Addiction aux jeux d’argent et personnes âgées / P. Thomas in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie), 111 (Juin 2019)

Public ISBD [article]  inNPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > 111 (Juin 2019) . - p. 137-143 Titre : Addiction aux jeux d’argent et personnes âgées Type de document : texte imprimé Auteurs : P. Thomas ; Gérard CHANDES ; N. Couegnias ; Cyril Hazif-Thomas Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 137-143 Note générale : Doi : 10.1016/j.npg.2019.01.006 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha A:Addiction ; J:Jeu en ligne ; J:Jeu pathologique ; M:Motivation ; P:Personne âgée Résumé : L’addiction aux jeux d’argent chez les personnes âgées n’est pas un phénomène nouveau, mais il tend à se développer, exposant les plus vulnérables à une aggravation de leurs difficultés économiques. Nous présentons dans cet article les ressorts motivationnels conduisant progressivement du plaisir de jouer à l’addiction. L’addiction renvoie à des fonctionnements de la personne parfois installés chez elle de longue date ou dans sa famille. Si dans le jeu plaisir l’agentivité de la personne et sa liberté de retrait sont respectées, celles-ci s’effacent dans le jeu excessif et disparaissent dans l’addiction. La société moderne a ses propres responsabilités, valorisant l’acquisition de sommes importantes sans mérite personnel. Le développement des moyens de jouer à distance et la facilitation des moyens électroniques de paiement deviennent de plus en plus accessibles aux tranches d’âges élevées qui sont de plus en plus habituées à les utiliser. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41417 [article] Addiction aux jeux d’argent et personnes âgées [texte imprimé] / P. Thomas ; Gérard CHANDES ; N. Couegnias ; Cyril Hazif-Thomas . - 2019 . - p. 137-143. Doi : 10.1016/j.npg.2019.01.006 Langues : Français (fre) in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > 111 (Juin 2019) . - p. 137-143 Catégories : Alpha A:Addiction ; J:Jeu en ligne ; J:Jeu pathologique ; M:Motivation ; P:Personne âgée Résumé : L’addiction aux jeux d’argent chez les personnes âgées n’est pas un phénomène nouveau, mais il tend à se développer, exposant les plus vulnérables à une aggravation de leurs difficultés économiques. Nous présentons dans cet article les ressorts motivationnels conduisant progressivement du plaisir de jouer à l’addiction. L’addiction renvoie à des fonctionnements de la personne parfois installés chez elle de longue date ou dans sa famille. Si dans le jeu plaisir l’agentivité de la personne et sa liberté de retrait sont respectées, celles-ci s’effacent dans le jeu excessif et disparaissent dans l’addiction. La société moderne a ses propres responsabilités, valorisant l’acquisition de sommes importantes sans mérite personnel. Le développement des moyens de jouer à distance et la facilitation des moyens électroniques de paiement deviennent de plus en plus accessibles aux tranches d’âges élevées qui sont de plus en plus habituées à les utiliser. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41417

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Le temps vécu par le patient Alzheimer, ou quand les « yeux cognitifs » ne voient plus l’avenir ! / P. Thomas ; G. Chandès ; N. Couegnias ; Cyril Hazif-Thomas in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie), Vol. 21, n°121 (Février 2021)

Public ISBD [article]  inNPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > Vol. 21, n°121 (Février 2021) . - p. 42-51 Titre : Le temps vécu par le patient Alzheimer, ou quand les « yeux cognitifs » ne voient plus l’avenir ! Type de document : texte imprimé Auteurs : P. Thomas, Auteur ; G. Chandès, Auteur ; N. Couegnias, Auteur ; Cyril Hazif-Thomas, Auteur Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 42-51 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha A:Alzheimer (maladie) ; D:Démence ; P:Psychogériatrie ; P:Psychologie ; S:Sémiotique ; T:Temps Résumé : Résumé La maladie d’Alzheimer touche de façon caractéristique la mémoire et principalement la mémoire à long terme. Elle altère le jugement et le langage, tout aussi nécessaires que la mémoire pour l’inscription du malade dans le temps quotidien. Cette inscription temporelle échappe peu à peu au malade avec l’évolution de la maladie et, lorsqu’il en est conscient, il en souffre. Dans les premiers stades de la maladie, il lutte pour maintenir une vie adaptée au quotidien, puis, il s’adapte en gérant du mieux qu’il le peut, les bribes mnésiques qui lui sont encore accessibles. Dans un second temps, il lâche prise, entamant une régression psychomotrice. Nous décrivons, dans cet article, les tensions psychologiques qui l’assaillent jusqu’au moment où il ne peut plus lutter. Nous nous appuyons, ici, sur les mécanismes psychiques permettant au patient de construire une signification de son environnement tel qu’il peut le percevoir et le vivre. D’autres dimensions temporelles lui sont cependant accessibles, ouvertes par des analogons ou des relations empathiques, dans lesquelles les enjeux temporels échappent à sa volonté et lui permettent un certain bien-être. Le texte complet de cet article est disponible en PDF. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=46037 [article] Le temps vécu par le patient Alzheimer, ou quand les « yeux cognitifs » ne voient plus l’avenir ! [texte imprimé] / P. Thomas, Auteur ; G. Chandès, Auteur ; N. Couegnias, Auteur ; Cyril Hazif-Thomas, Auteur . - 2021 . - p. 42-51. Langues : Français (fre) in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > Vol. 21, n°121 (Février 2021) . - p. 42-51 Catégories : Alpha A:Alzheimer (maladie) ; D:Démence ; P:Psychogériatrie ; P:Psychologie ; S:Sémiotique ; T:Temps Résumé : Résumé La maladie d’Alzheimer touche de façon caractéristique la mémoire et principalement la mémoire à long terme. Elle altère le jugement et le langage, tout aussi nécessaires que la mémoire pour l’inscription du malade dans le temps quotidien. Cette inscription temporelle échappe peu à peu au malade avec l’évolution de la maladie et, lorsqu’il en est conscient, il en souffre. Dans les premiers stades de la maladie, il lutte pour maintenir une vie adaptée au quotidien, puis, il s’adapte en gérant du mieux qu’il le peut, les bribes mnésiques qui lui sont encore accessibles. Dans un second temps, il lâche prise, entamant une régression psychomotrice. Nous décrivons, dans cet article, les tensions psychologiques qui l’assaillent jusqu’au moment où il ne peut plus lutter. Nous nous appuyons, ici, sur les mécanismes psychiques permettant au patient de construire une signification de son environnement tel qu’il peut le percevoir et le vivre. D’autres dimensions temporelles lui sont cependant accessibles, ouvertes par des analogons ou des relations empathiques, dans lesquelles les enjeux temporels échappent à sa volonté et lui permettent un certain bien-être. Le texte complet de cet article est disponible en PDF. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=46037

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