Bionettoyage des surfaces à l'hôpital : comparaison de l'efficacité antibactérienne de plusieurs techniques / Olivier Meunier in Hygiènes, vol. 31, n°2 (mai 2023)

Public ISBD [article]  inHygiènes > vol. 31, n°2 (mai 2023) . - p. 107-115 Titre : Bionettoyage des surfaces à l'hôpital : comparaison de l'efficacité antibactérienne de plusieurs techniques Type de document : texte imprimé Auteurs : Olivier Meunier, Auteur ; Tanisha Sooben, Auteur ; Sandrine Burger, Auteur ; Tania Fersing, Auteur ; Thomas Crettenois, Auteur ; Boran Boynuk, Auteur Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 107-115 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha B:Bionettoyage ; D:Désinfection ; E:Efficacité ; H:Hygiène hospitalière Résumé : Nous comparons plusieurs procédures de bionettoyage des surfaces par des prélèvements bactériologiques sur le sol, dans les chambres et salles de bains de patients. Les prélèvements sont réalisés dès la sortie du patient puis après l'utilisation d'un produit détergent, d'un détergent-désinfectant, de l'eau associée aux microfibres ou du nettoyeur vapeur associé à l'exposition aux ultraviolets (UV) C ou à la désinfection des surfaces par voie aérienne (DSVA). Le détergent seul et l'utilisation de la microfibre permettent de diminuer d'un logarithme la charge bactérienne sur les surfaces. Les détergents-désinfectants, comme les nettoyeurs vapeur, ne font pas mieux. Les couples "nettoyage-DSVA" ou "nettoyage-UV-C" obtiennent un abattement de la charge bactérienne sur les surfaces de respectivement 2,25 et 2,01 logs dans nos essais, soit un résultat 10 fois plus efficace que la chimie seule et en exposant l'ensemble des surfaces utiles à l'hôpital, ce que ne permet pas le bionettoyage manuel. Les résultats nous permettent de proposer une procédure plus efficace avec un cycle de désinfection automatique performant et écoresponsable. (Source éditeur/auteur) Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=52172 [article] Bionettoyage des surfaces à l'hôpital : comparaison de l'efficacité antibactérienne de plusieurs techniques [texte imprimé] / Olivier Meunier, Auteur ; Tanisha Sooben, Auteur ; Sandrine Burger, Auteur ; Tania Fersing, Auteur ; Thomas Crettenois, Auteur ; Boran Boynuk, Auteur . - 2023 . - p. 107-115. Langues : Français (fre) in Hygiènes > vol. 31, n°2 (mai 2023) . - p. 107-115 Catégories : Alpha B:Bionettoyage ; D:Désinfection ; E:Efficacité ; H:Hygiène hospitalière Résumé : Nous comparons plusieurs procédures de bionettoyage des surfaces par des prélèvements bactériologiques sur le sol, dans les chambres et salles de bains de patients. Les prélèvements sont réalisés dès la sortie du patient puis après l'utilisation d'un produit détergent, d'un détergent-désinfectant, de l'eau associée aux microfibres ou du nettoyeur vapeur associé à l'exposition aux ultraviolets (UV) C ou à la désinfection des surfaces par voie aérienne (DSVA). Le détergent seul et l'utilisation de la microfibre permettent de diminuer d'un logarithme la charge bactérienne sur les surfaces. Les détergents-désinfectants, comme les nettoyeurs vapeur, ne font pas mieux. Les couples "nettoyage-DSVA" ou "nettoyage-UV-C" obtiennent un abattement de la charge bactérienne sur les surfaces de respectivement 2,25 et 2,01 logs dans nos essais, soit un résultat 10 fois plus efficace que la chimie seule et en exposant l'ensemble des surfaces utiles à l'hôpital, ce que ne permet pas le bionettoyage manuel. Les résultats nous permettent de proposer une procédure plus efficace avec un cycle de désinfection automatique performant et écoresponsable. (Source éditeur/auteur) Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=52172

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Efficacité des ultraviolets de courte longueur d’onde (253,7 nm) pour la désinfection des chambres des patients / Thomas Crettenois ; Sandrine Burger ; Elodie Lemaire ; Tania Fersing ; Olivier Meunier in Hygiènes, Vol. XXX, n°6 (Décembre 2022)

Public ISBD [article]  inHygiènes > Vol. XXX, n°6 (Décembre 2022) . - p. 349-356 Titre : Efficacité des ultraviolets de courte longueur d’onde (253,7 nm) pour la désinfection des chambres des patients Type de document : texte imprimé Auteurs : Thomas Crettenois, Auteur ; Sandrine Burger, Auteur ; Elodie Lemaire, Auteur ; Tania Fersing, Auteur ; Olivier Meunier, Auteur Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 349-356 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha B:Bionettoyage Résumé : Dans les hôpitaux, la chambre des patients et de nombreuses surfaces doivent être nettoyées et désinfectées quotidiennement, et plus encore au départ du patient ou entre deux interventions. Classiquement les agents des services hospitaliers chargés de cette tâche utilisent des produits chimiques qu’ils appliquent à l’aide de chiffonnettes. Plusieurs auteurs s’accordent à dire que le résultat final n’est pas à la hauteur des exigences de l’hygiène hospitalière et de la prévention des transmissions croisées. Le facteur humain, la qualité des produits, le biofilm organisé… réduisent l’efficacité de cette procédure manuelle utilisant des produits chimiques. Nous avons testé l’efficacité désinfectante de l’exposition des surfaces aux rayonnements ultraviolets de courte longueur d’onde (UV-C) par des prélèvements bactériologiques sur les surfaces réalisés avant et après un nettoyage (détergent) suivi d’une irradiation aux UV-C, comparativement à un nettoyage par détergent-désinfectant à base d’ammonium quaternaire, ou à un nettoyage suivi d’une brumisation d’un mélange de peroxyde d’hydrogène et d’acide peracétique (désinfection automatique des surfaces par voie aérienne [DSVA]). Alors que le bionettoyage manuel apporte une réduction d’1 log de la charge bactérienne des surfaces (réduction de 90%), les UV-C sont 10 fois plus efficaces après 3 minutes d’exposition (réduction de 99% de la contamination), soit une désinfection voisine de celle apportée par la DSVA (2,25 logs). Cette désinfection automatisée très rapide pourrait être utilisée systématiquement après nettoyage des chambres pour toutes les situations cliniques y compris celles nécessitant la prescription de précautions complémentaires. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=51849 [article] Efficacité des ultraviolets de courte longueur d’onde (253,7 nm) pour la désinfection des chambres des patients [texte imprimé] / Thomas Crettenois, Auteur ; Sandrine Burger, Auteur ; Elodie Lemaire, Auteur ; Tania Fersing, Auteur ; Olivier Meunier, Auteur . - 2022 . - p. 349-356. Langues : Français (fre) in Hygiènes > Vol. XXX, n°6 (Décembre 2022) . - p. 349-356 Catégories : Alpha B:Bionettoyage Résumé : Dans les hôpitaux, la chambre des patients et de nombreuses surfaces doivent être nettoyées et désinfectées quotidiennement, et plus encore au départ du patient ou entre deux interventions. Classiquement les agents des services hospitaliers chargés de cette tâche utilisent des produits chimiques qu’ils appliquent à l’aide de chiffonnettes. Plusieurs auteurs s’accordent à dire que le résultat final n’est pas à la hauteur des exigences de l’hygiène hospitalière et de la prévention des transmissions croisées. Le facteur humain, la qualité des produits, le biofilm organisé… réduisent l’efficacité de cette procédure manuelle utilisant des produits chimiques. Nous avons testé l’efficacité désinfectante de l’exposition des surfaces aux rayonnements ultraviolets de courte longueur d’onde (UV-C) par des prélèvements bactériologiques sur les surfaces réalisés avant et après un nettoyage (détergent) suivi d’une irradiation aux UV-C, comparativement à un nettoyage par détergent-désinfectant à base d’ammonium quaternaire, ou à un nettoyage suivi d’une brumisation d’un mélange de peroxyde d’hydrogène et d’acide peracétique (désinfection automatique des surfaces par voie aérienne [DSVA]). Alors que le bionettoyage manuel apporte une réduction d’1 log de la charge bactérienne des surfaces (réduction de 90%), les UV-C sont 10 fois plus efficaces après 3 minutes d’exposition (réduction de 99% de la contamination), soit une désinfection voisine de celle apportée par la DSVA (2,25 logs). Cette désinfection automatisée très rapide pourrait être utilisée systématiquement après nettoyage des chambres pour toutes les situations cliniques y compris celles nécessitant la prescription de précautions complémentaires. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=51849

