Centre de Documentation HELHa Tournai - Mouscron
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Tournai | Mouscron |
- lundi : 9h30-12h30 et 13h00-17h00 - mardi: 9h00-12h30 et 13h00-17h00 - mercredi: 9h00-12h30 et 13h00-17h30 - jeudi: 9h00-12h30 et 13h00-17h00 - vendredi: 09h00-17h00 | - lundi: 9h00 à 12h30 et 13h00 à 17h15 - mardi: 13h00 à 17h15 - mercredi: 13h00 à 17h15 - jeudi : 13h00 à 17h15 - vendredi: 13h00 à 17h00 |
Semaine du 18/11 à Tournai : Fermé mardi 19/11 en après-midi et jeudi 21/11 en matinée. Fermé mercredi à 17h00. Fermé vendredi entre 12 et 13h00.
Semaine du 25/11 à Tournai : Fermé vendredi 29/11 en matinée.
Semaine du 02/12 à Tournai : Horaire habituel.
Semaine du 18/11 à Mouscron : Horaire habituel
Semaine du 25/11 à Mouscron : Lundi: ouverture à 10h30.
Semaine du 11/11 à Mouscron : Fermé lundi (armistice)
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Auteur C. Rommelaere |
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La capacité des patient(e)s : réflexion juridique et pratique / C. Rommelaere in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie), Vol. 23, n° 135 (Juin 2023)
[article]
Titre : La capacité des patient(e)s : réflexion juridique et pratique Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Rommelaere Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 184-197 Note générale : https://doi.org/10.1016/j.npg.2022.12.005 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
C:Capacité décisionnelle ; C:Capacité juridiqueRésumé : En principe, les personnes majeures sont pleinement capables juridiquement. En matière de soins de santé, cette règle se traduit essentiellement par le droit de prendre ses propres décisions de soins. Souvent liée au respect de l’autonomie des patient(e)s, la reconnaissance de leur capacité décisionnelle représente aujourd’hui un enjeu légal et pratique crucial. Mais que signifie « être capable » en tant que patient(e) ? Sur quels critères les professionnel(le)s de la santé sont-elles/ils censé(e)s fonder leur évaluation ? Les définitions classiques de la capacité et les méthodologies d’évaluation qui en découlent sont des instruments de pouvoir : si tel(le) patient(e) est considéré(e) comme incapable, les décisions la/le concernant pourront être prises par quelqu’un d’autre. À l’asymétrie scientifique bien connue dans la relation de soins vient s’ajouter une asymétrie juridique. Dans ce contexte, il n’est pas étonnant que la question de la capacité captive les professionnel(le)s. Leurs questionnements sont à la mesure de leurs responsabilités : si les évaluations de la capacité se fondent sur des critères trop stricts, elles peuvent rapidement devenir des outils d’incapacitation ; si les évaluations de la capacité ne s’appuient sur aucune méthodologie, elles donneront lieu à des décisions arbitraires. Pour éviter ce double écueil, la présente contribution suggère une série de lignes directrices visant à soutenir tant la capacité des patient(e)s que celle des professionnel(le)s, lesquel(le)s ont la mission délicate, voire impossible, d’évaluer la capacité d’autrui. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=52343
in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > Vol. 23, n° 135 (Juin 2023) . - p. 184-197[article] La capacité des patient(e)s : réflexion juridique et pratique [texte imprimé] / C. Rommelaere . - 2023 . - p. 184-197.
https://doi.org/10.1016/j.npg.2022.12.005
Langues : Français (fre)
in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > Vol. 23, n° 135 (Juin 2023) . - p. 184-197
Catégories : Alpha
C:Capacité décisionnelle ; C:Capacité juridiqueRésumé : En principe, les personnes majeures sont pleinement capables juridiquement. En matière de soins de santé, cette règle se traduit essentiellement par le droit de prendre ses propres décisions de soins. Souvent liée au respect de l’autonomie des patient(e)s, la reconnaissance de leur capacité décisionnelle représente aujourd’hui un enjeu légal et pratique crucial. Mais que signifie « être capable » en tant que patient(e) ? Sur quels critères les professionnel(le)s de la santé sont-elles/ils censé(e)s fonder leur évaluation ? Les définitions classiques de la capacité et les méthodologies d’évaluation qui en découlent sont des instruments de pouvoir : si tel(le) patient(e) est considéré(e) comme incapable, les décisions la/le concernant pourront être prises par quelqu’un d’autre. À l’asymétrie scientifique bien connue dans la relation de soins vient s’ajouter une asymétrie juridique. Dans ce contexte, il n’est pas étonnant que la question de la capacité captive les professionnel(le)s. Leurs questionnements sont à la mesure de leurs responsabilités : si les évaluations de la capacité se fondent sur des critères trop stricts, elles peuvent rapidement devenir des outils d’incapacitation ; si les évaluations de la capacité ne s’appuient sur aucune méthodologie, elles donneront lieu à des décisions arbitraires. Pour éviter ce double écueil, la présente contribution suggère une série de lignes directrices visant à soutenir tant la capacité des patient(e)s que celle des professionnel(le)s, lesquel(le)s ont la mission délicate, voire impossible, d’évaluer la capacité d’autrui. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=52343 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T009938 NPG Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible