Centre de Documentation HELHa Tournai - Mouscron
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Tournai | Mouscron |
- lundi : 9h30-12h30 et 13h00-17h00 - mardi: 9h00-12h30 et 13h00-17h00 - mercredi: 9h00-12h30 et 13h00-17h30 - jeudi: 9h00-12h30 et 13h00-17h00 - vendredi: 09h00-17h00 | - lundi: 9h00 à 12h30 et 13h00 à 17h15 - mardi: 13h00 à 17h15 - mercredi: 13h00 à 17h15 - jeudi : 13h00 à 17h15 - vendredi: 13h00 à 17h00 |
Semaine du 18/11 à Tournai : Fermé mardi 19/11 en après-midi et jeudi 21/11 en matinée. Fermé mercredi à 17h00. Fermé vendredi entre 12 et 13h00.
Semaine du 25/11 à Tournai : Fermé vendredi 29/11 en matinée.
Semaine du 02/12 à Tournai : Horaire habituel.
Semaine du 18/11 à Mouscron : Horaire habituel
Semaine du 25/11 à Mouscron : Lundi: ouverture à 10h30.
Semaine du 11/11 à Mouscron : Fermé lundi (armistice)
Détail de l'auteur
Auteur Élisabeth Grégoire-Taieb |
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[article]
Titre : La psychiatrie périnatale, sortir du silence Type de document : texte imprimé Auteurs : Karine Ronen ; Romain Dugravier ; Élisabeth Grégoire-Taieb ; Hélène De Laage Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 29-39 Note générale : Issu du dossier "Silences" Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
D:Deuil ; P:Périnatalogie ; R:Retrait relationnelRésumé : La psychiatrie périnatale est une spécialité encore jeune, en pleine structuration dont l’objet est de prendre soin des bébés et de leurs parents. Actuellement, la définition retenue est celle de soins conjoints, c’est-à-dire de soins centrés sur les échanges, les interactions, réelles, imaginaires ou fantasmatiques entre le bébé et ses parents. La symptomatologie du bébé est ainsi parfois différée, inapparente ou «en creux» et elle ne peut pas toujours être un moteur suffisant pour une demande de soins. Longtemps, les parents fragilisés (déprimés ou même présentant des troubles psychiatriques plus sévères) n’ont pas formulé de demande de soin, par honte, par culpabilité ou par crainte du regard des autres, d’une stigmatisation liée à leurs ressentis ou à leur diagnostic. Certains parents, aussi, expriment leur immense sentiment de solitude et le silence de leur entourage face à leur détresse (nous pensons, ici, aux parents endeuillés, par exemple). Les professionnels de la périnatalité (sages-femmes, obstétriciens, pédiatres, puéricultrices), quant à eux, s’ils sont toujours plus sensibilisés aux enjeux psychiques de la période sont encore en difficulté pour aborder certains sujets (symptomatologie dépressive et potentielles idées suicidaires du parent, troubles de la parentalité et souffrance du bébé) surtout s’ils craignent de ne pas pouvoir s’appuyer sur des professionnels de santé mentale. Note de contenu : Les dépressions périnatales: une symptomatologie trop silencieuse ou le refus d’entendre des familles et des professionnels?
Du côté du bébé: le silence comme un cri
Le deuil périnatal: faire écho au silence
Les 1000 jours, une fantastique opportunité pour sortir du silenceEn ligne : https://doi.org/10.3917/ep.096.0029 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=52912
in Enfances & Psy > N°96 (juillet 2023) . - p. 29-39[article] La psychiatrie périnatale, sortir du silence [texte imprimé] / Karine Ronen ; Romain Dugravier ; Élisabeth Grégoire-Taieb ; Hélène De Laage . - 2023 . - p. 29-39.
Issu du dossier "Silences"
Langues : Français (fre)
in Enfances & Psy > N°96 (juillet 2023) . - p. 29-39
Catégories : Alpha
D:Deuil ; P:Périnatalogie ; R:Retrait relationnelRésumé : La psychiatrie périnatale est une spécialité encore jeune, en pleine structuration dont l’objet est de prendre soin des bébés et de leurs parents. Actuellement, la définition retenue est celle de soins conjoints, c’est-à-dire de soins centrés sur les échanges, les interactions, réelles, imaginaires ou fantasmatiques entre le bébé et ses parents. La symptomatologie du bébé est ainsi parfois différée, inapparente ou «en creux» et elle ne peut pas toujours être un moteur suffisant pour une demande de soins. Longtemps, les parents fragilisés (déprimés ou même présentant des troubles psychiatriques plus sévères) n’ont pas formulé de demande de soin, par honte, par culpabilité ou par crainte du regard des autres, d’une stigmatisation liée à leurs ressentis ou à leur diagnostic. Certains parents, aussi, expriment leur immense sentiment de solitude et le silence de leur entourage face à leur détresse (nous pensons, ici, aux parents endeuillés, par exemple). Les professionnels de la périnatalité (sages-femmes, obstétriciens, pédiatres, puéricultrices), quant à eux, s’ils sont toujours plus sensibilisés aux enjeux psychiques de la période sont encore en difficulté pour aborder certains sujets (symptomatologie dépressive et potentielles idées suicidaires du parent, troubles de la parentalité et souffrance du bébé) surtout s’ils craignent de ne pas pouvoir s’appuyer sur des professionnels de santé mentale. Note de contenu : Les dépressions périnatales: une symptomatologie trop silencieuse ou le refus d’entendre des familles et des professionnels?
Du côté du bébé: le silence comme un cri
Le deuil périnatal: faire écho au silence
Les 1000 jours, une fantastique opportunité pour sortir du silenceEn ligne : https://doi.org/10.3917/ep.096.0029 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=52912 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T010021 ENF Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible