Centre de Documentation HELHa Tournai - Mouscron
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Tournai | Mouscron |
- lundi : 9h30-12h30 et 13h00-17h00 - mardi: 9h00-12h30 et 13h00-17h00 - mercredi: 9h00-12h30 et 13h00-17h30 - jeudi: 9h00-12h30 et 13h00-17h00 - vendredi: 09h00-17h00 | - lundi: 9h00 à 12h30 et 13h00 à 17h15 - mardi: 13h00 à 17h15 - mercredi: 13h00 à 17h15 - jeudi : 13h00 à 17h15 - vendredi: 13h00 à 17h00 |
Semaine du 18/11 à Tournai : Fermé mardi 19/11 en après-midi et jeudi 21/11 en matinée. Fermé mercredi à 17h00. Fermé vendredi entre 12 et 13h00.
Semaine du 25/11 à Tournai : Fermé vendredi 29/11 en matinée.
Semaine du 02/12 à Tournai : Horaire habituel.
Semaine du 18/11 à Mouscron : Horaire habituel
Semaine du 25/11 à Mouscron : Lundi: ouverture à 10h30.
Semaine du 11/11 à Mouscron : Fermé lundi (armistice)
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Auteur Sante mentale |
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" Je ne peux plus faire comme si je n'étais pas malade... " / Sante mentale in Santé Mentale, 258 (Mai 2021)
[article]
Titre : " Je ne peux plus faire comme si je n'étais pas malade... " Type de document : texte imprimé Auteurs : Sante mentale ; Charlotte Yonga, Personne interviewée Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 50-53 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
T:Témoignage ; T:Trouble bipolaireRésumé : La photographe Charlotte Yonga, qui illustre ce numéro, souffre d’un trouble bipolaire, « une maladie qui affecte les relations, et précisément celles qui sauvent ». Elle revient sur son parcours, l’importance du soutien de ses proches, et sa récente maternité.
• À 19 ans, vous découvrez que vous souffrez d’un trouble bipolaire. Comment avez-vous vécu ce moment-là?
À l’époque, je termine une année universitaire en histoire de l’art à Poitiers, où je n’ai pas réussi à prendre mes marques. C’est une année de transition, la première hors du foyer familial. Je veux m’orienter en école d’art, si possible à Paris. Après des partiels, je m’y rends et rencontre une bande de jeunes franco-brésiliens de mon âge, fraîchement arrivés de Sao Paolo pour faire leurs études en France. Leur culture et leur rapport à la nature, à la fête et à l’amitié me fascinent. C’est une période de ma vie libre, joyeuse et sans contrainte. Je ne saurais pas dire exactement quand commence la crise. Lorsque je retourne chez ma mère, dans une petite ville, je montre une spontanéité nouvelle qui semble surprendre autour de moi. Je ressens comme des élans d’intuition, d’inspiration et une sorte de connexion avec la nature.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=46926
in Santé Mentale > 258 (Mai 2021) . - p. 50-53[article] " Je ne peux plus faire comme si je n'étais pas malade... " [texte imprimé] / Sante mentale ; Charlotte Yonga, Personne interviewée . - 2021 . - p. 50-53.
Langues : Français (fre)
in Santé Mentale > 258 (Mai 2021) . - p. 50-53
Catégories : Alpha
T:Témoignage ; T:Trouble bipolaireRésumé : La photographe Charlotte Yonga, qui illustre ce numéro, souffre d’un trouble bipolaire, « une maladie qui affecte les relations, et précisément celles qui sauvent ». Elle revient sur son parcours, l’importance du soutien de ses proches, et sa récente maternité.
• À 19 ans, vous découvrez que vous souffrez d’un trouble bipolaire. Comment avez-vous vécu ce moment-là?
À l’époque, je termine une année universitaire en histoire de l’art à Poitiers, où je n’ai pas réussi à prendre mes marques. C’est une année de transition, la première hors du foyer familial. Je veux m’orienter en école d’art, si possible à Paris. Après des partiels, je m’y rends et rencontre une bande de jeunes franco-brésiliens de mon âge, fraîchement arrivés de Sao Paolo pour faire leurs études en France. Leur culture et leur rapport à la nature, à la fête et à l’amitié me fascinent. C’est une période de ma vie libre, joyeuse et sans contrainte. Je ne saurais pas dire exactement quand commence la crise. Lorsque je retourne chez ma mère, dans une petite ville, je montre une spontanéité nouvelle qui semble surprendre autour de moi. Je ressens comme des élans d’intuition, d’inspiration et une sorte de connexion avec la nature.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=46926 Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M006060 SAN Revue Mouscron Soins Infirmiers (M) Disponible T009123 SAN Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Je veux contribuer à écrire notre histoire / Sante mentale in Santé Mentale, Hors-Série (Août 2022)
[article]
Titre : Je veux contribuer à écrire notre histoire Type de document : texte imprimé Auteurs : Sante mentale ; Benjamin Villeneuve, Personne interviewée Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 39-41 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
D:doctorat en soins infirmiers ; R:Recherche en soins infirmiers ; T:TémoignageRésumé : Comment devient on chercheur en soins infirmiers? Engagé dans un travail de doctorat sur le thème de l’histoire de la profession, Benjamin Villeneuve, infirmier en psychiatrie, revient sur un parcours souvent semé d’embûches mais stimulant.
• Vous êtes un des rares infirmiers français engagé dans un travail de recherche de doctorat. Quel a été votre parcours et qu’est-ce qui a motivé votre engagement dans la recherche?
En 2022, le nombre de doctorants infirmiers reste effectivement relativement modeste en France. Malgré tout, il est de moins en moins rare de trouver des soignants engagés dans des parcours académiques de ce niveau. En revanche, ce qui pose question, c’est de constater que ces études sont menées majoritairement dans le champ des sciences de l’éducation et non celui des sciences infirmières. Dans ce contexte, mon parcours est plus singulier avec un travail de thèse réalisé en sciences infirmières à l’université d’Ottawa (Canada).
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=50076
in Santé Mentale > Hors-Série (Août 2022) . - p. 39-41[article] Je veux contribuer à écrire notre histoire [texte imprimé] / Sante mentale ; Benjamin Villeneuve, Personne interviewée . - 2022 . - p. 39-41.
Langues : Français (fre)
in Santé Mentale > Hors-Série (Août 2022) . - p. 39-41
Catégories : Alpha
D:doctorat en soins infirmiers ; R:Recherche en soins infirmiers ; T:TémoignageRésumé : Comment devient on chercheur en soins infirmiers? Engagé dans un travail de doctorat sur le thème de l’histoire de la profession, Benjamin Villeneuve, infirmier en psychiatrie, revient sur un parcours souvent semé d’embûches mais stimulant.
• Vous êtes un des rares infirmiers français engagé dans un travail de recherche de doctorat. Quel a été votre parcours et qu’est-ce qui a motivé votre engagement dans la recherche?
En 2022, le nombre de doctorants infirmiers reste effectivement relativement modeste en France. Malgré tout, il est de moins en moins rare de trouver des soignants engagés dans des parcours académiques de ce niveau. En revanche, ce qui pose question, c’est de constater que ces études sont menées majoritairement dans le champ des sciences de l’éducation et non celui des sciences infirmières. Dans ce contexte, mon parcours est plus singulier avec un travail de thèse réalisé en sciences infirmières à l’université d’Ottawa (Canada).
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=50076 Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M006324 SAN Revue Mouscron Soins Infirmiers (M) Disponible T009586 SAN Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible