Le cholécalciférol (la vitamine D3) ne doit pas être inclus dans la liste des perturbateurs endocriniens / Jean-Claude Souberbielle ; Justine Bacchetta ; Philippe Chanson ; Bernard Cortet ; Marie Courbebaisse ; Jean-Michel Lecerf ; Agnès Linglart ; Cédric Annweiler in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement, Vol. 20, n°2 (Juin 2022)

Public ISBD [article]  inGériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol. 20, n°2 (Juin 2022) . - p. 151-161 Titre : Le cholécalciférol (la vitamine D3) ne doit pas être inclus dans la liste des perturbateurs endocriniens Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Claude Souberbielle ; Justine Bacchetta ; Philippe Chanson ; Bernard Cortet ; Marie Courbebaisse ; Jean-Michel Lecerf ; Agnès Linglart ; Cédric Annweiler Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 151-161 Note générale : DOI : 10.1684/pnv.2022.1031 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha P:Perturbateur endocrinien ; V:Vitamine D3 (cholécalciférol) Résumé : Un projet d’arrêté ministériel inscrivant le cholécalciférol, c’est-à-dire la vitamine D3 (VD3), dans la liste des perturbateurs endocriniens (PE) est à l’origine de débats en France. L’objectif de notre article était de préciser les arguments scientifiques pour et contre l’inscription de la VD3 dans la liste des PE, qui semble être initialement due à son utilisation à très forte dose comme raticide/rodenticide dans certains pays. Premièrement, le cholécalciférol ne peut être défini comme une substance exogène, terme utilisé dans les différentes définitions des PE, car il est largement synthétisé dans la peau suite à l’exposition aux UVB. Deuxièmement, il n’existe aucune publication dans la base de données PubMed en faveur d’une inscription de la VD3 dans la liste des PE. La requête « vitamin D AND endocrine disruptor » retrouvait 33 références au 10 mars 2022, la plupart évoquant des perturbations du métabolisme de la vitamine D par les PE. Troisièmement, un grand nombre d’études concluent, au contraire, que la VD3 a des effets bénéfiques sur de nombreuses fonctions altérées par les PE. Plus largement, nous alertons sur le fait qu’apprendre que la VD3 pourrait être règlementairement considérée comme un PE pourrait occasionner, auprès du grand public, une défiance vis-à-vis de la supplémentation en vitamine D, ce qui n’est pas souhaitable en termes de santé publique car de nature à aggraver la prévalence déjà trop élevée des individus carencés en vitamine D. Il est encore temps d’éviter cette décision aberrante et non fondée. Note de contenu : Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=49961 [article] Le cholécalciférol (la vitamine D3) ne doit pas être inclus dans la liste des perturbateurs endocriniens [texte imprimé] / Jean-Claude Souberbielle ; Justine Bacchetta ; Philippe Chanson ; Bernard Cortet ; Marie Courbebaisse ; Jean-Michel Lecerf ; Agnès Linglart ; Cédric Annweiler . - 2022 . - p. 151-161. DOI : 10.1684/pnv.2022.1031 Langues : Français (fre) in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol. 20, n°2 (Juin 2022) . - p. 151-161 Catégories : Alpha P:Perturbateur endocrinien ; V:Vitamine D3 (cholécalciférol) Résumé : Un projet d’arrêté ministériel inscrivant le cholécalciférol, c’est-à-dire la vitamine D3 (VD3), dans la liste des perturbateurs endocriniens (PE) est à l’origine de débats en France. L’objectif de notre article était de préciser les arguments scientifiques pour et contre l’inscription de la VD3 dans la liste des PE, qui semble être initialement due à son utilisation à très forte dose comme raticide/rodenticide dans certains pays. Premièrement, le cholécalciférol ne peut être défini comme une substance exogène, terme utilisé dans les différentes définitions des PE, car il est largement synthétisé dans la peau suite à l’exposition aux UVB. Deuxièmement, il n’existe aucune publication dans la base de données PubMed en faveur d’une inscription de la VD3 dans la liste des PE. La requête « vitamin D AND endocrine disruptor » retrouvait 33 références au 10 mars 2022, la plupart évoquant des perturbations du métabolisme de la vitamine D par les PE. Troisièmement, un grand nombre d’études concluent, au contraire, que la VD3 a des effets bénéfiques sur de nombreuses fonctions altérées par les PE. Plus largement, nous alertons sur le fait qu’apprendre que la VD3 pourrait être règlementairement considérée comme un PE pourrait occasionner, auprès du grand public, une défiance vis-à-vis de la supplémentation en vitamine D, ce qui n’est pas souhaitable en termes de santé publique car de nature à aggraver la prévalence déjà trop élevée des individus carencés en vitamine D. Il est encore temps d’éviter cette décision aberrante et non fondée. Note de contenu : Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=49961

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États des lieux sur la relation vitamine D et Covid-19 / Cédric Annweiler in Pratiques en nutrition, Vol.18, n°71 (Juillet-septembre 2022)

Public ISBD [article]  inPratiques en nutrition > Vol.18, n°71 (Juillet-septembre 2022) . - p. 23-25 Titre : États des lieux sur la relation vitamine D et Covid-19 Type de document : texte imprimé Auteurs : Cédric Annweiler ; Jean-Claude Souberbielle Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 23-25 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha C:Covid-19 ; E:Epidémiologie ; I:Inflammation ; P:Prévention ; V:Vitamine D Résumé : La vitamine D module la sécrétion des peptides antimicrobiens et des cytokines anti-inflammatoires ainsi que l’activité du système rénine-angiotensine-aldostérone. Ces effets peuvent prévenir les conséquences de l’orage cytokinique. Les études cliniques montrent, en tenant compte des potentiels facteurs de confusion, que l’hypovitaminose D pourrait constituer un facteur de risque indépendant de forme grave de Covid-19. Quant aux données interventionnelles, elles rapportent que la supplémentation à forte dose limite les formes sévères de la maladie et en améliore, au moins transitoirement, le pronostic vital. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=50009 [article] États des lieux sur la relation vitamine D et Covid-19 [texte imprimé] / Cédric Annweiler ; Jean-Claude Souberbielle . - 2022 . - p. 23-25. Langues : Français (fre) in Pratiques en nutrition > Vol.18, n°71 (Juillet-septembre 2022) . - p. 23-25 Catégories : Alpha C:Covid-19 ; E:Epidémiologie ; I:Inflammation ; P:Prévention ; V:Vitamine D Résumé : La vitamine D module la sécrétion des peptides antimicrobiens et des cytokines anti-inflammatoires ainsi que l’activité du système rénine-angiotensine-aldostérone. Ces effets peuvent prévenir les conséquences de l’orage cytokinique. Les études cliniques montrent, en tenant compte des potentiels facteurs de confusion, que l’hypovitaminose D pourrait constituer un facteur de risque indépendant de forme grave de Covid-19. Quant aux données interventionnelles, elles rapportent que la supplémentation à forte dose limite les formes sévères de la maladie et en améliore, au moins transitoirement, le pronostic vital. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=50009

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Supplémentation en vitamine D et Covid-19 : consensus d’experts et recommandations / Cédric Annweiler in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement, Vol.19, n°1 (Mars 2021)

Public ISBD [article]  inGériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol.19, n°1 (Mars 2021) . - p. 20-29 Titre : Supplémentation en vitamine D et Covid-19 : consensus d’experts et recommandations Type de document : texte imprimé Auteurs : Cédric Annweiler ; Jean-Claude Souberbielle Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 20-29 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha C:Covid-19 ; R:Recommandation ; S:Supplémentation ; V:Vitamine D Résumé : Après 12 mois de circulation virale, le SARS-CoV-2 a infecté des millions de personnes dans le monde, faisant des centaines de milliers de morts. En l’absence de traitement curatif, préventif ou vaccinal efficace et accessible à ce jour contre le Covid-19, recourir à des médicaments déjà existants pourrait aider à enrayer la pandémie. La vitamine D est un candidat possible discuté dans de nombreuses publications. Des essais cliniques randomisés montrent que la supplémentation en vitamine D réduit significativement le risque d’infections respiratoires. Il existe également de nombreux arguments suggérant que l’hypovitaminose D constitue un facteur de risque indépendant (et facilement modifiable) des formes graves de Covid-19 et de mortalité par Covid-19. La supplémentation en vitamine D est une mesure simple, sans risque, peu coûteuse et remboursée par l’assurance maladie, qui est efficace pour corriger l’hypovitaminose D retrouvée chez 40 à 50 % de la population française et chez plus de 80 % des adultes atteints de Covid-19. Dans ce papier de position, nous proposons des schémas simples de supplémentation vitaminique D chez l’adulte en l’absence ou en cas de Covid-19. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=46340 [article] Supplémentation en vitamine D et Covid-19 : consensus d’experts et recommandations [texte imprimé] / Cédric Annweiler ; Jean-Claude Souberbielle . - 2021 . - p. 20-29. Langues : Français (fre) in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol.19, n°1 (Mars 2021) . - p. 20-29 Catégories : Alpha C:Covid-19 ; R:Recommandation ; S:Supplémentation ; V:Vitamine D Résumé : Après 12 mois de circulation virale, le SARS-CoV-2 a infecté des millions de personnes dans le monde, faisant des centaines de milliers de morts. En l’absence de traitement curatif, préventif ou vaccinal efficace et accessible à ce jour contre le Covid-19, recourir à des médicaments déjà existants pourrait aider à enrayer la pandémie. La vitamine D est un candidat possible discuté dans de nombreuses publications. Des essais cliniques randomisés montrent que la supplémentation en vitamine D réduit significativement le risque d’infections respiratoires. Il existe également de nombreux arguments suggérant que l’hypovitaminose D constitue un facteur de risque indépendant (et facilement modifiable) des formes graves de Covid-19 et de mortalité par Covid-19. La supplémentation en vitamine D est une mesure simple, sans risque, peu coûteuse et remboursée par l’assurance maladie, qui est efficace pour corriger l’hypovitaminose D retrouvée chez 40 à 50 % de la population française et chez plus de 80 % des adultes atteints de Covid-19. Dans ce papier de position, nous proposons des schémas simples de supplémentation vitaminique D chez l’adulte en l’absence ou en cas de Covid-19. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=46340

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Supplémentation en vitamine D, en quête de la bonne dose / Jean-Claude Souberbielle in Pratiques en nutrition, Vol.18, n°71 (Juillet-septembre 2022)

Public ISBD [article]  inPratiques en nutrition > Vol.18, n°71 (Juillet-septembre 2022) . - p. 8-13 Titre : Supplémentation en vitamine D, en quête de la bonne dose Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Claude Souberbielle Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 8-13 Note générale : Doi : 10.1016/j.pranut.2022.05.003 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha D:Dosage ; F:Facteur de risque ; S:Supplémentation ; V:Vitamine D Résumé : La supplémentation en vitamine D doit avoir pour but d’obtenir un statut vitaminique D optimal, c’est-à-dire une concentration de 25-hydroxyvitamine D située entre 20 et 60 ng/mL en population générale, et entre 30 et 60 ng/mL chez des patients ostéoporotiques, insuffisants rénaux chroniques, âgés et fragiles, ou souffrant d’une malabsorption. Plusieurs modalités de supplémentation permettent d’atteindre cet objectif. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=50006 [article] Supplémentation en vitamine D, en quête de la bonne dose [texte imprimé] / Jean-Claude Souberbielle . - 2022 . - p. 8-13. Doi : 10.1016/j.pranut.2022.05.003 Langues : Français (fre) in Pratiques en nutrition > Vol.18, n°71 (Juillet-septembre 2022) . - p. 8-13 Catégories : Alpha D:Dosage ; F:Facteur de risque ; S:Supplémentation ; V:Vitamine D Résumé : La supplémentation en vitamine D doit avoir pour but d’obtenir un statut vitaminique D optimal, c’est-à-dire une concentration de 25-hydroxyvitamine D située entre 20 et 60 ng/mL en population générale, et entre 30 et 60 ng/mL chez des patients ostéoporotiques, insuffisants rénaux chroniques, âgés et fragiles, ou souffrant d’une malabsorption. Plusieurs modalités de supplémentation permettent d’atteindre cet objectif. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=50006

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