Centre de Documentation HELHa Tournai - Mouscron
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Semaine du 09/12 à Tournai : Horaire habituel.
Semaine du 16/12 à Tournai : Horaire habituel.
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Semaine du 25/11 à Mouscron : Lundi: ouverture à 10h30. Fermeture à 17h00.
Semaine du 11/11 à Mouscron : Fermé lundi (armistice)
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Auteur Sara Romano-Bertrand |
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L’antibiogramme : objectifs, méthodes et interprétation / Sara Romano-Bertrand ; Bruno Pozzetto ; Jean-Winoc Decousser in Hygiènes, Vol. 31, n°3 (Juin 2023)
[article]
Titre : L’antibiogramme : objectifs, méthodes et interprétation Type de document : texte imprimé Auteurs : Sara Romano-Bertrand, Auteur ; Bruno Pozzetto, Auteur ; Jean-Winoc Decousser, Auteur Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 253-258 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Antibiothérapie ; H:Hygiène hospitalière ; I:Interprétation ; L:Laboratoire ; M:Méthode ; M:Microbiologie ; O:Objectif ; T:TestRésumé : Dans ce cinquième volet, nous abordons la question de la place et des limites de l’antibiogramme. Nous discuterons dans une prochaine rubrique les avancées technologiques de l’antibiogramme (antibiogrammes dits « rapides »), ainsi que les tests complémentaires utilisés au laboratoire de bactériologie pour anticiper ou confirmer la présence de résistances acquises aux antibiotiques. L’hygiéniste est confronté dans sa pratique quotidienne au « jargon » des bactériologistes et des infectiologues : il est important qu’il en connaisse et en comprenne les principaux termes afin de mieux en appréhender les apports dans les décisions et recommandations qu’il aura à prendre et à appliquer. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=52938
in Hygiènes > Vol. 31, n°3 (Juin 2023) . - p. 253-258[article] L’antibiogramme : objectifs, méthodes et interprétation [texte imprimé] / Sara Romano-Bertrand, Auteur ; Bruno Pozzetto, Auteur ; Jean-Winoc Decousser, Auteur . - 2023 . - p. 253-258.
Langues : Français (fre)
in Hygiènes > Vol. 31, n°3 (Juin 2023) . - p. 253-258
Catégories : Alpha
A:Antibiothérapie ; H:Hygiène hospitalière ; I:Interprétation ; L:Laboratoire ; M:Méthode ; M:Microbiologie ; O:Objectif ; T:TestRésumé : Dans ce cinquième volet, nous abordons la question de la place et des limites de l’antibiogramme. Nous discuterons dans une prochaine rubrique les avancées technologiques de l’antibiogramme (antibiogrammes dits « rapides »), ainsi que les tests complémentaires utilisés au laboratoire de bactériologie pour anticiper ou confirmer la présence de résistances acquises aux antibiotiques. L’hygiéniste est confronté dans sa pratique quotidienne au « jargon » des bactériologistes et des infectiologues : il est important qu’il en connaisse et en comprenne les principaux termes afin de mieux en appréhender les apports dans les décisions et recommandations qu’il aura à prendre et à appliquer. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=52938 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T010026 HYG Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible L’antibiogramme : techniques rapides et tests complémentaires / Jean-Winoc Decousser ; Bruno Pozzetto ; Sara Romano-Bertrand in Hygiènes, Vol. XXXI, n°4 (Septembre 2023)
[article]
Titre : L’antibiogramme : techniques rapides et tests complémentaires Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Winoc Decousser, Auteur ; Bruno Pozzetto, Auteur ; Sara Romano-Bertrand, Auteur Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 331-337 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Antibiotique ; H:Hygiène hospitalière ; I:Innovation ; L:Laboratoire ; T:Technique de pointe ; T:TestRésumé : Dans le cinquième volet de la rubrique « Du côté du laboratoire », nous avons abordé la place et les limites de l’antibiogramme dit « standard » en soulignant son rôle essentiel dans la prise en charge des infections et notamment dans le choix d’une antibiothérapie adaptée à la fois la plus efficace et la plus respectueuse des microbiotes du patient et de l’écologie bactérienne. Nous en avons également identifié le principal écueil : le délai indispensable à l’obtention de ses résultats. En effet, l’antibiogramme s’effectue sur une culture pure de la bactérie concernée, ce qui nécessite un délai d’au minimum 18 heures après l’ensemencement de l’échantillon clinique pour les micro-organismes à culture rapide. Ensuite, la réalisation de l’antibiogramme classique proprement dit requiert une incubation supplémentaire de 20±4 heures [1]. Entre la réalisation du prélèvement clinique, sa mise en culture au laboratoire et l’obtention des résultats de l’antibiogramme, il s’écoule donc au minimum 48 heures (sans tenir compte du temps de transport). Ce délai est loin d’être négligeable, tant d’un point de vue individuel (adaptation du traitement antibiotique) que collectif (mise en place des précautions d’hygiène adaptées). Il est en effet bien établi que la rapidité de l’obtention de l’information concernant la sensibilité d’une bactérie aux antibiotiques, donc la présence éventuelle de résistance(s) acquise(s), peut s’avérer capitale pour la prise en charge d’un patient : tout retard, à l’heure près, à la mise en place d’une antibiothérapie efficace peut avoir un impact sur la mortalité associée à l’infection, notamment en cas de choc septique [2] ; une désescalade rapide (diminution du spectre de l’antibiothérapie) est souhaitable pour limiter les conséquences d’une antibiothérapie à large spectre sur les dysbioses et l’émergence de résistances acquises. Dans le cadre de la prévention croisée, un retard dans la mise en place des précautions complémentaires adaptées peut être à l’origine de cas secondaires donc d’épidémies [3]. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=53083
in Hygiènes > Vol. XXXI, n°4 (Septembre 2023) . - p. 331-337[article] L’antibiogramme : techniques rapides et tests complémentaires [texte imprimé] / Jean-Winoc Decousser, Auteur ; Bruno Pozzetto, Auteur ; Sara Romano-Bertrand, Auteur . - 2023 . - p. 331-337.
Langues : Français (fre)
in Hygiènes > Vol. XXXI, n°4 (Septembre 2023) . - p. 331-337
Catégories : Alpha
A:Antibiotique ; H:Hygiène hospitalière ; I:Innovation ; L:Laboratoire ; T:Technique de pointe ; T:TestRésumé : Dans le cinquième volet de la rubrique « Du côté du laboratoire », nous avons abordé la place et les limites de l’antibiogramme dit « standard » en soulignant son rôle essentiel dans la prise en charge des infections et notamment dans le choix d’une antibiothérapie adaptée à la fois la plus efficace et la plus respectueuse des microbiotes du patient et de l’écologie bactérienne. Nous en avons également identifié le principal écueil : le délai indispensable à l’obtention de ses résultats. En effet, l’antibiogramme s’effectue sur une culture pure de la bactérie concernée, ce qui nécessite un délai d’au minimum 18 heures après l’ensemencement de l’échantillon clinique pour les micro-organismes à culture rapide. Ensuite, la réalisation de l’antibiogramme classique proprement dit requiert une incubation supplémentaire de 20±4 heures [1]. Entre la réalisation du prélèvement clinique, sa mise en culture au laboratoire et l’obtention des résultats de l’antibiogramme, il s’écoule donc au minimum 48 heures (sans tenir compte du temps de transport). Ce délai est loin d’être négligeable, tant d’un point de vue individuel (adaptation du traitement antibiotique) que collectif (mise en place des précautions d’hygiène adaptées). Il est en effet bien établi que la rapidité de l’obtention de l’information concernant la sensibilité d’une bactérie aux antibiotiques, donc la présence éventuelle de résistance(s) acquise(s), peut s’avérer capitale pour la prise en charge d’un patient : tout retard, à l’heure près, à la mise en place d’une antibiothérapie efficace peut avoir un impact sur la mortalité associée à l’infection, notamment en cas de choc septique [2] ; une désescalade rapide (diminution du spectre de l’antibiothérapie) est souhaitable pour limiter les conséquences d’une antibiothérapie à large spectre sur les dysbioses et l’émergence de résistances acquises. Dans le cadre de la prévention croisée, un retard dans la mise en place des précautions complémentaires adaptées peut être à l’origine de cas secondaires donc d’épidémies [3]. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=53083 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T010041 HYG Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Bactériémies en oncohématologie pédiatrique : étude d’incidence dans un centre hospitalo-universitaire / Anthony Carmona in Hygiènes, Vol. XXVIII - n°3 (Juin 2020)
[article]
Titre : Bactériémies en oncohématologie pédiatrique : étude d’incidence dans un centre hospitalo-universitaire Type de document : texte imprimé Auteurs : Anthony Carmona ; Stéphanie Haouy ; Sara Romano-Bertrand ; et al. Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 125-131 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
B:Bactériémie ; C:Cathéter veineux central ; H:Hématologie ; P:PédiatrieRésumé : Objectif. Une immunosuppression profonde et durable augmente le risque de bactériémie chez les patients pédiatriques avec cathéter veineux central (CVC). La bactériémie liée aux CVC (BLC) est associée à une augmentation de la morbidité, de la mortalité et des coûts médicaux. Notre institution a mis en place un programme d’analyse des bactériémies. Les objectifs sont de déterminer le taux de contamination des hémocultures pour les patients hospitalisés et ambulatoires, et de décrire et d’évaluer l’incidence des BLC dans le service d’hématologie pédiatrique. Population et méthodes. Cette étude observationnelle rétrospective, menée entre le 1er juillet 2015 et le 30 juin 2016, a porté sur tous les enfants hospitalisés dans le service d’hématologie pédiatrique porteurs d’un CVC associé à une hémoculture positive. La densité d’incidence et le taux d’incidence des bactériémies et des BLC ont été calculés. Résultats. Pour 37 patients, 42 hémocultures positives ont été relevées : 12 contaminations et 30 bactériémies, dont 15 BLC (âge médian, 10,9 + 9,1 ans [min-max, 0,5-23,1] ; hommes, 27 [73%]) ; soit un taux d’incidence de 4,9 BLC pour 100 patients. Il a été enregistré 28 296 jours avec cathéter (jours-CVC) et 6 593 jours d’hospitalisation, soit 2,3 BLC pour 1 000 jours d’hospitalisation et 0,5 BLC pour 1 000 jours-CVC. Conclusion. Le taux de contamination (28,6%) est inférieur aux données de la littérature. Malgré la gravité de l’état des patients, les temps prolongés avec cathéter et les soins mixtes intra et extra-hospitaliers, le taux d’incidence des BLC est faible (0,5 pour 1 000 jours-CVC), mais certainement perfectible. Un système de surveillance et de lutte contre les bactériémies est indispensable dans chaque service d’hématologie pédiatrique. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44044
in Hygiènes > Vol. XXVIII - n°3 (Juin 2020) . - p. 125-131[article] Bactériémies en oncohématologie pédiatrique : étude d’incidence dans un centre hospitalo-universitaire [texte imprimé] / Anthony Carmona ; Stéphanie Haouy ; Sara Romano-Bertrand ; et al. . - 2020 . - p. 125-131.
Langues : Français (fre)
in Hygiènes > Vol. XXVIII - n°3 (Juin 2020) . - p. 125-131
Catégories : Alpha
B:Bactériémie ; C:Cathéter veineux central ; H:Hématologie ; P:PédiatrieRésumé : Objectif. Une immunosuppression profonde et durable augmente le risque de bactériémie chez les patients pédiatriques avec cathéter veineux central (CVC). La bactériémie liée aux CVC (BLC) est associée à une augmentation de la morbidité, de la mortalité et des coûts médicaux. Notre institution a mis en place un programme d’analyse des bactériémies. Les objectifs sont de déterminer le taux de contamination des hémocultures pour les patients hospitalisés et ambulatoires, et de décrire et d’évaluer l’incidence des BLC dans le service d’hématologie pédiatrique. Population et méthodes. Cette étude observationnelle rétrospective, menée entre le 1er juillet 2015 et le 30 juin 2016, a porté sur tous les enfants hospitalisés dans le service d’hématologie pédiatrique porteurs d’un CVC associé à une hémoculture positive. La densité d’incidence et le taux d’incidence des bactériémies et des BLC ont été calculés. Résultats. Pour 37 patients, 42 hémocultures positives ont été relevées : 12 contaminations et 30 bactériémies, dont 15 BLC (âge médian, 10,9 + 9,1 ans [min-max, 0,5-23,1] ; hommes, 27 [73%]) ; soit un taux d’incidence de 4,9 BLC pour 100 patients. Il a été enregistré 28 296 jours avec cathéter (jours-CVC) et 6 593 jours d’hospitalisation, soit 2,3 BLC pour 1 000 jours d’hospitalisation et 0,5 BLC pour 1 000 jours-CVC. Conclusion. Le taux de contamination (28,6%) est inférieur aux données de la littérature. Malgré la gravité de l’état des patients, les temps prolongés avec cathéter et les soins mixtes intra et extra-hospitaliers, le taux d’incidence des BLC est faible (0,5 pour 1 000 jours-CVC), mais certainement perfectible. Un système de surveillance et de lutte contre les bactériémies est indispensable dans chaque service d’hématologie pédiatrique. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44044 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T008770 HYG Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Comportement imprévisible des légionelles dans les réseaux d’eau chaude sanitaire hospitaliers / Léa Benkirate in Hygiènes, Vol. XXVII, 3 (Juin 2019)
[article]
Titre : Comportement imprévisible des légionelles dans les réseaux d’eau chaude sanitaire hospitaliers : une seule analyse réglementaire annuelle est-elle informative ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Léa Benkirate ; Iris Legris ; Sara Romano-Bertrand ; Estelle Jumas-Bilak ; Patricia Licznar-Fajardo Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 133-138 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
C:Contamination ; E:Eau ; L:Legionellose ; Q:Qualité ; Q:Qualité de l'eauRésumé : La légionellose est une infection respiratoire opportuniste grave, due à l’inhalation d’aérosols contaminés par Legionella pneumophila, dont le réservoir préférentiel est le réseau d’eau chaude sanitaire (ECS). Objectif. Afin de contrôler le risque d’exposition en établissement de santé, la réglementation impose la recherche et le dénombrement des légionelles une fois par an. Disposant de peu de données concernant la variabilité temporelle de la contamination d’un point d’eau ou d’un réseau, un point d’eau a été choisi pour un suivi hebdomadaire de la contamination et quatre bâtiments pavillonnaires ont été suivis régulièrement entre 2015 et 2018. Matériel et méthodes. La recherche et le dénombrement des légionelles ont été réalisés selon la norme française (NF) T90-431. Résultats. Le suivi hebdomadaire a montré de fortes variations temporelles non expliquées par les actions sur le réseau, et le suivi des contaminations à l’échelle d’un bâtiment a montré une contamination localisée et persistante malgré les traitements réalisés sur le réseau. Trois bâtiments de même configuration architecturale présentent des profils de contamination contrastés. La confrontation des données aux caractéristiques des réseaux d’ECS de chaque bâtiment n’est pas explicative. Conclusion. La surveillance lourde, mais limitée au dénombrement des légionelles, ne donne que peu d’éléments explicatifs permettant la prise en charge raisonnée des contaminations de l’ECS dans un hôpital. Des approches intégrées d’écologie microbienne sont certainement nécessaires.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41428
in Hygiènes > Vol. XXVII, 3 (Juin 2019) . - p. 133-138[article] Comportement imprévisible des légionelles dans les réseaux d’eau chaude sanitaire hospitaliers : une seule analyse réglementaire annuelle est-elle informative ? [texte imprimé] / Léa Benkirate ; Iris Legris ; Sara Romano-Bertrand ; Estelle Jumas-Bilak ; Patricia Licznar-Fajardo . - 2019 . - p. 133-138.
Langues : Français (fre)
in Hygiènes > Vol. XXVII, 3 (Juin 2019) . - p. 133-138
Catégories : Alpha
C:Contamination ; E:Eau ; L:Legionellose ; Q:Qualité ; Q:Qualité de l'eauRésumé : La légionellose est une infection respiratoire opportuniste grave, due à l’inhalation d’aérosols contaminés par Legionella pneumophila, dont le réservoir préférentiel est le réseau d’eau chaude sanitaire (ECS). Objectif. Afin de contrôler le risque d’exposition en établissement de santé, la réglementation impose la recherche et le dénombrement des légionelles une fois par an. Disposant de peu de données concernant la variabilité temporelle de la contamination d’un point d’eau ou d’un réseau, un point d’eau a été choisi pour un suivi hebdomadaire de la contamination et quatre bâtiments pavillonnaires ont été suivis régulièrement entre 2015 et 2018. Matériel et méthodes. La recherche et le dénombrement des légionelles ont été réalisés selon la norme française (NF) T90-431. Résultats. Le suivi hebdomadaire a montré de fortes variations temporelles non expliquées par les actions sur le réseau, et le suivi des contaminations à l’échelle d’un bâtiment a montré une contamination localisée et persistante malgré les traitements réalisés sur le réseau. Trois bâtiments de même configuration architecturale présentent des profils de contamination contrastés. La confrontation des données aux caractéristiques des réseaux d’ECS de chaque bâtiment n’est pas explicative. Conclusion. La surveillance lourde, mais limitée au dénombrement des légionelles, ne donne que peu d’éléments explicatifs permettant la prise en charge raisonnée des contaminations de l’ECS dans un hôpital. Des approches intégrées d’écologie microbienne sont certainement nécessaires.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41428 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T008453 HYG Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Diagnostic et prise en charge des diarrhées à Clostridioides difficile / Jeanne Couturier ; Sara Romano-Bertrand ; Bruno Pozzetto ; Frédéric Barbut ; Jean-Winoc Decousser in Hygiènes, Vol. XXXII, n°1 (Mars 2024)
[article]
Titre : Diagnostic et prise en charge des diarrhées à Clostridioides difficile Type de document : texte imprimé Auteurs : Jeanne Couturier, Auteur ; Sara Romano-Bertrand, Auteur ; Bruno Pozzetto, Auteur ; Frédéric Barbut, Auteur ; Jean-Winoc Decousser, Auteur Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 61-69 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
C:Clostridium difficile ; D:Diagnostic ; D:Diarrhée ; H:Hygiène hospitalière ; I:infection associée aux soins ; P:Prévention ; P:Prise en charge ; R:Risque infectieuxRésumé : Les diarrhées à Clostridioides difficile (anciennement Clostridium difficile) sont des infections à la fois communautaires et associées aux soins. Elles se développent chez des patients ayant un microbiote digestif altéré, principalement par la prise d’antibiotiques. Dans ce contexte, seules les souches toxinogènes sont pathogènes. Contrairement à de nombreuses bactéries, le diagnostic des diarrhées à C. difficile n’est pas basé en première intention sur la culture. Plusieurs types de tests sont disponibles et organisés selon des algorithmes bien définis. En termes de prévention de la transmission, la prise en charge des patients diarrhéiques (c’est-à-dire présentant plus de 3 selles quotidiennes non moulées) et pour lesquels la recherche des toxines est positive par test antigénique ou par PCR ne pose pas de problème : les précautions complémentaires spécifiques C. difficile doivent être prescrites et mises en place. L’eau de Javel et les dérivés peroxygénés sporicides sont des désinfectants de surface de choix. Le traitement antibiotique n’est pas basé sur la réalisation d’un antibiogramme. Le suivi de la guérison est clinique : il ne faut pas réaliser de test microbiologique de contrôle. Chez les patients asymptomatiques, le portage de souche toxinogène est possible ; la prévalence varie de 3,9 à 5,8%. Leur dépistage n’est néanmoins pas recommandé. La prise en charge de ces porteurs asymptomatiques n’est pas standardisée. Il semble prudent de les maintenir en chambre individuelle s’ils doivent bénéficier d’une antibiothérapie puisque la probabilité pour ces patients de développer une infection est particulièrement élevée. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=54508
in Hygiènes > Vol. XXXII, n°1 (Mars 2024) . - p. 61-69[article] Diagnostic et prise en charge des diarrhées à Clostridioides difficile [texte imprimé] / Jeanne Couturier, Auteur ; Sara Romano-Bertrand, Auteur ; Bruno Pozzetto, Auteur ; Frédéric Barbut, Auteur ; Jean-Winoc Decousser, Auteur . - 2024 . - p. 61-69.
Langues : Français (fre)
in Hygiènes > Vol. XXXII, n°1 (Mars 2024) . - p. 61-69
Catégories : Alpha
C:Clostridium difficile ; D:Diagnostic ; D:Diarrhée ; H:Hygiène hospitalière ; I:infection associée aux soins ; P:Prévention ; P:Prise en charge ; R:Risque infectieuxRésumé : Les diarrhées à Clostridioides difficile (anciennement Clostridium difficile) sont des infections à la fois communautaires et associées aux soins. Elles se développent chez des patients ayant un microbiote digestif altéré, principalement par la prise d’antibiotiques. Dans ce contexte, seules les souches toxinogènes sont pathogènes. Contrairement à de nombreuses bactéries, le diagnostic des diarrhées à C. difficile n’est pas basé en première intention sur la culture. Plusieurs types de tests sont disponibles et organisés selon des algorithmes bien définis. En termes de prévention de la transmission, la prise en charge des patients diarrhéiques (c’est-à-dire présentant plus de 3 selles quotidiennes non moulées) et pour lesquels la recherche des toxines est positive par test antigénique ou par PCR ne pose pas de problème : les précautions complémentaires spécifiques C. difficile doivent être prescrites et mises en place. L’eau de Javel et les dérivés peroxygénés sporicides sont des désinfectants de surface de choix. Le traitement antibiotique n’est pas basé sur la réalisation d’un antibiogramme. Le suivi de la guérison est clinique : il ne faut pas réaliser de test microbiologique de contrôle. Chez les patients asymptomatiques, le portage de souche toxinogène est possible ; la prévalence varie de 3,9 à 5,8%. Leur dépistage n’est néanmoins pas recommandé. La prise en charge de ces porteurs asymptomatiques n’est pas standardisée. Il semble prudent de les maintenir en chambre individuelle s’ils doivent bénéficier d’une antibiothérapie puisque la probabilité pour ces patients de développer une infection est particulièrement élevée. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=54508 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T010198 HYG Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Maîtrise du risque infectieux lié aux légionelles : place et limites de la recherche de légionelles dans l'eau chaude sanitaire par les laboratoires / Sara Romano-Bertrand in Hygiènes, vol. 31, n°2 (mai 2023)
PermalinkLes prélèvements de surface pour la recherche ciblée de micro-organismes spécifiques : intérêts et limites / Sara Romano-Bertrand ; Bruno Pozzetto ; Jean-Winoc Decousser in Hygiènes, Vol. XXXI, n°1 (Mars 2023)
PermalinkPseudomonas aeruginosa : de l’environnement hospitalier aux infections associées aux soins / Maxine Virieux-Petit ; Jean-Winoc Decousser ; Bruno Pozzetto ; Sara Romano-Bertrand in Hygiènes, Vol. XXXII, n°3 (Juillet 2024)
PermalinkPseudomonas aeruginosa : de l’environnement hospitalier aux infections associées aux soins / Maxine Virieux-Petit ; Jean-Winoc Decousser ; Bruno Pozzetto ; Sara Romano-Bertrand in Hygiènes, Vol. XXXII, n°3 (Juillet 2024)
PermalinkRecommandations pour la prévention des infections liées aux cathéters veineux centraux utilisés pour la nutrition parentérale en néonatologie / Michèle Aggoune in Hygiènes, Vol. XXVIII, N°2 (Mai 2020)
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