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Semaine du 02/12 à Tournai : Horaire habituel.
Semaine du 18/11 à Mouscron : Horaire habituel
Semaine du 25/11 à Mouscron : Lundi: ouverture à 10h30.
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Détail de l'auteur
Auteur Jean-Marie Serot |
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Campagne de vacination contre la COVID-19 à Saint-Quentin : enquête sur les motivations de la population de plus de 70 ans / Jadwiga Attier-Zmudka in La revue de gériatrie, vol. 47, n°5 (mai 2022)
[article]
Titre : Campagne de vacination contre la COVID-19 à Saint-Quentin : enquête sur les motivations de la population de plus de 70 ans Type de document : texte imprimé Auteurs : Jadwiga Attier-Zmudka ; Khelifa Hamouchi ; Amokrane Ameur ; Amal Bensaida ; Béatrice Berteaux ; Jean-Marie Serot ; Pierre Jouanny Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 197-203 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Acceptation ; C:Covid-19 ; M:Motivation ; P:Personne âgée ; P:Peur ; V:VaccinationRésumé : Durant les trois premiers mois de la pandémie COVID-19, près de 125 000 personnes âgées ont été touchées et plus de 22 600 en sont décédées. Parmi elles, 90 % avaient plus de 60 ans et 60 % plus de 80 ans. Malgré les mesures prises, notamment les différents confinements, les contaminations ont continué à des rythmes variables sans pour autant s’arrêter. L’arrivée du vaccin un an plus tard est apparue comme la meilleure, voire la seule solution, pour protéger la population. Néanmoins, beaucoup de réticences ont été constatées au début de la campagne de vaccination. Il nous a paru important de comprendre les motivations de la partie de population qui a choisi de se faire vacciner. AUTOCOV est une étude de cohorte prospective multicentrique qui a été mise en place grâce à la collaboration de la municipalité, du centre hospitalier et de la clinique de Saint-Quentin. Des questionnaires de 14 items contenant les questions sur les motivations de la population de plus de 70 ans ont été distribués. Parmi les 640 premiers questionnaires, 625 ont pu être analysés car suffisamment remplis. La majorité de la population vaccinée habitait la ville (55,7 %), 87 % des participants avaient un âge supérieur à 75 ans et 42,7 % un âge supérieur à 80 ans. Il s’agissait dans 52,2 % des cas de femmes, 63,7 % des participants vivaient en couple et 93,6 % avaient des enfants. Légèrement plus de la moitié de la population totale optait pour la vaccination afin de pouvoir revoir ses proches (50,4 % et 55,2 % des femmes) et pour protéger les autres (50,7 %). L’avis des proches était le facteur influençant le plus la décision (39,1 % et jusqu’à 51,4 % chez les participants qui avaient des enfants) devant l’avis du médecin traitant (33,5 %) et les communications nationale et locale (respectivement 28,5 % et 8,5 %). Dans 45,3 % des cas, la prise de décision s’était faite dans les derniers trois mois. La proximité a déterminé le choix du centre de vaccination dans 71,9 % des cas. Une grande majorité de notre population a trouvé l’inscription facile (80,5 %) et la communication locale sur les possibilités d’inscription claire (84,8 %). La majorité était pour le caractère non obligatoire de la vaccination (61,4 %) et plus de 80 % était en faveur d’un passeport vaccinal (80,3 %). Cette étude préliminaire a montré que l’acceptation de la vaccination est déterminée principalement par le désir de revoir ses proches et de protéger les autres. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=49946
in La revue de gériatrie > vol. 47, n°5 (mai 2022) . - p. 197-203[article] Campagne de vacination contre la COVID-19 à Saint-Quentin : enquête sur les motivations de la population de plus de 70 ans [texte imprimé] / Jadwiga Attier-Zmudka ; Khelifa Hamouchi ; Amokrane Ameur ; Amal Bensaida ; Béatrice Berteaux ; Jean-Marie Serot ; Pierre Jouanny . - 2022 . - p. 197-203.
Langues : Français (fre)
in La revue de gériatrie > vol. 47, n°5 (mai 2022) . - p. 197-203
Catégories : Alpha
A:Acceptation ; C:Covid-19 ; M:Motivation ; P:Personne âgée ; P:Peur ; V:VaccinationRésumé : Durant les trois premiers mois de la pandémie COVID-19, près de 125 000 personnes âgées ont été touchées et plus de 22 600 en sont décédées. Parmi elles, 90 % avaient plus de 60 ans et 60 % plus de 80 ans. Malgré les mesures prises, notamment les différents confinements, les contaminations ont continué à des rythmes variables sans pour autant s’arrêter. L’arrivée du vaccin un an plus tard est apparue comme la meilleure, voire la seule solution, pour protéger la population. Néanmoins, beaucoup de réticences ont été constatées au début de la campagne de vaccination. Il nous a paru important de comprendre les motivations de la partie de population qui a choisi de se faire vacciner. AUTOCOV est une étude de cohorte prospective multicentrique qui a été mise en place grâce à la collaboration de la municipalité, du centre hospitalier et de la clinique de Saint-Quentin. Des questionnaires de 14 items contenant les questions sur les motivations de la population de plus de 70 ans ont été distribués. Parmi les 640 premiers questionnaires, 625 ont pu être analysés car suffisamment remplis. La majorité de la population vaccinée habitait la ville (55,7 %), 87 % des participants avaient un âge supérieur à 75 ans et 42,7 % un âge supérieur à 80 ans. Il s’agissait dans 52,2 % des cas de femmes, 63,7 % des participants vivaient en couple et 93,6 % avaient des enfants. Légèrement plus de la moitié de la population totale optait pour la vaccination afin de pouvoir revoir ses proches (50,4 % et 55,2 % des femmes) et pour protéger les autres (50,7 %). L’avis des proches était le facteur influençant le plus la décision (39,1 % et jusqu’à 51,4 % chez les participants qui avaient des enfants) devant l’avis du médecin traitant (33,5 %) et les communications nationale et locale (respectivement 28,5 % et 8,5 %). Dans 45,3 % des cas, la prise de décision s’était faite dans les derniers trois mois. La proximité a déterminé le choix du centre de vaccination dans 71,9 % des cas. Une grande majorité de notre population a trouvé l’inscription facile (80,5 %) et la communication locale sur les possibilités d’inscription claire (84,8 %). La majorité était pour le caractère non obligatoire de la vaccination (61,4 %) et plus de 80 % était en faveur d’un passeport vaccinal (80,3 %). Cette étude préliminaire a montré que l’acceptation de la vaccination est déterminée principalement par le désir de revoir ses proches et de protéger les autres. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=49946 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Le Maréchal Pétain souffrait-il d’une affection neuro-dégénérative dès juin 1940 ? / Jean-Marie Serot in La revue de gériatrie, Tome 43, 10 (Décembre 2018)
[article]
Titre : Le Maréchal Pétain souffrait-il d’une affection neuro-dégénérative dès juin 1940 ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Marie Serot, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p.621-627 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Alzheimer (maladie) ; C:Cognition ; G:Gériatrie ; G:Guerre ; M:Maladie neurodégénérative ; R:ResponsabilitéRésumé : En juin 1940, le maréchal Pétain est accueilli comme un sauveur, cinq ans plus tard il est condamné à mort et emprisonné à l’île d’Yeu où il décède « complètement sénile ». Une lecture avec un regard médical des nombreux livres qui lui sont consacrés révèle de multiples faits suspects. En les regroupant il devient possible d’affirmer a posteriori que Philippe Pétain souffrait d’une affection neurodégénérative dont les premiers signes sont apparus dès 1930. En l’absence d’examens cliniques et para-cliniques un diagnostic de certitude n’est pas envisageable. Cependant la nature des troubles, la chronologie de leur apparition, la lenteur d’évolution sans à-coups, la persistance d’un pas normal, l’absence de facteurs de risque vasculaire et le grand âge du patient sont en faveur d’une maladie d’Alzheimer au stade de syndrome neurocognitif mineur déjà bien évolué en juin 1940 et au stade de syndrome neurocognitif majeur dès
1942. La connaissance de cette affection donne un éclairage nouveau sur le comportement de Pétain lors de la dernière guerre.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40284
in La revue de gériatrie > Tome 43, 10 (Décembre 2018) . - p.621-627[article] Le Maréchal Pétain souffrait-il d’une affection neuro-dégénérative dès juin 1940 ? [texte imprimé] / Jean-Marie Serot, Auteur . - 2018 . - p.621-627.
Langues : Français (fre)
in La revue de gériatrie > Tome 43, 10 (Décembre 2018) . - p.621-627
Catégories : Alpha
A:Alzheimer (maladie) ; C:Cognition ; G:Gériatrie ; G:Guerre ; M:Maladie neurodégénérative ; R:ResponsabilitéRésumé : En juin 1940, le maréchal Pétain est accueilli comme un sauveur, cinq ans plus tard il est condamné à mort et emprisonné à l’île d’Yeu où il décède « complètement sénile ». Une lecture avec un regard médical des nombreux livres qui lui sont consacrés révèle de multiples faits suspects. En les regroupant il devient possible d’affirmer a posteriori que Philippe Pétain souffrait d’une affection neurodégénérative dont les premiers signes sont apparus dès 1930. En l’absence d’examens cliniques et para-cliniques un diagnostic de certitude n’est pas envisageable. Cependant la nature des troubles, la chronologie de leur apparition, la lenteur d’évolution sans à-coups, la persistance d’un pas normal, l’absence de facteurs de risque vasculaire et le grand âge du patient sont en faveur d’une maladie d’Alzheimer au stade de syndrome neurocognitif mineur déjà bien évolué en juin 1940 et au stade de syndrome neurocognitif majeur dès
1942. La connaissance de cette affection donne un éclairage nouveau sur le comportement de Pétain lors de la dernière guerre.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40284 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T008154 REV Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible