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Semaine du 18/11 à Tournai : Fermé mardi 19/11 en après-midi et jeudi 21/11 en matinée. Fermé mercredi à 17h00. Fermé vendredi entre 12 et 13h00.
Semaine du 25/11 à Tournai : Fermé vendredi 29/11 en matinée.
Semaine du 02/12 à Tournai : Horaire habituel.
Semaine du 18/11 à Mouscron : Horaire habituel
Semaine du 25/11 à Mouscron : Lundi: ouverture à 10h30.
Semaine du 11/11 à Mouscron : Fermé lundi (armistice)
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Auteur Pierre Jouanny |
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Campagne de vacination contre la COVID-19 à Saint-Quentin : enquête sur les motivations de la population de plus de 70 ans / Jadwiga Attier-Zmudka in La revue de gériatrie, vol. 47, n°5 (mai 2022)
[article]
Titre : Campagne de vacination contre la COVID-19 à Saint-Quentin : enquête sur les motivations de la population de plus de 70 ans Type de document : texte imprimé Auteurs : Jadwiga Attier-Zmudka ; Khelifa Hamouchi ; Amokrane Ameur ; Amal Bensaida ; Béatrice Berteaux ; Jean-Marie Serot ; Pierre Jouanny Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 197-203 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Acceptation ; C:Covid-19 ; M:Motivation ; P:Personne âgée ; P:Peur ; V:VaccinationRésumé : Durant les trois premiers mois de la pandémie COVID-19, près de 125 000 personnes âgées ont été touchées et plus de 22 600 en sont décédées. Parmi elles, 90 % avaient plus de 60 ans et 60 % plus de 80 ans. Malgré les mesures prises, notamment les différents confinements, les contaminations ont continué à des rythmes variables sans pour autant s’arrêter. L’arrivée du vaccin un an plus tard est apparue comme la meilleure, voire la seule solution, pour protéger la population. Néanmoins, beaucoup de réticences ont été constatées au début de la campagne de vaccination. Il nous a paru important de comprendre les motivations de la partie de population qui a choisi de se faire vacciner. AUTOCOV est une étude de cohorte prospective multicentrique qui a été mise en place grâce à la collaboration de la municipalité, du centre hospitalier et de la clinique de Saint-Quentin. Des questionnaires de 14 items contenant les questions sur les motivations de la population de plus de 70 ans ont été distribués. Parmi les 640 premiers questionnaires, 625 ont pu être analysés car suffisamment remplis. La majorité de la population vaccinée habitait la ville (55,7 %), 87 % des participants avaient un âge supérieur à 75 ans et 42,7 % un âge supérieur à 80 ans. Il s’agissait dans 52,2 % des cas de femmes, 63,7 % des participants vivaient en couple et 93,6 % avaient des enfants. Légèrement plus de la moitié de la population totale optait pour la vaccination afin de pouvoir revoir ses proches (50,4 % et 55,2 % des femmes) et pour protéger les autres (50,7 %). L’avis des proches était le facteur influençant le plus la décision (39,1 % et jusqu’à 51,4 % chez les participants qui avaient des enfants) devant l’avis du médecin traitant (33,5 %) et les communications nationale et locale (respectivement 28,5 % et 8,5 %). Dans 45,3 % des cas, la prise de décision s’était faite dans les derniers trois mois. La proximité a déterminé le choix du centre de vaccination dans 71,9 % des cas. Une grande majorité de notre population a trouvé l’inscription facile (80,5 %) et la communication locale sur les possibilités d’inscription claire (84,8 %). La majorité était pour le caractère non obligatoire de la vaccination (61,4 %) et plus de 80 % était en faveur d’un passeport vaccinal (80,3 %). Cette étude préliminaire a montré que l’acceptation de la vaccination est déterminée principalement par le désir de revoir ses proches et de protéger les autres. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=49946
in La revue de gériatrie > vol. 47, n°5 (mai 2022) . - p. 197-203[article] Campagne de vacination contre la COVID-19 à Saint-Quentin : enquête sur les motivations de la population de plus de 70 ans [texte imprimé] / Jadwiga Attier-Zmudka ; Khelifa Hamouchi ; Amokrane Ameur ; Amal Bensaida ; Béatrice Berteaux ; Jean-Marie Serot ; Pierre Jouanny . - 2022 . - p. 197-203.
Langues : Français (fre)
in La revue de gériatrie > vol. 47, n°5 (mai 2022) . - p. 197-203
Catégories : Alpha
A:Acceptation ; C:Covid-19 ; M:Motivation ; P:Personne âgée ; P:Peur ; V:VaccinationRésumé : Durant les trois premiers mois de la pandémie COVID-19, près de 125 000 personnes âgées ont été touchées et plus de 22 600 en sont décédées. Parmi elles, 90 % avaient plus de 60 ans et 60 % plus de 80 ans. Malgré les mesures prises, notamment les différents confinements, les contaminations ont continué à des rythmes variables sans pour autant s’arrêter. L’arrivée du vaccin un an plus tard est apparue comme la meilleure, voire la seule solution, pour protéger la population. Néanmoins, beaucoup de réticences ont été constatées au début de la campagne de vaccination. Il nous a paru important de comprendre les motivations de la partie de population qui a choisi de se faire vacciner. AUTOCOV est une étude de cohorte prospective multicentrique qui a été mise en place grâce à la collaboration de la municipalité, du centre hospitalier et de la clinique de Saint-Quentin. Des questionnaires de 14 items contenant les questions sur les motivations de la population de plus de 70 ans ont été distribués. Parmi les 640 premiers questionnaires, 625 ont pu être analysés car suffisamment remplis. La majorité de la population vaccinée habitait la ville (55,7 %), 87 % des participants avaient un âge supérieur à 75 ans et 42,7 % un âge supérieur à 80 ans. Il s’agissait dans 52,2 % des cas de femmes, 63,7 % des participants vivaient en couple et 93,6 % avaient des enfants. Légèrement plus de la moitié de la population totale optait pour la vaccination afin de pouvoir revoir ses proches (50,4 % et 55,2 % des femmes) et pour protéger les autres (50,7 %). L’avis des proches était le facteur influençant le plus la décision (39,1 % et jusqu’à 51,4 % chez les participants qui avaient des enfants) devant l’avis du médecin traitant (33,5 %) et les communications nationale et locale (respectivement 28,5 % et 8,5 %). Dans 45,3 % des cas, la prise de décision s’était faite dans les derniers trois mois. La proximité a déterminé le choix du centre de vaccination dans 71,9 % des cas. Une grande majorité de notre population a trouvé l’inscription facile (80,5 %) et la communication locale sur les possibilités d’inscription claire (84,8 %). La majorité était pour le caractère non obligatoire de la vaccination (61,4 %) et plus de 80 % était en faveur d’un passeport vaccinal (80,3 %). Cette étude préliminaire a montré que l’acceptation de la vaccination est déterminée principalement par le désir de revoir ses proches et de protéger les autres. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=49946 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Intérêt du dépistage individuel du cancer du sein par mammographie chez la femme âgée de plus de 75 ans / Guillaume Pelofi ; X. Martin ; Jérémy Barben ; Pierre Jouanny in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement, Vol. 20, n°2 (Juin 2022)
[article]
Titre : Intérêt du dépistage individuel du cancer du sein par mammographie chez la femme âgée de plus de 75 ans Type de document : texte imprimé Auteurs : Guillaume Pelofi ; X. Martin ; Jérémy Barben ; Pierre Jouanny Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 182-189 Note générale : DOI : 10.1684/pnv.2022.1035 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
C:Cancer ; D:Dépistage ; M:Mammographie ; P:Personne âgée ; S:SeinRésumé : Le dépistage du cancer du sein par mammographie est recommandé jusqu’à 74 ans alors que fréquence et gravité de ce cancer augmentent après 75 ans. Le but de ce travail est d’évaluer les bénéfices potentiels de l’extension du dépistage individuel par mammographie.
Méthodologie
Étude rétrospective d’une série continue monocentrique de femmes de plus de 75 ans ayant consulté pour cancer du sein.
Résultats
Cent-quatre-vingt-cinq femmes âgées (82,8 ± 5,2 ans [75-95]) ont été inclues. Cent-soixante-quatre (87,7 %) patientes ont bénéficié d’une chirurgie (115 tumorectomies (61,2 %), 49 mastectomies (26,5 %) et 51 curages ganglionnaires (27,6 %) avec traitement adjuvant (chimiothérapie 21,1 % ; radiothérapie 68,6 % ; ou hormonothérapie 79,5 %). Quarante-neuf cancers du sein ont été découverts après dépistage individuel par mammographie (26,5 %) chez des femmes moins âgées (79,5 ± 3,6 vs 84 ± 5,3 ans ; p < 0,0001), à un stade moins avancé (stade I-II vs III-IV : OR = 5,6 [1,5–19,8] ; p = 0,0078) avec une chirurgie plus conservatrice (tumorectomie vs mastectomie : OR = 2,6 [1,1–6,5] ; p = 0,0333).
Conclusion
Le dépistage individuel du cancer du sein par mammographie permet une prise en charge moins lourde, à un stade moins avancé et devrait être poursuivi après 75 ans.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=49964
in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol. 20, n°2 (Juin 2022) . - p. 182-189[article] Intérêt du dépistage individuel du cancer du sein par mammographie chez la femme âgée de plus de 75 ans [texte imprimé] / Guillaume Pelofi ; X. Martin ; Jérémy Barben ; Pierre Jouanny . - 2022 . - p. 182-189.
DOI : 10.1684/pnv.2022.1035
Langues : Français (fre)
in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol. 20, n°2 (Juin 2022) . - p. 182-189
Catégories : Alpha
C:Cancer ; D:Dépistage ; M:Mammographie ; P:Personne âgée ; S:SeinRésumé : Le dépistage du cancer du sein par mammographie est recommandé jusqu’à 74 ans alors que fréquence et gravité de ce cancer augmentent après 75 ans. Le but de ce travail est d’évaluer les bénéfices potentiels de l’extension du dépistage individuel par mammographie.
Méthodologie
Étude rétrospective d’une série continue monocentrique de femmes de plus de 75 ans ayant consulté pour cancer du sein.
Résultats
Cent-quatre-vingt-cinq femmes âgées (82,8 ± 5,2 ans [75-95]) ont été inclues. Cent-soixante-quatre (87,7 %) patientes ont bénéficié d’une chirurgie (115 tumorectomies (61,2 %), 49 mastectomies (26,5 %) et 51 curages ganglionnaires (27,6 %) avec traitement adjuvant (chimiothérapie 21,1 % ; radiothérapie 68,6 % ; ou hormonothérapie 79,5 %). Quarante-neuf cancers du sein ont été découverts après dépistage individuel par mammographie (26,5 %) chez des femmes moins âgées (79,5 ± 3,6 vs 84 ± 5,3 ans ; p < 0,0001), à un stade moins avancé (stade I-II vs III-IV : OR = 5,6 [1,5–19,8] ; p = 0,0078) avec une chirurgie plus conservatrice (tumorectomie vs mastectomie : OR = 2,6 [1,1–6,5] ; p = 0,0333).
Conclusion
Le dépistage individuel du cancer du sein par mammographie permet une prise en charge moins lourde, à un stade moins avancé et devrait être poursuivi après 75 ans.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=49964 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T009565 GER Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Polymédication, prescriptions médicamenteuses inappropriées et interactions médicamenteuses en oncogériatrie : mise au point / Jérémy Barben in La revue de gériatrie, Vol. 49, n°6 (Juin 2024)
[article]
Titre : Polymédication, prescriptions médicamenteuses inappropriées et interactions médicamenteuses en oncogériatrie : mise au point Type de document : texte imprimé Auteurs : Jérémy Barben ; Valérie Quipourt ; Sophie Marlier ; Leila Bengrine-Lefevre ; Pierre Jouanny ; Patrick Manckoundia Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 331-336 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
I:interaction médicamenteuse ; O:Oncogériatrie ; P:Polymédication ; P:Prescription médicamenteuse inappropriéeRésumé : La polymédication (définie comme la prise de cinq molécules en dehors du cadre oncologique), les prescriptions médicamenteuses potentiellement inappropriées et les interactions médicamenteuses sont fréquentes en oncogériatrie. D’une manière générale elles augmentent le risque de toxicités des traitements antinéoplasiques, de survenue de syndromes gériatriques et de mortalité. Cette mise au point synthétise les différentes définitions et impacts de chaque dimension ainsi que les mesures actuelles et pistes futures dans la prise en charge médicamenteuse des patients âgés atteints de cancer. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=55473
in La revue de gériatrie > Vol. 49, n°6 (Juin 2024) . - p. 331-336[article] Polymédication, prescriptions médicamenteuses inappropriées et interactions médicamenteuses en oncogériatrie : mise au point [texte imprimé] / Jérémy Barben ; Valérie Quipourt ; Sophie Marlier ; Leila Bengrine-Lefevre ; Pierre Jouanny ; Patrick Manckoundia . - 2024 . - p. 331-336.
Langues : Français (fre)
in La revue de gériatrie > Vol. 49, n°6 (Juin 2024) . - p. 331-336
Catégories : Alpha
I:interaction médicamenteuse ; O:Oncogériatrie ; P:Polymédication ; P:Prescription médicamenteuse inappropriéeRésumé : La polymédication (définie comme la prise de cinq molécules en dehors du cadre oncologique), les prescriptions médicamenteuses potentiellement inappropriées et les interactions médicamenteuses sont fréquentes en oncogériatrie. D’une manière générale elles augmentent le risque de toxicités des traitements antinéoplasiques, de survenue de syndromes gériatriques et de mortalité. Cette mise au point synthétise les différentes définitions et impacts de chaque dimension ainsi que les mesures actuelles et pistes futures dans la prise en charge médicamenteuse des patients âgés atteints de cancer. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=55473 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T010311 REV Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Prise en charge de l’ostéoporose fracturaire chez les patients de plus de 75 ans vivant en institution / Carole Gueguen in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement, Vol. 17, 4 (Décembre 2019)
[article]
Titre : Prise en charge de l’ostéoporose fracturaire chez les patients de plus de 75 ans vivant en institution Type de document : texte imprimé Auteurs : Carole Gueguen, Auteur ; Pierre Jouanny, Auteur ; Mohammed Belmouhoub, Auteur ; Marc Bonnefoy, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p.377-385 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
F:Fracture ; M:Maison de repos et de soins ; O:Ostéoporose ; P:Personne âgée ; P:Pratique professionnelle ; P:Prise en charge ; T:TraitementRésumé : Objectif : Les recommandations de prise en charge de l’ostéoporose sont régulièrement actualisées par le GRIO. Ce travail est une EPP sur la prise en charge des fractures majeures chez des patients institutionnalisés. Méthodologie : évaluation sur dossier de tous les résidents de plus de 75 ans ayant eu une fracture majeure dans 4 Ehpad accueillant 327 résidents. Résultats : 105 résidents ont été inclus soit une prévalence de l’ostéoporose fracturaire de 32,1 %. Les fractures les plus fréquentes étaient fémorales (60,9 %) et vertébrales (45,8 %). La prise en charge thérapeutique était : calcium (14,3 %), vitamine D (52,4 %), kinésithérapie (70,5 %) et biphosphonates (11,4 %). Une prise en charge médicamenteuse complète était notée dans 5 dossiers (4,7 %). Les résidents pris en charge initialement en médecine étaient plus souvent traités que ceux en chirurgie (25,0 vs 6,5 % ; p = 0,0144), ainsi que ceux vus par un médecin spécialiste (rhumatologue ou gériatre : 8 vs 4 ; p < 0,001).Conclusion : Une minorité de résidents reçoit un traitement anti-ostéoporotique complet malgré leur risque de récidive fracturaire. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=43011
in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol. 17, 4 (Décembre 2019) . - p.377-385[article] Prise en charge de l’ostéoporose fracturaire chez les patients de plus de 75 ans vivant en institution [texte imprimé] / Carole Gueguen, Auteur ; Pierre Jouanny, Auteur ; Mohammed Belmouhoub, Auteur ; Marc Bonnefoy, Auteur . - 2019 . - p.377-385.
Langues : Français (fre)
in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol. 17, 4 (Décembre 2019) . - p.377-385
Catégories : Alpha
F:Fracture ; M:Maison de repos et de soins ; O:Ostéoporose ; P:Personne âgée ; P:Pratique professionnelle ; P:Prise en charge ; T:TraitementRésumé : Objectif : Les recommandations de prise en charge de l’ostéoporose sont régulièrement actualisées par le GRIO. Ce travail est une EPP sur la prise en charge des fractures majeures chez des patients institutionnalisés. Méthodologie : évaluation sur dossier de tous les résidents de plus de 75 ans ayant eu une fracture majeure dans 4 Ehpad accueillant 327 résidents. Résultats : 105 résidents ont été inclus soit une prévalence de l’ostéoporose fracturaire de 32,1 %. Les fractures les plus fréquentes étaient fémorales (60,9 %) et vertébrales (45,8 %). La prise en charge thérapeutique était : calcium (14,3 %), vitamine D (52,4 %), kinésithérapie (70,5 %) et biphosphonates (11,4 %). Une prise en charge médicamenteuse complète était notée dans 5 dossiers (4,7 %). Les résidents pris en charge initialement en médecine étaient plus souvent traités que ceux en chirurgie (25,0 vs 6,5 % ; p = 0,0144), ainsi que ceux vus par un médecin spécialiste (rhumatologue ou gériatre : 8 vs 4 ; p < 0,001).Conclusion : Une minorité de résidents reçoit un traitement anti-ostéoporotique complet malgré leur risque de récidive fracturaire. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=43011 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T008631 GER Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Traitement par anticoagulants chez les patients âgés atteints de fibrillation atriale : un consensus / Olivier Hanon in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement, Vol. 17, 4 (Décembre 2019)
[article]
Titre : Traitement par anticoagulants chez les patients âgés atteints de fibrillation atriale : un consensus Type de document : texte imprimé Auteurs : Olivier Hanon, Auteur ; Claude Jeandel, Auteur ; Pierre Jouanny, Auteur ; Marc Paccalin, Auteur ; François Puisieux, Auteur ; Pierre Krolak-Salmon, Auteur ; Gilles Berrut, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p.341-355 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Accident vasculaire cérébral ; A:Anticoagulant ; F:Fibrillation ; P:Personne âgée ; P:PréventionRésumé : La fibrillation atriale (FA) est fréquente chez le sujet âgé. Son traitement repose sur les anticoagulants pour prévenir un accident vasculaire cérébral (AVC) et les emboles systémiques. Les antagonistes de la vitamine K (AVK) ont longtemps été les seuls anticoagulants disponibles pour la prise en charge de la FA. Leur maniement complexe en a fait une des principales causes de iatrogénie chez le sujet âgé. Depuis près de 10 ans, les anticoagulants oraux d’action directe (AOD) ont fait leur apparition et de grands essais randomisés (RE-LY, ROCKET-AF, ARISTOTLE, ENGAGE-AF) ont montré leur supériorité par rapport aux AVK dans la prise en charge de la FA. Ces essais ont été menés sur un très grand nombre de patients (n = 71 683), dont 27 500 ≥ 75 ans et près de 8 000 sujets > 80 ans. Les résultats de 11 méta-analyses récentes regroupant les données des essais randomisés et celles des études observationnelles de la « vraie vie » chez 660 896 personnes âgées indiquent que les AOD ont une meilleure efficacité que les AVK pour prévenir les accidents vasculaires cérébraux (AVC) (réduction du risque allant de 13 % à 26 %), et par rapport à ceux-ci présentent un moindre risque d’hémorragies cérébrales (réduction du risque de 50 %). Le risque d’hémorragie majeure apparaît lui, similaire ou moindre sous AOD que sous AVK (en fonction de la posologie, de la fonction rénale, du site hémorragique ou du type d’AOD). Par ailleurs, le bénéfice des AOD en comparaison aux AVK est retrouvé dans les analyses en sous-groupes chez les sujets de plus de 75 ans, chez les insuffisant rénaux (clairance créatine 30-50 mL/min) et chez les sujets chuteurs. Les analyses indiquent qu’en comparaison avec les AVK, les AOD apparaissent d’autant plus favorables que les patients sont âgés car ce sont eux qui présentent le plus haut risque d’AVC et d’hémorragies cérébrales. En résumé, les AOD présentent un profil efficacité/tolérance supérieur aux AVK, ce qui justifie leur utilisation en première intention chez le sujet âgé de plus de 75 ans. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=43008
in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol. 17, 4 (Décembre 2019) . - p.341-355[article] Traitement par anticoagulants chez les patients âgés atteints de fibrillation atriale : un consensus [texte imprimé] / Olivier Hanon, Auteur ; Claude Jeandel, Auteur ; Pierre Jouanny, Auteur ; Marc Paccalin, Auteur ; François Puisieux, Auteur ; Pierre Krolak-Salmon, Auteur ; Gilles Berrut, Auteur . - 2019 . - p.341-355.
Langues : Français (fre)
in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol. 17, 4 (Décembre 2019) . - p.341-355
Catégories : Alpha
A:Accident vasculaire cérébral ; A:Anticoagulant ; F:Fibrillation ; P:Personne âgée ; P:PréventionRésumé : La fibrillation atriale (FA) est fréquente chez le sujet âgé. Son traitement repose sur les anticoagulants pour prévenir un accident vasculaire cérébral (AVC) et les emboles systémiques. Les antagonistes de la vitamine K (AVK) ont longtemps été les seuls anticoagulants disponibles pour la prise en charge de la FA. Leur maniement complexe en a fait une des principales causes de iatrogénie chez le sujet âgé. Depuis près de 10 ans, les anticoagulants oraux d’action directe (AOD) ont fait leur apparition et de grands essais randomisés (RE-LY, ROCKET-AF, ARISTOTLE, ENGAGE-AF) ont montré leur supériorité par rapport aux AVK dans la prise en charge de la FA. Ces essais ont été menés sur un très grand nombre de patients (n = 71 683), dont 27 500 ≥ 75 ans et près de 8 000 sujets > 80 ans. Les résultats de 11 méta-analyses récentes regroupant les données des essais randomisés et celles des études observationnelles de la « vraie vie » chez 660 896 personnes âgées indiquent que les AOD ont une meilleure efficacité que les AVK pour prévenir les accidents vasculaires cérébraux (AVC) (réduction du risque allant de 13 % à 26 %), et par rapport à ceux-ci présentent un moindre risque d’hémorragies cérébrales (réduction du risque de 50 %). Le risque d’hémorragie majeure apparaît lui, similaire ou moindre sous AOD que sous AVK (en fonction de la posologie, de la fonction rénale, du site hémorragique ou du type d’AOD). Par ailleurs, le bénéfice des AOD en comparaison aux AVK est retrouvé dans les analyses en sous-groupes chez les sujets de plus de 75 ans, chez les insuffisant rénaux (clairance créatine 30-50 mL/min) et chez les sujets chuteurs. Les analyses indiquent qu’en comparaison avec les AVK, les AOD apparaissent d’autant plus favorables que les patients sont âgés car ce sont eux qui présentent le plus haut risque d’AVC et d’hémorragies cérébrales. En résumé, les AOD présentent un profil efficacité/tolérance supérieur aux AVK, ce qui justifie leur utilisation en première intention chez le sujet âgé de plus de 75 ans. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=43008 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T008631 GER Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible