Centre de Documentation HELHa Tournai - Mouscron
Heures d'ouverture (période scolaire)
Tournai | Mouscron |
- lundi : 9h30-12h30 et 13h00-17h00 - mardi: 9h00-12h30 et 13h00-17h00 - mercredi: 9h00-12h30 et 13h00-17h30 - jeudi: 9h00-12h30 et 13h00-17h00 - vendredi: 09h00-17h00 | - lundi: 9h00 à 12h30 et 13h00 à 17h15 - mardi: 13h00 à 17h15 - mercredi: 13h00 à 17h15 - jeudi : 13h00 à 17h15 - vendredi: 13h00 à 17h00 |
Semaine du 27/01 à Tournai : Fermé mercredi matin. Fermeture à 17h00.
Semaine du 03/02 à Tournai : Horaire habituel.
Semaine du 10/02 à Tournai : Horaire habituel.
Semaine du 27/01 à Mouscron : Fermé lundi 27/01 (réunion)
Semaine du 13/01 à Mouscron : Horaire habituel
Semaine du 20/01 à Mouscron : Horaire habituel
Notre catalogue possède un thésaurus (voir ci-dessous : catégories). Pour effectuer une recherche structurée, nous vous conseillons de cliquer sur la "recherche multi-critères". Dans le menu déroulant, choisissez "Indexations - Catégories", tapez votre terme et sélectionnez-le lorsqu'il apparaît. Pour introduire un 2è terme, renouvelez l'opération (ET). Vous pouvez élargir les résultats en ajoutant des termes proches (OU).
Détail de l'auteur
Auteur Christophe Janssen |
Documents disponibles écrits par cet auteur
Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche
Faut-il être une bonne mère pour être tendre ? / Christophe Janssen in Santé Mentale, 280 (Septembre 2023)
[article]
Titre : Faut-il être une bonne mère pour être tendre ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Christophe Janssen Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 47-51 Note générale : Cet article fait partie du dossier " Pourquoi la tendresse ? ". Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Affect ; C:Contre-transfert ; E:Emotion ; E:Expérience professionnelle ; R:Relation mère-enfant ; R:Relation soignant-soigné ; R:Relation thérapeutique ; T:TendresseRésumé : Tout être humain ayant traversé des expériences de détresse mais aussi de tendresse et de soin procurés par un autre secourable peut spontanément, sans même avoir à y penser, se montrer «suffisamment bon» à l’égard d’autrui en situation de souffrance et de dépendance.
Nous pourrions dire à propos de la tendresse que nous en savons quelque chose sans rien en savoir. C’est-à-dire que nous sommes généralement capables, non pas de nous la représenter, mais de l’éprouver positivement, nous appuyant sur nos expériences, sur nos souvenirs corporels d’avoir été tendre avec autrui ou d’avoir reçu cette tendresse généralement d’un proche. Il se peut aussi que nous éprouvions ce qu’est la tendresse « en négatif », par des souvenirs, tout autant somatopsychiques mais cette fois en creux, où nous en aurions été privés. Considérer que la tendresse s’éprouve dans le corps bien avant et davantage que d’être pensée est déjà un enseignement en soi. Identifier quelques aspects qui nous aideront, en principe, à problématiser et conceptualiser cette chose étrange que nous avons reçue, si nous avons eu cette chance, à l’aube de notre vie nécessite donc d’en passer par des expériences nécessairement personnelles.
La tendresse s'éprouve dans le corps avant d'être pensée. Quelle est sa place dans la relation de soin? A partir de son expérience personnelle et clinique, l'auteur dégage quelques éléments : la tendresse surgit par surprise, elle est d'abord offerte par autrui et s'inscrit dans la relation. Elle peut bouleverser le sujet dans son rapport à sa propre existence. Par ailleurs, elle réaffilie l'individu dans la communauté humaine. Comment la tendresse "vient-elle" au thérapeute? Dans la relation à l'autre, elle s'inscrit dans un circuit relationnel et affectif qui lui préexiste. Elle est couramment associée à la mère ou à la figure maternelle, en lien avec l'état d'immense vulnérabilité du bébé qui vient au monde et à l'absolu nécessité pour sa survie de soins attentifs et adaptés. Elle s'origine dans l'expérience qu'a connu tout individu d'être traversé par des états de détresse et de rencontrer la tendresse et le soin secourable apportés par un autre.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=52947
in Santé Mentale > 280 (Septembre 2023) . - p. 47-51[article] Faut-il être une bonne mère pour être tendre ? [texte imprimé] / Christophe Janssen . - 2023 . - p. 47-51.
Cet article fait partie du dossier " Pourquoi la tendresse ? ".
Langues : Français (fre)
in Santé Mentale > 280 (Septembre 2023) . - p. 47-51
Catégories : Alpha
A:Affect ; C:Contre-transfert ; E:Emotion ; E:Expérience professionnelle ; R:Relation mère-enfant ; R:Relation soignant-soigné ; R:Relation thérapeutique ; T:TendresseRésumé : Tout être humain ayant traversé des expériences de détresse mais aussi de tendresse et de soin procurés par un autre secourable peut spontanément, sans même avoir à y penser, se montrer «suffisamment bon» à l’égard d’autrui en situation de souffrance et de dépendance.
Nous pourrions dire à propos de la tendresse que nous en savons quelque chose sans rien en savoir. C’est-à-dire que nous sommes généralement capables, non pas de nous la représenter, mais de l’éprouver positivement, nous appuyant sur nos expériences, sur nos souvenirs corporels d’avoir été tendre avec autrui ou d’avoir reçu cette tendresse généralement d’un proche. Il se peut aussi que nous éprouvions ce qu’est la tendresse « en négatif », par des souvenirs, tout autant somatopsychiques mais cette fois en creux, où nous en aurions été privés. Considérer que la tendresse s’éprouve dans le corps bien avant et davantage que d’être pensée est déjà un enseignement en soi. Identifier quelques aspects qui nous aideront, en principe, à problématiser et conceptualiser cette chose étrange que nous avons reçue, si nous avons eu cette chance, à l’aube de notre vie nécessite donc d’en passer par des expériences nécessairement personnelles.
La tendresse s'éprouve dans le corps avant d'être pensée. Quelle est sa place dans la relation de soin? A partir de son expérience personnelle et clinique, l'auteur dégage quelques éléments : la tendresse surgit par surprise, elle est d'abord offerte par autrui et s'inscrit dans la relation. Elle peut bouleverser le sujet dans son rapport à sa propre existence. Par ailleurs, elle réaffilie l'individu dans la communauté humaine. Comment la tendresse "vient-elle" au thérapeute? Dans la relation à l'autre, elle s'inscrit dans un circuit relationnel et affectif qui lui préexiste. Elle est couramment associée à la mère ou à la figure maternelle, en lien avec l'état d'immense vulnérabilité du bébé qui vient au monde et à l'absolu nécessité pour sa survie de soins attentifs et adaptés. Elle s'origine dans l'expérience qu'a connu tout individu d'être traversé par des états de détresse et de rencontrer la tendresse et le soin secourable apportés par un autre.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=52947 Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M006701 SAN Revue Mouscron Soins Infirmiers (M) Disponible T010091 SAN Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Interminable séparation… / Christophe Janssen in Santé Mentale, 247 (Avril 2020)
[article]
Titre : Interminable séparation… Type de document : texte imprimé Auteurs : Christophe Janssen Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 36-43 Note générale : Cet article appartient au dossier "Clinique du lien conjugal " Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
C:Cas clinique ; C:Couple ; F:Fantasme ; I:Inconscient ; P:Projection ; S:Séparation ; T:TemporalitéRésumé : Certaines séparations, pourtant voulues, prennent énormément de temps, voire parfois ne semblent jamais résolues. Comment comprendre ce nœud psychique qui perdure ? Le thérapeute doit laisser se déployer l’irrationnel, pour permettre au couple de faire le deuil des alliances inconscientes et des illusions qui soutenaient leur union.
Certaines séparations, même voulues, prennent énormément de temps, voire ne semblent jamais vraiment résolues… Comment comprendre le « nœud » psychique qui perdure et maintient les partenaires dans une sorte de lien? L’auteur explore les bases de la conjugalité. Le rôle du thérapeute est d’accompagner l’irrationnel, de le laisser se déployer pour permettre aux personnes de faire le deuil des alliances inconscientes et illusions qui soutenaient leur union.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=43607
in Santé Mentale > 247 (Avril 2020) . - p. 36-43[article] Interminable séparation… [texte imprimé] / Christophe Janssen . - 2020 . - p. 36-43.
Cet article appartient au dossier "Clinique du lien conjugal "
Langues : Français (fre)
in Santé Mentale > 247 (Avril 2020) . - p. 36-43
Catégories : Alpha
C:Cas clinique ; C:Couple ; F:Fantasme ; I:Inconscient ; P:Projection ; S:Séparation ; T:TemporalitéRésumé : Certaines séparations, pourtant voulues, prennent énormément de temps, voire parfois ne semblent jamais résolues. Comment comprendre ce nœud psychique qui perdure ? Le thérapeute doit laisser se déployer l’irrationnel, pour permettre au couple de faire le deuil des alliances inconscientes et des illusions qui soutenaient leur union.
Certaines séparations, même voulues, prennent énormément de temps, voire ne semblent jamais vraiment résolues… Comment comprendre le « nœud » psychique qui perdure et maintient les partenaires dans une sorte de lien? L’auteur explore les bases de la conjugalité. Le rôle du thérapeute est d’accompagner l’irrationnel, de le laisser se déployer pour permettre aux personnes de faire le deuil des alliances inconscientes et illusions qui soutenaient leur union.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=43607 Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M005502 SAN Revue Mouscron Soins infirmiers (T) Disponible T008718 SAN Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible