Centre de Documentation HELHa Tournai - Mouscron
Heures d'ouverture (période scolaire)
Après identification sur connected (ID et mot de passe), les membres de la Helha ont l'accès à Cinahl et à Cairn en passant par l'onglet "Bases de données" de ce catalogue et en cliquant sur le lien d'accès.
Tournai | Mouscron |
- lundi : 9h30-12h30 et 13h00-17h00 - mardi: 9h00-12h30 et 13h00-17h00 - mercredi: 9h00-12h30 et 13h00-17h30 - jeudi: 9h00-12h30 et 13h00-17h00 - vendredi: 09h00-17h00 | - lundi: 9h00 à 12h30 et 13h00 à 17h15 - mardi: 13h00 à 17h15 - mercredi: 13h00 à 17h15 - jeudi : 13h00 à 17h15 - vendredi: 13h00 à 17h00 |
Semaine du 18/11 à Tournai : Fermé mardi 19/11 en après-midi et jeudi 21/11 en matinée. Fermé mercredi à 17h00. Fermé vendredi entre 12 et 13h00.
Semaine du 25/11 à Tournai : Fermé vendredi 29/11 en matinée.
Semaine du 02/12 à Tournai : Horaire habituel.
Semaine du 18/11 à Mouscron : Horaire habituel
Semaine du 25/11 à Mouscron : Lundi: ouverture à 10h30.
Semaine du 11/11 à Mouscron : Fermé lundi (armistice)
Détail de l'auteur
Auteur Catherine Chenu |
Documents disponibles écrits par cet auteur
Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche
L’activité physique: un traitement scientifiquement démontré face à l’obésité, la dépression, le diabète / Catherine Chenu in La santé en action, 456 (Juin 2021)
[article]
Titre : L’activité physique: un traitement scientifiquement démontré face à l’obésité, la dépression, le diabète Type de document : texte imprimé Auteurs : Catherine Chenu ; Laurent Fleury ; Groupe de l’expertise collective INSERM Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 50-53 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Activité physique ; B:Bénéfice thérapeutique ; D:Dépression ; D:Diabète ; O:Obésité ; S:SantéRésumé : Dans de nombreuses pathologies chroniques, le repos a longtemps été la règle, mais on assiste aujourd’hui à un véritable changement de paradigme : les études scientifiques montrent que l’activité physique (AP) a des effets bénéfiques indiscutables chez les personnes atteintes de maladies chroniques. Ces bénéfices sont d’autant plus importants qu’elle est introduite tôt après le diagnostic. En conséquence, l’activité physique – même chez des malades à des stades avancés de leurs maladies – doit faire partie intégrante du traitement des maladies chroniques.Sa prescription devrait être systématique et aussi précoce que possible dans le parcours de soins de chacune des pathologies étudiées. Plus impressionnant encore, la littérature scientifique démontre désormais avec certitude que certaines pathologies peuvent être guéries par la seule pratique de l’AP à condition qu’elle soit adoptée par le patient de façon pérenne.L’expertise de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) recommande que l’activité physique soit prescrite avant tout traitement médicamenteux, c’est‑à‑dire en première intention pour la dépression légère à modérée,le diabète de type 2, l’obésité et l’artériopathie oblitérante des membres inférieurs. En ligne : https://www.santepubliquefrance.fr/docs/la-sante-en-action-juin-2021-n-456-sante [...] Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=47146
in La santé en action > 456 (Juin 2021) . - p. 50-53[article] L’activité physique: un traitement scientifiquement démontré face à l’obésité, la dépression, le diabète [texte imprimé] / Catherine Chenu ; Laurent Fleury ; Groupe de l’expertise collective INSERM . - 2021 . - p. 50-53.
Langues : Français (fre)
in La santé en action > 456 (Juin 2021) . - p. 50-53
Catégories : Alpha
A:Activité physique ; B:Bénéfice thérapeutique ; D:Dépression ; D:Diabète ; O:Obésité ; S:SantéRésumé : Dans de nombreuses pathologies chroniques, le repos a longtemps été la règle, mais on assiste aujourd’hui à un véritable changement de paradigme : les études scientifiques montrent que l’activité physique (AP) a des effets bénéfiques indiscutables chez les personnes atteintes de maladies chroniques. Ces bénéfices sont d’autant plus importants qu’elle est introduite tôt après le diagnostic. En conséquence, l’activité physique – même chez des malades à des stades avancés de leurs maladies – doit faire partie intégrante du traitement des maladies chroniques.Sa prescription devrait être systématique et aussi précoce que possible dans le parcours de soins de chacune des pathologies étudiées. Plus impressionnant encore, la littérature scientifique démontre désormais avec certitude que certaines pathologies peuvent être guéries par la seule pratique de l’AP à condition qu’elle soit adoptée par le patient de façon pérenne.L’expertise de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) recommande que l’activité physique soit prescrite avant tout traitement médicamenteux, c’est‑à‑dire en première intention pour la dépression légère à modérée,le diabète de type 2, l’obésité et l’artériopathie oblitérante des membres inférieurs. En ligne : https://www.santepubliquefrance.fr/docs/la-sante-en-action-juin-2021-n-456-sante [...] Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=47146 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M006081 SAN Revue Mouscron Soins Infirmiers (M) Disponible