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Auteur Olivia Keita-Perse |
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Hygiène des mains et soins : du choix du produit à son utilisation et à sa promotion / Olivia Keita-Perse in Hygiènes, Vol.26, N°1 (Mars 2018)
[article]
Titre : Hygiène des mains et soins : du choix du produit à son utilisation et à sa promotion Type de document : texte imprimé Auteurs : Olivia Keita-Perse ; Chantal Léger Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 1-92 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
G:Gant à usage unique ; H:Hygiène des mains ; L:Lavage des mains ; R:Recommandation pour la pratique clinique ; S:Soins infirmiers ; S:Solution hydroalcooliqueRésumé : Ce guide est destiné aux équipes d'hygiène, aux pharmaciens, aux médecins de santé au travail, aux responsables des services achats de produits hydro-alcooliques (PHA) et aux personnes ayant une responsabilité dans l'encadrement de leur utilisation et de la promotion de l'hygiène des mains en général.
Son objectif n'est pas de produire des recommandations, c'est la raison pour laquelle nous n'en avons pas énoncé et qu'il n'y a pas de niveau de preuve dans les propositions faites. C'est aussi pour cette raison que la bibliographie, bien qu'abondante dans ce guide, n'y a pas été analysée par la méthode Grade (Grading of recommendations assessment, development and evaluation). Il a pour objectif répondre à certaines questions actuelles qui se posent sur l'hygiène des mains par friction en intégrant des données nouvelles par rapport à 2009.
Ce guide vient donc en complément mais pas en remplacement des Recommandations pour l'hygiène des mains de 2009. Il est également destiné à compléter le Guide pour le choix des désinfectants, publié en 2017, qui n'a pas pris en compte des aspects plus généraux l'hygiène des mains et notamment le choix des produits hydro-alcooliques.
Ce guide dresse un panorama des connaissances actuelles dans le domaine de l'hygiène des mains et pourra être utilisé pour construire des actions de formation, initiale ou continue des professionnels de santé, pour mettre en œuvre une campagne de promotion ou d'évaluation de l'hygiène des mains. Il pourra également être utilisé par les professionnels cherchant à doter leur institution de produits hydro-alcooliques, en leur donnant des critères de choix objectifs et des moyens de les associer pour établir un cahier des charges éclairé.
Il nous a également paru souhaitable, à un moment où la communication sur certaines mesures de prévention dans le domaine de la santé (vaccins, produits d'hygiène des mains) est altérée, voire grossièrement détournée, de fournir aux professionnels un ensemble le plus complet possible de documents, de références scientifiques et de supports pédagogiques ou de communication pour pouvoir faire face à ces phénomènes connus sous le nom de bad buzz.
Pour le lecteur, certaines précisions sont nécessaires.
Tout d'abord, tout au long de ce guide, le terme « patient » inclut la notion de résident en établissement sanitaire et services médicosociaux (ESMS), en établissement de santé et en ville. Par ailleurs, dans le chapitre concernant l'évaluation nous avons choisi de parler de l'évaluation des pratiques et non pas de celle de la consommation ; des données sur ce thème étant disponibles dans le cahier des charges 2017 de la Haute Autorité de santé (HAS) sur les infections associées aux soins. (https://www.has-sante.fr/portail/upload/docs/application/pdf/2017-03/ias_cahier_des_charges.pdf).
Olivia Keita-Perse et Chantal Léger
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=37597
in Hygiènes > Vol.26, N°1 (Mars 2018) . - p. 1-92[article] Hygiène des mains et soins : du choix du produit à son utilisation et à sa promotion [texte imprimé] / Olivia Keita-Perse ; Chantal Léger . - 2018 . - p. 1-92.
Langues : Français (fre)
in Hygiènes > Vol.26, N°1 (Mars 2018) . - p. 1-92
Catégories : Alpha
G:Gant à usage unique ; H:Hygiène des mains ; L:Lavage des mains ; R:Recommandation pour la pratique clinique ; S:Soins infirmiers ; S:Solution hydroalcooliqueRésumé : Ce guide est destiné aux équipes d'hygiène, aux pharmaciens, aux médecins de santé au travail, aux responsables des services achats de produits hydro-alcooliques (PHA) et aux personnes ayant une responsabilité dans l'encadrement de leur utilisation et de la promotion de l'hygiène des mains en général.
Son objectif n'est pas de produire des recommandations, c'est la raison pour laquelle nous n'en avons pas énoncé et qu'il n'y a pas de niveau de preuve dans les propositions faites. C'est aussi pour cette raison que la bibliographie, bien qu'abondante dans ce guide, n'y a pas été analysée par la méthode Grade (Grading of recommendations assessment, development and evaluation). Il a pour objectif répondre à certaines questions actuelles qui se posent sur l'hygiène des mains par friction en intégrant des données nouvelles par rapport à 2009.
Ce guide vient donc en complément mais pas en remplacement des Recommandations pour l'hygiène des mains de 2009. Il est également destiné à compléter le Guide pour le choix des désinfectants, publié en 2017, qui n'a pas pris en compte des aspects plus généraux l'hygiène des mains et notamment le choix des produits hydro-alcooliques.
Ce guide dresse un panorama des connaissances actuelles dans le domaine de l'hygiène des mains et pourra être utilisé pour construire des actions de formation, initiale ou continue des professionnels de santé, pour mettre en œuvre une campagne de promotion ou d'évaluation de l'hygiène des mains. Il pourra également être utilisé par les professionnels cherchant à doter leur institution de produits hydro-alcooliques, en leur donnant des critères de choix objectifs et des moyens de les associer pour établir un cahier des charges éclairé.
Il nous a également paru souhaitable, à un moment où la communication sur certaines mesures de prévention dans le domaine de la santé (vaccins, produits d'hygiène des mains) est altérée, voire grossièrement détournée, de fournir aux professionnels un ensemble le plus complet possible de documents, de références scientifiques et de supports pédagogiques ou de communication pour pouvoir faire face à ces phénomènes connus sous le nom de bad buzz.
Pour le lecteur, certaines précisions sont nécessaires.
Tout d'abord, tout au long de ce guide, le terme « patient » inclut la notion de résident en établissement sanitaire et services médicosociaux (ESMS), en établissement de santé et en ville. Par ailleurs, dans le chapitre concernant l'évaluation nous avons choisi de parler de l'évaluation des pratiques et non pas de celle de la consommation ; des données sur ce thème étant disponibles dans le cahier des charges 2017 de la Haute Autorité de santé (HAS) sur les infections associées aux soins. (https://www.has-sante.fr/portail/upload/docs/application/pdf/2017-03/ias_cahier_des_charges.pdf).
Olivia Keita-Perse et Chantal Léger
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=37597 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T007687 HYG Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Lecture critique – Les probiotiques dans la prévention de l’infection à Clostridium difficile chez l’adulte et l’enfant / Olivia Keita-Perse in Hygiènes, Vol. XXVII, 5 (Novembre 2019)
[article]
Titre : Lecture critique – Les probiotiques dans la prévention de l’infection à Clostridium difficile chez l’adulte et l’enfant Type de document : texte imprimé Auteurs : Olivia Keita-Perse, Auteur ; Joseph Hajjar, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p.314-317 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Adulte ; C:Clostridium difficile ; E:Enfant ; I:Infection bactérienne ; P:ProbiotiqueRésumé : Non disponible. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42510
in Hygiènes > Vol. XXVII, 5 (Novembre 2019) . - p.314-317[article] Lecture critique – Les probiotiques dans la prévention de l’infection à Clostridium difficile chez l’adulte et l’enfant [texte imprimé] / Olivia Keita-Perse, Auteur ; Joseph Hajjar, Auteur . - 2019 . - p.314-317.
Langues : Français (fre)
in Hygiènes > Vol. XXVII, 5 (Novembre 2019) . - p.314-317
Catégories : Alpha
A:Adulte ; C:Clostridium difficile ; E:Enfant ; I:Infection bactérienne ; P:ProbiotiqueRésumé : Non disponible. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42510 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T008581 HYG Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Ozonized water as an alternative to alcohol-based hand disinfection. / Joseph Hajjar in Hygiènes, Vol 28 - N°4 (Septembre 2020)
[article]
Titre : Ozonized water as an alternative to alcohol-based hand disinfection. Titre original : L’eau ozonée, une alternative à la désinfection des mains par un produit hydro-alcoolique ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Joseph Hajjar, Auteur ; Philippe VANHEMS, Auteur ; Olivia Keita-Perse, Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : 231-234 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
D:Désinfection ; H:Hygiène des mains ; S:Solution hydroalcooliqueRésumé : Background. Hand hygiene plays a vital role in the prevention of transmission of microorganisms. Ozone (O3) is a highly reactive gas with a broad spectrum of antimicrobial effects on bacteria, viruses, and protozoa. It can easily be produced locally in small generators, and dissolved in tap water, and quickly transmits into ordinary O2 in the surrounding air. Aim. To compare ozonized tap water and alcohol rub in decontamination of bacterially contaminated hands. Methods. A cross-over study among 30 nursing students. Hands were artificially contaminated with Escherichia coli (ATCC 25922), then sanitized with ozonized tap water (0.8 or 4 ppm) or 3 ml standard alcohol-based rub (Antibac 85%). The transient microbes from fingers were cultivated and colony-forming units (cfu)/ml were counted. The test procedure was modified from European Standard EN 1500:2013. Findings. All contaminated hands before disinfection showed cfu >30,000/ml. The mean (SD) bacterial counts in (cfu/ml) on both hands combined were 1017 (1391) after using ozonized water, and 2337 (4664) after alcohol hand disinfection. The median (range) values were 500 (0-6700) and 250 (0-16,000) respectively (non-significant difference). Twenty per cent of participants reported adverse skin effects (burning/dryness) from alcohol disinfection compared with no adverse sensations with ozone. Conclusion. Ozonized tap water is an effective decontaminant of E. coli, and it could be an alternative to traditional alcohol-fluid hand disinfectants both in healthcare institutions and public places. Ozonized water may be especially valuable for individuals with skin problems. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45014
in Hygiènes > Vol 28 - N°4 (Septembre 2020) . - 231-234[article] Ozonized water as an alternative to alcohol-based hand disinfection. = L’eau ozonée, une alternative à la désinfection des mains par un produit hydro-alcoolique ? [texte imprimé] / Joseph Hajjar, Auteur ; Philippe VANHEMS, Auteur ; Olivia Keita-Perse, Auteur . - 2020 . - 231-234.
Langues : Français (fre)
in Hygiènes > Vol 28 - N°4 (Septembre 2020) . - 231-234
Catégories : Alpha
D:Désinfection ; H:Hygiène des mains ; S:Solution hydroalcooliqueRésumé : Background. Hand hygiene plays a vital role in the prevention of transmission of microorganisms. Ozone (O3) is a highly reactive gas with a broad spectrum of antimicrobial effects on bacteria, viruses, and protozoa. It can easily be produced locally in small generators, and dissolved in tap water, and quickly transmits into ordinary O2 in the surrounding air. Aim. To compare ozonized tap water and alcohol rub in decontamination of bacterially contaminated hands. Methods. A cross-over study among 30 nursing students. Hands were artificially contaminated with Escherichia coli (ATCC 25922), then sanitized with ozonized tap water (0.8 or 4 ppm) or 3 ml standard alcohol-based rub (Antibac 85%). The transient microbes from fingers were cultivated and colony-forming units (cfu)/ml were counted. The test procedure was modified from European Standard EN 1500:2013. Findings. All contaminated hands before disinfection showed cfu >30,000/ml. The mean (SD) bacterial counts in (cfu/ml) on both hands combined were 1017 (1391) after using ozonized water, and 2337 (4664) after alcohol hand disinfection. The median (range) values were 500 (0-6700) and 250 (0-16,000) respectively (non-significant difference). Twenty per cent of participants reported adverse skin effects (burning/dryness) from alcohol disinfection compared with no adverse sensations with ozone. Conclusion. Ozonized tap water is an effective decontaminant of E. coli, and it could be an alternative to traditional alcohol-fluid hand disinfectants both in healthcare institutions and public places. Ozonized water may be especially valuable for individuals with skin problems. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45014 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T008814 HYG Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Qualité de l'air au bloc opératoire et autres secteurs interventionnels / j. Hajj ar in Hygiènes, Vol. XXIII, 2 (Mai 2015)
[article]
Titre : Qualité de l'air au bloc opératoire et autres secteurs interventionnels Type de document : texte imprimé Auteurs : j. Hajj ar, Auteur ; Olivia Keita-Perse, Auteur ; J.-C. Cêtre, Auteur ; Ludwig-Serge Aho-glélé, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : p.4-55 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Air ; B:Bloc opératoire ; B:Bonne pratique ; E:Environnement ; H:Hôpital ; H:Hôpital de jour ; H:Hygiène hospitalière ; I:Infection ; P:Prévention ; Q:Qualité ; R:Recommandation pour la pratique cliniqueNote de contenu : La qualité de l’air au bloc opératoire et dans les salles interventionnelles est un sujet fréquent de débat pluridisciplinaire au sein de nos établissements de santé. Comme le rappelle Joseph Hajjar dans l’avant-propos, la maîtrise de la qualité d’air est un des éléments de la prévention du risque d’infection du site opératoire mais l’impact de cette mesure est difficile à quantifier au sein d’une stratégie multimodale de prévention. Dix ans après les premières recommandations de la SFHH sur la qualité d’air au bloc opératoire, il nous est apparu nécessaire de réanalyser les recommandations tout en l’élargissant aux secteurs interventionnels car les pratiques changent avec le développement de la chirurgie ambulatoire et du fait du recours de plus en plus fréquent à des techniques invasives ou mini-invasives réalisées dans des secteurs interventionnels dédiés. De plus, la période actuelle étant à l’adoption de méthodes les plus coût-efficaces et à l’optimisation des moyens financiers disponibles, il est important notamment pour les établissements de santé qui se restructurent ou qui se modernisent de disposer d’éléments guidant la réflexion locale sur la maîtrise de la qualité d’air au sein de ces secteurs. Les recommandations publiées dans ce guide, toujours réalisées selon une méthodologie rigoureuse, couvrent aussi bien la mise en œuvre du traitement de l’air, la maintenance et les contrôles mais aussi et c’est important les comportements pouvant influer sur la maîtrise de la qualité d’air. Au nom de la SF2H, je tiens à remercier les membres du groupe de travail et plus particulièrement Serge Aho, Jean-Charles Cêtre, Joseph Hajjar et Olivia Keita Perse pour la production de ces recommandations. À nous de les faire vivre maintenant.
Pr. Philippe Berthelot
Président de la SF2H
Sommaire
Préface
Avant-propos
Participants
Contexte
Méthodologie
Questions posées
Synthèse des recommandations
Argumentaire scientifique et recommandations
Glossaire
Références bibliographiques
Annexe I – Cotation des recommandations par le groupe de relecture
Annexe II – Éléments stratégie de recherche de la littérature
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=28561
in Hygiènes > Vol. XXIII, 2 (Mai 2015) . - p.4-55[article] Qualité de l'air au bloc opératoire et autres secteurs interventionnels [texte imprimé] / j. Hajj ar, Auteur ; Olivia Keita-Perse, Auteur ; J.-C. Cêtre, Auteur ; Ludwig-Serge Aho-glélé, Auteur ; et al., Auteur . - 2015 . - p.4-55.
Langues : Français (fre)
in Hygiènes > Vol. XXIII, 2 (Mai 2015) . - p.4-55
Catégories : Alpha
A:Air ; B:Bloc opératoire ; B:Bonne pratique ; E:Environnement ; H:Hôpital ; H:Hôpital de jour ; H:Hygiène hospitalière ; I:Infection ; P:Prévention ; Q:Qualité ; R:Recommandation pour la pratique cliniqueNote de contenu : La qualité de l’air au bloc opératoire et dans les salles interventionnelles est un sujet fréquent de débat pluridisciplinaire au sein de nos établissements de santé. Comme le rappelle Joseph Hajjar dans l’avant-propos, la maîtrise de la qualité d’air est un des éléments de la prévention du risque d’infection du site opératoire mais l’impact de cette mesure est difficile à quantifier au sein d’une stratégie multimodale de prévention. Dix ans après les premières recommandations de la SFHH sur la qualité d’air au bloc opératoire, il nous est apparu nécessaire de réanalyser les recommandations tout en l’élargissant aux secteurs interventionnels car les pratiques changent avec le développement de la chirurgie ambulatoire et du fait du recours de plus en plus fréquent à des techniques invasives ou mini-invasives réalisées dans des secteurs interventionnels dédiés. De plus, la période actuelle étant à l’adoption de méthodes les plus coût-efficaces et à l’optimisation des moyens financiers disponibles, il est important notamment pour les établissements de santé qui se restructurent ou qui se modernisent de disposer d’éléments guidant la réflexion locale sur la maîtrise de la qualité d’air au sein de ces secteurs. Les recommandations publiées dans ce guide, toujours réalisées selon une méthodologie rigoureuse, couvrent aussi bien la mise en œuvre du traitement de l’air, la maintenance et les contrôles mais aussi et c’est important les comportements pouvant influer sur la maîtrise de la qualité d’air. Au nom de la SF2H, je tiens à remercier les membres du groupe de travail et plus particulièrement Serge Aho, Jean-Charles Cêtre, Joseph Hajjar et Olivia Keita Perse pour la production de ces recommandations. À nous de les faire vivre maintenant.
Pr. Philippe Berthelot
Président de la SF2H
Sommaire
Préface
Avant-propos
Participants
Contexte
Méthodologie
Questions posées
Synthèse des recommandations
Argumentaire scientifique et recommandations
Glossaire
Références bibliographiques
Annexe I – Cotation des recommandations par le groupe de relecture
Annexe II – Éléments stratégie de recherche de la littérature
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=28561 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T006137 HYG Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Transmission respiratoire : vers de nouvelles recommandations / Olivia Keita-Perse in Hygiènes, Vol. XXXII - n°2 (Mai 2024)
[article]
Titre : Transmission respiratoire : vers de nouvelles recommandations Type de document : texte imprimé Auteurs : Olivia Keita-Perse, Auteur Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 129-132 Note générale : Doi : 10.25329/hy_xxxii_2_keita-perse Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Air ; G:Goutte ; P:Prévention ; R:Recommandation ; R:Risque infectieux ; T:Transmission (d'une maladie) ; V:VentilationRésumé : Depuis Hippocrate et sa théorie des « miasmes » transmis par l’air et occasionnant des maladies, les connaissances scientifiques relatives aux mécanismes de transmission des maladies infectieuses ont connu des progrès extraordinaires, avec des succès dans la prévention, comme lors de l’épidémie de choléra à Londres stoppée par John Snow (non, pas le héros de Games of Thrones, qui n’avait lui à sa disposition qu’une épée !), et des avancées majeures sur l’implication des micro-organismes dans la genèse des maladies infectieuses. À la fin du XIXe siècle, les expériences de Pasteur, Yersin, Koch puis surtout Flügge, avec ses travaux sur les sécrétions respiratoires et ses fameuses « gouttelettes » humides ou sèches, ont ouvert la voie à la notion de dichotomie de cette transmission par voie respiratoire, proposée par Wells et son épouse au début de XXe siècle (1934). Bien que très (trop) simplificatrice, cette dichotomie est finalement adoptée des décennies plus tard sous la forme d’une classification déformée et arbitraire des particules aéroportées selon leur taille, en gouttelettes respiratoires de grande taille (>5-10 μm, sédimentant au sol sur une distance <2 m) ou aérosols de petite taille (<5 μm, pouvant rétrécir par dessiccation, rester en suspension dans l’air et se déplacer sur de grandes distances) [1]. Elle sera la fondation de la position des Centers for Disease Control and Prevention1 (CDC), puis de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), qui classent les micro-organismes à transmission aéroportée en accord avec cette dichotomie arbitraire, et y associent des mesures de prévention spécifiques : transmission par les « gouttelettes respiratoires » pour les particules infectieuses >5 μm dont la prévention nécessite soit une distanciation physique de >1 m (voire 2 m pour les CDC), soit le port d’un masque à usage médical en cas de contact rapproché ; transmission par les « aérosols » (ou transmission « air ») pour les particules infectieuses <5 μm nécessitant le port d’un appareil de protection respiratoire de type FFP2. Dans son guide de recommandations pour la prévention de la transmission croisée par voie respiratoire air ou gouttelettes paru en 2013, la Société française d’hygiène hospitalière (SF2H) proposait des mesures de prévention en accord avec cette dichotomie [1]. Cependant, la récente crise sanitaire liée à la Covid-193 a « challengé », voire contesté, cette dichotomie et de nombreux articles scientifiques ont souligné et encore éclairci les mécanismes de la transmission aéroportée et la notion de continuum de tailles de gouttes respiratoires piégées, et précisé la modélisation de leur transport dans un nuage d’air turbulent et son évolution selon les conditions environnementales notamment. À l’issue de cette crise et pour en tirer des conclusions constructives, la SF2H a donc décidé d’approfondir le travail et de réactualiser ses recommandations de 2013 pour la prévention de la transmission par voie respiratoire air ou gouttelettes, et de s’appuyer sur deux piliers qui ont émergé des recommandations des experts internationaux : sortir de la dichotomie et baser la prévention sur une analyse de risque. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=54994
in Hygiènes > Vol. XXXII - n°2 (Mai 2024) . - p. 129-132[article] Transmission respiratoire : vers de nouvelles recommandations [texte imprimé] / Olivia Keita-Perse, Auteur . - 2024 . - p. 129-132.
Doi : 10.25329/hy_xxxii_2_keita-perse
Langues : Français (fre)
in Hygiènes > Vol. XXXII - n°2 (Mai 2024) . - p. 129-132
Catégories : Alpha
A:Air ; G:Goutte ; P:Prévention ; R:Recommandation ; R:Risque infectieux ; T:Transmission (d'une maladie) ; V:VentilationRésumé : Depuis Hippocrate et sa théorie des « miasmes » transmis par l’air et occasionnant des maladies, les connaissances scientifiques relatives aux mécanismes de transmission des maladies infectieuses ont connu des progrès extraordinaires, avec des succès dans la prévention, comme lors de l’épidémie de choléra à Londres stoppée par John Snow (non, pas le héros de Games of Thrones, qui n’avait lui à sa disposition qu’une épée !), et des avancées majeures sur l’implication des micro-organismes dans la genèse des maladies infectieuses. À la fin du XIXe siècle, les expériences de Pasteur, Yersin, Koch puis surtout Flügge, avec ses travaux sur les sécrétions respiratoires et ses fameuses « gouttelettes » humides ou sèches, ont ouvert la voie à la notion de dichotomie de cette transmission par voie respiratoire, proposée par Wells et son épouse au début de XXe siècle (1934). Bien que très (trop) simplificatrice, cette dichotomie est finalement adoptée des décennies plus tard sous la forme d’une classification déformée et arbitraire des particules aéroportées selon leur taille, en gouttelettes respiratoires de grande taille (>5-10 μm, sédimentant au sol sur une distance <2 m) ou aérosols de petite taille (<5 μm, pouvant rétrécir par dessiccation, rester en suspension dans l’air et se déplacer sur de grandes distances) [1]. Elle sera la fondation de la position des Centers for Disease Control and Prevention1 (CDC), puis de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), qui classent les micro-organismes à transmission aéroportée en accord avec cette dichotomie arbitraire, et y associent des mesures de prévention spécifiques : transmission par les « gouttelettes respiratoires » pour les particules infectieuses >5 μm dont la prévention nécessite soit une distanciation physique de >1 m (voire 2 m pour les CDC), soit le port d’un masque à usage médical en cas de contact rapproché ; transmission par les « aérosols » (ou transmission « air ») pour les particules infectieuses <5 μm nécessitant le port d’un appareil de protection respiratoire de type FFP2. Dans son guide de recommandations pour la prévention de la transmission croisée par voie respiratoire air ou gouttelettes paru en 2013, la Société française d’hygiène hospitalière (SF2H) proposait des mesures de prévention en accord avec cette dichotomie [1]. Cependant, la récente crise sanitaire liée à la Covid-193 a « challengé », voire contesté, cette dichotomie et de nombreux articles scientifiques ont souligné et encore éclairci les mécanismes de la transmission aéroportée et la notion de continuum de tailles de gouttes respiratoires piégées, et précisé la modélisation de leur transport dans un nuage d’air turbulent et son évolution selon les conditions environnementales notamment. À l’issue de cette crise et pour en tirer des conclusions constructives, la SF2H a donc décidé d’approfondir le travail et de réactualiser ses recommandations de 2013 pour la prévention de la transmission par voie respiratoire air ou gouttelettes, et de s’appuyer sur deux piliers qui ont émergé des recommandations des experts internationaux : sortir de la dichotomie et baser la prévention sur une analyse de risque. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=54994 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T010255 HYG Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible