Prise en charge des effets secondaires de la suppression androgénique par castration dans le cancer de la prostate : expérience ivoirienne - Effets secondaires de la castration dans le cancer de la prostate en Côte-D’Ivoire / Yvon Kouassi in Psycho-Oncologie, Vol. 15, 1-2 (Juin 2021)  

Public ISBD [article]  inPsycho-Oncologie > Vol. 15, 1-2 (Juin 2021) . - p. 35-37 Titre : Prise en charge des effets secondaires de la suppression androgénique par castration dans le cancer de la prostate : expérience ivoirienne - Effets secondaires de la castration dans le cancer de la prostate en Côte-D’Ivoire Type de document : document électronique Auteurs : Yvon Kouassi ; M. Touré ; B.A. Odo ; B.P.L. Nzamba ; P.L. Touré ; T.C. Nziengui ; P. Mébiala Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 35-37 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha C:Cancer ; E:Effet secondaire indésirable des médicaments ; H:Hormonothérapie ; P:Prostate Résumé : Contexte : L’hormonothérapie par castration dans le cancer de la prostate avancé expose le patient à des effets secondaires qui doivent être également pris en charge. Objectif : Identifier les effets secondaires de la castration dans le cancer de la prostate avancé et leur prise en charge en milieu ivoirien. Patients et méthode : êtude rétrospective à visée descriptive qui s’est déroulée dans le service de cancérologie du centre hospitalier de Treichville en Côte-d’Ivoire sur une période de deux ans. Résultats : Soixante-quinze dossiers de patients ont pu être analysés. Tous les patients étaient noirs et la moitié avait moins de 55 ans. Quatre-vingt-trois pour cent des patients étaient métastatiques au diagnostic. La castration était chimique dans 84 % des cas parmi lesquelles 64 % ont reçu une suppression androgénique complète. La majorité des patients ont décrit des troubles de l’érection (100 %), des troubles de la libido (75 %), des bouffées de chaleur (88 %) et une anémie (100 %). L’anémie a été prise en charge chez tous les patients, tandis que les troubles de la sexualité ont rarement été traités. Conclusion : La prise en charge des effets secondaires liés à l’hormonothérapie au long cours dans le cancer de la prostate doit être optimisée dans notre contexte où les patients sont jeunes et actifs. Note de contenu : https://doi.org/10.3166/pson-2021-0152 En ligne : https://pson.revuesonline.com/articles/lvpson/pdf/2021/01/lvpson_2021_sprpsycho0 [...] Format de la ressource électronique : https://pson.revuesonline.com/articles/lvpson/pdf/2021/01/lvpson_2021_sprpsycho000772.pdf Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=50521 [article] Prise en charge des effets secondaires de la suppression androgénique par castration dans le cancer de la prostate : expérience ivoirienne - Effets secondaires de la castration dans le cancer de la prostate en Côte-D’Ivoire [document électronique] / Yvon Kouassi ; M. Touré ; B.A. Odo ; B.P.L. Nzamba ; P.L. Touré ; T.C. Nziengui ; P. Mébiala . - 2021 . - p. 35-37. Langues : Français (fre) in Psycho-Oncologie > Vol. 15, 1-2 (Juin 2021) . - p. 35-37 Catégories : Alpha C:Cancer ; E:Effet secondaire indésirable des médicaments ; H:Hormonothérapie ; P:Prostate Résumé : Contexte : L’hormonothérapie par castration dans le cancer de la prostate avancé expose le patient à des effets secondaires qui doivent être également pris en charge. Objectif : Identifier les effets secondaires de la castration dans le cancer de la prostate avancé et leur prise en charge en milieu ivoirien. Patients et méthode : êtude rétrospective à visée descriptive qui s’est déroulée dans le service de cancérologie du centre hospitalier de Treichville en Côte-d’Ivoire sur une période de deux ans. Résultats : Soixante-quinze dossiers de patients ont pu être analysés. Tous les patients étaient noirs et la moitié avait moins de 55 ans. Quatre-vingt-trois pour cent des patients étaient métastatiques au diagnostic. La castration était chimique dans 84 % des cas parmi lesquelles 64 % ont reçu une suppression androgénique complète. La majorité des patients ont décrit des troubles de l’érection (100 %), des troubles de la libido (75 %), des bouffées de chaleur (88 %) et une anémie (100 %). L’anémie a été prise en charge chez tous les patients, tandis que les troubles de la sexualité ont rarement été traités. Conclusion : La prise en charge des effets secondaires liés à l’hormonothérapie au long cours dans le cancer de la prostate doit être optimisée dans notre contexte où les patients sont jeunes et actifs. Note de contenu : https://doi.org/10.3166/pson-2021-0152 En ligne : https://pson.revuesonline.com/articles/lvpson/pdf/2021/01/lvpson_2021_sprpsycho0 [...] Format de la ressource électronique : https://pson.revuesonline.com/articles/lvpson/pdf/2021/01/lvpson_2021_sprpsycho000772.pdf Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=50521

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