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Évaluation de protocoles d’antisepsie cutanée ex vivo sur la peau de porc / Jérôme Santasouk ; Tania Fersing ; Sandrine Burger ; Olivier Meunier in Hygiènes, Vol. 29, n°6 (Décembre 2021)

Public ISBD [article]  inHygiènes > Vol. 29, n°6 (Décembre 2021) . - p. 397-403 Titre : Évaluation de protocoles d’antisepsie cutanée ex vivo sur la peau de porc Type de document : texte imprimé Auteurs : Jérôme Santasouk ; Tania Fersing ; Sandrine Burger ; Olivier Meunier Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 397-403 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha A:Antisepsie ; A:Asepsie ; D:Désinfection ; E:Etude scientifique ; P:Peau Résumé : Introduction. L’activité in vivo des antiseptiques diffère de celle in vitro. Nous proposons de réaliser sept procédures d’antisepsie sur des lambeaux de peau de porc pour comparer l’efficacité de procédures incluant une détersion cutanée à celles sans détersion, et comparer l’efficacité d’antiseptiques commercialisés sous des formes différentes. Méthode. Chaque procédure d’antisepsie est appliquée sur trois lambeaux de peau de porc, chacun comprenant une zone témoin distincte de la zone d’antisepsie qui permet d’estimer la charge bactérienne initiale. Chaque antiseptique est appliqué selon la technique « d’aller-retour » ; les prélèvements sur les zones témoin et d’antisepsie sont réalisés par empreintes gélosées ; les milieux de culture sont incubés 24 heures à 30 °C. Les colonies bactériennes formées y sont ensuite dénombrées et les réductions de charge bactérienne (antisepsie versus témoin) sont comparées d’une procédure à l’autre. Résultats. La solution unidose de chlorhexidine à 2% et d’alcool isopropylique à 70%, avec ou sans le dispositif d’application cutanée, permet une diminution moyenne de la charge bactérienne initiale de 2,3 log et de 2,5 log. La solution multidose de chlorhexidine à 2% et d’alcool isopropylique à 70% permet une diminution moyenne de 3,1 log. Cette diminution est plus importante que pour les procédures incluant une phase de détersion et que celles recourant à des antiseptiques iodés. Discussion/Conclusion. Suite à ces résultats, il est envisagé de remplacer, dans les services de soins, l’antiseptique à base de chlorhexidine à 0,25%, benzalkonium à 0,025% et alcool benzylique à 4% par les produits ayant la plus forte activité selon notre procédure d’essais. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=49089 [article] Évaluation de protocoles d’antisepsie cutanée ex vivo sur la peau de porc [texte imprimé] / Jérôme Santasouk ; Tania Fersing ; Sandrine Burger ; Olivier Meunier . - 2021 . - p. 397-403. Langues : Français (fre) in Hygiènes > Vol. 29, n°6 (Décembre 2021) . - p. 397-403 Catégories : Alpha A:Antisepsie ; A:Asepsie ; D:Désinfection ; E:Etude scientifique ; P:Peau Résumé : Introduction. L’activité in vivo des antiseptiques diffère de celle in vitro. Nous proposons de réaliser sept procédures d’antisepsie sur des lambeaux de peau de porc pour comparer l’efficacité de procédures incluant une détersion cutanée à celles sans détersion, et comparer l’efficacité d’antiseptiques commercialisés sous des formes différentes. Méthode. Chaque procédure d’antisepsie est appliquée sur trois lambeaux de peau de porc, chacun comprenant une zone témoin distincte de la zone d’antisepsie qui permet d’estimer la charge bactérienne initiale. Chaque antiseptique est appliqué selon la technique « d’aller-retour » ; les prélèvements sur les zones témoin et d’antisepsie sont réalisés par empreintes gélosées ; les milieux de culture sont incubés 24 heures à 30 °C. Les colonies bactériennes formées y sont ensuite dénombrées et les réductions de charge bactérienne (antisepsie versus témoin) sont comparées d’une procédure à l’autre. Résultats. La solution unidose de chlorhexidine à 2% et d’alcool isopropylique à 70%, avec ou sans le dispositif d’application cutanée, permet une diminution moyenne de la charge bactérienne initiale de 2,3 log et de 2,5 log. La solution multidose de chlorhexidine à 2% et d’alcool isopropylique à 70% permet une diminution moyenne de 3,1 log. Cette diminution est plus importante que pour les procédures incluant une phase de détersion et que celles recourant à des antiseptiques iodés. Discussion/Conclusion. Suite à ces résultats, il est envisagé de remplacer, dans les services de soins, l’antiseptique à base de chlorhexidine à 0,25%, benzalkonium à 0,025% et alcool benzylique à 4% par les produits ayant la plus forte activité selon notre procédure d’essais. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=49089

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L’infirmière et l’utilisation du Picc Line / Tania Fersing in La revue de l'infirmière, Vol. 72, n° 292 (Juin 2023)

Public ISBD [article]  inLa revue de l'infirmière > Vol. 72, n° 292 (Juin 2023) . - p. 41-42 Titre : L’infirmière et l’utilisation du Picc Line Type de document : texte imprimé Auteurs : Tania Fersing Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 41-42 Note générale : https://doi.org/10.1016/j.revinf.2023.05.011 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha C:Cathéter central à insertion périphérique (PICC) ; C:Complication ; H:Hygiène hospitalière ; R:Risque infectieux ; S:Sécurité ; V:Valve bidirectionnelle Résumé : Le Picc Line (Peripherally Inserted Central Catheter) est un cathéter veineux central inséré par voie périphérique. Tous les infirmiers n’ont pas eu de formations spécifiques sur l’utilisation de ce dispositif qui présente plusieurs particularités comme son système de fixation sans fil, et l’usage de valves bidirectionnelles. Les complications notamment infectieuses étant fréquentes, il est nécessaire que les professionnels connaissent bien les contraintes liées à l’usage de ce dispositif pour la sécurité du patient. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=52479 [article] L’infirmière et l’utilisation du Picc Line [texte imprimé] / Tania Fersing . - 2023 . - p. 41-42. https://doi.org/10.1016/j.revinf.2023.05.011 Langues : Français (fre) in La revue de l'infirmière > Vol. 72, n° 292 (Juin 2023) . - p. 41-42 Catégories : Alpha C:Cathéter central à insertion périphérique (PICC) ; C:Complication ; H:Hygiène hospitalière ; R:Risque infectieux ; S:Sécurité ; V:Valve bidirectionnelle Résumé : Le Picc Line (Peripherally Inserted Central Catheter) est un cathéter veineux central inséré par voie périphérique. Tous les infirmiers n’ont pas eu de formations spécifiques sur l’utilisation de ce dispositif qui présente plusieurs particularités comme son système de fixation sans fil, et l’usage de valves bidirectionnelles. Les complications notamment infectieuses étant fréquentes, il est nécessaire que les professionnels connaissent bien les contraintes liées à l’usage de ce dispositif pour la sécurité du patient. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=52479

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M006674	REV	Revue	Mouscron	Soins Infirmiers (M)	Disponible
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Mesurer l’acceptabilité des produits avant de choisir une solution hydro-alcoolique - Retour d’expérience du centre hospitalier de Haguenau / Olivier Meunier ; Tania Fersing ; Catherine Klein-Mangeon ; Sandrine Burger ; Catherine Hanssen in Hygiènes, Vol. XXXI, n°4 (Septembre 2023)

Public ISBD [article]  inHygiènes > Vol. XXXI, n°4 (Septembre 2023) . - p. 308-317 Titre : Mesurer l’acceptabilité des produits avant de choisir une solution hydro-alcoolique - Retour d’expérience du centre hospitalier de Haguenau Type de document : texte imprimé Auteurs : Olivier Meunier, Auteur ; Tania Fersing, Auteur ; Catherine Klein-Mangeon, Auteur ; Sandrine Burger, Auteur ; Catherine Hanssen, Auteur Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 308-317 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha A:Acceptation ; E:Expérimentation ; H:Hygiène des mains ; P:Professionnel de santé ; S:Satisfaction ; S:Solution hydroalcoolique ; T:Tolérance Résumé : Le choix des solutions hydro-alcooliques (SHA) pour l’hygiène des mains dans un établissement de santé est primordial : un produit non accepté par les professionnels risque de les voir s’en détourner au profit de l’usage délétère de l’eau et du savon, d’une perte d’efficacité dans la rupture des chaînes de transmission de micro-organismes pathogènes et d’une chute de la consommation de SHA. Nous avons fait essayer de nouvelles SHA aux professionnels de santé de notre hôpital durant de longues périodes pour recueillir leur avis, mesurer les éventuels effets délétères des produits sur la peau des mains, et les interroger sur l’acceptabilité de ces produits dans le but de les proposer lors des prochains appels d’offres. Trois SHA différentes ont été testées dans trois services volontaires. La SHA habituelle y a été remplacée pendant huit semaines par les SHA à tester. L’avis des professionnels a été recueilli par un enquêteur sur la base d’un questionnaire, avant le changement et huit semaines après l’usage exclusif de la SHA testée. Les réponses ont été exploitées par l’EOH. Si les trois SHA testées obtiennent des notes satisfaisantes et l’approbation de la majorité des professionnels interrogés, une des trois solutions est particulièrement appréciée. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=53056 [article] Mesurer l’acceptabilité des produits avant de choisir une solution hydro-alcoolique - Retour d’expérience du centre hospitalier de Haguenau [texte imprimé] / Olivier Meunier, Auteur ; Tania Fersing, Auteur ; Catherine Klein-Mangeon, Auteur ; Sandrine Burger, Auteur ; Catherine Hanssen, Auteur . - 2023 . - p. 308-317. Langues : Français (fre) in Hygiènes > Vol. XXXI, n°4 (Septembre 2023) . - p. 308-317 Catégories : Alpha A:Acceptation ; E:Expérimentation ; H:Hygiène des mains ; P:Professionnel de santé ; S:Satisfaction ; S:Solution hydroalcoolique ; T:Tolérance Résumé : Le choix des solutions hydro-alcooliques (SHA) pour l’hygiène des mains dans un établissement de santé est primordial : un produit non accepté par les professionnels risque de les voir s’en détourner au profit de l’usage délétère de l’eau et du savon, d’une perte d’efficacité dans la rupture des chaînes de transmission de micro-organismes pathogènes et d’une chute de la consommation de SHA. Nous avons fait essayer de nouvelles SHA aux professionnels de santé de notre hôpital durant de longues périodes pour recueillir leur avis, mesurer les éventuels effets délétères des produits sur la peau des mains, et les interroger sur l’acceptabilité de ces produits dans le but de les proposer lors des prochains appels d’offres. Trois SHA différentes ont été testées dans trois services volontaires. La SHA habituelle y a été remplacée pendant huit semaines par les SHA à tester. L’avis des professionnels a été recueilli par un enquêteur sur la base d’un questionnaire, avant le changement et huit semaines après l’usage exclusif de la SHA testée. Les réponses ont été exploitées par l’EOH. Si les trois SHA testées obtiennent des notes satisfaisantes et l’approbation de la majorité des professionnels interrogés, une des trois solutions est particulièrement appréciée. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=53056

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La perception du risque et l’évaluation de la confiance dans les mesures barrière des professionnels de santé / Olivier Meunier in Soins, n°862 (Janvier-février 2022)

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Surveillance des PICC line à l’hôpital dans une démarche d’amélioration de la qualité des soins / Tania Fersing ; Mohamed Boursas ; Jennifer Littel ; Catherine Hanssen ; Olivier Meunier in Soins, Vol. 68, n°872 (Janvier - Février 2023)

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