Évaluation du chariot Snoezelen chez des patients déments sévères hospitalisés en SSR et en SLD / Allemang-Trivalle.A ; K. Belfihadj ; Walus.A ; Bruniaux.G ; Manguin.N ; Villenfin.c ; Cutman.C ; Moulin.E ; Mazeirac.V ; C. Cedat ; Hardy.M-N ; C. Trivalle in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie), Vol. 21, n°121 (Février 2021)

Public ISBD [article]  inNPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > Vol. 21, n°121 (Février 2021) . - p. 4-10 Titre : Évaluation du chariot Snoezelen chez des patients déments sévères hospitalisés en SSR et en SLD Type de document : texte imprimé Auteurs : Allemang-Trivalle.A, Auteur ; K. Belfihadj, Auteur ; Walus.A, Auteur ; Bruniaux.G, Auteur ; Manguin.N, Auteur ; Villenfin.c, Auteur ; Cutman.C, Auteur ; Moulin.E, Auteur ; Mazeirac.V, Auteur ; C. Cedat, Auteur ; Hardy.M-N, Auteur ; C. Trivalle, Auteur Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 4-10 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha A:Agitation ; A:Alzheimer (maladie) ; A:Anxiété ; D:Démence ; E:Emotion ; I:intervention non médicamenteuse ; P:Personne âgée ; R:Relaxation ; S:Snoezelen ; T:Trouble du comportement Résumé : Les méthodes de stimulation multisensorielle principalement représentées par le concept de Snoezelen sont de plus en plus utilisées comme thérapeutique non médicamenteuse dans les troubles du comportement liés à la maladie d’Alzheimer et aux pathologies apparentées. À ce jour, les études sur leur efficacité restent contradictoires. Dans ce travail, nous avons évalué l’impact, sur une séance test, d’un chariot Snoezelen chez des patients hospitalisés en SSR et en SLD atteints de démence sévère et présentant des troubles du comportement à type d’agitation ou d’anxiété. Sur une période de trois mois, 97 patients (55 en SLD et 42 en SSR) ont pu bénéficier d’au moins une séance. L’impact des séances a été mesuré avant, pendant et après à l’aide d’une échelle d’expression émotionnelle du visage allant de 1 (joie) à 7 (chagrin). Le score moyen est passé de 4,7 avant la séance à 3,1 après (p<0,0001) en SLD et de 4,5 à 3,1 (p<0,0001) en SSR. Parmi les commentaires des observateurs lors de chaque séance, les mots qui revenaient le plus souvent étaient « relaxé » et « endormi ». Nos résultats confirment un effet immédiat du chariot Snoezelen sur les troubles du comportement à type d’agitation ou d’anxiété dans les démences sévères. Cet effet de courte durée, de type « ici et maintenant », passe principalement par la relaxation induite par les séances. Le texte complet de cet article est disponible en PDF. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=46032 [article] Évaluation du chariot Snoezelen chez des patients déments sévères hospitalisés en SSR et en SLD [texte imprimé] / Allemang-Trivalle.A, Auteur ; K. Belfihadj, Auteur ; Walus.A, Auteur ; Bruniaux.G, Auteur ; Manguin.N, Auteur ; Villenfin.c, Auteur ; Cutman.C, Auteur ; Moulin.E, Auteur ; Mazeirac.V, Auteur ; C. Cedat, Auteur ; Hardy.M-N, Auteur ; C. Trivalle, Auteur . - 2021 . - p. 4-10. Langues : Français (fre) in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > Vol. 21, n°121 (Février 2021) . - p. 4-10 Catégories : Alpha A:Agitation ; A:Alzheimer (maladie) ; A:Anxiété ; D:Démence ; E:Emotion ; I:intervention non médicamenteuse ; P:Personne âgée ; R:Relaxation ; S:Snoezelen ; T:Trouble du comportement Résumé : Les méthodes de stimulation multisensorielle principalement représentées par le concept de Snoezelen sont de plus en plus utilisées comme thérapeutique non médicamenteuse dans les troubles du comportement liés à la maladie d’Alzheimer et aux pathologies apparentées. À ce jour, les études sur leur efficacité restent contradictoires. Dans ce travail, nous avons évalué l’impact, sur une séance test, d’un chariot Snoezelen chez des patients hospitalisés en SSR et en SLD atteints de démence sévère et présentant des troubles du comportement à type d’agitation ou d’anxiété. Sur une période de trois mois, 97 patients (55 en SLD et 42 en SSR) ont pu bénéficier d’au moins une séance. L’impact des séances a été mesuré avant, pendant et après à l’aide d’une échelle d’expression émotionnelle du visage allant de 1 (joie) à 7 (chagrin). Le score moyen est passé de 4,7 avant la séance à 3,1 après (p<0,0001) en SLD et de 4,5 à 3,1 (p<0,0001) en SSR. Parmi les commentaires des observateurs lors de chaque séance, les mots qui revenaient le plus souvent étaient « relaxé » et « endormi ». Nos résultats confirment un effet immédiat du chariot Snoezelen sur les troubles du comportement à type d’agitation ou d’anxiété dans les démences sévères. Cet effet de courte durée, de type « ici et maintenant », passe principalement par la relaxation induite par les séances. Le texte complet de cet article est disponible en PDF. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=46032

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Code-barres	Cote	Support	Localisation	Section	Disponibilité
T008992	NPG	Revue	Tournai	Soins infirmiers (T)	Disponible

Prise en soins de la douleur en EHPAD / K. Belfihadj in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie), 106 (août 2018)

Public ISBD [article]  inNPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > 106 (août 2018) . - p. 218-225 Titre : Prise en soins de la douleur en EHPAD Type de document : texte imprimé Auteurs : K. Belfihadj Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 218-225 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha A:Antalgique ; D:Douleur ; M:Maison de repos et de soins ; P:Personne âgée Résumé : La prévalence de la douleur augmente avec l'âge. Pour ces patients souvent fragiles, polypathologiques et polymédiqués, l'évaluation du bénéfice/risque des traitements paraît primordiale. L'Organisation Mondiale de la Santé a établi une échelle d'utilisation des analgésiques. Le principe dominant étant que l'inefficacité d'un antalgique commande le passage au palier supérieur. Le but de notre travail était d'étudier la place accordée aux antalgiques de palier II par les médecins exerçant en établissement d'hébergement pour personnes agées dépendantes (EHPAD) dans la stratégie thérapeutique d'une douleur nociceptive. Nous avons réalisé une étude observationnelle, déclarative, descriptive, qualitative et quantitative, à partir de questionnaires adressés par courriel à 77 médecins exerçant en EHPAD dans le département du Maine et Loire. Dix-huit pour cent des médecins (n=13) ont répondu. Les antalgiques de palier II étaient peu utilisés dans les EHPAD. Ils trouvaient leur place en troisième position bien après le paracétamol et les antalgiques de palier III. Le recours aux antalgiques de palier III à doses très faibles avec augmentation progressive était l'attitude la plus courante. Le motif principal de réticence quant à l'utilisation des antalgiques de palier II était leur mauvaise tolérance. L'antalgique de palier II privilégié était l'association paracétamol/poudre d'opium/caféine (Lamaline) pour 60 % des médecins qui les utilisaient, soit 46 % de l'ensemble des médecins ayant participé à l'étude. Une étude plus large pourrait permettre de se prononcer définitivement. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=39171 [article] Prise en soins de la douleur en EHPAD [texte imprimé] / K. Belfihadj . - 2018 . - p. 218-225. Langues : Français (fre) in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > 106 (août 2018) . - p. 218-225 Catégories : Alpha A:Antalgique ; D:Douleur ; M:Maison de repos et de soins ; P:Personne âgée Résumé : La prévalence de la douleur augmente avec l'âge. Pour ces patients souvent fragiles, polypathologiques et polymédiqués, l'évaluation du bénéfice/risque des traitements paraît primordiale. L'Organisation Mondiale de la Santé a établi une échelle d'utilisation des analgésiques. Le principe dominant étant que l'inefficacité d'un antalgique commande le passage au palier supérieur. Le but de notre travail était d'étudier la place accordée aux antalgiques de palier II par les médecins exerçant en établissement d'hébergement pour personnes agées dépendantes (EHPAD) dans la stratégie thérapeutique d'une douleur nociceptive. Nous avons réalisé une étude observationnelle, déclarative, descriptive, qualitative et quantitative, à partir de questionnaires adressés par courriel à 77 médecins exerçant en EHPAD dans le département du Maine et Loire. Dix-huit pour cent des médecins (n=13) ont répondu. Les antalgiques de palier II étaient peu utilisés dans les EHPAD. Ils trouvaient leur place en troisième position bien après le paracétamol et les antalgiques de palier III. Le recours aux antalgiques de palier III à doses très faibles avec augmentation progressive était l'attitude la plus courante. Le motif principal de réticence quant à l'utilisation des antalgiques de palier II était leur mauvaise tolérance. L'antalgique de palier II privilégié était l'association paracétamol/poudre d'opium/caféine (Lamaline) pour 60 % des médecins qui les utilisaient, soit 46 % de l'ensemble des médecins ayant participé à l'étude. Une étude plus large pourrait permettre de se prononcer définitivement. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=39171

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T008007	NPG	Revue	Tournai	Soins infirmiers (T)	Perdu Exclu du prêt

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