Centre de Documentation HELHa Tournai - Mouscron
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Semaine du 18/11 à Tournai : Fermé mardi 19/11 en après-midi et jeudi 21/11 en matinée. Fermé mercredi à 17h00. Fermé vendredi entre 12 et 13h00.
Semaine du 25/11 à Tournai : Fermé vendredi 29/11 en matinée.
Semaine du 02/12 à Tournai : Horaire habituel.
Semaine du 18/11 à Mouscron : Horaire habituel
Semaine du 25/11 à Mouscron : Lundi: ouverture à 10h30.
Semaine du 11/11 à Mouscron : Fermé lundi (armistice)
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Auteur I. Npochinto Moumeni |
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Plasticité cérébrale : régénération ? réparation ? réorganisation ? ou compensation ? Que savons-nous aujourd’hui ? / I. Npochinto Moumeni in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie), Vol. 21, n° 124 (Août 2021)
[article]
Titre : Plasticité cérébrale : régénération ? réparation ? réorganisation ? ou compensation ? Que savons-nous aujourd’hui ? Type de document : texte imprimé Auteurs : I. Npochinto Moumeni Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 213-226 Note générale : Cet article fait partie du dossier "Rééducation".
Doi : 10.1016/j.npg.2020.11.002Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Accident Vasculaire Cérébral Hémorragique ; C:Cerveau ; N:Neurone ; P:Plasticité cérébrale ; R:Rééducation et réadaptation ; R:RéhabilitationRésumé : À la suite d’une lésion cérébrale, le tissu nerveux n’a qu’une capacité limitée de se modifier, se renouveler et se réparer. À la différence de nombreux autres organes, le système nerveux humain ne produit pas de grandes quantités de nouveaux neurones, néanmoins un certain degré d’adaptation du système nerveux est possible. Le modeste potentiel de récupération observé après lésion cérébrale, s’il y a récupération, est attribué à la « réorganisation » des fonctions utilisant les circuits sains restant plutôt qu’à la réparation du tissu lésé. On observe trois types d’ajustement cellulaire après lésion. Le premier, et le plus efficace, est la réorganisation fonctionnelle des neurones et des circuits qui ont survécu durant avec une repousse des axones qui rétablissent les synapses. Le deuxième type de réparation, beaucoup plus limité est la gémination locale ou l’extension plus longue des axones et des dendrites au sein des lésions traumatiques. Les principaux obstacles à cette gémination sont la cicatrice gliale et la mort des neurones endommagés (déprivation trophique, stress, cytokines libérées) pendant la période inflammatoire. Le dernier est la génération (régénération). Une telle neurogénèse chez l’adulte se produit rarement et ses mécanismes sont très controversés. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=47454
in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > Vol. 21, n° 124 (Août 2021) . - p. 213-226[article] Plasticité cérébrale : régénération ? réparation ? réorganisation ? ou compensation ? Que savons-nous aujourd’hui ? [texte imprimé] / I. Npochinto Moumeni . - 2021 . - p. 213-226.
Cet article fait partie du dossier "Rééducation".
Doi : 10.1016/j.npg.2020.11.002
Langues : Français (fre)
in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > Vol. 21, n° 124 (Août 2021) . - p. 213-226
Catégories : Alpha
A:Accident Vasculaire Cérébral Hémorragique ; C:Cerveau ; N:Neurone ; P:Plasticité cérébrale ; R:Rééducation et réadaptation ; R:RéhabilitationRésumé : À la suite d’une lésion cérébrale, le tissu nerveux n’a qu’une capacité limitée de se modifier, se renouveler et se réparer. À la différence de nombreux autres organes, le système nerveux humain ne produit pas de grandes quantités de nouveaux neurones, néanmoins un certain degré d’adaptation du système nerveux est possible. Le modeste potentiel de récupération observé après lésion cérébrale, s’il y a récupération, est attribué à la « réorganisation » des fonctions utilisant les circuits sains restant plutôt qu’à la réparation du tissu lésé. On observe trois types d’ajustement cellulaire après lésion. Le premier, et le plus efficace, est la réorganisation fonctionnelle des neurones et des circuits qui ont survécu durant avec une repousse des axones qui rétablissent les synapses. Le deuxième type de réparation, beaucoup plus limité est la gémination locale ou l’extension plus longue des axones et des dendrites au sein des lésions traumatiques. Les principaux obstacles à cette gémination sont la cicatrice gliale et la mort des neurones endommagés (déprivation trophique, stress, cytokines libérées) pendant la période inflammatoire. Le dernier est la génération (régénération). Une telle neurogénèse chez l’adulte se produit rarement et ses mécanismes sont très controversés. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=47454 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T009200 NPG Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Plasticité musculaire et traitement physique dans la parésie spastique déformante : physiopathologie de la sous-utilisation et réversibilité par le réentrainement intensif / I. Npochinto Moumeni in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie), Vol. 21, n° 124 (Août 2021)
[article]
Titre : Plasticité musculaire et traitement physique dans la parésie spastique déformante : physiopathologie de la sous-utilisation et réversibilité par le réentrainement intensif Type de document : texte imprimé Auteurs : I. Npochinto Moumeni ; Y. Njankouo Mapoure ; J.-M. Gracies ; E. Moyse ; M. Temgoua ; J.P. Moulangou Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 227-242 Note générale : Cet article fait partie du dossier "Rééducation".
