Centre de Documentation HELHa Tournai - Mouscron
Heures d'ouverture (période scolaire)
Tournai | Mouscron |
- lundi : 9h00-12h00 et 13h00-17h00 - mardi: 9h00-12h30 et 13h00-17h00 - mercredi: 9h00-12h30 et 13h00-17h30 - jeudi: 9h00-12h30 et 13h00-17h00 - vendredi: 09h00-17h00 | - lundi: 9h00 à 12h30 et 13h00 à 17h15 - mardi: 13h00 à 17h15 - mercredi: 13h00 à 17h15 - jeudi : 13h00 à 17h15 - vendredi: 13h00 à 17h00 |
Semaine du 19/05 à Tournai : Horaire habituel.
Semaine du 26/05 à Tournai : Fermé le jeudi 29/05 (Ascension).
Semaine du 02/06 à Tournai : Horaire habituel.
Semaine du 12/05 à Mouscron : Horaire habituel
Semaine du 19/05 à Mouscron : Horaire habituel. Horaire habituel
Semaine du 26/05 à Mouscron : Fermé le jeudi 29/05 (Ascension).
Notre catalogue possède un thésaurus (voir ci-dessous : catégories). Pour effectuer une recherche structurée, nous vous conseillons de cliquer sur la "recherche multi-critères". Dans le menu déroulant, descendez et choisissez "Indexations - Catégories", tapez votre descripteur (mot-clé) et sélectionnez-le lorsqu'il apparaît. Pour introduire un 2è terme, renouvelez l'opération (ET). Vous pouvez élargir les résultats en ajoutant des termes proches avec + (OU).
Détail de l'auteur
Auteur Imed Miadi |
Documents disponibles écrits par cet auteur



Aspects épidémiologiques et évolutifs des patients âgés de 65 ans et plus opérés pour une fracture de l’extrémité supérieure du fémur : étude observationnelle prospective / Imed Miadi in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement, Vol. 21, n°3 (Septembre 2023)
[article]
Titre : Aspects épidémiologiques et évolutifs des patients âgés de 65 ans et plus opérés pour une fracture de l’extrémité supérieure du fémur : étude observationnelle prospective Type de document : texte imprimé Auteurs : Imed Miadi, Auteur Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 330-339 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
C:Comorbidité ; E:Epidémiologie ; E:Évaluation gériatrique ; F:Fracture ; F:Fracture de l'extrémité supérieure du fémur ; G:Gériatrie ; M:Mortalité ; O:Orthopédie ; P:Période postopératoire ; P:Personne âgée ; T:TraumatologieRésumé : La fracture de l’extrémité supérieure du fémur (FESF) est une complication sévère du sujet âgé, elle concerne 1,3 million de patients par an dans le monde [1]. Les études dédiées au suivi postopératoire des patients opérés pour une fracture de la hanche à long terme sont rares. L’objectif était de déterminer le profil épidémiologique et évolutif centré sur la morbi-mortalité (survie et déclin fonctionnel et cognitif) dans l’année qui suit une intervention pour une FESF chez les patients âgés de plus de 65 ans. Méthodes : Étude observationnelle prospective. Les données gériatriques étaient recueillies lors de la prise en charge chirurgicale de la FESF avec une évaluation postopératoire du statut vital, fonctionnel et cognitif. Résultats : Sur une période de 24 mois, 119 patients ont été opérés au niveau du service d’orthopédie-traumatologie du centre hospitalo-universitaire (CHU) d’Annaba, les patients étaient initialement tous indépendants (activités instrumentales de la vie quotidienne [IADL] 4 ≥ 3) et sans troubles cognitifs préopératoires. Il s’agissait de 32 hommes et 87 femmes. L’âge moyen était de (77,4 ± 8,2) ans avec des extrêmes de 65 ans et 100 ans. Toutes les lésions étaient unilatérales avec une prédominance à droite. Il s’agit principalement de fractures du massif trochantérien à 72 %. Les circonstances étiologiques les plus rencontrées étaient des chutes suite à des accidents domestiques. Quatre-vingt-sept patients ont bénéficié d’une rachianesthésie, 19 d’une anesthésie générale et 13 d’une péridurale. Le délai moyen d’intervention était de 5,11 ± 4,17 jours avec des extrêmes de zéro et 18 jours. Selon le traitement réalisé, 14 Dynamic Hip Screws (DHS), trois enclouages centromédullaires (ECM) , 33 lames-plaques et 24 clous-plaques et 15 clous-gammas, 28 prothèses de Moore et deux vissages. La durée moyenne de séjour était de sept jours. Le taux de mortalité à un an des 119 patients était de 19,3 %. Les patients décédés après un an, dénutris (13,2 %, p = 0,05) avec une comorbidité élevée (ASA 2(78 %) et ASA 3(13 %) (p < 0,01 et p = 0,05). Parmi les survivants, 27 % présentaient un déclin cognitif postopératoire. Le décès survenait en moyenne à 82,17 jours. Conclusion : La FESF reste un véritable problème de santé publique par sa prévalence, son pronostic et son coût. La mortalité des patients âgés de plus de 65 ans à un an postopératoire d’une FESF s’élevait à 19 %, intérêt de créer une unité spécialisée en orthogériatrie.
Note de contenu : DOI : 10.1684/pnv.2023.1116 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=53933
in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol. 21, n°3 (Septembre 2023) . - p. 330-339[article] Aspects épidémiologiques et évolutifs des patients âgés de 65 ans et plus opérés pour une fracture de l’extrémité supérieure du fémur : étude observationnelle prospective [texte imprimé] / Imed Miadi, Auteur . - 2023 . - p. 330-339.
Langues : Français (fre)
in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol. 21, n°3 (Septembre 2023) . - p. 330-339
Catégories : Alpha
C:Comorbidité ; E:Epidémiologie ; E:Évaluation gériatrique ; F:Fracture ; F:Fracture de l'extrémité supérieure du fémur ; G:Gériatrie ; M:Mortalité ; O:Orthopédie ; P:Période postopératoire ; P:Personne âgée ; T:TraumatologieRésumé : La fracture de l’extrémité supérieure du fémur (FESF) est une complication sévère du sujet âgé, elle concerne 1,3 million de patients par an dans le monde [1]. Les études dédiées au suivi postopératoire des patients opérés pour une fracture de la hanche à long terme sont rares. L’objectif était de déterminer le profil épidémiologique et évolutif centré sur la morbi-mortalité (survie et déclin fonctionnel et cognitif) dans l’année qui suit une intervention pour une FESF chez les patients âgés de plus de 65 ans. Méthodes : Étude observationnelle prospective. Les données gériatriques étaient recueillies lors de la prise en charge chirurgicale de la FESF avec une évaluation postopératoire du statut vital, fonctionnel et cognitif. Résultats : Sur une période de 24 mois, 119 patients ont été opérés au niveau du service d’orthopédie-traumatologie du centre hospitalo-universitaire (CHU) d’Annaba, les patients étaient initialement tous indépendants (activités instrumentales de la vie quotidienne [IADL] 4 ≥ 3) et sans troubles cognitifs préopératoires. Il s’agissait de 32 hommes et 87 femmes. L’âge moyen était de (77,4 ± 8,2) ans avec des extrêmes de 65 ans et 100 ans. Toutes les lésions étaient unilatérales avec une prédominance à droite. Il s’agit principalement de fractures du massif trochantérien à 72 %. Les circonstances étiologiques les plus rencontrées étaient des chutes suite à des accidents domestiques. Quatre-vingt-sept patients ont bénéficié d’une rachianesthésie, 19 d’une anesthésie générale et 13 d’une péridurale. Le délai moyen d’intervention était de 5,11 ± 4,17 jours avec des extrêmes de zéro et 18 jours. Selon le traitement réalisé, 14 Dynamic Hip Screws (DHS), trois enclouages centromédullaires (ECM) , 33 lames-plaques et 24 clous-plaques et 15 clous-gammas, 28 prothèses de Moore et deux vissages. La durée moyenne de séjour était de sept jours. Le taux de mortalité à un an des 119 patients était de 19,3 %. Les patients décédés après un an, dénutris (13,2 %, p = 0,05) avec une comorbidité élevée (ASA 2(78 %) et ASA 3(13 %) (p < 0,01 et p = 0,05). Parmi les survivants, 27 % présentaient un déclin cognitif postopératoire. Le décès survenait en moyenne à 82,17 jours. Conclusion : La FESF reste un véritable problème de santé publique par sa prévalence, son pronostic et son coût. La mortalité des patients âgés de plus de 65 ans à un an postopératoire d’une FESF s’élevait à 19 %, intérêt de créer une unité spécialisée en orthogériatrie.
