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Auteur Gisèle Chvetzoff |
Documents disponibles écrits par cet auteur



Concilier technique et accompagnement humain en soins palliatifs / Gisèle Chvetzoff in Médecine palliative, vol. 17, n° 3 (juin 2018)
[article]
Titre : Concilier technique et accompagnement humain en soins palliatifs : une obstination raisonnable ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Gisèle Chvetzoff Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 173-176 Note générale : Doi : 10.1016/j.medpal.2018.02.001 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Accompagnement de la fin de vie ; A:Accompagnement du patient ; A:Acharnement thérapeutique ; A:Approche humaniste ; F:Fin de vie ; I:Incertitude ; S:Soins palliatifsRésumé : La loi Leonetti a introduit dans le droit français la notion d’obstination déraisonnable. Celle-ci suggère que si elle est parfois déraisonnable, l’obstination est nécessaire et le plus souvent raisonnable, base de tout exercice médical et soignant. C’est le cas également en soins palliatifs. Obstination dans la compréhension de ce que le patient demande, ce qu’il présente, ce qu’il vit, ce qu’il est. Obstination dans la compréhension de ce que nous sommes en tant que professionnels et de nos interactions avec le patient et ses proches ou entre nous. Obstination dans la connaissance et la maîtrise des outils techniques, sans fascination aveugle devant une technique que l’on voudrait toute-puissante, ni refus de cette même technique au motif que la mort est naturelle. Obstination enfin dans la recherche, puis la prise ou l’acceptation de décisions toujours incertaines, imparfaites, mais qui sont le lieu même de la créativité et de la vitalité de la pluridisciplinarité au service de la relation médecin-malade. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=38519
in Médecine palliative > vol. 17, n° 3 (juin 2018) . - p. 173-176[article] Concilier technique et accompagnement humain en soins palliatifs : une obstination raisonnable ? [texte imprimé] / Gisèle Chvetzoff . - 2018 . - p. 173-176.
Doi : 10.1016/j.medpal.2018.02.001
Langues : Français (fre)
in Médecine palliative > vol. 17, n° 3 (juin 2018) . - p. 173-176
Catégories : Alpha
A:Accompagnement de la fin de vie ; A:Accompagnement du patient ; A:Acharnement thérapeutique ; A:Approche humaniste ; F:Fin de vie ; I:Incertitude ; S:Soins palliatifsRésumé : La loi Leonetti a introduit dans le droit français la notion d’obstination déraisonnable. Celle-ci suggère que si elle est parfois déraisonnable, l’obstination est nécessaire et le plus souvent raisonnable, base de tout exercice médical et soignant. C’est le cas également en soins palliatifs. Obstination dans la compréhension de ce que le patient demande, ce qu’il présente, ce qu’il vit, ce qu’il est. Obstination dans la compréhension de ce que nous sommes en tant que professionnels et de nos interactions avec le patient et ses proches ou entre nous. Obstination dans la connaissance et la maîtrise des outils techniques, sans fascination aveugle devant une technique que l’on voudrait toute-puissante, ni refus de cette même technique au motif que la mort est naturelle. Obstination enfin dans la recherche, puis la prise ou l’acceptation de décisions toujours incertaines, imparfaites, mais qui sont le lieu même de la créativité et de la vitalité de la pluridisciplinarité au service de la relation médecin-malade. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=38519 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T007868 MED Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Entre sentiment d’impuissance et passage à l’acte : Réintroduire de la complexité en soins palliatifs / Gisèle Chvetzoff in Médecine palliative, Vol. 23, n°6 (novembre 2024)
[article]
Titre : Entre sentiment d’impuissance et passage à l’acte : Réintroduire de la complexité en soins palliatifs Type de document : texte imprimé Auteurs : Gisèle Chvetzoff Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 290-295 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Aide médicale à mourir (en France, selon la loi du 2 février 2016) ; C:Complexité dans les soins ; D:Désir de mourir ; E:Ecoute ; F:France ; I:Impuissance ; L:Limitation et arrêt de traitement ; S:Sédation profonde et continue jusqu'au décès ; S:Soins palliatifsRésumé : Les débats récents autour d’une éventuelle loi autorisant l’aide active à mourir en France ont réduit les enjeux des soins palliatifs et de la fin de vie à cette seule question. Pourtant, l’exercice en soins palliatifs montre à quel point ces enjeux, d’une part, et cet exercice, d’autre part, sont complexes. À partir de la notion de pensée complexe d’Edgar Morin, nous proposons d’explorer la complexité en soins palliatifs, qu’elle concerne les fondements de la décision médicale, la relation soignante, ou encore le travail d’équipe. Nous la confrontons aussi aux questions que nous pensons parfois avoir réglées, mais qui doivent continuer à nous interroger : que veut dire entendre une demande de mort anticipée ? Quels sont les enjeux de pouvoir dans nos pratiques ? La médecine contemporaine peut-elle garder un droit ou même un devoir d’impuissance ? Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=56239
in Médecine palliative > Vol. 23, n°6 (novembre 2024) . - p. 290-295[article] Entre sentiment d’impuissance et passage à l’acte : Réintroduire de la complexité en soins palliatifs [texte imprimé] / Gisèle Chvetzoff . - 2024 . - p. 290-295.
Langues : Français (fre)
in Médecine palliative > Vol. 23, n°6 (novembre 2024) . - p. 290-295
Catégories : Alpha
A:Aide médicale à mourir (en France, selon la loi du 2 février 2016) ; C:Complexité dans les soins ; D:Désir de mourir ; E:Ecoute ; F:France ; I:Impuissance ; L:Limitation et arrêt de traitement ; S:Sédation profonde et continue jusqu'au décès ; S:Soins palliatifsRésumé : Les débats récents autour d’une éventuelle loi autorisant l’aide active à mourir en France ont réduit les enjeux des soins palliatifs et de la fin de vie à cette seule question. Pourtant, l’exercice en soins palliatifs montre à quel point ces enjeux, d’une part, et cet exercice, d’autre part, sont complexes. À partir de la notion de pensée complexe d’Edgar Morin, nous proposons d’explorer la complexité en soins palliatifs, qu’elle concerne les fondements de la décision médicale, la relation soignante, ou encore le travail d’équipe. Nous la confrontons aussi aux questions que nous pensons parfois avoir réglées, mais qui doivent continuer à nous interroger : que veut dire entendre une demande de mort anticipée ? Quels sont les enjeux de pouvoir dans nos pratiques ? La médecine contemporaine peut-elle garder un droit ou même un devoir d’impuissance ? Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=56239 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T010527 MED Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible L’éthique du soignant face à la demande de mourir / Roland Chvetzoff ; Bénédicte Mastroianni ; Carole Bouleuc ; Gisèle Chvetzoff in Médecine palliative, Vol. 23, n°5 (Septembre 2024)
[article]
Titre : L’éthique du soignant face à la demande de mourir Type de document : texte imprimé Auteurs : Roland Chvetzoff, Auteur ; Bénédicte Mastroianni, Auteur ; Carole Bouleuc, Auteur ; Gisèle Chvetzoff, Auteur Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 253-257 Note générale : Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
D:Demande d'euthanasie ; D:Droits et libertés individuels ; E:Ethique clinique ; F:Fin de vie ; L:Législation ; R:Relation soignant-soigné ; S:Société ; S:Suicide assistéRésumé : Le projet de légalisation de l’euthanasie et du suicide assisté, désormais dénommés aide à mourir, inquiète de nombreux soignants pour lesquels « donner la mort n’est pas un soin ». Pour d’autres, l’aide à mourir constitue un progrès sociétal. Mais devant toute demande manifeste de mourir, se cachent toujours des désirs latents que les professionnels de soins palliatifs auront à questionner, confrontés à leur propre pulsion de mort, celle des patients et de leurs proches, celle de la société. La légalisation de l’aide à mourir peut en effet s’entendre comme l’expression d’un néolibéralisme qui nécessite que les équipes soignantes soient encore capables d’incarner la loi symbolique de l’interdit fondamental du meurtre, même si le législateur lui accorde des exceptions. Si meurtre il doit y avoir du côté des soignants, c’est avant tout un meurtre symbolique : celui du patient idéalisé du bien vieillir, du bien mourir, du bien naître. C’est aussi, paradoxalement, celui du « trop bon soignant ». À défaut, par un excès de culpabilité soignante et une défaite de la pensée, le patient risque d’être tué dans le réel… Mais ainsi en est-il du tragique de la vie. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=55750
in Médecine palliative > Vol. 23, n°5 (Septembre 2024) . - p. 253-257[article] L’éthique du soignant face à la demande de mourir [texte imprimé] / Roland Chvetzoff, Auteur ; Bénédicte Mastroianni, Auteur ; Carole Bouleuc, Auteur ; Gisèle Chvetzoff, Auteur . - 2024 . - p. 253-257.
Langues : Français (fre)
in Médecine palliative > Vol. 23, n°5 (Septembre 2024) . - p. 253-257
Catégories : Alpha
D:Demande d'euthanasie ; D:Droits et libertés individuels ; E:Ethique clinique ; F:Fin de vie ; L:Législation ; R:Relation soignant-soigné ; S:Société ; S:Suicide assistéRésumé : Le projet de légalisation de l’euthanasie et du suicide assisté, désormais dénommés aide à mourir, inquiète de nombreux soignants pour lesquels « donner la mort n’est pas un soin ». Pour d’autres, l’aide à mourir constitue un progrès sociétal. Mais devant toute demande manifeste de mourir, se cachent toujours des désirs latents que les professionnels de soins palliatifs auront à questionner, confrontés à leur propre pulsion de mort, celle des patients et de leurs proches, celle de la société. La légalisation de l’aide à mourir peut en effet s’entendre comme l’expression d’un néolibéralisme qui nécessite que les équipes soignantes soient encore capables d’incarner la loi symbolique de l’interdit fondamental du meurtre, même si le législateur lui accorde des exceptions. Si meurtre il doit y avoir du côté des soignants, c’est avant tout un meurtre symbolique : celui du patient idéalisé du bien vieillir, du bien mourir, du bien naître. C’est aussi, paradoxalement, celui du « trop bon soignant ». À défaut, par un excès de culpabilité soignante et une défaite de la pensée, le patient risque d’être tué dans le réel… Mais ainsi en est-il du tragique de la vie. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=55750 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T010341 MED Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Fin de vie et temps ultime : qu’en disent les malades ? / Isabelle Chazot in Ethique & Santé, Vol. 13, 3 (Septembre 2016)
[article]
Titre : Fin de vie et temps ultime : qu’en disent les malades ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Isabelle Chazot ; J. Henry ; Gisèle Chvetzoff Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 149-155 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Accompagnement de la fin de vie ; A:Accompagnement du patient ; E:Ethique ; F:Fin de vie ; P:Patient ; T:Témoignage ; T:Temporalité ; T:TempsRésumé : « D’après vous, docteur, j’en ai pour combien de temps ? » : à partir de cette question prononcée par des malades parvenus en fin de vie, nous avons exploré ce temps en conduisant des entretiens auprès de patients hospitalisés en unité de soins palliatifs. L’idée majeure était d’analyser qualitativement le temps à partir de leur vécu. Sur fond d’homogénéité, apparaît une grande hétérogénéité : il existe une grande variabilité exprimée dans les propos, mais également selon les moments de la journée. Cette dualité résonne avec les fondements anthropologiques et philosophiques de l’homme et fait également écho avec le caractère incertain de nos vies : si le temps est compté, incertaines sont les modalités, ouvrant ainsi le travail de la pensée. Les malades disent que ne pas souffrir et vivre relié leur permettent de trouver du sens à ce temps de vie ; alors le défi à relever pour les soignants doit être de penser le soin. Ceci en sortant du balancier : d’un extrême – le biomédical – à l’autre – l’accompagnement – et de rouvrir la réflexion sur le rapport entre technique et « humanité » dans les pratiques. Enfin, les patients ont exprimé une temporalité au présent, reliée au passé et tournée vers l’avenir. Ainsi en élaborant un récit, le sujet se réapproprie une « identité narrative » : singularité conjuguée à la relation soignante qui se cherche au quotidien dans une éthique formulée sous le mode d’un questionnement non résolu, entre limites du savoir et du pouvoir, ceci jusqu’au dernier souffle de vie. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40734
in Ethique & Santé > Vol. 13, 3 (Septembre 2016) . - p. 149-155[article] Fin de vie et temps ultime : qu’en disent les malades ? [texte imprimé] / Isabelle Chazot ; J. Henry ; Gisèle Chvetzoff . - 2016 . - p. 149-155.
Langues : Français (fre)
in Ethique & Santé > Vol. 13, 3 (Septembre 2016) . - p. 149-155
Catégories : Alpha
A:Accompagnement de la fin de vie ; A:Accompagnement du patient ; E:Ethique ; F:Fin de vie ; P:Patient ; T:Témoignage ; T:Temporalité ; T:TempsRésumé : « D’après vous, docteur, j’en ai pour combien de temps ? » : à partir de cette question prononcée par des malades parvenus en fin de vie, nous avons exploré ce temps en conduisant des entretiens auprès de patients hospitalisés en unité de soins palliatifs. L’idée majeure était d’analyser qualitativement le temps à partir de leur vécu. Sur fond d’homogénéité, apparaît une grande hétérogénéité : il existe une grande variabilité exprimée dans les propos, mais également selon les moments de la journée. Cette dualité résonne avec les fondements anthropologiques et philosophiques de l’homme et fait également écho avec le caractère incertain de nos vies : si le temps est compté, incertaines sont les modalités, ouvrant ainsi le travail de la pensée. Les malades disent que ne pas souffrir et vivre relié leur permettent de trouver du sens à ce temps de vie ; alors le défi à relever pour les soignants doit être de penser le soin. Ceci en sortant du balancier : d’un extrême – le biomédical – à l’autre – l’accompagnement – et de rouvrir la réflexion sur le rapport entre technique et « humanité » dans les pratiques. Enfin, les patients ont exprimé une temporalité au présent, reliée au passé et tournée vers l’avenir. Ainsi en élaborant un récit, le sujet se réapproprie une « identité narrative » : singularité conjuguée à la relation soignante qui se cherche au quotidien dans une éthique formulée sous le mode d’un questionnement non résolu, entre limites du savoir et du pouvoir, ceci jusqu’au dernier souffle de vie. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40734 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T008227 ETH Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible L’illusion de la « bonne mort », ou la pathologie de l’imaginaire / Roland Chvetzoff in Ethique & Santé, Vol. 15, 4 (Décembre 2018)
[article]
Titre : L’illusion de la « bonne mort », ou la pathologie de l’imaginaire Type de document : texte imprimé Auteurs : Roland Chvetzoff, Auteur ; Gisèle Chvetzoff, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p.233-237 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
B:Bonne mort ; E:Ethique ; E:Euthanasie ; F:Fin de vie ; I:Imaginaire ; M:Mort ; R:Représentation sociale ; S:Sédation profonde et continue jusqu'au décès ; S:Soins palliatifs ; S:Suicide assistéRésumé : La question de la « bonne mort » et des moyens pour y parvenir (soins palliatifs, sédation profonde, euthanasie, suicide assisté) nourrit les nombreuses conférences citoyennes organisées en 2018 par les États généraux de la Bioéthique. En filigrane de ces questions, apparaît le paradoxe fondateur de la médecine : demander à un médecin ou à un soignant, dont la mission est de lutter contre la nature pour guérir et prolonger la vie de son malade, d’abréger ou d’aider à abréger la vie au nom d’une « bonne mort ». Dans notre société démocratique sécularisée, le concept de mort bonne véhicule avec lui des images et un imaginaire qui appellent à la méfiance et à la prudence face aux institutions et autorités qui prétendent rendre l’humanité meilleure. Réduire cette discussion à une rhétorique sophistique reviendrait à tuer les débats et in fine à affaiblir la démocratie. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=39928
in Ethique & Santé > Vol. 15, 4 (Décembre 2018) . - p.233-237[article] L’illusion de la « bonne mort », ou la pathologie de l’imaginaire [texte imprimé] / Roland Chvetzoff, Auteur ; Gisèle Chvetzoff, Auteur . - 2018 . - p.233-237.
Langues : Français (fre)
in Ethique & Santé > Vol. 15, 4 (Décembre 2018) . - p.233-237
Catégories : Alpha
B:Bonne mort ; E:Ethique ; E:Euthanasie ; F:Fin de vie ; I:Imaginaire ; M:Mort ; R:Représentation sociale ; S:Sédation profonde et continue jusqu'au décès ; S:Soins palliatifs ; S:Suicide assistéRésumé : La question de la « bonne mort » et des moyens pour y parvenir (soins palliatifs, sédation profonde, euthanasie, suicide assisté) nourrit les nombreuses conférences citoyennes organisées en 2018 par les États généraux de la Bioéthique. En filigrane de ces questions, apparaît le paradoxe fondateur de la médecine : demander à un médecin ou à un soignant, dont la mission est de lutter contre la nature pour guérir et prolonger la vie de son malade, d’abréger ou d’aider à abréger la vie au nom d’une « bonne mort ». Dans notre société démocratique sécularisée, le concept de mort bonne véhicule avec lui des images et un imaginaire qui appellent à la méfiance et à la prudence face aux institutions et autorités qui prétendent rendre l’humanité meilleure. Réduire cette discussion à une rhétorique sophistique reviendrait à tuer les débats et in fine à affaiblir la démocratie. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=39928 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T008123 ETH Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Mieux soigner les patients atteints de cancer et de Covid-19 en pandémie et au quotidien / Gisèle Chvetzoff ; Julia Barbat ; Virginie Avrillon ; Souad Assad ; Bénédicte Mastroianni in La revue de l'infirmière, 285 (Novembre 2022)
PermalinkLe parcours aidant / Clémence Bouffay ; Gisèle Chvetzoff ; Audrey Couillet ; Béatrice Fervers ; Pauline Vidican ; Valentine Baudry ; Véronique Christophe ; Pascale Sontag ; Olivia Pérol ; Matthias Schell in Jusqu'à la mort accompagner la vie, 152 (Mars 2023)
PermalinkQuoi de neuf docteur : douleur et cancer; actualité 2021 / Gisèle Chvetzoff in Revue internationale de soins palliatifs, vol.35, NS (Juin 2021)
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