Centre de Documentation HELHa Tournai - Mouscron
Heures d'ouverture (période scolaire)
Après identification sur connected (ID et mot de passe), les membres de la Helha ont l'accès à Cinahl et à Cairn en passant par l'onglet "Bases de données" de ce catalogue et en cliquant sur le lien d'accès.
Tournai | Mouscron |
- lundi : 9h30-12h30 et 13h00-17h00 - mardi: 9h00-12h30 et 13h00-17h00 - mercredi: 9h00-12h30 et 13h00-17h30 - jeudi: 9h00-12h30 et 13h00-17h00 - vendredi: 09h00-17h00 | - lundi: 9h00 à 12h30 et 13h00 à 17h15 - mardi: 13h00 à 17h15 - mercredi: 13h00 à 17h15 - jeudi : 13h00 à 17h15 - vendredi: 13h00 à 17h00 |
Semaine du 18/11 à Tournai : Fermé mardi 19/11 en après-midi et jeudi 21/11 en matinée. Fermé mercredi à 17h00. Fermé vendredi entre 12 et 13h00.
Semaine du 25/11 à Tournai : Fermé vendredi 29/11 en matinée.
Semaine du 02/12 à Tournai : Horaire habituel.
Semaine du 18/11 à Mouscron : Horaire habituel
Semaine du 25/11 à Mouscron : Lundi: ouverture à 10h30.
Semaine du 11/11 à Mouscron : Fermé lundi (armistice)
Détail de l'auteur
Auteur Philippe Spoljar |
Documents disponibles écrits par cet auteur
Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche
Le risque suicidaire en lien avec le travail. Obstacles épistémologiques et institutionnels / Philippe Spoljar in Ethique & Santé, Vol. 21, n°1 (Mars 2024)
[article]
Titre : Le risque suicidaire en lien avec le travail. Obstacles épistémologiques et institutionnels Type de document : texte imprimé Auteurs : Philippe Spoljar, Auteur Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 41-47 Note générale : Doi : 10.1016/j.etiqe.2023.11.006
Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Agriculture ; E:Epidémiologie ; E:Epistémologie ; F:Facteur de risque ; R:Risque suicidaire ; S:Suicide ; T:Travail (emploi)Résumé : Les analyses factorielles du risque suicidaire présentes dans les études en santé au travail permettent d’orienter les grandes lignes des politiques publiques de prévention, mais elles restent très insuffisantes pour comprendre le phénomène du suicide. Elles peuvent également constituer un obstacle à une connaissance précise du risque suicidaire, notamment en réduisant systématiquement sa complexité par une répartition binaire entre facteurs de risques et facteurs de protection, et en produisant depuis des décennies des résultats contradictoires : les enquêtes sociologiques affirment le primat des déterminismes sociaux, les enquêtes psychiatriques constatent invariablement des causalités psychiatriques, les spécialistes du travail considèrent que tout vient de l’organisation et des conditions de travail, etc.
Ces enquêtes s’appuient sur des ensembles de facteurs de risque différents les uns des autres, tout en faisant valoir à chaque fois des validations empiriques en leur faveur. Pour rendre compte de ce paradoxe dans une perspective épistémologique, nous proposons d’être attentifs aux modalités de sélection et de définition des variables (nombre, registre, extension), à leur catégorisation, et rapidement également à l’« invisibilisation » d’autres indicateurs potentiels du risque suicidaire.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=54790
in Ethique & Santé > Vol. 21, n°1 (Mars 2024) . - p. 41-47[article] Le risque suicidaire en lien avec le travail. Obstacles épistémologiques et institutionnels [texte imprimé] / Philippe Spoljar, Auteur . - 2024 . - p. 41-47.
Doi : 10.1016/j.etiqe.2023.11.006
Langues : Français (fre)
in Ethique & Santé > Vol. 21, n°1 (Mars 2024) . - p. 41-47
Catégories : Alpha
A:Agriculture ; E:Epidémiologie ; E:Epistémologie ; F:Facteur de risque ; R:Risque suicidaire ; S:Suicide ; T:Travail (emploi)Résumé : Les analyses factorielles du risque suicidaire présentes dans les études en santé au travail permettent d’orienter les grandes lignes des politiques publiques de prévention, mais elles restent très insuffisantes pour comprendre le phénomène du suicide. Elles peuvent également constituer un obstacle à une connaissance précise du risque suicidaire, notamment en réduisant systématiquement sa complexité par une répartition binaire entre facteurs de risques et facteurs de protection, et en produisant depuis des décennies des résultats contradictoires : les enquêtes sociologiques affirment le primat des déterminismes sociaux, les enquêtes psychiatriques constatent invariablement des causalités psychiatriques, les spécialistes du travail considèrent que tout vient de l’organisation et des conditions de travail, etc.
Ces enquêtes s’appuient sur des ensembles de facteurs de risque différents les uns des autres, tout en faisant valoir à chaque fois des validations empiriques en leur faveur. Pour rendre compte de ce paradoxe dans une perspective épistémologique, nous proposons d’être attentifs aux modalités de sélection et de définition des variables (nombre, registre, extension), à leur catégorisation, et rapidement également à l’« invisibilisation » d’autres indicateurs potentiels du risque suicidaire.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=54790 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T010384 ETH Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible