rendre compte Type de document : texte imprimé Auteurs : Gaëtan Gavazzi, Auteur ; Sabine Drevet, Auteur ; Gilles Berrut, Auteur ; Laure Allan-Pattoglia, Auteur Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 389-393 Note générale : DOI : 10.1684/pnv.2024.1202 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
F:Facteur de risque ; P:Personne âgée ; P:Prévention ; P:Professionnel de santé ; R:Recommandation ; R:Risque de complication ; S:Sensibilisation ; U:Usager ; V:Vaccination ; Z:ZonaRésumé : Le risque de présenter un zona et des douleurs post-zostériennes (DPZ) augmente rapidement après 50 ans. Les incidences du zona et des DPZ semblent correctement mesurées mais de manière irrégulière, et les complications immédiates et à long terme restent si mal mesurées que la perception d’une maladie bénigne reste ancrée chez les professionnels et dans la population générale. Les traitements de la phase aiguë sont faiblement efficaces pour réduire la gravité et la durée de ces manifestations, et c’est pour cette raison que des vaccins se sont développés ces vingt dernières années. Le premier disponible était un vaccin vivant atténué recommandé en France par le HSCP à partir de 2013 dans des tranches d’âge très précises et, en l’absence de campagne d’implémentation, les couvertures vaccinales sont restées inférieures à 1 %. Un second vaccin pouvant réduire de 90 % l’incidence du zona, même chez les plus âgés, et utilisable chez les immunodéprimés, est recommandé depuis mars 2024 par la Haute Autorité de santé (HAS). Il nécessite néanmoins deux injections à deux et six mois d’intervalle, et les effets indésirables sont fréquents bien que le plus souvent locaux. La stratégie d’implémentation de ce nouveau vaccin devra être accompagnée d’une sensibilisation des professionnels et des usagers pour permettre de réduire l’incidence du zona conformément aux espoirs logiquement inférés. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=56416
in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol. 22, n°4 (Décembre 2024) . - p. 389-393[article] Le zona, une maladie à prévention vaccinale : il est temps de s’en rendre compte [texte imprimé] / Gaëtan Gavazzi, Auteur ; Sabine Drevet, Auteur ; Gilles Berrut, Auteur ; Laure Allan-Pattoglia, Auteur . - 2024 . - p. 389-393.
DOI : 10.1684/pnv.2024.1202
Langues : Français (fre)
in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol. 22, n°4 (Décembre 2024) . - p. 389-393
Catégories : Alpha
F:Facteur de risque ; P:Personne âgée ; P:Prévention ; P:Professionnel de santé ; R:Recommandation ; R:Risque de complication ; S:Sensibilisation ; U:Usager ; V:Vaccination ; Z:ZonaRésumé : Le risque de présenter un zona et des douleurs post-zostériennes (DPZ) augmente rapidement après 50 ans. Les incidences du zona et des DPZ semblent correctement mesurées mais de manière irrégulière, et les complications immédiates et à long terme restent si mal mesurées que la perception d’une maladie bénigne reste ancrée chez les professionnels et dans la population générale. Les traitements de la phase aiguë sont faiblement efficaces pour réduire la gravité et la durée de ces manifestations, et c’est pour cette raison que des vaccins se sont développés ces vingt dernières années. Le premier disponible était un vaccin vivant atténué recommandé en France par le HSCP à partir de 2013 dans des tranches d’âge très précises et, en l’absence de campagne d’implémentation, les couvertures vaccinales sont restées inférieures à 1 %. Un second vaccin pouvant réduire de 90 % l’incidence du zona, même chez les plus âgés, et utilisable chez les immunodéprimés, est recommandé depuis mars 2024 par la Haute Autorité de santé (HAS). Il nécessite néanmoins deux injections à deux et six mois d’intervalle, et les effets indésirables sont fréquents bien que le plus souvent locaux. La stratégie d’implémentation de ce nouveau vaccin devra être accompagnée d’une sensibilisation des professionnels et des usagers pour permettre de réduire l’incidence du zona conformément aux espoirs logiquement inférés. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=56416 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T010514 GER Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible