L'aide informelle en maison de retraite avant la pandémie de Covid-19 / Lucas Jeanneau ; Quitterie Roquebert ; Marianne Tenand in Gérontologie et Société, Vol. 44, n°168 (Octobre 2022)

Public ISBD [article]  inGérontologie et Société > Vol. 44, n°168 (Octobre 2022) . - p.35-61 Titre : L'aide informelle en maison de retraite avant la pandémie de Covid-19 Type de document : texte imprimé Auteurs : Lucas Jeanneau, Auteur ; Quitterie Roquebert, Auteur ; Marianne Tenand, Auteur Année de publication : 2022 Article en page(s) : p.35-61 Note générale : DOI : 10.3917/gs1.pr1.0006 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha A:Aidance ; A:Aide ; C:Covid-19 ; L:Lien social ; M:Maison de repos et de soins ; P:Pandémie ; V:Vieillissement Résumé : Durant la pandémie de Covid-19, les visites en maisons de retraite ont fait l’objet de restrictions. De telles mesures sont susceptibles d’affecter le bien-être des résidents, en les privant notamment de l’aide apportée par leurs proches. On dispose cependant de peu d’éléments quantitatifs sur l’aide fournie par les proches aux personnes en institution. Cet article étudie l’importance, les modalités et les déterminants de l’aide informelle en maison de retraite hors contexte épidémique, en s’appuyant sur un échantillon représentatif de la population française de plus de 60 ans vivant en établissement pour personnes âgées (N=3223), issu de l’enquête CARE (2016). Sur la base de ces éléments, l’article discute ensuite des implications de l’interdiction des visites dans le contexte de la Covid-19. Plus de 80 % des résidents reçoivent une aide informelle. Celle-ci porte sur les activités de la vie quotidienne (en particulier les tâches administratives et les activités en lien avec la mobilité) pour les 3/4 des résidents, et s’accompagne généralement d’un soutien moral. La probabilité qu’un résident bénéficie d’une aide informelle dépend largement du fait qu’il ait des proches en vie, ainsi que de son âge et de son état de santé. L’interdiction des visites est susceptible d’affecter le bien-être des résidents et de nuire à leur santé physique et mentale. Cette dimension est à prendre en compte dans l’évaluation des coûts et des bénéfices associés aux restrictions sur les visites aux résidents. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=50873 [article] L'aide informelle en maison de retraite avant la pandémie de Covid-19 [texte imprimé] / Lucas Jeanneau, Auteur ; Quitterie Roquebert, Auteur ; Marianne Tenand, Auteur . - 2022 . - p.35-61. DOI : 10.3917/gs1.pr1.0006 Langues : Français (fre) in Gérontologie et Société > Vol. 44, n°168 (Octobre 2022) . - p.35-61 Catégories : Alpha A:Aidance ; A:Aide ; C:Covid-19 ; L:Lien social ; M:Maison de repos et de soins ; P:Pandémie ; V:Vieillissement Résumé : Durant la pandémie de Covid-19, les visites en maisons de retraite ont fait l’objet de restrictions. De telles mesures sont susceptibles d’affecter le bien-être des résidents, en les privant notamment de l’aide apportée par leurs proches. On dispose cependant de peu d’éléments quantitatifs sur l’aide fournie par les proches aux personnes en institution. Cet article étudie l’importance, les modalités et les déterminants de l’aide informelle en maison de retraite hors contexte épidémique, en s’appuyant sur un échantillon représentatif de la population française de plus de 60 ans vivant en établissement pour personnes âgées (N=3223), issu de l’enquête CARE (2016). Sur la base de ces éléments, l’article discute ensuite des implications de l’interdiction des visites dans le contexte de la Covid-19. Plus de 80 % des résidents reçoivent une aide informelle. Celle-ci porte sur les activités de la vie quotidienne (en particulier les tâches administratives et les activités en lien avec la mobilité) pour les 3/4 des résidents, et s’accompagne généralement d’un soutien moral. La probabilité qu’un résident bénéficie d’une aide informelle dépend largement du fait qu’il ait des proches en vie, ainsi que de son âge et de son état de santé. L’interdiction des visites est susceptible d’affecter le bien-être des résidents et de nuire à leur santé physique et mentale. Cette dimension est à prendre en compte dans l’évaluation des coûts et des bénéfices associés aux restrictions sur les visites aux résidents. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=50873

Exemplaires (1)

Code-barres	Cote	Support	Localisation	Section	Disponibilité
T009715	GER	Revue	Tournai	Soins infirmiers (T)	Disponible

Encourager le maintien à domicile par des financements alternatifs : le cas néerlandais / Marianne Tenand ; Arjen Hussem ; Pieter Bakx in Gérontologie et Société, Vol. 43, n°165 (2021)

Public ISBD [article]  inGérontologie et Société > Vol. 43, n°165 (2021) . - p. 287-304 Titre : Encourager le maintien à domicile par des financements alternatifs : le cas néerlandais Type de document : texte imprimé Auteurs : Marianne Tenand ; Arjen Hussem ; Pieter Bakx Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 287-304 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha D:Dépendance (autonomie) ; E:Equité ; F:Financement ; M:Maintien à domicile ; P:Pays-Bas ; S:Santé publique ; V:Vieillissement Résumé : Libre choix, maintien à domicile, accessibilité financière et maîtrise des dépenses publiques sont au cœur des débats sur la prise en charge de la dépendance. Afin de mieux concilier ces objectifs, les Pays-Bas ont développé de nouvelles prestations dépendance : les forfaits à domicile (VPT et MPT) et les prestations monétaires (PGB). En principe, ces prestations permettent à la personne âgée de bénéficier d’une prise en charge globale à son domicile. Le rôle joué par ces nouvelles options de prise en charge est à ce jour peu documenté. Cet article explique leur fonctionnement, notamment du point de vue du partage des coûts entre puissance publique et bénéficiaire, et mobilise différentes sources statistiques (données administratives individuelles et données agrégées) pour éclairer les développements récents. Davantage mobilisés par les moins dépendants mais aussi par les bénéficiaires les plus aisés, ces financements semblent contribuer autant au maintien à domicile qu’au développement d’établissements non conventionnés. Si ces nouvelles prestations favorisent des formes résidentielles intermédiaires et pourraient dégager des marges budgétaires, elles pourraient également remettre en cause l’équité dans la prise en charge et dans son financement qui sous-tend l’assurance sociale dépendance néerlandaise. Le cas des Pays-Bas fournit une illustration de la difficulté à mettre au point des dispositifs permettant de concilier libre choix et universalité de la prise en charge. Note de contenu : https://doi.org/10.3917/gs1.165.0287 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=48106 [article] Encourager le maintien à domicile par des financements alternatifs : le cas néerlandais [texte imprimé] / Marianne Tenand ; Arjen Hussem ; Pieter Bakx . - 2021 . - p. 287-304. Langues : Français (fre) in Gérontologie et Société > Vol. 43, n°165 (2021) . - p. 287-304 Catégories : Alpha D:Dépendance (autonomie) ; E:Equité ; F:Financement ; M:Maintien à domicile ; P:Pays-Bas ; S:Santé publique ; V:Vieillissement Résumé : Libre choix, maintien à domicile, accessibilité financière et maîtrise des dépenses publiques sont au cœur des débats sur la prise en charge de la dépendance. Afin de mieux concilier ces objectifs, les Pays-Bas ont développé de nouvelles prestations dépendance : les forfaits à domicile (VPT et MPT) et les prestations monétaires (PGB). En principe, ces prestations permettent à la personne âgée de bénéficier d’une prise en charge globale à son domicile. Le rôle joué par ces nouvelles options de prise en charge est à ce jour peu documenté. Cet article explique leur fonctionnement, notamment du point de vue du partage des coûts entre puissance publique et bénéficiaire, et mobilise différentes sources statistiques (données administratives individuelles et données agrégées) pour éclairer les développements récents. Davantage mobilisés par les moins dépendants mais aussi par les bénéficiaires les plus aisés, ces financements semblent contribuer autant au maintien à domicile qu’au développement d’établissements non conventionnés. Si ces nouvelles prestations favorisent des formes résidentielles intermédiaires et pourraient dégager des marges budgétaires, elles pourraient également remettre en cause l’équité dans la prise en charge et dans son financement qui sous-tend l’assurance sociale dépendance néerlandaise. Le cas des Pays-Bas fournit une illustration de la difficulté à mettre au point des dispositifs permettant de concilier libre choix et universalité de la prise en charge. Note de contenu : https://doi.org/10.3917/gs1.165.0287 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=48106

Exemplaires (1)

Code-barres	Cote	Support	Localisation	Section	Disponibilité
T009283	GER	Revue	Tournai	Soins infirmiers (T)	Disponible

---

1 (1 - 2 / 2)