Note de contenu : DOI : 10.1684/pnv.2023.1116 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=53933 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T009971 GER Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Les troubles cognitifs postopératoires en chirurgie traumatique de la hanche chez les sujets âgés / Imed Miadi in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement, Vol. 23, n°1 (Mars 2025)
[article]
Titre : Les troubles cognitifs postopératoires en chirurgie traumatique de la hanche chez les sujets âgés Type de document : texte imprimé Auteurs : Imed Miadi, Auteur Année de publication : 2025 Article en page(s) : p. 85-97 Note générale : DOI : 10.1684/pnv.2025.1217 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
F:Fracture de l'extrémité supérieure du fémur ; I:Incidence ; P:Personne âgée ; P:Prévention ; S:Syndrome confusionnel postopératoireRésumé : Introduction
Le vieillissement de la population entraîne inévitablement une augmentation du nombre d’actes chirurgicaux chez la personne âgée. Les effets de l’anesthésie couplée à la chirurgie sont reconnus précipitant d’une altération cognitive postopératoire dont l’étiologie semble être multifactorielle, avec une prédominance de la cause inflammatoire liée à la chirurgie.
Objectifs
L’objectif principal de notre travail est de déterminer l’incidence et les facteurs de risque du déclin cognitif après une chirurgie pour traumatisme de la hanche. Il s’agit de la suite d’une publication axée sur le profil épidémiologique et évolutif de la même cohorte [1].
Méthodes
Notre étude, observationnelle, descriptive, prospective et monocentrique, a colligé un échantillon de 89 patients. Elle est réalisée au niveau du service de traumatologie orthopédie du centre hospitalo-universitaire d’Annaba, sur une période de 24 mois. Le protocole d’étude consiste à évaluer l’état cognitif, pour chaque patient, en préopératoire avec un suivi postopératoire pendant une année, en utilisant quatre tests (le Mini-Mental State Examination [MMSE], le test de Dubois, le test de l’horloge (TDH) et l’échelle d’activités instrumentales de la vie courante [Instrumental Activities of Daily Living : IADL4]). Ce suivi cognitif postopératoire, longitudinal, est réalisé aux 1er, 3e, 6e et 12e mois postopératoires.
Résultats
L’évaluation de l’état cognitif en pré- et en postopératoire par une batterie de quatre tests révèle une forte incidence de troubles cognitifs postopératoires (TCPO) dans cette population chirurgicale ; elle est de l’ordre de 27 % à un mois, suivi d’une amélioration progressive des capacités neurocognitives jusqu’à une récupération cognitive complète. L’incidence des TCPO est estimée à 17 % à 3 mois, 9 % à 6 mois et seulement 1 % à 12 mois. Sur 30 facteurs de risque analysés, seulement trois sont retenus (après régression logistique). Il s’agit de l’âge avancé (OR = 7,135, IC 95% = 2,4–21,2), le retard de prise en charge (OR = 4,65 avec un IC95% = 1,73–12,64) et l’analgésie multimodale avec un OR = 0,30 et IC95% = 0,1–0,78]).
Conclusion
Il n’y a actuellement aucun traitement curatif disponible des TCPO. Seule une approche préventive de préparation cognitive préopératoire pourrait être envisagée pour la gestion des TCPO ; elle se base sur l’évaluation du retentissement des TCPO sur le travail et la vie personnelle des patients ainsi que sur la mise en place de programmes de stimulation cognitive.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=57188
in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol. 23, n°1 (Mars 2025) . - p. 85-97[article] Les troubles cognitifs postopératoires en chirurgie traumatique de la hanche chez les sujets âgés [texte imprimé] / Imed Miadi, Auteur . - 2025 . - p. 85-97.
DOI : 10.1684/pnv.2025.1217
Langues : Français (fre)
in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol. 23, n°1 (Mars 2025) . - p. 85-97
Catégories : Alpha
F:Fracture de l'extrémité supérieure du fémur ; I:Incidence ; P:Personne âgée ; P:Prévention ; S:Syndrome confusionnel postopératoireRésumé : Introduction
Le vieillissement de la population entraîne inévitablement une augmentation du nombre d’actes chirurgicaux chez la personne âgée. Les effets de l’anesthésie couplée à la chirurgie sont reconnus précipitant d’une altération cognitive postopératoire dont l’étiologie semble être multifactorielle, avec une prédominance de la cause inflammatoire liée à la chirurgie.
Objectifs
L’objectif principal de notre travail est de déterminer l’incidence et les facteurs de risque du déclin cognitif après une chirurgie pour traumatisme de la hanche. Il s’agit de la suite d’une publication axée sur le profil épidémiologique et évolutif de la même cohorte [1].
Méthodes
Notre étude, observationnelle, descriptive, prospective et monocentrique, a colligé un échantillon de 89 patients. Elle est réalisée au niveau du service de traumatologie orthopédie du centre hospitalo-universitaire d’Annaba, sur une période de 24 mois. Le protocole d’étude consiste à évaluer l’état cognitif, pour chaque patient, en préopératoire avec un suivi postopératoire pendant une année, en utilisant quatre tests (le Mini-Mental State Examination [MMSE], le test de Dubois, le test de l’horloge (TDH) et l’échelle d’activités instrumentales de la vie courante [Instrumental Activities of Daily Living : IADL4]). Ce suivi cognitif postopératoire, longitudinal, est réalisé aux 1er, 3e, 6e et 12e mois postopératoires.
Résultats
L’évaluation de l’état cognitif en pré- et en postopératoire par une batterie de quatre tests révèle une forte incidence de troubles cognitifs postopératoires (TCPO) dans cette population chirurgicale ; elle est de l’ordre de 27 % à un mois, suivi d’une amélioration progressive des capacités neurocognitives jusqu’à une récupération cognitive complète. L’incidence des TCPO est estimée à 17 % à 3 mois, 9 % à 6 mois et seulement 1 % à 12 mois. Sur 30 facteurs de risque analysés, seulement trois sont retenus (après régression logistique). Il s’agit de l’âge avancé (OR = 7,135, IC 95% = 2,4–21,2), le retard de prise en charge (OR = 4,65 avec un IC95% = 1,73–12,64) et l’analgésie multimodale avec un OR = 0,30 et IC95% = 0,1–0,78]).
Conclusion
Il n’y a actuellement aucun traitement curatif disponible des TCPO. Seule une approche préventive de préparation cognitive préopératoire pourrait être envisagée pour la gestion des TCPO ; elle se base sur l’évaluation du retentissement des TCPO sur le travail et la vie personnelle des patients ainsi que sur la mise en place de programmes de stimulation cognitive.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=57188 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T010612 GER Revue Tournai Soins infirmiers (T) Sorti jusqu'au 20/05/2025