Doi : 10.1016/j.npg.2021.03.003Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Accident vasculaire cérébral ; A:Atteinte motrice ; P:Parésie ; R:Rééducation et réadaptation ; R:RéversibilitéRésumé : Un des problèmes majeurs des patients ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) est la déformation corporelle. Ces patients acceptent plus facilement d’avoir une motricité et une fonctionnalité diminuées que d’avoir un corps déformé. Ils ne consultent pas en raison de la spasticité mais ils viennent se plaindre de raideur, déformations, limitations des capacités fonctionnelles, inconfort, et/ou douleur. L’objectif principal de la réadaptation après un AVC est de restaurer l’indépendance des patients dans leurs activités de vie quotidienne. S’il est vrai que les AVC laissent un contexte de vulnérabilité motrice de type parésie, il n’en est pas moins vrai que la sous-utilisation aggrave cet état et initie une autre pathologie locale sous-jacente, la myopathie spastique, qui apparaît dès les premiers jours post-AVC, et centrale, la dégénérescence neuronale, par une réorganisation des circuits afférents (plasticité mal adaptative) qui augmente la déficience motrice primaire. Ce mécanisme entraîne la parésie spastique déformante qui est réversible à partir du moment où l’on commence à utiliser activement le côté lésé. Les traitements par les exercices ou les thérapies physiques sont plus efficaces que les traitements pharmacologiques lorsqu’il s’agit de la récupération motrice, du maintien ou des adaptations des capacités fonctionnelles des personnes en générale, et des cérébrolésés en particulier. C’est pourquoi il est nécessaire, à côté des traitements pharmacologiques, de proposer une quantité plus importante de traitements physiques focaux des muscles cibles (les antagonistes) par des techniques d’étirement agressif, prolongé, activo-dynamique et des mouvements alternatifs d’amplitude maximale, tant en cabinet avec le patient, qu’à domicile (via un contrat d’auto-rééducation guidée et un registre) afin de non seulement briser le cercle néfaste de la sous-utilisation acquise après un AVC, mais aussi de vaincre ces déformations corporelles inesthétiques qui créent parfois du désespoir dans la vie sociale et professionnelle de ces patients. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=47455
in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > Vol. 21, n° 124 (Août 2021) . - p. 227-242[article] Plasticité musculaire et traitement physique dans la parésie spastique déformante : physiopathologie de la sous-utilisation et réversibilité par le réentrainement intensif [texte imprimé] / I. Npochinto Moumeni ; Y. Njankouo Mapoure ; J.-M. Gracies ; E. Moyse ; M. Temgoua ; J.P. Moulangou . - 2021 . - p. 227-242.
Cet article fait partie du dossier "Rééducation".
Doi : 10.1016/j.npg.2021.03.003
Langues : Français (fre)
in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > Vol. 21, n° 124 (Août 2021) . - p. 227-242
Catégories : Alpha
A:Accident vasculaire cérébral ; A:Atteinte motrice ; P:Parésie ; R:Rééducation et réadaptation ; R:RéversibilitéRésumé : Un des problèmes majeurs des patients ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) est la déformation corporelle. Ces patients acceptent plus facilement d’avoir une motricité et une fonctionnalité diminuées que d’avoir un corps déformé. Ils ne consultent pas en raison de la spasticité mais ils viennent se plaindre de raideur, déformations, limitations des capacités fonctionnelles, inconfort, et/ou douleur. L’objectif principal de la réadaptation après un AVC est de restaurer l’indépendance des patients dans leurs activités de vie quotidienne. S’il est vrai que les AVC laissent un contexte de vulnérabilité motrice de type parésie, il n’en est pas moins vrai que la sous-utilisation aggrave cet état et initie une autre pathologie locale sous-jacente, la myopathie spastique, qui apparaît dès les premiers jours post-AVC, et centrale, la dégénérescence neuronale, par une réorganisation des circuits afférents (plasticité mal adaptative) qui augmente la déficience motrice primaire. Ce mécanisme entraîne la parésie spastique déformante qui est réversible à partir du moment où l’on commence à utiliser activement le côté lésé. Les traitements par les exercices ou les thérapies physiques sont plus efficaces que les traitements pharmacologiques lorsqu’il s’agit de la récupération motrice, du maintien ou des adaptations des capacités fonctionnelles des personnes en générale, et des cérébrolésés en particulier. C’est pourquoi il est nécessaire, à côté des traitements pharmacologiques, de proposer une quantité plus importante de traitements physiques focaux des muscles cibles (les antagonistes) par des techniques d’étirement agressif, prolongé, activo-dynamique et des mouvements alternatifs d’amplitude maximale, tant en cabinet avec le patient, qu’à domicile (via un contrat d’auto-rééducation guidée et un registre) afin de non seulement briser le cercle néfaste de la sous-utilisation acquise après un AVC, mais aussi de vaincre ces déformations corporelles inesthétiques qui créent parfois du désespoir dans la vie sociale et professionnelle de ces patients. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=47455 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T009200 NPG Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible