Centre de Documentation HELHa Tournai - Mouscron
Heures d'ouverture (période scolaire)
Après identification sur connected (ID et mot de passe), les membres de la Helha ont l'accès à Cinahl et à Cairn en passant par l'onglet "Bases de données" de ce catalogue et en cliquant sur le lien d'accès.
Tournai | Mouscron |
- lundi : 9h30-12h30 et 13h00-17h00 - mardi: 9h00-12h30 et 13h00-17h00 - mercredi: 9h00-12h30 et 13h00-17h30 - jeudi: 9h00-12h30 et 13h00-17h00 - vendredi: 09h00-17h00 | - lundi: 9h00 à 12h30 et 13h00 à 17h15 - mardi: 13h00 à 17h15 - mercredi: 13h00 à 17h15 - jeudi : 13h00 à 17h15 - vendredi: 13h00 à 17h00 |
Semaine du 14/10 à Tournai : Horaire habituel
Semaine du 21/10 à Tournai : Fermé le lundi 21 toute la journée, le mercredi 23 après-midi, le jeudi 24 de 9h00 à 10h00 et à partir de 15h45.Fermé le vendredi 25 à partir de 13h00.
Semaine du 28/10 à Tournai : Fermé.
Semaine du 04/11 à Tournai : Fermé mardi à partir de 14h30. Fermé jeudi matin jusque 10h30. fermeture du CDD à 17h00 ce jeudi. Fermé vendredi 8/11 en matinée.
Semaine du 14/10 à Mouscron : Lundi: ouverture à 10h30.
Semaine du 21/10 à Mouscron : Ouvert le lundi uniquement. Le CDD de Tournai est plus largement ouvert et vous accueille également.
Semaine du 28/10 à Mouscron : Fermé.
Détail de l'auteur
Auteur M. Balencon |
Documents disponibles écrits par cet auteur
Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche
Enfants maltraités : les lésions cutanées font-elles le diagnostic? / M. Balencon in Journal des Plaies et Cicatrisations, 92 (Mars 2014)
[article]
Titre : Enfants maltraités : les lésions cutanées font-elles le diagnostic? Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Balencon, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 23-27 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
E:Ecchymose ; E:Enfant ; L:Lésion et blessure ; M:Maltraitance ; N:Nourrisson ; S:Signalement ; V:ViolenceRésumé : Dans les pays à haut niveau économique, 4 à 16 % des mineurs seraient victimes de violences de quelque nature que ce soit. Ce type de situation semble assez mal connue des praticiens de terrain. Leur prise en charge repose sur la même démarche diagnostique que toute autre pathologie médicale. En effet, il convient en premier lieu d’évoquer le diagnostic pour mettre en place une prise en charge adaptée dans le but de limiter la mortalité, la morbidité, les récidives et d’adapter des mesures de prévention. Force est de constater que la maltraitance n’est pas une problématique médicale comme une autre. En effet, son évocation s’attaque aux représentations que les praticiens peuvent avoir tant sur le plan social que sur l’éducation, la justice ou la santé des enfants. Si des lésions cutanées sont rencontrées dans la grande majorité des situations de violences physiques, moins de 10% seront spécifiques de par leur aspect. Retenir le diagnostic de maltraitance avec un auteur désigné reste in fine de la responsabilité des magistrats qui qualifient les infractions. En revanche, retenir et gérer le diagnostic de traumatisme infligé par un tiers est de la responsabilité des professionnels de santé. Il est nécessaire de s’appuyer sur des équipes rompues à ce type de pratique et de ne pas rester seul face à cette problématique lourde à gérer. En outre, la gestion de ces situations autorise les professionnels de santé à se délier du secret professionnel dans des conditions prévues par les différents codes en vigueur. Cette option doit être connue des professionnels de santé. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=26815
in Journal des Plaies et Cicatrisations > 92 (Mars 2014) . - p. 23-27[article] Enfants maltraités : les lésions cutanées font-elles le diagnostic? [texte imprimé] / M. Balencon, Auteur . - 2014 . - p. 23-27.
Langues : Français (fre)
in Journal des Plaies et Cicatrisations > 92 (Mars 2014) . - p. 23-27
Catégories : Alpha
E:Ecchymose ; E:Enfant ; L:Lésion et blessure ; M:Maltraitance ; N:Nourrisson ; S:Signalement ; V:ViolenceRésumé : Dans les pays à haut niveau économique, 4 à 16 % des mineurs seraient victimes de violences de quelque nature que ce soit. Ce type de situation semble assez mal connue des praticiens de terrain. Leur prise en charge repose sur la même démarche diagnostique que toute autre pathologie médicale. En effet, il convient en premier lieu d’évoquer le diagnostic pour mettre en place une prise en charge adaptée dans le but de limiter la mortalité, la morbidité, les récidives et d’adapter des mesures de prévention. Force est de constater que la maltraitance n’est pas une problématique médicale comme une autre. En effet, son évocation s’attaque aux représentations que les praticiens peuvent avoir tant sur le plan social que sur l’éducation, la justice ou la santé des enfants. Si des lésions cutanées sont rencontrées dans la grande majorité des situations de violences physiques, moins de 10% seront spécifiques de par leur aspect. Retenir le diagnostic de maltraitance avec un auteur désigné reste in fine de la responsabilité des magistrats qui qualifient les infractions. En revanche, retenir et gérer le diagnostic de traumatisme infligé par un tiers est de la responsabilité des professionnels de santé. Il est nécessaire de s’appuyer sur des équipes rompues à ce type de pratique et de ne pas rester seul face à cette problématique lourde à gérer. En outre, la gestion de ces situations autorise les professionnels de santé à se délier du secret professionnel dans des conditions prévues par les différents codes en vigueur. Cette option doit être connue des professionnels de santé. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=26815 Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M003807 JOU Revue Mouscron Soins Infirmiers (M) Disponible T005594 JOU Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible